Supercheries de Big Pharma : Remède mortel pour maladie imaginaire

Selon une nouvelle étude rendue publique par le New York Medical College of Family Medicine, le médicament Adderall est liée à des crises cardiaques et à des morts subites chez l’enfant et le jeune adulte. Ce remède est prescrit pour traiter le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH), une maladie bidon diagnostiquée chez 15 pour cent des enfants en âge scolaire. Bien que l’incidence des crises cardiaques et des morts subites soit plus élevée chez l’enfant traité régulièrement avec l’Adderall, elles concernent aussi les anciens usagers.

Aucun essai clinique établissant l’efficacité à long terme de l’Adderall n’a jamais été effectué. Aucune étude contrôlée n’implique des enfants sous traitement pendant plus de trois semaines, ni plus de quatre semaines avec des adolescents et des adultes.

Crise cardiaque à vingt ans après prises ponctuelles d’Adderall

L’étude, publiée dans l’édition de mars-avril du Journal of the American Board of Family Medicine, rapporte le cas d’un étudiant de vingt ans, diagnostiqué du TDAH deux ans plus tôt et soumis à une prise quotidienne de 15 mg d’Adderall XR. Il utilisait le médicament par intermittence et ne le prenait plus du tout des semaines avant sa crise cardiaque. Il veillait tard pour étudier chaque nuit et buvait relativement peu d’alcool avant de se coucher. La nuit avant son admission à l’hôpital, au lieu d’aller au lit, il avait pris deux Adderall (30 mg) pour se garder éveillé et étudier pour un examen. L’après-midi suivante, des douleurs et une pression persistante dans la poitrine ont obligé ses parents à l’amener au service des urgences 24 heures plus tard.

L’histoire du jeune homme est banale, sauf pour le diagnostic du TDAH. Il n’y avait aucun antécédent familial de maladie cardio-vasculaire. Il n’utilisait pas souvent des drogues illicites et consommait de l’alcool à l’occasion. Il n’avait pas d’allergie médicamenteuse connue et ne prenait aucun autre remède en plus de son recours irrégulier à l’Adderall. Le diagnostic final fut un infarctus du myocarde consécutif à l’angiospasme coronarien induit par l’amphétamine. Libéré après cinq jours d’hôpital, on lui a dit d’éviter tout médicament contenant des amphétamines.

 

Inflammation cardiaque foudroyante consécutive à la prise d’Adderall

Une autre étude, publiée dans l’American Journal of Therapeutics de mai-juin 2008, décrit un patient qui a développé une cardiomyopathie (grave inflammation du cœur) après une prise d’Adderall. La fonction cardiaque du patient s’est détériorée à un point tel qu’il a fallu une greffe du cœur. Le chercheur a noté que la cardiomyopathie associée à l’usage d’amphétamines est un cas grave, un état potentiellement mortel.

 

L’Adderall appartient à la classe des amphétamines et des méthamphétamines

Le médicament Adderall est une amphétamine, cette classe de médicaments étant communément appelée meth ou speed, et tout comme pour les autres substances de sa catégorie, l’Adderall est hautement toxicomanogène (crée de l’addiction). Au début, l’Adderall était un médicament appelé Obetrol, destiné à réduire le poids chez l’adulte, mais il a été retiré du marché car il créait une très forte accoutumance.

Les amphétamines stimulent la libération de catécholamines, notamment de la dopamine et de la noradrénaline. Des dérivés illicites des amphétamines sont connus sous le nom de ice, crystal, et ecstacy. Ces drogues sont au cœur des problèmes se développant le plus rapidement aux quatres coins du monde. L’usage excessif ou le mésusage des prescriptions médicamenteuses contenant des amphétamines, comme l’Addereall, sont très en vogue chez les étudiants, car ils favorisent la vigilance (empêchent le sommeil), accroissent l’énergie et améliorent les performances.

Parmi les complications associées à la toxicité aiguë et chronique des amphétamines, on trouve l’accélération du rythme cardiaque et la montée de la pression sanguine. Des arythmies cardiaques, hémorragie cérébrale, ventricule droit du cœur hypertrophié, résultant de maladie pulmonaire ou des vaisseaux sanguins pulmonaires, et l’inflammation de la paroi des vaisseaux sanguins ont aussi été signalés. Il est bien établi que la classe des amphétamines provoque des infarctus du myocarde. Environ un quart de ceux qui sont signalés aux services des urgences avec des douleurs dans la poitrine et des abusa de méthamphétamines sont diagnostiqués avec un syndrome coronarien aigu. Une étude récente a révélé que 20 pour cent des enfants prenant des stimulants du système nerveux central du genre de l’Adderall, rendent visite au médecin avec des symptômes cardiaques comme des battements cardiaques.

L’alcool et l’Adderall forment une association mortelle, car l’alcool entre en concurrence avec les amphétamines dans le métabolisme des enzymes du foie, ce qui augmente par conséquent la disposition biologique envers les amphétamines.

 

L’effrayante liste d’effets secondaires de l’Adderall est rarement montrée aux parents

L’Adderall est appelé la drogue de l’étude du fait de son usage et abus chez les étudiants. Ils s’en servent pour veiller tard afin d’étudier ou d’achever un exposé. Il est aussi utilisé pour les aider à rester jusqu’à la fin des parties, et certains affirment même que l’Adderall leur permet de boire davantage. En plus de ses effets cardiaques, l’Adderall a des effets sur le système nerveux central, notamment des incidents psychotiques, de la sur-stimulation, de l’agitation, des étourdissements, insomnie, de l’euphorie, des vertiges, de l’irritabilité, de la dépression, des tremblements, des maux de tête, des tics, le syndrome de Tourette, des convulsions, des accidents vasculaires cérébraux. La sécheresse de la bouche, un goût désagréable, de la diarrhée, de la constipation, de l’anorexie avec perte de poids, des éruptions et des marbrures cutanées, de l’hypersensibilité et des symptômes ressemblant à de l’anaphylaxie ont aussi été signalés.

Certains enfants sous Adderall ou tout médicament prescrit pour traiter le TDAH ont signalé des hallucinations effrayantes, au cours desquelles ils voient des serpents et des insectes ramper sur eux. D’autres rapportent des sensations du style heurter quelque chose alors qu’il n’y a rien.

Beaucoup de parents d’enfant sous Adderall disent n’avoir jamais été mis au courant du danger ou des effets secondaires du remède, et notent que leurs enfants n’ont jamais consulté pour le cœur avant la prescription de ce médicament. Le pédiatre de leurs enfants leur a seulement dit que l’Adderall aide les enfants à réussir à l’école. Dès que les parents sont informés convenablement, beaucoup prennent la décision supprimer le remède à leurs enfants.

L’Adderall désocialise l’enfant

L’Adderall conditionne l’enfant à la dépendance psychologique envers la drogue à un âge précoce. Quand l’enfant est étiqueté déviant et mis sous Adderall ou tout autre médicament traitant le TDAH, sa confiance en lui est sapée et il perd sa capacité à bien fonctionner et étudier sans ces drogues. L’enfant qui a perdu confiance en ses propres capacités est destiné à perdre son individualité et sa capacité à penser et à plaider pour lui-même. Il est destiné à devenir un adulte incapable de s’impliquer dans la démocratie et à la défendre.

La prescription d’Adderall ou de tout autre médicament pour le TDAH envoie à l’enfant un message clair : Quelque chose ne va pas chez lui puisqu’il est incapable de tolérer les jours interminables, de rester assis sur un siège à faire des trucs sans importance et de s’occuper au travail. Ça lui apprend que le problème n’est pas dans l’école ou le système éducatif, le problème c’est lui.

L’effet de désocialisation [disenfranchising en anglais signifie en fait priver de ses droits civiques, ndt] d’un étiquetage pareil et du traitement qui va avec fait que l’étudiant ne peut plus se considérer en membre heureux de la société. En conséquence, beaucoup de ces enfants sont condamnés à des pulsions inconscientes et à des comportements autodestructeurs du style : fumer des clopes, beuveries, conduite à la Sami Naceri au volant, utilisation de drogues illicites, et incapacité à nouer des relations.

Santé Canada suspend l’usage de l’Adderall

En 2005, Santé Canada a suspendu la vente de l’Adderall XR suite à des données collectées par le fabricant, Shire Pharmaceuticals, reliant le remède à douze cas de mort subite par accident vasculaire cérébral chez des enfants américains entre 1999 et 2003. C’était le début de plusieurs rapports concernant des enfants avec des complications cardiaques à la suite du recours à l’Adderall. La FDA a choisi de garder l’Adderall sur le marché en Amérique, et a secrètement fait pression auprès de Santé Canada pour ne pas l’enlever du marché. Santé Canada a par la suite remis le médicament sur le marché, sans preuve de son innocuité et de son efficacité.

Le TDAH est une fausse maladie

Le TDAH est une maladie fabriquée récemment, issue d’un diagnostic de trouble déficitaire de l’attention, créée par l’American Psychiatric Association. Il fut adopté avec enthousiasme par les enseignants et le personnel scolaire qui faisait des bonds à la pensée de faire suivre un traitement aux étudiants qui leur rendaient la vie pénible. Dans le milieu scolaire traditionnel, qui ressemble beaucoup à la prison, il n’y a aucune tolérance envers les étudiants turbulents, et les enseignants qui les ont dans leurs salles de classe sont constamment sous l’œil malveillant des administrateurs parce qu’ils n’arrivent pas à les contrôler.

Grâce au soutien vigoureux de l’établissement éducatif, l’incapacité à rester immobile une journée l’esprit engourdi d’ennui sous une discipline excessive s’est transformée en maladie. En psychiatrie, tout ce qu’il faut pour créer une nouvelle maladie, c’est de parvenir à un consensus sur le fait que certains comportements observables sont en réalité une maladie. Dès qu’on s’est accordé sur la maladie, elle entre dans la version courante du manuel des diagnostics et statistiques, et devient comme gravée dans le marbre. Toute maladie entrant dans ce manuel n’en sort plus. Chaque révision produit un nouveau livre plus épais, dans lequel les maladies sont qualifiées de troubles.

Selon des estimations récentes, plus de 20 pour cent des enfants en âge scolaire prennent des médicaments pour le TDAH ou un autre type de remède psychiatrique. Les secteurs scolaires reçoivent des fonds supplémentaires pour chaque enfant diagnostiqué du TDAH et ceux-ci sont placés pour cela dans une classe éducative spéciale. Beaucoup de parents se réjouissent du TDAH, car ils obtiennent eux aussi environ 400 dollars par mois de la sécurité sociale.

 

Vous connaissez combien de gens présentant ces symptômes ?

Dans la quatrième édition du Diagnostic and Statistical Manual (DSM-IV), les critères de diagnostic du TDAH ont été interprétés par le Center for Disease Control and Prevention, afin de les rendre « plus accessible au grand public, » et rappelle aux lecteurs qu’ils « ne devraient être utilisés que par le personnel de santé qualifié. »

I. Pour être positif, le diagnostic exige la réunion de critères de la Partie soit A, soit B.

Partie A. Parmi les symptômes d’inattention suivants, six ou plus sont présents depuis au moins 6 mois à un degré perturbant et impropre au niveau de développement :

Inattention

1. Souvent, ne prête pas grande attention aux détails ou fait des erreurs de négligence dans le travail ou tout autre activité scolaire.

2. Souvent, a des difficultés à rester attentif à des tâches ou activités ludiques.

3. Souvent, ne semble pas écouter quand on lui parle directement.

4. Souvent, ne suit pas les instructions et ne parvient pas à terminer les corvées ou les devoirs sur le lieu de travail en classe.

5. Souvent, a des difficultés à organiser ses activités.

6. Souvent, évite, n’aime pas, ou ne veut pas faire des choses qui demandent beaucoup d’effort mental sur une longue période de temps (comme le travail scolaire ou les devoirs).

7. Souvent, perd des choses nécessaires à l’exécution des tâches et activités.

8. Souvent, est facilement distrait.

9. Souvent, oublie les activités quotidiennes.

Partie B. Parmi les symptômes d’hyperactivité et d’impulsivité suivants, six ou plus sont présents depuis au moins 6 mois à un degré perturbant et impropre au niveau de développement :

Hyperactivité

1. Souvent, remue sans cesse les mains ou les pieds ou se tortille sur son siège.

2. Souvent, se lève de son siège quand il est supposé rester assis.

3. Souvent, court ça et là ou grimpe quand ce n’est pas opportun (les adolescents ou les adultes peuvent se sentir nerveux).

4. Souvent, a des difficultés à jouer ou profiter tranquillement des activités de loisirs.

5. Est souvent « en mouvement » ou comme « mu par un moteur. »

6. Souvent, parle trop.

Impulsivité

1. Souvent, lâche étourdiment des réponses avant que les questions soient terminées.

2. Souvent, a des difficultés à attendre son tour.

3. Souvent, interrompt ou dérange les autres.

II. Certains symptômes provoquant des dégradations étaient là avant l’âge de 7 ans.

III. Certaines dégradations provenant des symptômes sont présents en deux ou plusieurs endroits (par exemple, dans le travail scolaire et à la maison).

IV. Il doit y avoir une preuve manifeste de dégradation importante dans la marche de la vie sociale, de l’école ou du travail.

V. Les symptômes ne sont pas mieux justifiés par un autre trouble mental.

Si vous pensez que ces symptômes décrivent la moitié de la population mondiale, vous avez raison. C’est d’autant mieux pour la vente de produits pharmaceutiques [ndt : j’ai presque tous ces symptômes avec en plus un truc extrêmement scrogneugneu : il m’est impossible de rester immobile à regarder la TV ; ça me donne de telles crispations physiques que je suis obligé de bouger sans cesse ma posture ou les abattis ou de me gratter partout ou de m’éloigner du poste de torture].

L’école force les parents à traiter leurs enfants avec des médicaments

Des parents d’enfants turbulents sont contactés par des enseignants ou des responsables de l’école qui leur disent d’amener leurs enfants au pédiatre pour les examiner au sujet du TDAH et de les placer sous médicaments. On leur dit que, s’ils ne se conforment pas à la demande, leur enfant ne sera pas capable d’apprendre, prendra du retard sur ses camarades de classe, sera en échec et dans l’obligation de redoubler sa classe. On dit même à certains parents que, sans médicament, leur enfant ne sera pas capable d’aller à l’école publique où il est inscrit.

Les parents concèdent que l’école leur raconte la vérité et présument que leur enfant sera voué à l’échec s’ils ne le mettent sous médicament. Après un bref rendez-vous chez le pédiatre, le diagnostic est fait. Il n’est pas nécessaire d’examiner médicalement l’enfant, car aucun test ne diagnostique le TDAH. Le diagnostic repose entièrement sur des on-dit. Beaucoup de psychologues scolaires n’ont  connaissance d’aucun diagnostic négatif du TDAH et d’aucune demande de traitement refusé.

Le TDAH est devenu un diagnostic à vie

Quand le TDAH a gagné en popularité, on a d’abord dit aux parents que la maladie s’amenuiserait avec le temps, et que leurs enfants ne seraient sous médicament que pendant quelques années. Ce n’est pas du tout comme ça maintenant. L’enfant vieillissant, son dosage est augmenté, et il est amené à croire qu’il débloquerait grave sans son remède. Le TDAH est devenu un diagnostic à vie. Dès qu’un enfant tombe dans la ligne de mire de l’enseignant ou de l’administrateur, le diagnostic et la médication sont pratiquement garantis.

La vie des enfants est volée et détruite parce qu’ils irritent un établissement éducatif s’adonnant à des moments de folie et à une discipline excessive, chargé de fabriquer des robots à la tête vide, obéissants au gratin corporatiste et militaire. Avec le diagnostic de TDAH et les médicaments qui vont avec, la capacité de l’enfant à réaliser le destin de sa vie et sa faculté à penser et à créer sont par la suite altérées. Sa santé est compromise et son comportement, ses réactions, sentiments et émotions sont altérés.

Tout enfant qui ne peut tolérer l’absurdité, l’ennui, la discipline excessive, et le manque d’expériences réelles et constructives dans l’environnement particulier de l’école est susceptible d’être de ceux qui, s’ils ne sont pas drogués, pourraient être capables d’avoir des pensée personnelles et de la perspicacité. Ce n’est pas l’enfant qui acquiesce tranquillement à la totale déconfiture psychologique et mentale perpétuée à l’école qui deviendra l’innovateur et le créateur de la prochaine génération. C’est l’enfant qui refuse de tolérer pareil baptême et s’élève contre lui qui a le véritable potentiel pour déterminer l’avenir.

Pour plus d’informations :

www.cdc.gov/ncbddd/adhd/symptom.htm
www.truthpublishing.com/fred…
www.naturalnews.com/z023334.html

Original : http://www.naturalnews.com/025858.html

Traduction : Pétrus Lombard 

 

Note du traducteur

Si le TDAH existe bien dans des cas extrêmes, ce n’est pas du tout une maladie mentale et il ne nécessite pas des amphétamines.

D’après l’association étasunienne Feingold, le TDAH est une conséquence de la malbouffe.

Sur son site, cette association indique clairement que tout additif, OGM, produit chimique, présent dans la nourriture est à l’origine du TDAH.

L’organisme qui n’est pas habitué à des produits non naturels ou dénaturés (et qui ne s’y habitue jamais), dont il ne sait que faire, réagit par toutes sortes de symptômes.

Cette association propose des régime excluant tous ces produit, qui permettraient à l’organisme de retrouver son bien-être.

Ce que dit cette association est sans doute vrai, mais il ne faut pas oublier aussi l’environnement électromagnétique qui agit différemment sur les organismes, en fonction très certainement de leur charge en métaux lourds.



Articles Par : Barbara Minton

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