Les prémices d’un bouleversement du monde : Alibi humanitaire et réalité énergétique

«Nos forces armées ne sont pas au trentième rang, mais aux deuxième ou troisième rang mondial. Nous avons la capacité de détruire le Monde avec nous. Et je peux vous assurer que cela arrivera avant qu’Israël ne disparaisse.»  Prof. Martin van Creveld, Université Hébraïque de Jérusalem

Un coup d’éclair dans un ciel que l’on croyait- naïfs que nous sommes- dégagé concernant une issue favorable à la crise syrienne. C’était trop beau que Trump soit d’accord pour parler avec Assad selon la sénatrice américaine Tulsi Gabbart qui l’a rencontré à Damas. Il n’en sera rien et le cauchemar continue!

Les faits

Un raid aérien a frappé mardi 4 avril vers 07h00 (04h00 GMT) Khan Cheikhoun, une petite ville contrôlée par des rebelles et des jihadistes dans la province d’Idleb dans le nord-ouest de la Syrie. Des images montrent des corps sans vie d’autres pris de spasmes et de crises de suffocation. Le nombre de victimes est de 72 morts. Avant même qu’il y ait une enquête, les Occidentaux dégainent: «Toutes les preuves que j’ai vues suggèrent que c’était le régime d’Assad utilisant des armes illégales en toute connaissance de cause contre son propre peuple», déclare le ministre britannique des Affaires étrangères Boris Johnson. Le président français parle de «la responsabilité» d’Assad dans ce «massacre», tandis que la Maison-Blanche a dénoncé un «acte odieux du régime» de Damas. Pour sa part, l’armée syrienne a démenti «catégoriquement avoir utilisé toute substance chimique ou toxique à Khan Cheikhoun». La Russie, a affirmé que l’aviation syrienne avait bombardé la veille près de Khan Cheikhoun un «entrepôt» des rebelles où étaient entreposés des «substances toxiques» L’arsenal d’armes chimiques a été livré par des combattants venant d’Irak» On se souvient qu’en août 2013, le régime avait été accusé d’avoir utilisé du gaz sarin à la Ghouta qui avait fait plusieurs dizaines de morts, selon les Occidentaux. Le gouvernement a rejeté ces accusations et ratifié en 2013 la Convention sur l’interdiction des armes chimiques. D’ailleurs, une étude du MIT avait disculpé le gouvernement syrien. Au terme d’un accord russo-américain, la Syrie a détruit tout son arsenal chimique!

Moins de 48 heures après avoir frappé une base aérienne syrienne, les Etats-Unis ont décidé samedi de montrer leurs muscles. Un porte-avions américain et sa flotte font route vers la péninsule coréenne a ainsi révélé samedi le porte-parole du commandement américain dans le Pacifique, en mentionnant clairement la menace nucléaire nord-coréenne. En montrant qu’elle était prête à user de la force, l’administration Trump a surpris la Chine, laissant planer le doute sur la façon dont Washington pourrait répondre à de futures provocations de Pyongyang. Les frappes surprises américaines en Syrie, le climat a changé. Comment Kim Jong-un va se manifester? Les attaques américaines en Syrie rebattent les cartes en Asie. «C’est un signal envoyé à la Chine et à la Corée du Nord, Trump est apparu comme un président imprévisible qui n’hésite pas à frapper.»

Le non-sens de l’attaque par Assad qui était en train de gagner

C’est en tout cas l’avis de plusieurs politiciens qui pensent que Assad n’est pas fou d’attaquer son peuple: «Certains hommes et femmes politiques américains se sont démarqués de leurs confrères, critiquant avec virulence le président américain Donald Trump pour avoir ordonné une frappe contre la Syrie, tout en mettant en doute que le président syrien Bachar al-Assad ait pu lancer la présumée attaque chimique contre la localité de Khan Cheikhoune.

«Quiconque prétendait que Trump était d’une loyauté aveugle a eu un avertissement aujourd’hui», a déclaré Mike Cernovich, l’un des leaders du mouvement «Alt-Right», qui a accusé le président d’avoir abandonné ses positions électorales, dans une campagne sur les réseaux sociaux portée par le hashtag #Syriahoax («canular syrien»). «Nous savons tous que Assad n’empoisonnerait pas son propre peuple», a poursuivi ce spécialiste qui dévoile les complots américains et occidentaux dans une vidéo mise en ligne vendredi, avançant l’idée que «l’Etat profond» (le «deep state», terme vague, mais désignant les cercles et les lobbys influents sur la politique américaine) «veut une guerre avec la Russie».

«Ils utilisent l’attaque au gaz de la Syrie, qui est un canular, pour déclencher la Troisième Guerre mondiale». Selon l’AFP, alors que certains partisans nient l’attaque chimique, d’autres rejettent l’opinion selon laquelle elle a été ordonnée par le président syrien Bachar al-Assad, blâmant une fausse attaque montée pour faire croire à une action de Damas » (1).

«Pourquoi Assad ferait-il cela alors qu’il est en train de gagner?», s’est ainsi interrogé Alex Jones, responsable du site «Infowars», qui est hostile à la politique belliqueuse des Occidentaux. M.Jones soutient l’idée que l’attaque était une ruse pour forcer Donald Trump à s’aligner sur les conservateurs traditionnels. Il estime que si le président «cède à ce front anti-Syrie pour prouver qu’il n’est pas une marionnette russe, ils ne vont pas s’arrêter». Trump a fait campagne pour ne pas s’impliquer dans le Moyen-Orient, car cela aide toujours nos ennemis et crée plus de réfugiés (…) Puis il a vu une photo à la télévision», a pour sa part noté la polémiste républicaine Anne Coulter. Celle-ci a rappelé que M. Trump était opposé en 2013 à une participation militaire américaine au Moyen-Orient. L’ex-sénateur républicain américain Ron Paul a quant à lui qualifié «de mise en scène fabriquée de toute pièce» ce qui s’est passé à Khan Cheikhoun. «Avant la présumée attaque chimique, tout se passait bien et le président Trump disait que c’est au peuple syrien de décider lui-même qui dirigera le pays.Je crois que certains n’ont pas apprécié cela et il fallait qu’il se passe quelque chose.» (1)

«Que s’est-il passé en l’espace de 48 heures? On annonce une attaque chimique et 48h après une attaque américaine bien que Assad ai demandé une commission d’enquête impartiale. Nous lisons l’explication: «(…) En outre, il est question aussi que l’ancien stratège en chef du président américain, Steve Bannon, s’opposait lui aussi à l’intervention militaire américaine contre la Syrie.»

«Cette opposition est due non pas à sa légitimité problématique, mais au fait qu’elle ne fait pas partie de la priorité de la doctrine des États-Unis de Trump», a rapporté Tasnim News, citant deux proches de M. Bannon. L un d’entre eux est revenu sur les récentes frappes US sur la base aérienne d’al-Chaayrate en disant: «Bannon a perdu sa place à cause des hommes qui sont présents à la Maison-Blanche, dont Jared Kushner [le gendre juif de Donald Trump, Ndlr], qui estimait que Trump devait punir le régime d’Assad», a-t-il indiqué.» (1)

La tentation d’empire et la servilité des vassaux européens

America is back en effet pas dans le sens des valeurs! Cela nous rappelle la tentation permanente d’empire des Etats-Unis; En remontant jusqu’à Pearl Harbour où les Américains avaient coupé les routes du pétrole et du caoutchouc (pneumatiques) deux ingrédients essentiels d’une guerre motorisé aux Japonais ce qui a déclenché l’attaque de Pearl Harbour donnant le prétexte à une entrée en guerre des Etats-Unis. Ce fut ensuite l’attaque d’un bateau dans la baie du Tonkin qui nous a amené la guerre du Vietnam et «Apocalypse Now». Avec la fin de l’empire soviétique sous les coups de boutoir de l’Empire et de Jean-Paul II (avec son «N’ayez pas peur!» de sédition aux Polonais), l’Empire n’avait plus d’adversaire à sa taille.

Il faillait inventer un nouvel adversaire, ce sera la diabolisation de l’islam pour les stratèges néo-conservateurs concepteurs du Pnac «Projet pour un nouveau siècle américain» devenus par la suite acteurs principaux de l’Administration Bush. Dans le document

«Reconstruire les Défenses de l’Amérique: (2000)», on peut lire: «Le processus de transformation, même s’il apporte des changements révolutionnaires, est susceptible d’être long, en l’absence d’un événement catastrophique catalyseur comme un nouveau Pearl Harbor». Griffin regarde cette citation à la lumière du principe judiciaire du cui bono? [à qui profite le crime?] et conclut que le 11/9 était précisément le catalyseur dont l’Administration Bush avait besoin. Pour Griffin, il est probable que les USA aient orchestré un incident de ce genre pour justifier l’invasion de l’Irak et de l’Afghanistan, comme la réduction des libertés civiques aux USA par l’introduction du Patriot Act.» (2)

Les menaces à venir

On constate un silence assourdissant des médias occidentaux après l’attaque C’est comme si on voulait banaliser à partir de maintenant les punitions de l’Empire et dans ce cadre, beaucoup de spécialistes pensent que les Etats-Unis (l’état profond) ne va pas s’arrêter la. Maintenant que les Européens comme un seul homme – il n’est que de voir le communiqué de servilité franco-allemand concernant la bénédiction d’une attaque injustifiée d’un Etat souverain accusé sans aucune preuve si ce n’est des certitudes préétablies, et confortées il faut le regretter par l’ancienne procureure des Nations unies Carla del Ponte qui n’a pas le moindre doute sur la responsabilité du gouvernement syrien. Il vient que d’autres «actions» sont prévues, pour cela il faut habituer les citoyens à de nouvelles vérités.

Pepe Escobar écrit:

«Le commandant du Centcom (Commandement central des États-Unis, le Pentagone), le général Joseph Votel, s’est pris pour la réincarnation du Docteur Folamour devant la Commission des forces armées de la Chambre des représentants des États-Unis, mercredi dernier..»

«Nous devons chercher des opportunités de déstabiliser l’Iran, que ce soit à travers des moyens militaires ou d’autres méthodes.» Si orwellienne notre époque soit-elle, cette phrase se classe au rang des déclarations de guerre. Avec pour conséquence la destruction par le vide de l’accord sur le nucléaire passé avec l’Iran, à l’ONU, à l’été 2015. Joseph Folamour ne s’est pas donné la peine de mâcher ses mots.» (3)

Le futur coupable est l’Iran:

«L’Iran est une des plus grandes menaces auxquelles les USA sont confrontés aujourd’hui (c’est la doctrine officielle du Pentagone qui le dit; il vient en quatrième position, après la Russie, la Chine et la Corée du Nord). L’Iran a développé son «rôle déstabilisateur» et constitue «la plus grande menace de long terme à la stabilité» de tout le Moyen-Orient. L’Iran est perfide; «Je pense que l’Iran opère dans ce que j’appelle une zone grise.» Et c’est «une zone située entre la concurrence normale entre pays – qui s’arrête juste aux portes de conflits ouverts». L’Iran est impliqué dans des «mesures de facilitation d’aides létales»; l’utilisation de «forces par procuration»; et nombre de «cyber-activités». Les USA n’ont pas «vu d’amélioration dans le comportement de l’Iran». Le garçon/pays turbulent en question pose encore «des menaces crédibles» à travers «son potentiel nucléaire» et son «robuste» programme de missiles balistiques. Donc, en voilà assez; nous allons les dégager.» (3)

L’énergie au coeur de la stratégie,

J’avais écrit dans un article précédent que l’énergie de plus en plus difficile à exploiter pouvait expliquer en creux ce qui se passe en Syrie. On sait que le Qatar, l’Europe et les Etats-Unis voulaient casser le verrou syrien pour que le gazoduc qatari arrive en Europe et procède à la conquête de l’Europe. Un gouvernement docile aurait permis cela. C’est pour cela aussi que le Qatar finance toute l’opposition islamiste sous l’oeil bienveillant saoudien qui lui aussi a une raison de vouloir le départ de la Syrie, briser l’arc chiite de la coordination Hezbollah libanais-Syrie-Iran. Naturellement tout ceci n’est pas pour déplaire à Israël pour qui c’est tout bénéfice que d’affaiblir la Syrie dernier rempart après la reddition saoudienne – Israël aide les Saoudiens pour démolir le Yemen- et qataris dont on connaît les liens «commerciaux avec le régime israélien Dans le même ordre on apprend qu’une redistribution des cartes énergétiques gazières sont en train d’être élaborées avec un nouvel acteur Israël et le gisement contesté Leviathan, contesté en partie par Chypre et par le Liban. Après des années de retard, Israël s’engage dans un vaste projet d’infrastructure jamais réalisé avec le développement de l’énorme champ de gaz offshore Leviathan en Méditerranée. La première phase implique un investissement initial de 4 milliards de dollars pour produire 12 milliards de mètres cubes de gaz par an. L’Algérie est directement menacée si l’Italie renonce au gaz algérien jugé trop cher.

Le problème du dollar

Il est loin le temps où le secrétaire d’Etat américain traitant les européens comme quantité négligeable déclarait: «Le dollar c’est notre monnaie, mais c’est votre problème.» En clair, circulez il n’y a rien à voir; l’ordre impérial a imposé le dollar depuis les accords de Bretton Woods que Nixon a détricoté en 1971- quand cela n’arrangeait plus les Américains- en laissant flotter le dollar au gré des conjonctures décidées par les Etats-Unis. Ceci jusqu’à l’avènement de dirigeants qui ont déclaré le refus de cet ordre. On sait comment El Gueddafi et Saddam ont fini. C’est un autre challenge avec les Brics qui, graduellement et sans remous, préparent la sortie du dollar en permettant dans un premier temps le règlement des achats et ventes avec une autre monnaie que le dollar. Dans cet ordre de sortie graduelle de l’hégémonie du dollar, Pepe Escobar écrit:

«La Russie et l’Iran contournent le dollar.» Le système de paiements russe Mir va être connecté au Shetab iranien (Interbank Information Transfer Network, un réseau concurrent du système Swift) pour que les touristes puissent tranquillement utiliser les distributeurs automatiques de billets pendant leur visite de l’autre côté’, selon les mots du gouverneur de la Banque centrale d’Iran, Valiollah Seif. La Russie et l’Iran commenceront bientôt à régler des transactions en rials et en roubles, contournant le dollar américain et stimulant les échanges commerciaux et les volumes d’imports-exports’. Tout cela est inscrit dans la déclaration jointe- Vers une coopération stratégique générale’ – signée par Poutine et Rohani à Moscou. Rien d’étonnant à ce que le Pentagone veuille la guerre.» (4)

Le Juriste et historien russe Ivo Rens résume magistralement la manipulation : « Disons-le autrement  écrit-il : de l’emploi de l’arme chimique Assad n’aurait jamais pu espérer qu’un très médiocre avantage militaire local, mais en le lui faisant endosser ses adversaires pouvaient attendre un avantage politique international décisif.»

Dans cette dernière hypothèse, Bachar el-Assad ne serait pas le bourreau, mais la victime désignée à la vindicte mondiale. Dès lors, si l’on cherche la vérité, comment écarter la thèse russe du bombardement d’un entrepôt rebelle comportant des gaz de combat ? D’ailleurs, compte tenu du comportement des services dits de renseignement des Etats-Unis, de Grande-Bretagne, de France et autres Etats aux côtés des djihadistes et autres rebelles armés, et eu égard aux entreprises télécommandées de l’étranger tels les prétendus Casques blancs si vantés en Occident, comment exclure que ces gaz des combat aient été délibérément mis à la disposition des rebelles, même tout récemment, par un service voyou ou un Etat voyou pour déclencher une condamnation médiatique internationale de Bachar el-Assad et son éviction ?

Si on avait voulu provoquer l’hallali auquel nous assistons contre Bachar el-Assad et son “régime” pour reprendre la terminologie infâmante chère aux médias francophones, on ne pouvait mieux faire qu’en mettant en scène son évidente responsabilité d’un des crimes de guerre les plus odieux » (5).

Que dire en conclusion?

La citation donnée plus haut dans le cas d’Israël , outre l’hubris qui s’en dégage, montre que le détenteur du feu , le Prométhée des temps modernes n’a pas de garde fous , il peut avoir un comportement imprévisible qui doit donner la conviction à l’adversaire qu’il peut faire quelque chose de démentiel ce qui en partie le fait craindre au vue de son comportement aléatoire qui défie les lois de la causalité . Nous sommes à priori dans cette situation.

Il est très probable que nous allons vers un chaos généralisé. L’ordre impérial ne lâche pas prise:

«Donald Trump, comme ses prédécesseurs, lit-on sur la contribution suivante, n’est rien d’autre qu’un capitaine de bateau dont le port d’arrivée a déjà été fixé, bénéficiant tout juste de la possibilité de choisir sa route, en encore, sur chaque route choisie, sa marge de manoeuvre reste faible. Le prétexte de l’utilisation de gaz chimiques par l’armée syrienne pour déclencher des frappes en Syrie ne tient pas la route. (..)il est plus que probable que les frappes avaient été décidées et préparées bien avant le début de la campagne médiatique autour des attaques chimiques. Ce qui accentue l’impression que Trump avance masqué, c’est que quelques jours seulement avant ces frappes, il faisait les yeux doux à Assad et jouait l’apaisement. La volte-face brutale de type émotionnel de Donald Trump est peu crédible chez un homme froid et calculateur. Le fait d’avoir profité de l’accord signé en octobre 2015 avec Moscou sur la prévention des incidents et la sécurité des vols lors des opérations en Syrie (…) Tout le monde sait ce qu’il faut faire pour éradiquer le terrorisme et faire en sorte que les Moyen-Orientaux, y compris les Israéliens, retrouvent la paix et rêvent d’un avenir radieux pour eux et leurs enfants: il suffit de tarir le financement du chaos à sa source.» (6)

Professeur Chems Eddine Chitour

Ecole Polytechnique Alger

 

1 .http://reseauinternational.net/des-politiciens-americains-persuades-que-lattaque-chimique-en-syrie-est-un-canular/#Aj2UuFp7hkjKLGZK.99

2.http://www.alterinfo.net/Professeur-Chems-Eddine-CHITOUR-Le-choc-des-civilisations-en-marche_a3326.html#ejZ1cu8IUOWs15wM.99

3.http://reseauinternational.net/le-pentagone-et-daech-ciblent-liran/#JeU5YX2EmQiQJE5R.99

4.http://lesakerfrancophone.fr/le-pentagone-et-daech-ciblent-liran

5.https://worldpeacethreatened.com/2017/04/07/lhallali-contre-bachar-el-assad/

6.http://reseauinternational.net/trump-a-profite-dune-sorte-de-pacte-de-non-agression-signe-avec-la-russie-pour-attaquer-la-syrie/#D5qixW8ZQPU8vImr.99

Article de référence :

http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur_ chitour/264307-alibi-humanitaire-et-realite-energetique.html



Articles Par : Chems Eddine Chitour

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