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Vaccination et pandémie virale 2009 : faites-vous confiance au SAGE ?
Par Dr Pascal Sacré
Mondialisation.ca, 26 novembre 2009
26 novembre 2009
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https://www.mondialisation.ca/vaccination-et-pand-mie-virale-2009-faites-vous-confiance-au-sage/16294

« Il y a pire que l’ignorance, c’est de croire tout savoir ». « Deux ½ vérités ne font pas une vérité, mais ¼ de vérité ».

En réalité, l’attitude purement vaccinale, la solution exclusivement pharmacologique, dans la pandémie grippale H1N1 de 2009, est une attitude « sauve qui peut », qui dévoile notre manque d’intérêt pour les causes, notre haussement d’épaules, geste criminel et hautement irresponsable, face aux circonstances entraînant les maladies.

Cette attitude est une marque de fabrique de nos époques modernes, une triste caractéristique de nos sociétés qui n’ont de solution et de motivation pour réagir que lorsqu’il est trop tard, que lorsque le mal est déjà parmi nous. Une solution souvent unique, étroitement corrélée aux impératifs économiques du capitalisme et du néolibéralisme voraces, le seul système, selon leurs instigateurs, qui marcherait et qui aurait vaincu tous les autres parce qu’il serait le meilleur, une solution unique basée sur la vente de quelque chose, en l’occurrence un vaccin. Un médicament. Quelque chose qui rapporte (c’est toujours quelque chose qui rapporte à quelqu’un) à des multinationales, les firmes pharmaceutiques, que les différentes fusions ont transformées en monstres assoiffés de profits et vivant de nos souffrances et de nos maladies*. Une solution bourrée d’effets secondaires dont peu de gens nous disent quelque chose, et encore moins, ce qui est plus grave encore, les experts agréés et les instances gouvernantes, censées nous protéger contre les appétits financiers insatiables des grandes multinationales pour lesquelles nous ne sommes que des consommateurs. C’est par connaissance et intérêt personnels, ou par des recherches autodidactes sur Internet, ou encore par hasard, que les citoyens « ordinaires » découvrent ces vérités alternatives, ces dangers occultés, et souvent, tombent de haut. Alors, ou comme le dit Winston Churchill, ces personnes secouent la tête, se relèvent et repartent comme si de rien n’était, ou ces personnes poursuivent leur recherche qui les transformera à jamais.

Il est bien là, le vrai drame humain révélé par le scandale de cette psychose vaccinale. Il n’est pas (que) dans le combat des pro vaccins contre les anti-vaccins, sujet brûlant qui mérite à lui seul un article dédié, mais il est aussi dans la mise en évidence du déni par l’homo sapiens sapiens des causes de ses problèmes et de son intérêt exclusif pour les conséquences. L’homme ne s’intéresse à ce qui le menace que lorsqu’il est trop tard et que sa survie est en jeu.

Cette situation semble favorisée et figée sous la pression mercantile des véritables systèmes qui nous gouvernent (et ce ne sont pas les gouvernements élus, qui eux obéissent, sont complices) mais cette pression permanente et excessive dont nous sommes les victimes ne nous déresponsabilise pas, car nous sommes tous des victimes consentantes. Nous permettons tout cela. Que ce soit, pour la plupart, par ignorance ou méconnaissance ne change rien, car cela ne fait qu’élargir notre responsabilité à cette ignorance, ou méconnaissance, à laquelle nous consentons tout autant. Il y a trop de dossiers didactiques et d’avis exprimés, qu’Internet rend disponibles au plus grand nombre, pour que cette ignorance se justifie. Nous détournons volontairement le regard. Tous les jours, nous décidons, en conscience, d’adhérer à ces systèmes dans notre vie de tous les jours, à chaque seconde où la souffrance, quelle que soit sa forme et sa cible, rencontre notre volonté qui se rend très souvent sans aucune résistance. Pas tous, heureusement.

« L’avenir de l’humanité sera en règle générale celui qu’elle mérite ».(1)

Et c’est ce qui va nous arriver. C’est ce qui nous arrive. Encouragés dans ce sens par nos institutions et nos gouvernants, nous ne nous intéressons aux problèmes que lorsqu’il est question de notre survie et à ce moment de panique, il nous faut une solution toute faite, indolore, gratuite et que nous sommes prêt à avaler sans même lire la notice, sans même, pour certains, réclamer de notice. Nous faisons confiance, malgré toutes les trahisons, malgré la volonté de faire avant tout des profits énormes, volonté évidente, pas du tout occulte, exprimée par les firmes vendeuses, et malgré tous les scandales (sang contaminé, hormone de croissance, maladie de la vache folle, …) dans lesquels ont toujours trempé des politiciens de tous horizons et de toutes les législatures successives, qu’ils soient républicains ou démocrates, de gauche ou de droite, socialistes, libéraux, ou humanistes, scandales dont le point commun est l’argent, toujours l’argent, et dont beaucoup d’experts agréés (médecins, chercheurs…) peuvent être complices sans le savoir ; ils croient bien faire. Malgré tout cela, nous faisons confiance ou prenons leur remède carrément sans réfléchir. Non, pas tous. Il y a des cachets, bleus, roses, jaunes, rouges, blancs pour tout, absolument pour tout. Pourquoi écouter tous ces signaux d’alarme si désagréables qui envahissent notre corps quand nous pouvons les éteindre un à un, en avalant une toute petite pilule. Bien sûr, nous confondons l’alarme avec le problème qui la cause, mais tout ce qui compte, c’est de ne rien ressentir, surtout si ça fait mal. Anxiolytiques, somnifères, antidépresseurs, neuroleptiques, calmants, stimulants, énergisants, antidouleurs, euphorisants**… […] Dans tous les pays développés, la consommation médicale de médicaments progresse structurellement plus vite que le PIB […](2). Tout est bon pour nous libérer de devoir trouver une solution à la cause.

Nous sommes responsables de notre aveuglement, même s’il est soutenu avec force par les intérêt financiers colossaux qui sont en jeu. C’est le cas pour tout, mais particulièrement pour nos problèmes de santé.

[…] Ainsi fait-on croire au public que l’on peut éviter les cancers de la peau – et en particulier le plus dangereux d’entre eux, le mélanome- en évitant de s’exposer au soleil et en se tartinant de crèmes solaires. Pourtant, comme l’explique le Dr Brigitte Houssin dans « Soleil, mensonges et propagande », les écrans solaires n’ont pas prouvé leur efficacité alors même qu’une exposition régulière et modérée au soleil est bénéfique.(3)

Les écrans solaires rapportent. Le soleil lui, est gratuit. Bien sûr, l’exposition au soleil doit être contrôlée et raisonnable, mais quelle révélation à contre-courant de la propagande médico-pharmaceutique et cosmétique.

De la même façon, […] comme le montre le Dr Michel de Lorgeril (cardiologue et chercheur au CNRS) dans « Cholestérol, mensonges et propagande », l’usage massif de médicaments anti-cholestérol (les statines)(4) n’a pas donné les résultats escomptés sur la mortalité globale, et il serait plus efficace, moins coûteux et moins dangereux de modifier son hygiène de vie.(5)

Nous y voilà. Modifier son hygiène de vie. C’est tellement plus facile de prendre une pastille, et un peu d’eau, et cette facilité est tellement encouragée par nos sociétés, surtout dans nos contrées européennes, avec tous leurs systèmes de remboursement, assurances et mutuelles.

Retour sur la grippe A H1N1 et la pandémie virale 2009.

[…] les élevages industriels sont les laboratoires dans lesquels se fabriquent les virus de la grippe, nous ne sommes pas près, par notre mode de consommation, d’en avoir fini avec la grippe. Et notre responsabilité collective est immense.

[…] les grandes pandémies sont apparues avec l’émergence de l’agriculture, il y a environ 10 000 ans. […] C’est vrai de la grippe, la variole, la malaria, la tuberculose, le typhus, la diphtérie, la rougeole, la fièvre jaune, la peste et le choléra…[…] ces maladies étaient inconnues de l’humanité avant l’ère agricole du néolithique, soit pendant les sept millions d’années au cours desquelles nos ancêtres n’ont pratiqué que la cueillette, le charognage, puis la chasse et la pêche.

[…] en réalité, disent Robert Webster (Hôpital pour enfants St Jude de Memphis, Tennessee), Christoph Scoltissek (Institut de virologie de l’université Justus Liebig de Giessen, en Allemagne), et Stephen Morse (université Rockefeller de New-York), le principal responsable de l’émergence de nouveaux virus mortels de la grippe est aussi le principal responsable des grandes épidémies qui de la Mésopotamie à l’empire Aztèque ont anéanti des pans entiers de l’humanité : l’homme et ses pratiques d’élevage.

[…] le porc sert […] souvent de « tube à essai » dans lequel des virus de plusieurs origines (canards, oies, poulets, porcs) peuvent échanger du matériel génétique et construire un nouveau virus mortel.

[…] Loin d’être enrayée par la prise de conscience de l’origine de ces catastrophes, la manufacture de virus mutants est facilitée par les nouvelles pratiques d’élevage.(6)

« Eliminez tous les élevages de porcs et de canards, et vous éliminerez les pandémies de grippe » dit Edwin Kilbourne, professeur de microbiologie à l’Ecole de médecine de Mount Sinai de New York.(7)

Les pandémies naissent dans les élevages industriels. Du hamburger à la grippe.

Revenons en arrière. La ville mexicaine de La Gloria, 3000 habitants, et sa région sont considérées comme l’épicentre de l’épidémie de grippe porcine de 2009.

[…] C’est aussi dans la région de La Gloria – les vallées de Perote et Guadalupe Victoria – qu’est implantée l’une des usines Granjas Caroll du Mexique (GCM) dont sont sortis en 2008 près d’un million de porcs. GCM appartient pour moitié au plus gros producteur de cochons du monde, l’Américain Smithfield Foods (Virginie). Chaque jour, plus de 2300 cochons sont abattus dans l’énorme usine à viande de GCM. On les retrouve sous forme de bacon dans les hamburgers servis par les McDo américains, dont CGM est un fournisseur majeur. Au cours des dernières années, les producteurs de viande des Etats-Unis ont établi d’énormes unités d’élevage et d’abattage au Mexique, profitant des accords de libre-échange entre les deux pays, de la main d’œuvre bon marché et de la réglementation environnementale plus laxiste qu’au nord du Rio Grande. Ces usines sont appelées, dans le jargon de la profession des CAFO (confined animal feeding operations). Dans ces longues constructions blanches que l’on découvre d’avion, des milliers de cochons sont parqués et engraissés pour l’abattage tandis que les truies sont confinées dans des caisses de métal, où elles passent le plus clair de leur existence à porter et mettre bas des porcelets.(8)

Outre les souffrances infligées à ces animaux, pour satisfaire quelques plaisirs gustatifs, ce mode de vie alimentaire, encourageant ces élevages industriels de masse, ont de graves conséquences sanitaires pour l’homme, dont la pandémie virale de 2009 est un épisode encore en cours, parmi bien d’autres à venir.

Le virus H1N1 est né en 1998 en Caroline du Nord.

Ce qui s’est passé à Newton-Grove en Caroline du Nord, en août 1998, dans la porcherie industrielle Hog Slat Inc, qui élève 2400 têtes, pourrait préfigurer un des scénarios possibles, un des pires, pour la pandémie de cette année ou la suivante et touchant l’humain. Dans la porcherie Hog Slat Inc, en 1998, tous les animaux ont été vaccinés contre la grippe. Pourtant une épidémie survient quand même, avec fièvre, détresse respiratoire et avortements spontanés.

[…] Des prélèvements nasaux sont effectués puis envoyés au laboratoire vétérinaire de Raleigh. […] Les porcs sont souvent la cible de virus de la grippe. Mais comment expliquer que les vaccins n’aient servi à rien ? La réponse ne va pas tarder. Le microbiologiste confirme qu’il s’agit bien d’une grippe. Mais à sa grande stupéfaction, le responsable est un virus qui ne ressemble à rien de connu. […] Le microbiologiste adresse des échantillons à Robert Webster, un virologiste de renommée internationale de l’Hôpital pour enfants St jude à Memphis dans le Tennessee. Webster rend son verdict : le nouveau virus est un mélange inédit de virus de la grippe humaine et porcine, transmis par l’homme aux cochons. […] A la fin de l’année, […] le virus a acquis deux segments de gènes de virus aviaire. C’est maintenant un mutant monstrueux et menaçant, constitué de fragments de virus d’homme, de porc et d’oiseau. […] La menace s’éloigne . L’humanité a frôlé la catastrophe. […] Robert Webster déclare à l’époque que si un virus de ce type devait être à l’origine d’une pandémie, les enfants, les adolescents et les adultes nés après la grippe de 1968 seraient particulièrement vulnérables parce que leur système immunitaire n’aurait jamais été confronté à un tel virus reconstitué. Dix ans plus tard, il est troublant de relever que la plupart des décès de la grippe A de 2009 concernent des personnes nées après 1968.(9)

Où se trouve l’intense attention médiatique sur ces événements, et qui serait légitime et largement justifiée ? Sur ces avertissements d’il y a dix ans ! Ne voudriez-vous pas tous de Robert Webster à la tête du comité SAGE (comité consultatif mondial sur la sécurité vaccinale à l’OMS), plutôt que David Salisbury(5-référence dont je vous conseille fortement la lecture !) ? Entre une personne qui fait de telles prédictions, et une autre travaillant plutôt pour les firmes pharmaceutiques, que préférez-vous ? J’oubliais, les institutions comme l’OMS n’ont aucun caractère démocratique et sont totalement imperméables à toute ingérence populaire. Et pourquoi pas le docteur Tom Jefferson (10) ? Vous connaissez ? Il publie des études sur la sécurité et l’efficacité des vaccins à l’Institut Cochrane (une organisation indépendante qui évalue les pratiques médicales). Cet épidémiologiste a finalement mis en doute l’efficacité de la vaccination dans la grippe saisonnière, faisant pencher la balance bénéfice-risques, en faveur de ces derniers, sans compter tout le coût inutile pour la société, coût évidemment transformé en profit par les grandes firmes pharmaceutiques.

Oui, Robert Webster et Tom Jefferson, voilà déjà deux personnes qui, si elles étaient membres du comité SAGE, me rendraient confiance dans le système censé nous protéger et feraient du nom donné à ce comité un nom qui signifierait vraiment quelque chose.

Tirez la vaccination de son piédestal.

En résumé, faire de la vaccination l’arme ultime et unique face aux pandémies ou épidémies virales est comme de dire que dorénavant, nous ne mangerons plus qu’un fruit, et c’est tout. Plus de légumes, plus de poissons, plus de boissons, plus d’autre fruit que celui choisi. Et tant pis si ce choix entraîne effets secondaires et problèmes de santé. Tant qu’il rapporte à ceux qui le fabriquent, qu’il est facile à prendre, que quelques scientifiques, même soudoyés, en disent du bien, et qu’il ne coûte rien, en apparence en tout cas.

La vaccination ne traite pas la grippe, une fois installée. Elle ne sert qu’en prévention. Contrairement à ce qu’en répercutent les médias de masse, il n’y a pas (comme pour le réchauffement climatique d’ailleurs) d’unanimité scientifique autour de cette efficacité vaccinale. Des scientifiques sérieux et intègres l’ont remise en doute, et ont rétabli la vérité sur les dangers de la vaccination en elle-même et de ses nombreux adjuvants (mercure, squalène, nanoparticules).(11)  Au-delà de ce débat fondamental qui devrait avoir lieu entre scientifiques sérieux, non liés aux firmes pharmaceutiques et dont la réputation et l’intégrité seraient sans tache, et parmi lesquels je vois bien entre autres, pour les raisons précitées, Robert Webster et Tom Jefferson, et surtout pas David Salisbury ou Roselyne Bachelot (12), oui au-delà de ce débat sur le fait même de vacciner, c’est à son exclusivité en tant qu’arme contre les microbes que je m’attaque.

Le vaccin est la solution de facilité qui caractérise bien l’attitude de l’homme moderne, et que nous privilégions même au risque de faire du tort à notre santé et à celle de nos enfants, même au prix de coûts exorbitants pour nos sociétés, c’est-à-dire pour nous-mêmes.

Et en choisissant exclusivement la facilité, nous oublions délibérément tous les remèdes bien moins coûteux, bien moins dangereux, et bien plus efficaces car le seul véritable rempart contre toutes les agressions biologiques est en nous, notre système immunitaire, inné et spécifique. Même le vaccin sait ça.

Voilà tout le mal que nous fait cette obnubilation de la vaccination : – nous détourner encore un peu plus d’un effort personnel nécessaire et d’une prise en main de nos vies, – nous permettre d’ignorer encore un peu plus notre responsabilité dans tout ce qui nous arrive, – nous encourager à tolérer encore longtemps des élevages industriels intensifs ignobles pour les animaux confinés et les populations alentour, – et surtout nous empêcher de nous tourner vers tous les remèdes bien plus inoffensifs et bien meilleur marché, qui aident réellement notre système immunitaire, sans le détruire ou le retourner contre nous.

Je vous conseille la lecture de ce « petit » livre (13) de Thierry Souccar, journaliste spécialiste de nutrition, Prévenir et guérir le grippe, et d’y suivre les conseils de David Nieman, du professeur Etienne-Emile Baulieu, de John Cannell, Jeffrey Blumberg, Thomas Ely … Vous y trouverez le pourquoi du caractère saisonnier de la grippe, lié à l’ensoleillement et à la teneur en vitamine D de nos organismes, les vertus des vitamines D, C, E etc. Se préparer à la grippe, aux futures pandémies, ne peut se résumer à l’injection de produits chimiques et dangereux , apprentis sorciers de nos systèmes immunitaires sophistiqués, mais exige de nous bien plus que ça : suivre une alimentation et une hygiène de vie saines, et, par une connaissance délivrée de toute dépendance aux firmes pharmaceutiques, prendre tous les compléments, vitamines, qui peuvent nous aider, aux bonnes doses, aux bons moments.

Il est de plus en plus évident que la vaccination n’a rien à voir avec un fabuleux progrès médical, mais bien davantage avec une occasion de profit, de plus-value et de bénéfices en bourse. Encore une fois.

La pandémie virale de 2009 n’est pas terminée. Chez nous, elle ne fait que commencer, surtout quand les personnes vaccinées contre le H1N1, contre la grippe saisonnière, de plus en plus nombreux, vont entrer en collision avec le virus (souvenez-vous, en 1998, tous les animaux de la porcherie industrielle Hog Slat Inc en Caroline du Nord, étaient vaccinés avant de rencontrer le virus aviaire, et de muter) . Pourtant, préparez-vous déjà aux suivantes. Il y en aura une pour chaque année, une grande vague de peur. La peur est le levier principal par lequel on nous gouverne. Peur du climat. Peur des dictateurs possédant l’arme nucléaire. Peur des terroristes qui viennent des grottes afghanes… Peur des virus. Et la peur abaisse fortement nos défenses immunitaires naturelles. L’OMS (organisation mondiale de la santé, WHO http://www.who.int/fr/), qui a voué allégeance aux multinationales pharmaceutiques, brandissant la vaccination comme un saint graal, a un plan de peur intense pour nous, pour chaque année à venir (14)

Êtes-vous prêts ?

* Fusion Pfizer et Pharmacia, http://lci.tf1.fr/economie/2002-07/mega-fusion-dans-secteur-pharmaceutique-4876177.html
 ** Médicaments agissant sur le cerveau, ou plus généralement, sur le système nerveux, permettant une action spécifique, en supprimant l’anxiété, la dépression, en induisant le sommeil, etc.

Notes

1) Citation attribuée à Albert Einstein, http://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Einstein

(2) Evolution annuelle de la consommation de médicaments en France, http://www.leem.org/medicament/la-consommation-de-medicaments-en-france-445.htm

(3) Thierry Souccar, Prévenir et guérir la grippe, Thierry Souccar éditions, 2009, ISBN 978-2-916878-47-8

(4) Exemple de statine célèbre : Lipitor® ou atorvastatin, de la firme Pfizer.

(5) Thierry Souccar, op.cit.

(6) Ibid.

(7) Ibid.

(8) Ibid.

(9) Ibid

(10) Dr Tom Jefferson, interview par Spiegel http://www.resterenvie.com/blogue/?p=610

(11) http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=15207 et
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=15163 

(12) Roselyne Bachelot, connexion de la ministre de la santé française avec le monde pharmaceutique http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2009/09/24/roselyne-bachelot-a-passe-20-ans-au-service-de-l-industrie-p.html

(13) Thierry Souccar, op.cit.

(14) Dr Tom Jefferson, interview par Spiegel http://www.resterenvie.com/blogue/?p=610,    http://www.resterenvie.com/blogue/?p=662 et
http://www.resterenvie.com/blogue/?p=681


Docteur Pascal Sacré, anesthésiste-intensiviste, Belgique.

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