Agent Orange, chronique 16 : Regain d’intérêt stratégique

Au moment où commence la dépollution d’une ancienne base étasunienne au Viêt Nam, Hillary Clinton se rend au Laos, 57 ans après Foster Dulles…

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Lettre du Viêt Nam au CIO

Hanoi, 2 mai 2012

Cher Monsieur Jacques Rogge, Président du CIO et chers membres du Bureau Exécutif,

Je voudrais tout d’abord, au nom du Ministre de la culture, des sports et du tourisme de la République socialiste du Vietnam, présenter nos compliments les meilleurs à M. le Président et aux autres membres du Bureau Exécutif du CIO.

C’est avec regret que j’exprime la profonde préoccupation du Gouvernement et du peuple

vietnamien à propos de la décision du CIO d’accepter la firme Dow Chemical comme partenaire mondial et mécène du mouvement olympique d’aujourd’hui à 2020.

La firme Dow Chemical est l’un des principaux producteurs de l’Agent Orange qui a été utilisé par l’armée américaine, au total 80 millions de litres ont été épandus sur les villages du sud du Viêt Nam, de 1961 à 1972, détruisant l’environnement, ôtant la vie à des millions de Vietnamiens et laissant de terribles effets à des millions d’autres, qui souffrent maintenant de maladies incurables et à des centaines de milliers d’enfants de la quatrième génération, nés avec de graves infirmités congénitales.

Ce qui doit être condamné est que, en dépit de l’opinion internationale, Dow Chemical a montré son indifférence et refuse d’indemniser les victimes de l’Agent Orange causées par la firme, ainsi que de reconnaître sa responsabilité pour nettoyer les zones contaminées. N’ayant fait dans le passé aucun effort pour réparer ses fautes, Dow continue à détruire le cadre de vie actuel.

En 2010, l’Agence américaine de Protection de l’Environnement a classé Dow au second rang des pires pollueurs du monde.

Puisque les buts ultimes du Mouvement Olympique sont de promouvoir la bonne santé, l’égalité et le progrès de l’humanité, nous pensons que l’acceptation de Dow comme sponsor par le CIO a été une décision irréfléchie. C’est pourquoi nous demandons au CIO de reconsidérer sa décision et de soutenir les millions de victimes de l’Agent Orange au Viêt Nam et de par le monde, en demandant à Dow Chemical d’assumer ses responsabilités envers les victimes de l’Agent Orange et de consacrer les ressources financières adéquates à la résolution de leurs problèmes. C’est seulement alors qu’il pourra être admis comme sponsor des Jeux olympiques.

Je saisis l’occasion de réaffirmer le soutien et l’engagement du Viêt Nam dans les activités du mouvement olympique en général et du mouvement paralympique en particulier. La délégation des sportifs du Viêt Nam s’efforcera, dans le meilleur des esprits sportifs, pour contribuer au succès des jeux Olympiques.

Merci de votre attention. Sincèrement vôtre,

Hoang Tuan Anh Ministre

Copie au LOCOG et au Comité Olympique National du Viêt Nam

Cf . http://www.mondialisation.ca/les-jeux-olympiques-et-paralympiques-de-londres-sous-le-spectre-de-bhopal-la-vision-du-napalm-et-le-fant-me-de-l-agent-orange/29578

Le 8 du même mois, Le Courrier du Vietnam publie Aéroport de Dà Nang : séminaire sur la technologie IPTD

De nombreux scientifiques vietnamiens et américains ont participé le 8 mai à Hanoi à un séminaire consacré à la technologie In-Pile Thermal Desorption (IPTD).

Ce séminaire a été honoré de la présence de Donald Steinberg, directeur adjoint de l’Agence d’aide pour le développement international des États-Unis (USAID), et du général Lê Huy Vinh, commandant adjoint de l’Armée de défense antiaérienne et de l’Air du Viêt Nam.

La technologie IPTD est une méthode de traitement de la pollution de l’environnement qui permet de détruire l’Agent Orange/dioxine et de remédier aux effets directs comme rémanents de l’Agent Orange.

Adaptée à l’aéroport de Dà Nang, l’étude de sa mise en œuvre qui relève directement du projet de coopération entre l’USAID et le ministère vietnamien de la Défense est un jalon important de ce dernier, a souligné Donald Steinberg.

Avec les efforts conjugués des parties à ce projet, les terrains contaminés seront traités en vue d’une généralisation de cette technique aux autres sites encore contaminés par la dioxine, a déclaré le général Lê Huy Vinh.

Ce projet de décontamination de l’ancienne base de Dà Nang est mené prudemment afin de garantir la sécurité de ses acteurs comme de la population vivant aux alentours du site. « La meilleure technologie de décontamination a été trouvée et nous nous engageons à dépolluer et détruire l’Agent Orange/dioxine de l’aéroport de Dà Nang », a déclaré Donald Steinberg lors d’un point de presse organisé le jour même.

Selon le directeur de l’USAID au Viêt Nam, Francis Donovan, le coût total de l’opération est estimé actuellement à 43 millions de dollars.

Le ministère de la Défense a mené de juin à septembre 2011 des opérations de déminage sur le chantier de l’aéroport de Dà Nang dans le cadre de la convention sur la mise en œuvre du projet de coopération entre ce ministère et l’USAID.

Les parties participant au projet construiront à la fin de l’été 2012 une voie d’accès au chantier, et effectueront des observations et surveillances de l’environnement avant de lancer le projet qui devrait s’achever en 2015 [actuellement reporté à 2016].

AVI/CVN

Le 11 mai, legrandsoir.info publie Brésil : le Mouvement des petits agriculteurs dénonce la future adoption pour la culture de transgéniques résistants à «l’Agent Orange »

 Radiomundoreal.fm

Le Mouvement des petits agriculteurs (MPA) a dénoncé le 20 avril, lors de la clôture de la troisième édition nationale du Séminaire de formation paysanne, qui a eu lieu dans l’État de Santa Catarina (sud du Brésil), ce qu’il considère comme un coup fatal pour la santé des agricultrices et des agriculteurs, des citadins et pour l’environnement : l’adoption prochaine de la culture de plants transgéniques de soja et de maïs résistants au puissant herbicide 2,4-D, connu aussi comme « Agent Orange » [un des deux acides composant l’Agent Orange].

Des représentants de la société civile qui suivent le processus de vote ont informé le dirigeant national du MPA, Frei Sergio, que le Comité technique national de biosécurité du Brésil (CNTBio) a reconduit pour deux mois l’adoption presque certaine de la commercialisation au Brésil de ces plants transgéniques.

Rappelons que l’herbicide 2,4-D, le monstrueux « Agent Orange » fabriqué par la firme

Monsanto [et Dow, puis d’autres] et utilisé en agriculture, a aussi servi aux États-Unis durant la guerre contre le Viêt Nam (1964-1975), tuant des milliers de personnes et causant, encore aujourd’hui, des décès et de graves problèmes de santé chez les populations touchées (pathologies d’une extrême gravité, lésions nerveuses irréversibles et malformations à la naissance). Sans parler des régions entières devenues impraticables par l’agriculture, dû aux taux de dioxine très élevés dans le sol.

L’information sur cette adoption est gérée de manière confidentielle par les intégrants de CNT-Bio, commission où participent 27 membres de onze ministères du gouvernement fédéral brésilien, de la société civile et d’organisations scientifiques.

Il semble que la culture de ces plants transgéniques sera approuvée, malgré la forte campagne de dénonciation qui s’annonce. Le MPA, ainsi que d’autres organisations telles que Terre de droits (Tierra de Derechos) a réalisé une plainte publique et annoncé tant à niveau national qu’à niveau international le renforcement des campagnes de sensibilisation contre les pesticides et les transgéniques.

Frei Sergio a dénoncé l’énorme risque que représente cette décision pour les agriculteurs brésiliens. Selon lui, les « mauvaises herbes » traitées par le générique glyphosate (commercialisé par Monsanto sous le nom de Round Up), résistent maintenant à ce cocktail chimique dans les plantations de cultures transgéniques, ce qui expliquerait que les firmes cherchent à augmenter la toxicité des herbicides sur les prochaines cultures.

Selon le MPA, cela suit la logique d’extension de l’utilisation des pesticides par l’agrobusiness, malgré leur supposée volonté de réduire leur utilisation, annoncée lors de la généralisation des cultures transgéniques.

 

Le 23 mai, Le Courrier du Vietnam informe Agent orange : le Viêt Nam et le Laos doivent coopérer

« Le Viêt Nam et le Laos doivent coopérer pour soutenir les victimes de l’Agent Orange et demander aux États-Unis d’assumer leur responsabilité, non seulement pour les conséquences de ce toxique mais aussi pour celles des bombes et mines non explosées, et de traiter ces problèmes. » C’est ce qu’a souligné le président de l’Association des victimes de l’Agent Orange du Viêt Nam, le général de corps d’armée Nguyên Van Rinh, lors d’une rencontre à Vientiane avec le général de corps d’armée Douangchay Phichith, vice-Premier ministre et ministre lao de la Défense, dans le cadre de sa visite de travail au Laos du 22 au 24 mai. Il a informé le dirigeant lao des résultats de ses séances de travail avec l’Association nationale des vétérans lao et certains ministères et secteurs de ce pays.

Nguyên Van Rinh a précisé que si l’Agent Orange n’avait pas été trop [comprendre moins qu’au VN] répandu au Laos, ses conséquences sur l’homme et l’environnement y étaient cependant graves.

Douangchay Phichith a affirmé son soutien du fait que le Vietnam demande aux États-Unis d’assumer la responsabilité du règlement de ce problème. Il a précisé que si les effets de l’Agent Orange au Laos n’avaient pas encore été très bien étudiés, les conséquences des bombes et mines laissées par la guerre, elles, étaient très lourdes.

Selon Douangchay Phichith, les deux pays doivent conjuguer leurs efforts pour lutter contre les armes de destruction massive afin d’offrir une vie heureuse et pacifique à l’humanité.

AVI/CVN

 

Le 2 juin, vietnamplus.vn écrit Toxiques de la guerre : approbation d’un plan national

Le Premier ministre a approuvé vendredi le plan d’action national pour 2015 et à l’horizon

2020 de règlement des conséquences des produits chimiques toxiques déversés par l’Armée américaine durant la guerre au Vietnam.

Ce plan d’action a pour but de dépolluer les régions gravement contaminées, de s’assurer que 100% des personnes ayant participé à la résistance de même que leur descendance victimes des produits chimiques toxiques bénéficient des politiques prioritaires. Par ailleurs, 300.000 ha de forêts seront plantés dans les régions contaminées et les recherches sur ces produits toxiques seront accélérées.

Le règlement des conséquences des produits chimiques toxiques nécessite la participation des ministères, branches, localités, organisations sociopolitique, organisations caritatives, internationales, gouvernementales et non gouvernementales étrangères. Ce Plan d’action sera relié à la stratégie et au programme de développement socioéconomique.

Selon l’Association des victimes vietnamiennes de l’Agent Orange/dioxine (VAVA), environ 80 millions de litres de défoliants toxiques ont été épandus de 1961 à 1971 par l’US Air Force au Centre et au Sud du Viêt Nam, lesquels contenaient près de 400 kg de dioxine.

Le pays recense actuellement environ 4,8 millions de personnes ayant été exposées à la dioxine, dont 3 millions en sont victimes à des degrés divers. AVI

 

Le 7 juin, vietnamplus.vn annonce Dioxine: une délégation de la VAVA se rend à Séoul

Une délégation de l’Association vietnamienne des victimes de l’Agent Orange/dioxine (VAVA) a rencontré jeudi dans la capitale sud-coréenne Séoul des membres de l’Association sud-coréenne des vétérans et handicapés touchés par l’Agent Orange (KAOVA).

La rencontre s’inscrivait dans le cadre du programme d’accueil des victimes vietnamiennes de l’Agent Orange qui se tient du 4 au 8 juin en République de Corée. Ce programme revêt une grande signification pour les victimes vietnamiennes de l’Agent Orange et manifeste ainsi la solidarité et l’amitié entre les deux peuples.

Parmi les 80 victimes vietnamiennes de l’Agent Orange/dioxine de la délégation, trois bénéficieront d’opérations chirurgicales gratuites dans ce pays et deux autres se verront implanter des prothèses.

La KAOVA mène depuis sa création, en 2007, une coopération régulière avec la VAVA pour rendre visite et offrir des cadeaux aux victimes vietnamiennes, a affirmé lors de cette rencontre le général Nguyên Van Rinh, président de la VAVA.

En 15 ans, des membres de la KAOVA sont venus à plusieurs reprises au Viêt Nam mener des activités humanitaires. La KAOVA veut se coordonner avec la VAVA pour demander justice aux victimes de l’Agent Orange des deux pays, a déclaré à la presse Vu Xuân Hông, président de l’Union des organisations d’amitié du Viêt Nam. L’ambassade du Viêt Nam à Séoul a fait don, à cette occasion, d’une enveloppe d’un million de wons aux victimes vietnamiennes.

Le programme d’accueil des victimes vietnamiennes de l’Agent Orange, qui a pour but de donner des soins aux victimes en République de Corée, prendra cette fois en charge des personnes souffrant de cancer, maladies du foie, diabète de type 2 imputables à l’Agent

Orange. –AVI

 

Le 9 juin, le même média publie, Dioxine: le Viêt Nam invite les scientifiques américains

Le vice-Premier ministre Nguyên Thiên Nhân a proposé aux scientifiques américains de venir étudier au Vietnam les effets de l’Agent Orange pour établir des données qui serviront de base au versement d’aides à la désintoxication des sites pollués et à la réadaptation fonctionnelle des victimes.

Lors d’une rencontre vendredi à Hanoi avec une délégation de cadres de l’Association américaine des sciences et de la santé publique, du Comité de campagne, responsabilité et secours des victimes de l’Agent Orange du Viêt Nam (VAORRC), dirigée par Mme Susan M. Schnall, le dirigeant vietnamien a souligné que des millions de Vietnamiens, les vétérans mais aussi leur descendance, souffraient encore au quotidien des effets de l’Agent Orange largué par l’Armée américaine pendant la guerre.

Après que le gouvernement et le peuple vietnamiens ont apporté des preuves claires sur les effets de l’Agent Orange, l’administration américaine a pris conscience de sa responsabilité et a pris des initiatives, certes louables mais insuffisantes, pour surmonter les conséquences de cette guerre chimique, a souligné Nguyên Thiên Nhân.

Le gouvernement vietnamien met en œuvre des projets de réadaptation fonctionnelle s’appuyant sur la communauté pour les victimes, avec comme but d’améliorer leurs conditions de vie et de les aider à s’intégrer dans la société. Cependant, ce travail est limité par le manque de fonds.

Pour sa part, Susan Schnall, coordinatrice du VAORRC, a fait savoir que sa délégation souhaitait rencontrer des victimes et examiner sur place les conséquences de l’Agent Orange sur les personnes et l’environnement. Selon Susan Schnall, la délégation s’est également coordonnée avec un certain nombre de membres du Congrès américain pour élaborer un projet de loi demandant à l’administration américaine de verser des indemnités aux victimes vietnamiennes et de régler les conséquences sur l’environnement. Elle a affirmé que le VAORRC poursuivrait ses efforts de sensibilisation du public ainsi que sa campagne auprès du Congrès américain pour que les victimes vietnamiennes obtiennent enfin réparation. – AVI

 

Le 12 juin, cpv.org.vn, publie Une délégation universitaire américaine en visite au VietNam

« Le peuple vietnamien n’oubliera jamais la participation des amis internationaux, dont les Américains, aux manifestations de protestation contre la guerre du Viêt Nam et de soutien de la paix dans ce pays. » C’est ce qu’a assuré Nguyên Thi Binh, ex-vice-présidente de la République et responsable du Fond de la paix et du développement du Viêt Nam, lors de sa rencontre lundi à Hanoï avec une délégation universitaire américaine, en visite du 2 au 17 juin au Viêt Nam. Celle-ci est conduite par le professeur Thomas N. Gardner, président par intérim de la faculté de l’information de l’Université Westfield.

Nguyên Thi Binh s’est déclarée « émue » après avoir rencontré le prof. Thomas N. Gardner qui a participé activement aux mouvements de protestation contre la guerre du Viêt Nam et appelé à la fin de cette guerre lors de la conférence de Bratislava à Prague en 1967. Bien que la guerre soit terminée depuis près de 40 ans, ses graves conséquences, à commencer par celles de l’Agent Orange/dioxine, nuisent toujours à la santé humaine comme à l’environnement au Viêt Nam, a-t-elle souligné. L’ex-dirigeante a souhaité que grâce à cette visite, la délégation universitaire américaine comprenne mieux le Viêt Nam et continue de l’aider à pallier aux conséquences de la guerre.

L’ex-vice-présidente Nguyên Thi Binh et le prof. Thomas N. Gardner ont estimé qu’il s’agissait d’une bonne occasion pour les jeunes américains de s’informer sur le Viêt Nam, son histoire et son peuple, ainsi que de constater de visu ses profonds changements en matière de règlement des effets de la guerre. VK

 

Le mercredi 4 juillet, la radio vovworld.vn diffuse 2 compagnies américaines vont dépolluer l’aéroport de Danang infecté par la dioxine.

Le gouvernement américain a nommé deux maîtres d’œuvre pour le projet de dépollution de l’aéroport de Danang qui a été affecté par l’Agent Orange. Ce sont deux compagnies américaines, CDM Smith et Tetra Tech Inc, qui deviennent respectivement superviseur global et réalisateur de ce projet qui sera mis en œuvre en coordination avec le ministère de la Défense du Viêt Nam. Ces maîtres d’œuvre devront traiter 73 mille mètre cube de boue infectée par la dioxine. Le projet, d’un montant préliminaire de 25 millions de dollars [ ?!], devra s’achever en 2016.

 

Le 11, Le Courrier du Vietnam publie, Clinton au Laos pour une visite historique

Hillary Clinton, première secrétaire d’État américaine à se rendre au Laos depuis 57 ans, est arrivée à Vientiane le 11 juillet, a constaté l’AFP.

 « C’est important pour les Lao, et nous allons souligner un certain nombre de domaines dans lesquels nous travaillons ensemble », a indiqué un haut responsable américain. Au cœur des entretiens figureront les effets encore perceptibles de l’Agent Orange, produit toxique utilisé par les Américains pendant la guerre, ainsi que les bombes non explosées qui parsèment encore le pays.

Le Laos est le pays du monde qui a reçu le plus de bombes par habitant. Les États-Unis dépensent 5 millions de dollars par an pour participer à leur nettoyage, mais sont sous pression des ONG pour accroître cette aide.

La secrétaire d’État a rencontré le Premier ministre Thongsing Thammavong ainsi que son homologue Thongloun Sisoulith qui l’avait invitée en 2010 lors d’une visite à Washington, la première d’un haut responsable lao depuis 1975.

Mme Clinton est la deuxième secrétaire d’État américaine à se rendre au Laos après John Foster Dulles, qui y a passé une journée en 1955. AFP/VNA/CVN

http://www.editionsdemilune.com/agent-orange-apocalypse-viet-nam-p-33.html

 

 



Articles Par : André Bouny

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