911 – L’ignoble vérité

Quand l'inconcevable devient réalité

Révulsé au premier contact de cette thèse extravagante, aux contours séditieux, il m’a fallu plusieurs mois pour oser surmonter la propension organique des hommes de bien à projeter sur leurs gouvernements la sollicitude bienveillante des parents envers leur progéniture. Mais, une fois ce blocage freudien évacué, l’approche rationnelle, libre de tous filtres psychologiques, s’installe peu à peu et lève le voile qui occulte une réalité monstrueuse…

« Après 5 ans de discussions au sein de la communauté du renseignement, j’en viens à la conclusion que ces événements résultent d’une opération militaire clandestine, fortement compartimentée, destinée à la mise en place d’un pouvoir fasciste aux États-Unis . »
Wayne Madsen (ancien analyste pour la NSA et officier de renseignement pour la Marine)

Plus de 5 ans après les événements du 11 septembre 2001, la plupart des spécialistes qui ont eu l’opportunité et le courage de se prononcer sur l’effondrement du bâtiment WTC 7, survenu en fin d’après-midi de cette journée fondatrice, sont d’avis qu’il s’agit incontestablement d’une démolition contrôlée des plus classiques ! Les images des multiples vidéos montrant cette séquence inouïe d’une durée inférieure à 7 secondes, autant de pièces à conviction des plus accablantes, ont d’ailleurs curieusement disparu des grands bulletins d’informations, ce, dès le 12 septembre 2001 …

Toutefois, malgré le caractère inusité et hautement improbable de l’effondrement symétrique et en chute libre du WTC 7 ; il y a encore plus intriguant : la désintégration quasi-totale des WTC 1 et 2 ! Outre leurs effondrements symétriques respectifs, eux aussi très improbables, à une vitesse voisine de la chute libre ; la pulvérisation et la dispersion de la presque totalité du béton en un fin aérosol constitue un autre mystère. Ce phénomène très inhabituel s’apparente en fait aux coulées pyroclastiques des cheminées volcaniques, où des énergies colossales sont à l’œuvre. Certains ont même calculé que l’énergie nécessaire à un tel résultat excède de beaucoup celle transférée au béton par l’accélération terrestre (énergie potentielle convertie en énergie cinétique). D’où venait donc cette énergie formidable, capable de réduire en fines poussières des centaines de tonnes de béton ?

Qui nous expliquera ces bien curieuses anomalies ? Le N.I.S.T., organisme gouvernemental officiellement chargé de l’enquête ? Soyons sérieux… Le rapport officiel, apparemment pas encore tout à fait finalisé… est considéré aujourd’hui par plusieurs sommités universitaires (ainsi que par des associations regroupant des parents des victimes) comme une honte nationale, à l’instar d’ailleurs de celui produit par la commission Kean-Hamilton. Non vraiment, pour approcher l’immonde vérité, il faut se tourner vers un médium pour l’instant encore libre, affranchit de la propagande étatique : le Web ! Bien entendu, le meilleurs y côtoie le pire, mais le pire, c’est déjà beaucoup mieux que ce que tous ces plumitifs serviles de la pensée unique nous enfoncent quotidiennement dans la gorge.

Pour être bref, disons que deux tendances dominent présentement sur Internet. Les uns, représentés par le très respectable Steven Jones PhD, évoquent l’utilisation de puissants explosifs militaires, installés à l’avance dans les tours. Les autres, conduits par les non moins respectables Morgan Reynolds PhD et Judy Wood PhD, font quant à eux intervenir un dispositif militaire « high-tech », franchement digne du programme de la Guerre des étoiles ! Une chose semble cependant indélogeable du cœur de ces deux mouvances : l’effondrement rapide des deux solides structures ne peut résulter de l’impact des appareils combiné aux foyers d’incendie, foyers d’ailleurs très modestes, peu alimentés en oxygène. En fait, une douzaine d’anomalies particulièrement étonnantes se dégagent du puzzle et méritent, sans conteste, des analyses plus poussées : (Les 13 observations suivantes sont largement étayées par des documents photos, vidéos et analyses scientifiques diverses, présents sur les sites spécialisés cités en hyperliens.)

1- La pulvérisation en un fin aérosol de la presque totalité du béton des planchers des 2 tours ;

2- La présence importante de très fines poussières de fer, apparemment vaporisées par une puissante source d’énergie, capable d’amener instantanément et de manière homogène, des sections d’acier à la température de sublimation ;

3- La projection d’éléments de structure pesant jusqu’à 20 tonnes sur plus de 200 mètres ;

4- La présence de grandes quantités d’acier fondu dans les sous sols des WTC 1 et 2 ;

5- La disparition complète (fondue ou vaporisée ?) d’une presse de 50 tonnes située au sous-sol du complexe du WTC ;

6- Malgré un arrosage continu des débris pendant plusieurs jours d’affilée, de l’acier encore rouge est retiré des sous sols 6 semaines après les effondrements ;

7- Un taux anormalement élevé de Tritium a été mesuré sur le site ;

8- La très faible hauteur de la pile des débris des WTC 1 et 2, qui auraient normalement occupé un volume bien plus grand ;

9- L’absence quasi-totale dans les ruines des bâtiments 1 et 2 d’équipements de bureau [1] d’ordinateurs, restes humains etc. enfin, de tous corps massifs ou composés d’eau, alors que des milliers de documents en papier intactes recouvrent une grande superficie du site ;

10- Certains véhicules situés à proximité des tours, non touchés par des débris, auraient mystérieusement pris feu de manière instantanée ;

11- Plusieurs circuits électroniques sensibles, dédiés aux télécommunications entre autres, auraient apparemment été endommagés dans un périmètre de plusieurs dizaines de mètres de l’épicentre, trois mois auraient été nécessaires au rétablissement de ces services ;

12- Présence, à l’effondrement des 2 tours, de colonnes nuageuses verticales, trahissant ici l’action de gaz chauds, tel ceux rencontrés dans les cheminées qui caractérisent la physionomie des déflagrations thermonucléaires.

13- Les étranges enregistrements sismiques du Earth Observatory de l’Université de Columbia, situé à une trentaine de km au nord du complexe WTC, démontrent distinctement la présence de deux importantes pointes, traduisant la libération rapide d’une grande quantité d’énergie, survenues peu après le début de chaque effondrement : 2.1 (à l’échelle Richter) pour la tour sud et 2.3 pour la tour nord ;

Autant d’anomalies étranges qui interpellent tous esprits rationnels, encore capables de réflexion autonome. Ces événements tragiques cachent-ils quelque chose d’encore plus infamant ? On pourrait bien le croire, à la lecture d’une thèse étonnante, mise en ligne sur un site finlandais par un mystérieux « expert » militaire. À priori, on croit avoir affaire à une tactique élaborée de désinformation dite amplifiante, où, en effet, on en donne plus que ce que le client en demande. Avec pour résultat que la cible visée, c.-à-d. vous et moi, décroche alors définitivement, sans possibilité d’appel. À posteriori par contre, une fois que l’on s’est tapé les références scientifiques fournies , parfois très pointues, une horreur absolue pointe à l’horizon, apportant avec elle un éclairage nouveau sur cette journée, définitivement déterminante pour l’Histoire du Monde. Cette thèse, en apparence saugrenue, a cependant le mérite de réconcilier les deux courants de pensée quant à l’agent de destruction impliqué et place ces événements dans un contexte inédit, tout à fait déstabilisant pour les simples civils que nous sommes.

L’explication renversante proposée par cet « insider » inopiné s’inscrit dans le cadre d’une quête militaire acharnée, véritable marathon technologique amorcé au tout début des années 50, orientée apparemment vers l’obtention de l’arme nucléaire « parfaite ». Son issue, on fini par le comprendre après une longue maturation, bouleverse de fond en comble la Doctrine nucléaire du temps de la Guerre froide, basée essentiellement sur la dissuasion mutuelle. Tout tiendrait en fait à une avancée technique majeure, réalisée vraisemblablement au cours des années 90. La Bombe nucléaire « parfaite », exempte de toutes retombées radioactives nocives permanentes, serait maintenant sortie des cartons de l’armée américaine pour devenir réalité !

Mais en quoi consisterait au juste cette fameuse arme nucléaire idéale, capable de changer de manière irréversible le cours naturel de l’Histoire ? Pas aisé de vulgariser ; mais, tentons un timide essai. Initialement, il faut savoir ce qu’est une bombe à neutrons ; quelque chose d’assez épouvantable en soi, mais appartenant pourtant à l’arsenal de quelques grandes puissances nucléaires depuis des décennies. La particularité de cette avancée technologique remarquable, testée en 1962 par l’armée américaine dans le désert du Nevada, réside dans le fait que 80 % de l’énergie immense produite par la fusion d’isotopes de l’hydrogène est convertie en rayonnements corpusculaires (neutrons rapides) et ondulatoires (rayons gamma et X). Les chars blindés, qui offraient à partir d’une certaine distance de l’épicentre de la détonation une protection relative pour les occupants sont, avec ce type d’armement, facilement traversés par un torrent de neutrons rapides. Ce puissant rayonnement corpusculaire amène instantanément à sublimation toutes les molécules d’eau composant les organismes biologiques, situés dans un périmètre donné, fonction de la puissance du dispositif. Les soldats positionnés dans les chars d’assaut compris dans cette zone d’exposition sont littéralement désintégrés sous l’action puissante des neutrons rapides, lesquels communiquent une quantité importante de leur haute énergie aux molécules d’eau composant le corps humain. Absolument diabolique, mais bien réel ! On peut remercier « chaudement » M. Samuel Cohen, l’inventeur de ce merveilleux concept.

Vous ne discernez toujours pas le lien avec le 911 ? Patience, on progresse, les choses vont bientôt commencer à se mettre en place. Un parcours de la littérature spécialisée nous apprends qu’il existe plusieurs générations de bombes à neutrons, chacune apportant son inovation technique. L’obstacle majeur dans cette quête insensée de la bombe idéale restait, apparemment jusqu’à récemment, lié au mécanisme responsable de l’amorce de la réaction de fusion . En effet, les bombes à neutrons conventionnelles utilisent toutes une réaction de fission nucléaire comme « détonateur » pour amorcer le processus de fusion. Cet arrangement classique amène deux contraintes principales, tributaires des réactions de fission . Il y a d’abord le problème des retombées radioactives, moindres qu’avec les premières bombes A, mais tout de même assez importantes, trop pour une utilisation tactique . L’autre contrainte se rapporte à la « masse critique », condition sine qua non impliquant une quantité minimale importante de matières fissibles, confinant les concepteurs à des bombes de dimensions et de puissances importantes, excluant une fois de plus les utilisations tactiques . Confrontées à ces deux entraves techniques depuis une bonne quarantaine d’années, il serait fort étonnant que les autorités militaires américaines n’aient abouti nulle part depuis…

C’est ici qu’entre en jeu notre « expert » militaire . Selon ce dernier, voilà maintenant près d’une décennie, le génie humain aurait atteint la quintessence en matière de bombes thermonucléaires. Son nom, la bombe à « fusion pure » ! Zéro élément de fission, les deux contraintes évoquées plus haut sont automatiquement balayées par un nouveau concept révolutionnaire. La recette n’est évidemment pas sur le Web, mais gageons qu’une nouvelle configuration, couplée à des matériaux et des explosifs issus des nanotechnologies, figurent parmi les ingrédients secrets. Bienvenus dans le nouveau paradigme nucléaire du vingt et unième siècle ! Il serait maintenant possible de construire des bombes à « fusion pure » de la taille voulue, de l’ordre du kilotonnes aux mégatonnes, avec évidemment moult applications tactiques en tous genres . Les retombées radioactives ? Oubliez ces mauvais souvenirs du temps de la Guerre froide, quelques molécules volatiles de Tritium à peine après l’explosion ; vous pouvez par la suite respirer à grands poumons, dans les jours qui suivent ! N’est-ce pas extraordinaire ?

Le miracle ne s’arrêterait pas là ; la puissante cascade de neutrons rapides, à l’instar des rayonnements électromagnétiques, pourrait être dirigée en un faisceau étroit, de manière à concentrer la presque totalité de l’énergie de la bombe dans une direction donnée. De belles applications en perspective. Songeons à l’Initiative de Défense Stratégique américaine, qui mise beaucoup sur les armes à énergie dirigée, ou à l’emploi, contre un voisin limitrophe indésirable, un état voisin d’Israël par exemple… Selon cette « source » militaire discutable, j’en conviens parfaitement, un pareil dispositif tactique, d’une puissance approximative de 1 kilotonnes, occuperait l’équivalent du volume d’un simple anana (photo d’un tel dispositif ? ) !

Revenons maintenant sur les curieuses anomalies constatées au WTC 1 et 2, avec en arrière plan ces révélations pour le moins surprenantes [2] . Ajoutons, au paravant, que l’emploi de puissantes charges militaires de découpe est suggéré en complémentarité, afin, semble-t-il, de simuler un effondrement initié par les dommages structurels résultant de l’impact des avions .

1- La pulvérisation en un fin aérosol de la presque totalité du béton des planchers des 2 tours :

À l’explosion d’un tel dispositif, une très puissante bouffée de neutrons rapides traverse le cône de destruction, orienté vers le ciel, transférant instantanément aux molécules d’eau (humidité interne relative) contenues dans le béton des planchers, une quantité importante de leur énergie incidente. Les molécules d’eau sont alors vaporisées sur un volume beaucoup plus grand, ce qui entraîne la pulvérisation du béton en très fines poussières.

2- La présence importante de fines poussières de fer, apparemment vaporisées par une puissante source d’énergie, capable d’amener instantanément et de manière homogène, des sections d’acier à la température de sublimation :

Une partie non négligeable de l’énergie des neutrons rapides est également absorbée par l’acier de l’ossature des tours, certaines structures passant directement de l’état solide à l’état gazeux, il y a sublimation (visible sur certains vidéos ). [3]

3- La projection d’éléments de structure pesant jusqu’à 20 tonnes sur plus de 200 mètres :

Une portion de l’énergie de l’explosion est transformée en effets calorifiques et mécaniques, d’où la génération d’une puissante onde de choc se propageant le long des structures vers l’extérieur.

4- La présence de grandes quantités d’acier fondu dans les sous sols des WTC 1 et 2 : 5- La disparition complète (fondue ou vaporisée ?) d’une presse de 50 tonnes située au sous-sol du complexe du WTC : 6- Malgré un arrosage continu des débris pendant plusieurs jours d’affilée, de l’acier encore rouge est retiré des sous sols 6 semaines après les effondrements :

La puissance des radiations thermiques engendrées par l’explosion (localisée aux environs du quatrième sous sol) aurait transformé tout ce qui se trouvait dans un rayon de quelques dizaines de mètres de l’épicentre en un plasma brûlant. Les immenses structures d’acier s’y trouvant auraient été liquéfiées très rapidement. D’importantes poutres d’acier encore rouges étaient d’ailleurs retirées des décombres des semaines après les attentats (vidéos amateurs disponibles dans l’étude du professeur Jones) !

7- Un taux anormalement élevé de Tritium a été mesuré sur le site quelques jours après le 9/11 :

Comme par hasard, le Tritium est le principal sous-produit de la fusion thermonucléaire de l’hydrogène. L’interprétation de cette étude officielle est toutefois contestée, en raison des quantités mesurées et des circonstances entourant les prélèvements (un arrosage intensif des décombres sur une période de plusieurs jours aurait normalement dû éliminer la faible source invoquée dans le rapport officiel). Cependant, le fait que les autorités newyorkaises aient contrevenu à toutes les normes et règlements en vigueur relatifs à la disposition d’éléments se rapportant au sinistre ; en expédiant l’acier des tours illico presto en Asie (malgré l’opposition véhémente de plusieurs organisations civiles), nous apparaît très suspect. Une raison probable, à part l’éventuelle découverte de traces d’explosifs : la présence d’isotopes Fe58 et Fe59 (instable, décomposition béta/gamma) du fer naturel sur la surface de certaines sections d’acier fortement exposées aux rayonnements nucléaires. Cette transmutation résulterait de l’interaction entre les neutrons rapides libérés par la réaction de fusion et les atomes de fer présents dans l’acier des structures. La détection de ces isotopes, réalisée au cours d’analyses scientifiques ultérieures indépendantes, aurait fort probablement permis de mettre en évidence l’implication d’un intense processus nucléaire. Processus, il va de soi, très difficilement attribuable à la « nébuleuse » Al-Qaida …

8- La très faible hauteur de la pile des débris des WTC 1 et 2, qui auraient normalement occupé un volume bien plus grand : 9- L’absence quasi-totale dans les ruines des bâtiments 1 et 2 d’équipements de bureau [4] , d’ordinateurs, restes humains etc. enfin, de tous corps massifs ou composés d’eau, alors que des milliers de documents en papiers intactes recouvrent une grande superficie du site :

Ces autres caractéristiques spécifiques pourraient trouver leur justification dans le fait qu’une portion importante des divers éléments physiques situés dans la partie inférieure du cône de destruction ait été littéralement désintégrée ! Les corps denses, ou composés d’eau (l’eau lourde est d’ailleurs utilisée dans les réacteurs nucléaires civils comme modérateur pour ses propriétés d’absorption), absorbent plus facilement l’énergie transportée par les neutrons rapides, contrairement aux matériaux de faible densité, comme le papier.

10- Certains véhicules situés à proximité des tours, non touchés par des débris, auraient mystérieusement pris feu de manière instantanée :

Ces faits surprenants, très peu connus, sont appuyés par de nombreuses photographies. Le type de dommages observés sur ces véhicules suggère des effets thermiques directionnels, induits par rayonnement.

11- Plusieurs circuits électroniques sensibles, dédiés aux télécommunications entre autres, auraient été endommagés dans un périmètre de plusieurs dizaines de mètres de l’épicentre ; trois mois auraient été nécessaires au rétablissement de ces services [5] :

Cette autre curiosité inhabituelle semble trahir la présence d’une EMP (ElectroMagnetic Pulse) ; phénomène typique, associé aux déflagrations nucléaires (qu’elles résultent d’une fission ou d’une fusion). Cela tient du fait qu’une partie non négligeable de l’énergie initiale de l’explosion est convertie en rayonnements ionisants primaires (essentiellement dans la bande des rayons gamma et des X). Des rayonnements ionisants secondaires sont également générés lors de l’interaction entre les neutrons rapides et le milieu de diffusion traversé. Il en résulte un « soufflage » important des électrons des couches périphériques des atomes du milieu de diffusion, conduisant à l’établissement d’un champ électrique transitoire extrêmement élevé. C’est la Diffusion Compton (du nom de son découvreur, Arthur Compton, vers 1923) à échelle macroscopique. La puissance de cette impulsion électromagnétique est telle, que la plupart des circuits électroniques sensibles, situés à l’intérieur d’un certain périmètre, sont irrémédiablement endommagés !

12- Présence, à l’effondrement des 2 tours, de colonnes nuageuses verticales, dénotant l’action de gaz chauds, tels ceux rencontrés dans les cheminées qui caractérisent la physionomie des déflagrations thermonucléaires.

La libération d’une grande quantité d’énergie lors de la détonation, sous forme de rayonnements corpusculaires (neutrons rapides) et ondulatoires (photons dans le spectre gamma et X), dans la région du cône de destruction (orienté vers le haut), engendre rapidement une colonne d’air très chaud, laquelle génère, par convection, un puissant effet ascendant. Les nombreuses particules en suspension sont alors propulsées vers les couches supérieures de l’atmosphère. (Une étude comparative de clichés photographiques d’explosions thermonucléaires de 10 et 100 kilotonnes, figurant sur certains sites, montre des similitudes étonnantes entre la physionomie des colonnes de débris associée aux champignons atomiques et celle observée à l’effondrement des WTC 1 et 2 .)

13- Les étranges enregistrements sismiques du Earth Observatory de l’Université de Columbia, situé à une trentaine de km au nord du complexe WTC, attestent distinctement de la présence de deux importantes pointes traduisant la libération rapide d’une grande quantité d’énergie. Ces pointes atypiques surviennent peu après le début de chaque effondrement : 2.1 (à l’échelle Richter) pour la tour sud et 2.3 pour la tour nord ;

Comment ne pas succomber à l’envie de discerner dans ces données scientifiques la signature distinctive laissée par de puissantes détonations ? On remarquera que pour les enregistrements associés au WTC 1, cette pointe maximale semble survenir environ 4 secondes après le début de l’effondrement, ce qui conforte l’idée voulant que des charges de découpe aient été activées avant la mise à feu de l’hypothétique dispositif nucléaire ; ce, dans le souci apparent de simuler un effondrement consécutif à une défaillance structurelle majeure . J’ajouterai pour ma part qu’il existe peut-être une autre explication à cette séquence bien précise : la destruction potentielle des circuits de mise à feu des charges de découpe par la puissante bouffée de neutrons rapides issue de la réaction de fusion. Effectivement, les effets destructeurs associés aux divers types de rayonnements, combinés à l’EMP, n’auraient pas manqué de griller tous circuits électroniques destinés au contrôle de la séquence de détonation des charges de découpe, rendant ces dernières inopérantes. Voilà, peut-être, une raison supplémentaire pour laquelle on aurait procédé à la mise à feu séquentielle de ces charges conventionnelles avant celle du supposé dispositif nucléaire. Il faut toutefois admettre que ces enregistrements ne ressemblent pas à ceux que l’on devrait normalement s’attendre à obtenir d’une déflagration nucléaire souterraine. Dans ce cas de figure, la durée de la pointe associée à l’onde de choc devrait être plus courte. Mais il faudrait avant tout savoir si l’équipement utilisé par le Earth Observatory de l’Université de Columbia a une réponse en fréquences assez élevée pour permettre ce type d’enregistrements. Néanmoins, ces enregistrements, par la courte durée (env. 8 sec.) et l’intensité des événements consignés, présentent une singularité de nature à jeter le doute sur l’explication officielle, laquelle fait uniquement intervenir la force gravitationnelle comme seule cause probable… Une étude réalisée par Craig T. Furlong et Gordon Ross :  » Seismic Proof – 9/11 Was An Inside Job  » , démontre d’ailleurs que des explosions importantes, survenues peu avant que les vols AA11 et UA175 ne percutent les tours, ont été enregistrées par les instruments de mesure du Lamont-Doherty Earth Observatory de la Columbia University (LDEO) . Ce qui tend à confirmer certaines versions troublantes de témoins [6] affirmant de manière pugnace avoir ressenti de puissantes explosions, quelques secondes avant les impacts des vols AA11 et UA175 !

Les raisons pouvant justifier l’emploi d’un dispositif nucléaire aussi sophistiqué dans ce genre de « black op » militaires paraîtront évidemment obscures pour le commun des mortels. Mais lorsque l’on s’y arrête un peu, deux objectifs admissibles nous viennent en tête. Le premier, d’ordre technique, se rapporterait à la difficulté liée à la pose du nombre élevé de charges explosives conventionnelles nécessaires à la destruction complète des deux tours, sans attirer l’attention sur cette activité clandestine. Le deuxième, d’ordre psychologique, consisterait à envoyer aux autorités civiles américaines [7] et à celles des autres puissances, un message sans équivoque, que l’on pourrait ostensiblement traduire en deux volets : primo, nous avons maîtrisé une technologie qui rend possible la destruction de n’importe lequel pays, proche ou éloigné, sans la crainte associée aux retombées radioactives. Secundo, nous n’hésiterons pas à la déployer contre tous les peuples qui s’opposeront à notre agenda militaire (prise de possession des principales sources d’hydrocarbures de l’Asie centrale), puisque nous venons de l’utiliser contre notre propre population !

L’adhésion récente de l’OTAN aux opérations militaires conduites en Afghanistan (et bientôt en Iran) parait indiquer la présence d’un consensus au sein de cette organisation internationale sur les objectifs de l’agenda militaire américain. Il n’est pas interdit de songer que ce consensus tardif soit le fruit de longues tractations menées en coulisses entre les États-Unis et ses partenaires militaires. Un généreux partage du butin entre alliés dans cette opération de rapine conduite en Asie centrale constitue sans doute l’adjuvant essentiel de cette récente coalition , au discours fallacieux. Un contrôle plus serré de la presse, ainsi qu’un renforcement [8] de la « thèse officielle » des autorités américaines concernant les événements du 911, figurent probablement au centre de ces accords occultes. Ce constat, à la fois lucide et affligeant, confère aux populations civiles actives de ces belles démocraties un statut de bêtes de somme, que l’on conduit où l’on veut par la peur !

Finalement, à bien y penser, l’argument [9] qui milite le plus en faveur d’une hypothèse aussi onéreuse (l’emploi de dispositifs nucléaires) ; plus que tous ces troublants éléments physiques d’appréciation, c’est le silence sibyllin des médias, des personnages politiques, des chancelleries et autres institutions civiles des grandes puissances (à l’exception du Venezuela et de Cuba…). En effet, comment expliquer cette situation sordide, autrement que par la peur d’une menace terrible, une menace si effroyable, qu’elle neutralise tous processus civils démocratiques ? Vous vous souvenez sans doute de l’arrogance abjecte des propos énoncés solennellement par le président Bush peu après ces « attentats » épouvantables :

“Chaque pays, chaque régions ont un choix à faire, ou vous êtes avec nous, ou vous êtes avec les terroristes”.

Existe-t-il message plus clair, plus direct ? La neutralité n’est même pas tolérée ! Ne pensez vous pas que les experts mandatés des puissances alliées n’ont pas manqué d’aviser très tôt leurs instances de crises respectives de la véritable nature des dommages infligés à l’Amérique (à toutes les nations en fait) en ce 11 septembre 2001 ? Quoi qu’il en soit, la presse « libre » du monde occidental semble avoir été mise au pas dans les heures qui ont suivies ce coup d’état militaire mondial ; parce que c’est bien de cela qu’il paraît s’agir. Tous éléments susceptibles de faire ombrage à la « version officielle » ébouriffée des autorités américaines ont rapidement et systématiquement été occultés par les médias dominants ! L’effondrement du WTC7, dans des circonstances pour le moins très suspectes, ostracisé sur le champ par les masses médias, illustre bien le procédé sournois. Enfin, le président Eisenhower, issu lui-même des forces armées, nous avait d’ailleurs pourtant bien prévenus, lors de son allocution de fin de mandat de janvier 1961, du grave péril que représentent les intérêts du monstrueux complexe militaro-industriel pour la démocratie. De nos jours, le contexte est encore plus menaçant ; l’appauvrissement rapide des réserves énergétiques, associé à la hausse fulgurante de la consommation en produits pétroliers par les économies émergeantes, a conduit à la formation d’un triumvirat infernal, forgé graduellement par une convergence stratégique vitale entre la Défense, les cartels pétroliers et une clique de politiciens véreux (les affiliations respectives des personnages clé composant l’administration Bush sont à cet effet assez éloquentes ).

Ceux dont la ténacité méritoire aura permis de se rendre jusqu’à la fin de ce texte, auront sans doute compris que leur conception juvénile naïve d’un monde meilleur libre et démocratique n’existe plus. Que les WTC 1 et 2 aient été détruites par un dispositif nucléaire sophistiqué, ou par des explosifs militaires conventionnels très puissants importe peu pour nous, simples civils. La résultante demeure la même, le 11 septembre 2001 a inauguré une nouvelle ère, un nouvel ordre mondial, basé sur la force brute et une barbarie des plus outrancières. En dépit du caractère absolument odieux de ce renversement de paradigme, la plus ignoble des réalités n’est certes pas seulement cette brusque transition forcée vers une dictature militaire au service d’un impérialisme américain des plus bestiaux. La prise de contrôle quasi totale des principaux organes traditionnels d’informations par une poignée de criminels de guerre constitue à elle seule l’horreur absolue. C’est très grave ; car l’abdication nauséeuse des journalistes professionnels devant leur responsabilité première d’informer le public rend ces derniers complices de crimes crapuleux. (Au lendemain des attentats, certains journalistes québécois bien connus n’ont pas manqué d’afficher leur scepticisme face à la version édulcorée des autorités américaines. Curieusement, dans les jours qui ont suivis, ceux-ci embrassaient sans broncher la « version autorisée », toutes traces de scepticisme ayant mystérieusement disparues par enchantement ! Les tentatives entreprises depuis pour connaître les raisons profondes de cet abrupte changement de perspective se heurtent systématiquement à des fins de non recevoir…)

Certes, plus que tout, c’est cette trahison honteuse du Peuple par ses institutions démocratiques et ses élites qui représente la mère des ignominies. Seul l’affligeant nivellement par le bas, l’abrutissement collectif entretenu par une cohorte de journalistes et commentateurs de l’info-spectacle, plus insignifiants les uns que les autres, semble permis. Il faut avouer que les sujets pour distraire ne manquent pas ; tous ces guignols se font d’ailleurs un réel devoir de bien suivre la ligne éditoriale… Les masses doivent continuer en toute quiétude à macérer dans leur liquide indifférence. La bêtise humaine, fidèle alliée des éléments radicaux criminels qui régentent le monde, n’aura jamais été autant sollicitée ! Mais cette insoutenable légèreté laisse augurer un corollaire prohibitif ; l’embrasement du Moyen et du Proche-Orient, consécutif à la prochaine agression américaine contre l’Iran, réclamera son lot de chairs à canon. Il n’est pas impossible que des mesures extrêmes de recrutement soient alors prises, drainant les forces vives de plusieurs nations dans une aventure désastreuse [10]

N.B. Quelques incontournables traduits en français pour enfin comprendre !

[1] Le témoignage du pompier Joe Casaliggi (camion # 7) dans le reportage  » September 11 revisited  » est tout à fait édifiant (à 6 minutes 12 secondes) : http://911revisited.com/ . Également, à 13 minutes, 13 secondes du documentaire  » 9/11- a closer look « , en version française, se trouve le témoignage du pompier qui décrit avec étonnement l’état des ruines : http://reopen911.online.fr/ ?page_id=235 .

[2] Le caractère exotique de cette hypothèse n’a pas empêché certains documentaristes d’exploiter cette piste étonnante qui pourrait s’avérer la bonne : voir hyperlien

[3] ( À 17 minutes : 12 secondes, en fin d’effondrement de la tour nord . )

[4] Observez bien ce qui reste d’un classeur de documents appartenant à une entreprise qui était située dans les sous-sols du complexe WTC 1 et 2 : http://thewebfairy.com/911/h-effect/filingcabinet.htm

[5] Ces pannes peuvent également résulter de la configuration des divers réseaux impliqués, sans aucun lien de causalité avec l’effet EMP ci-haut mentionné.

[6] Le plus connu d’entre eux est sans aucun doute William Rodriguez .

[7] L’administration Bush, qui a amplement fait la preuve de son incompétence dans plusieurs domaines, a probablement été placée devant le fait accompli. Sa participation se limite sans doute au « cover-up » qui a immédiatement suivi. L’ineptie profonde du scénario officiel témoigne d’ailleurs du peu de temps dont ont disposé les autorités civiles pour pondre leur histoire rocambolesque qui met en vedette 19 barbus en sandales…

[8] Le récent reportagediffusé parla télévision britannique (BBC Conspiracy Files) illustre à merveille cette entreprise de « damage control » et de formatage des esprits. Il est à peu près certain qu’il suivra rapidement les canaux traditionnels de propagande étatique : bientôt diffusé par Radio-Canada pour les publics anglais et français (RDI,Grands Reportages etc. ) : http://prisonplanet.com/articles/february2007/190207tissueoflies.htm.

[9] Les mensonges répétés servis par les autorités militaires aux membres de la Commission Kean-Hamilton lors des audiences, comme s’en offusque le sénateur Mark Dayton dans le documentaire 911 A Closer Look, constituent également un indicateur sérieux quant à une éventuelle implication de factions liées à la Défense.

[10] Les tensions entre Moscou et Washington ne cessent de croître, un élargissement de ce futur conflit dans des proportions encore jamais atteintes est de plus en plus probable :

« Sur la défensive en Europe, la Russie passe à l’offensive au Moyen-Orient »

« Pour répondre au développement de la DAM américaine, la Russie envisage certaines mesures, telles que l’abandon de l’engagement soviétique de ne pas utiliser l’arme nucléaire en premier« 


 
ENREGISTREMENTS SISMIQUES RÉALISÉS LE 11 SEPTEMBRE 2001
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Articles Par : Jacques Dumont

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