Contamination à l’ADN, SV40, protéines “absurdes”… où en est-on sur la “vaccination”?

Analyses:

Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis le communiqué de presse triomphal de Pfizer du 18 novembre 2020 annonçant le 95% “d’efficacité” de son “candidat vaccin” contre la COVID-19. Depuis, on a appris que l’essai avait été manipulé, que les “vaccins” distribués au grand public n’étaient pas les mêmes que ceux du test initial, qu’ils n’étaient pas conçus pour lutter contre la transmission, que leur efficacité est négative, qu’ils sont contaminés à l’ADN plasmidique (ce qui peut engendrer des cancers), qu’ils font produire par le corps environ 25% du temps des protéines “absurdes” (en lieu et place de la fameuse protéine spike)… et que des chercheurs ont identifié la séquence de la production de la protéine Spike “vaccinale” dans le génome des “vaccinés”, ce qui prouve que l’ARN vaccinal peut se transcrire dans nos gènes. Ouf! Voici un petit retour sur tout ce que l’on a appris sur les vaccins ARNm depuis 2020 (liste non exhaustive).

Des “vaccins” élaborés en un temps record

Tout d’abord, rappelons que la COVID-19 “débute” avec une publication de Reuters le 30 décembre 2019 qui annonce au monde “27 cas” de pneumonies en Chine.

Le 12 janvier 2020, la Chine affirme qu’elle a séquencé le virus. On apprendra que Moderna aura été capable de réaliser la conception de son vaccin seulement 48h après que la séquence génomique ait été publiée par les chinois. Et qu’il a pu présenter son candidat-vaccin aux National Institutes of Health (NIH) 42 jours plus tard. Le 25 janvier, c’est au tour de BioNtech d’annoncer qu’il a mis au point un vaccin en collaboration avec Pfizer en seulement quelques heures. On peut se demander pourquoi une telle panique et précipitation alors que quasiment dès le début on sait que la “maladie” ne constitue une véritable “menace” que pour les personnes “à risque”, à savoir les personnes de plus de 70 ans souffrant de comorbidités (cancer, problème cardiaque, etc.).

À partir de là est lancée une “course contre la montre” pour pouvoir sortir un vaccin le plus rapidement possible. Cette urgence va mener à faire sauter diverses étapes permettant de s’assurer de la sécurité du produit, ce qui aura d’importantes répercussions.

 

“Une maturité technique plutôt récente”

Petit problème, comme le reconnaitra Albert Bourla, PDG de Pfizer, cette technologie “n’avait jamais livré un seul produit”. Le Monde et Le Devoir le reconnaitront parfaitement :

  • Dès décembre 2020, Le Monde déclarait que “bien qu’étudiés depuis longtemps, les vaccins à ARN ont atteint une maturité technique plutôt récente”. Le quotidien français admettra même que “les essais cliniques n’ont pas dépassé la phase 1, ce qui limite le recul dont on peut disposer sur les observations cliniques”.
  • Pour sa part, Le Devoir affirmera que “quand surgit le virus de la COVID-19, des candidats-vaccins à ARNm font l’objet d’essais cliniques de phase 2. Ce faisant, il admet que l’on n’a aucun recul sur cette technologie.

La précipitation, couplée au fait que cette technologie n’était pas encore maîtrisée, a fait courir d’importants risques quant à la sécurité des produits.

 

Des essais manipulés

C’est dans ce contexte de très grande incertitude (Albert Bourla reconnaitra concernant cette technologie que l’utiliser était “contre-intuitif” car Pfizer avait moins de deux ans d’expérience avec et… qu’il s’est fié à son instinct pour décider de l’utiliser) que les fabricants lancent au printemps 2020 des essais de phase 1, puis de phase 2. Ceux-ci ont lieu sur de petites cohortes de volontaires afin de faire des tests préliminaires. Puis débutent à l’été les essais de phase 3, dont nous avons montré qu’ils avaient été manipulés, grâce notamment aux travaux de Christine Cotton, biostatisticienne et auteure de l’ouvrage référence Tous vaccinés, tous protégés.

On se rappellera aussi l’article du British Medical Journal ayant lancé la première alerte sur l’intégrité des données de Pfizer. Cet article faisait état du témoignage de Brook Jackson, qui avait travaillé pour Ventavia, une compagnie chargée d’une partie de l’essai clinique de Pfizer.

Nous résumons ici les principaux problèmes soulevés pour l’essai de Pfizer :

  • Dès décembre 2020, la compagnie savait qu’il n’y avait pas d’effet sur les cas sévères, ce qui explique que l’étude n’ait porté que sur les symptômes légers et modérés.
  • Des victimes d’effets indésirables graves ont été retirées, comme l’avocat argentin Augusto Roux (il en a été de même avec Maddie de Garay, pour l’essai sur les jeunes), ce qui a permis de donner un faux sentiment de sécurité.
  • Pfizer a caché près de 80% des décès de l’étude aux régulateurs. “Grâce” à un système de suivi des patients défaillant, les décès ont été remontés avec une très grande lenteur, à tel point que lors de la demande d’approbation aux régulateurs, seulement 38 avaient été déclarés. Cette sous-déclaration a permis de renforcer le faux sentiment de sécurité du produit.
  • Pas de double aveugle si bien que les soignants savaient qui a été vacciné. Ce simple biais aurait du faire annuler l’étude. D’autant que l’on apprend que par diverses méthodes, Pfizer a davantage fait se tester les non vaccinés, ce qui explique qu’ils aient été plus nombreux à être infectés.
  • Seulement 170 personnes ont été infectées (sur plus de 40 000) durant l’étude. Il s’agit d’un échantillon trop réduit pour être significatif… et qui montre surtout qu’il n’y avait pas de pandémie avec un taux d’infection de 0,43%.
  • Il n’y a pas eu de suivi après la 2e dose. La suivante était prévue à 6 mois mais à ce moment l’essai initial était “fini” car pour des raisons “éthiques”, Pfizer a permis aux membres du groupe placebo de se vacciner, ce que quasiment tous ont fait. En fait, l’étude a duré moins de trois mois. Le résultat est qu’il n’a pas été possible de mesurer l’évolution des anticorps (ni des effets indésirables) dans le temps… alors qu’une étude sur des macaques montrait qu’ils diminuaient deux mois après la 2e dose. Dès ce moment, Pfizer savait, contrairement à ce qu’elle a affirmé, que la “protection” n’est pas “durable”. C’est pourquoi la Haute autorité de santé (HAS, France) écrivait… dès décembre 2020 (donc au moment même de la mise sur le marché des “vaccins”) dans un avis que la compagnie étudiait déjà la faisabilité d’une 3e dose. Pfizer a donc très probablement agi intentionnellement en ne programmant aucune visite entre celle suivant la 2e dose et celle à 6 mois afin de masquer la chute des anticorps. Si l’étude l’avait montré, les régulateurs auraient-ils donné une autorisation d’urgence à ce produit dont “l’efficacité” était au mieux de quelques semaines, ce qui condamnait la population à se faire injecter aux 6 mois, voire aux 3 mois comme le suggérait le Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI)?
  • L’essai n’a pas comporté d’étude sur la cancérogénicité (capacité à provoquer le cancer) ni la génotoxicité (capacité à modifier le génome). Comme l’essai a été arrêté au bout de 3 mois, les effets à long terme sont inconnus. Gênant pour un produit expérimental qui n’avait jusque-là “jamais délivré un seul produit”, comme l’a reconnu Albert Bourla.
  • Etc.

Voici un vidéo de la biostatisticienne Christine Cotton qui explique dans le détail les manipulations de l’essai Pfizer :


Rappelons aussi qu’au moment du lancement de la campagne de “vaccination” auprès du grand public en décembre 2020, l’injection de Pfizer était toujours en phase 3 comme l’indique le site clinicaltrials.gov. Voici ce que l’on peut y lire :La phase 3 aurait donc pris officiellement fin le 27 février 2023. Cela signifie que durant la majeure partie de la campagne, le “vaccin” était donc bien encore en phase expérimentale. Malgré cela, on manque toujours de recul sur cette technologie alors que la durée moyenne d’un vaccin avant sa mise en marché est de 10 ans, ce qui permet de repérer différents problèmes à long terme.Le New England Journal of Medecine, dans son fameux article “montrant” l’efficacité de 95% indiquait clairement que l’étude était en cours en écrivant : “In an ongoing, placebo-controlled, observer-blinded, multinational, pivotal efficacy trial”. Autre “preuve” que le “vaccin” était bel et bien “expérimental”.Concernant cet article, on remarquera qu’il a été publié le 4 novembre 2021, soit près d’un an après l’autorisation de mise sur le marché… et que dans “l’appendix” on peut lire à la page 11 qu’il y avait eu 14 morts dans le groupe placebo… contre 15 dans le groupe “vaccinés”. Malgré toutes les manipulations que nous avons décrites, il y a eu finalement plus de décès dans le groupe des vaccinés que dans le groupe placebo.

 

Peut-on mieux résumer la situation que Danny Hendrikse, un employé de Pfizer, qui a reconnu qu’ils “construisaient l’avion en plein vol” (“We were designing, building and flying the plane at the same time”)?

La situation n’est guère plus réjouissante pour Astrazeneca. En mai 2024, au moment où la compagnie annonçait le retrait de son injection Covid du marché pour des “raisons commerciales”, la compagnie publiait discrètement les résultats de son essai clinique. Celui-ci montre les effets à long terme (jusqu’à deux ans) après l’injection.

AstraZeneca n’a pas eu la malice de Pfizer qui a “vacciné” le groupe placebo de son “étude” deux mois après le début de l’essai pour des « raisons éthiques » comme on l’a vu. Du coup, si les conséquences à long terme de l’injection Pfizer sont inconnues, ce n’est pas le cas d’AstraZeneca, qui doit donc gérer les données sorties de sa propre étude. Heureusement pour la compagnie que celles-ci ne soient sorties seulement qu’en mai 2024.

On apprend ainsi des choses tout à fait étonnantes concernant cette injection “sure et efficace” mais qui ne l’était peut-être pas tant que ça finalement :

  • une personne sur 34 a subi au moins un effet indésirable grave. 1 sur 34 ne semble pas si « rare », comme on a cessé de nous le répéter.
  • une personne sur 9 ayant reçu une injection (11,7 %) a souffert d’un événement indésirable médicalement constaté (EIMC), soit plus du double du groupe placebo (5,6 %).
  • les personnes ayant reçu une injection (28,75 %) étaient plus susceptibles de contracter le Covid que celles du groupe placebo (25,16 %). L’efficacité d’AstraZeneca est donc négative.

Finalement, l’étude montre que le fait d’être injecté augmente la probabilité d’attraper le Covid et de se retrouver à l’hôpital.

Bref, l’essai de Pfizer (et probablement ceux des autres compagnies avec leurs candidats-vaccins “anti-covid”) a été complètement manipulé. Sachant que le PDG de la compagnie lui-même et les médias reconnaissaient que l’on n’avait pas de recul sur cette technologie, connaissant le “pedigree” de la compagnie condamnée à des milliards d’amendes par le passé pour charlatanisme, corruption, publicité mensongère, etc., et que l’on savait dès le départ que 99,9% de la population survivait au virus, et ce sans aucun traitement (ils avaient tous été interdits), le “vaccin” Pfizer n’aurait jamais du recevoir d’autorisation de mise sur le marché. Ou cela aurait du faire se lever des drapeaux rouges si bien que cette injection n’aurait du recevoir à tout le moins qu’une autorisation très limitée pour les populations les plus vulnérables, l’INSPQ ayant très clairement montré que seule les personnes âgées et déjà malades étaient à risque de faire une “forme grave” (cf. le tableau 2.2).

Mais au moins a-t-on eu le droit à un “essai”… car par la suite, les compagnies s’en sont quasiment dispensées en ne testant plus leurs nouvelles versions (les “vaccins bivalents” prévus contre les variants comme XBB mais déjà dépassés par les nouveaux comme Pirola ou Eris une fois sur le marché) que sur des souris ou un nombre extrêmement limité de patients (101 par exemple pour Moderna)…

Plus incroyable : Un juge de district américain a ordonné à la Food and Drug Administration (FDA) de publier plus de 320 000 documents liés au vaccin COVID-19 de Pfizer à un rythme de 55 000 pages par mois. Initialement, la FDA avait demandé un rythme de 500 pages par mois, soit 75 ans, pour publier les documents, invoquant des obstacles logistiques et de personnel « trop lourds ». On a ainsi pu obtenir un rapport préliminaire de Pfizer sur les effets indésirables de son injection en date du 28 février 2021. On peut lire à la page 7 de celui-ci, donc moins de 3 mois après le début de la campagne, qu’il y avait déjà eu 1 223 décès liés au “vaccin”.

Pfizer et les autorités savent donc depuis le début que l’injection est dangereuse. Quand on sait que l’on retire des pizzas pour des “suspicions” de décès, on se demande comment une substance qui en cause des milliers continue d’être promue pour les personnes de plus de 5 ans et les femmes enceintes. Pourtant, comme on l’a vu, au Canada le Comité sur l’immunisation est allé jusqu’à recommander une dose tous les 90 jours. Au Brésil, la vaccination COVID-19 est même rendue obligatoire pour les enfants de 6 mois.

 

Essai Pfizer sur la sécurité des injections pour les femmes enceintes : des effets indésirables inquiétants

Pfizer avait exclu les femmes enceintes et les enfants de son essai initial. On a compris pourquoi lorsque l’on a vu les résultats sur les naissances à la page 12 du rapport préliminaire du 28 février 2021 dont nous venons de traiter. On y note en effet que malgré les réserves du fabricant, 270 femmes enceintes avaient tout de même été injectées et que l’on avait observé durant les 68 premiers jours de la campagne, soit du 20 décembre 2020 au 28 février 2021, des fausse-couches, avortements, malformations congénitales, morts fœtales etc. Finalement, sur les 270 femmes enceintes qui avaient reçu le “vaccin”, on ne connait le résultat de la grossesse (si elle est allée à terme ou non avec la naissance d’un bébé en santé ou non) que pour 29 d’entre elles… et que sur ces 29, une seule grossesse était arrivée à son terme normalement. Il y aurait eu 23 avortements spontanés…

Est-il alors étonnant de constater que Pfizer n’a publié son rapport sur les effets indésirables des injections pour les femmes enceintes… qu’en juillet 2023. Il était temps vu qu’on les “vaccinait” depuis 2 ans. On y constate les éléments suivants :

  • On apprend au point 16 que 6% des bébés dont les mères ont été injectées ont des malformations congénitales… contre 3,6% dans le groupe placebo. Il y a donc une hausse de 66% des malformations congénitales…
  • Au point 19, on note que 5,1% des bébés dans le groupe vaccinés ont eu des effets secondaires graves (comme des anormalités congénitales et des retards de développement)… contre 1,3% dans le groupe placebo. Cela représente une hausse de 292%!

On pourrait continuer encore assez longtemps comme ça. Bref, ces “vaccins” sont-ils surs et efficaces? Devait-on vacciner les femmes enceintes? Le tout alors qu’il s’agit des propres données du fabricant, dont on a vu qu’il a manipulé le test initial?

Le test n’a porté que sur un peu plus de 348 femmes enceintes qui sont arrivées à terme. Qu’en est-il des fausses couches et des mortinaissances? Les résultats seraient sans doute encore plus catastrophiques. Qu’aurait-on découvert sur un échantillon de 40 000 patientes, ce qui aurait été un minimum pour détecter des effets indésirables graves? Et encore ne tient-on pas ici compte du “biais du survivant” qui permet de donner une illusion d’efficacité. Retsef Levi, Professeur au MIT, montre dans ce vidéo éclairant comment ce biais permet de donner une illusion de sécurité aux injections.

On comprend pourquoi Pfizer précise dans la notice de son “vaccin” qu’il “ne dispose encore d’aucune donnée sur l’utilisation de COMIRNATY Omicron XBB.1.5 chez les femmes enceintes” (cf. plus bas la section sur les notices).

On notera aussi que contrairement à ce qu’ont affirmé les autorités, on retrouve de l’ARNm dans le lait maternel durant au moins les 48 heures suivant leur inoculation :

 

Comment les autorités, dont la mission est la protection du public, ont-elles pu donner leur aval et même promu la vaccination des femmes enceintes avec un produit expérimental à l’encontre du principe de précaution, sans aucune base scientifique et contre les mises en garde du fabricant Pfizer lui-même ?

 

Procédé 1, procédé 2, quelles différences?

Voilà ce que l’on savait avant la mise en marché et dans les semaines suivantes. Mais ce n’est pas tout, loin s’en faut.

Tout d’abord, il est important de savoir que les doses fournies au grand public sont différentes de celles utilisées lors de “l’essai” initial, dont on a pourtant vu qu’il a été entaché de telles irrégularités et manipulations que ses “résultats” n’ont aucune valeur.

Dès le 16 janvier 2021, Le Monde signalait que des données “volées” à l’Agence européenne du médicament ont révélé “des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux qui avaient servi durant les essais cliniques.”

“Pour passer d’un stade clinique à un stade commercial, les fabricants ont dû changer leurs processus de fabrication”. Ces “modifications expliqueraient des différences dans la composition exacte des vaccins, en particulier une diminution du degré d’intégrité de l’ARN. Celui-ci est l’élément crucial de ce vaccin”.

“Les vaccins utilisés lors des essais cliniques possédaient entre 69 % et 81 % d’ARN « intègre », c’est-à-dire la séquence entière permettant de fabriquer la protéine Spike. En revanche, des données sur les lots fabriqués dans ces nouvelles lignes de production révélaient des pourcentages plus faibles, 59 % en moyenne. Certains lots descendaient même jusqu’à 51 % et 52 %. Un « point bloquant », dit l’EMA le 23 novembre [2020].”

“La question se pose en effet de savoir si ce taux d’ARN plus faible pourrait non seulement impacter l’efficacité de la vaccination mais aussi sa sécurité, car qui dit moins d’ARN intègre, dit plus d’impuretés, notamment d’ARN tronqués.”

Ce qui est étonnant est que les agences n’aient pas exigé de nouveaux essais et qu’elles n’aient pas analysé à fond les doses. Selon Patrick Provost, professeur à l’Université Laval et spécialiste de l’ARN, la différence entre les deux versions du produit (celle utilisée dans l’essai et celle distribuée au grand public), revient à dire que cette deuxième version (procédé 2) n’a en fait jamais été testée.

Donc soit Pfizer doit lancer d’urgence un nouvel essai… Soit la compagnie doit fournir le même produit que celui “testé” dans l’essai original. Évidemment, cela couterait plus cher. Il pose alors la question : “Mais est-ce qu’on favorise les profits ou la vie des gens?”

 

Différence entre le discours et les faits

Rendu-là (et il y a encore énormément à dire), un petit point s’impose afin de mesurer l’écart abyssal entre ce qu’ont promis fabricants, autorités ainsi que les médias… et la réalité des faits. En effet, aujourd’hui encore, même si la presse subventionnée (les médias qui reçoivent des subventions des gouvernements, soit toute la presse “grand public”) elle-même l’a progressivement admis, subsite l’idée que si les injections ne sont pas vraiment efficaces, elles confèrent tout de même une “certaine protection” contre la contamination, la transmission et notamment les “formes graves”.

Sauf que l’étude initiale ne portant que sur un nombre limité de patients, il était impossible de mesurer l’effet sur la transmission. C’est d’ailleurs ce que reconnaitra Madame Small, une cadre dirigeante de Pfizer lorsqu’interrogée par des députés européens. En fait c’est le cas de toutes les études car l’efficacité sur la transmission ne peut être confirmée que dans la vie réelle. Les injections ARNm ne pouvaient y faire exception. D’ailleurs, dans une lettre de l’EMA (l’Agence européenne du médicament) du 18 octobre 2023 au député européen Marcel de Graaff, l’agence a confirmé que

les vaccins contre la COVID-19 ne sont pas approuvés pour prévenir la transmission d’une personne à une autre. Les indications servent uniquement à protéger les personnes vaccinées.

La question est donc de savoir comment les “experts de plateau” ont pu déclarer que les injections empêchaient la transmission… alors qu’ils n’avaient aucune donnée. Et l’on peut aussi s’interroger sur le silence des autorités et des fabricants qui auraient du intervenir pour rétablir les faits. Par exemple, comment est-il possible que le Dr Delfraissy, président du Conseil scientifique français durant la “crise sanitaire”, puisse déclarer aujourd’hui “tranquillement” qu’il savait dès mars 2021 que les “vaccins” n’empêchaient pas la transmission, que la “protection” n’était pas durable, qu’il savait que c’était tout nouveau et que l’on ne connaissait pas les risques à long terme, qu’ils “tâtonnaient”. Pourquoi, alors qu’il traite maintenant les experts de plateau de “tartuffes”, n’a-t-il rien dit? Comment a-t-il pu laisser aller le passeport vaccinal alors qu’il savait que les “vaccins” n’empêchaient pas la transmission?

Le plus étonnant est que lorsque des données commenceront enfin à être disponibles à partir de l’été 2021 (au moment où se met en place le passeport vaccinal) et que donc tout le monde y aura accès et pourra se faire son opinion, elles montreront que les vaccinés propagent eux-aussi la maladie et que l’efficacité diminue comme s’en inquiétait Le Monde dès juillet 2021. Puis lors de l’automne 2021 les études se multiplieront démontrant que la charge virale des vaccinés est comparable à celle des non vaccinés et que finalement les vaccinés propagent autant la maladie que les non vaccinés. Cela sera démontré par l’absurde avec des articles faisant état de foyers d’infection dans des endroit où l’on ne comptait que des vaccinés. Par exemple ce restaurant en Norvège dans lequel 80 personnes sur 111, toutes vaccinées, participant à un party de noël ont été contaminées… par une personne pourtant testée négative. Et c’était le 26 novembre 2021, soit avant Omicron. Autre exemple ici (mais ils sont légion) avec un foyer d’infection au CHSLD Marguerite-Rocheleau : 72 des 112 résidents avaient été positifs à la COVID-19. Tous ou presque étaient pourtant vaccinés. Etc.

Cependant, alors que le mythe de la protection contre la contamination et la transmission tombait, autorités, experts et médias subventionnés ne déviaient pas et continuaient à soutenir le passeport vaccinal. Au contraire, ils souhaitaient même “renforcer” les mesures contre les non vaccinés, avec l’instauration d’une taxe santé, l’interdiction d’aller dans les commerces, etc. À cet égard, l’activisme du Collège des médecins du Québec (CMQ) ne peut être passé sous silence, tant celui-ci a mis la pression, comme on peut le voir sur cette capture de son site Internet datée du 7 janvier 2022 :

Puis, pour faire bonne mesure et détourner les regards de cette inefficacité pourtant criante contre la contamination et la transmission, après avoir répété ad nauseam que “on ne se vaccine pas pour soi mais pour les autres”, les “experts” ont alors parlé de la protection contre les “formes graves”. Comme nous le verrons, il s’agissait d’un nouveau mensonge. Le fameux “95% d’efficacité” brandit par la compagnie a fait long feu.

 

Une pharmacovigilance effectuée “dans les règles de l’art”?

Malgré un processus accéléré, ce qui “est susceptible de causer plus de mal que de bien“, que l’essai initial ait été manipulé, que l’on n’ait pas de recul sur la technologie de l’ARN messager, que le “vaccin” distribué au grand public diffère de celui employé lors du test initial et que fabricants et agences de régulation aient su dès le début qu’il y avait des effets indésirables extrêmement graves et nombreux, autorités et médias affirmeront que les “vaccins” sont “surs et efficaces”. Pourtant, alors que les autorités de santé n’hésitent pas à retirer des produits dès qu’il y a une crainte pour la santé de la population, par exemple des pizzasou un médicament en vente depuis plus de 50 ans, les agences régulatrices restent de marbre lorsqu’il s’agit des effets indésirables de la “vaccination”.

Ce sont des articles au complet qui pourraient être consacrés à la question et nous nous contenterons donc ici de référer à notre dossier sur les effets indésirables et à notre bilan de la “crise sanitaire”. Mais nous nous devons tout de même de citer la directrice de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament, France), qui déclarait le 1er décembre 2021, devant la Commission des affaires sociales du sénat qu’ “à la mi-novembre […] nous atteignons 110 000 déclarations d’effets indésirables rien que sur les vaccins contre la covid, contre 45 000 tous médicaments confondus pour une année normale.” Bien qu’elle reconnaissait que “la sous-déclaration d’effets indésirables est récurrente en pharmacovigilance”, elle concluait : “nous sommes donc très largement informés sur tous les effets des vaccins.”

Cette ahurissante affirmation (qui prouve que les autorités sont parfaitement au courant de la catastrophe) est corroborée par ce graphique réalisé à partir des données du VAERS (le système américain de pharmacovigilance) qui montre que le nombre de déclarations d’effets indésirables des “vaccins” anti-covid surpasse l’ensemble des déclarations, tous vaccins confondus, depuis la création de ce registre :

Les autorités sont donc au courant des risques élevés d’effets indésirables. Par exemple, concernant les problèmes cardiaques, le ministre de la Santé de l’Ontario rapporte qu’un jeune sur 5 000 est victime d’une myocardite post-vaccinale. Et il ne parle pas des caillots, des thromboses, des AVC, des maladies auto-immunes, etc. Qu’en serait-il sachant que la pharmacovigilance finlandaise rapporte elle un effet grave toutes les 2 000 doses (1 sur 600 avec AstraZeneca)?

Tout cela sans parler de la sous-déclaration. Différentes études montrent que l’on estime que seulement entre 1 et 10% des effets indésirables sont rapportés à la pharmacovigilance (qui est la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effet indésirable résultant de leur utilisation).

On voit donc que les autorités savent qu’il y a de très graves problèmes. Mais elles ne font rien, en toute connaissance de cause!

On ajoutera aussi que contrairement à ce qu’ont proféré experts, médias subventionnés et autorités, “la pharmacovigilance [n’est pas] effectuée dans les règles de l’art”. Par exemple, aux États-Unis, Rochelle Walensky, la directrice des CDC, a tout d’abord reconnu publiquement dans une lettre le 2 septembre 2022 que son agence a faussement affirmé surveiller la sécurité des vaccins dès 2021, alors qu’elle n’a commencé à la faire qu’en mars 2022. Puis on a finalement appris que les CDC arrêtaient la collecte de données sur les vaccins le 30 juin 2023.

Ici, Réinfo Québec a publié un article recensant les déclarations d’infirmières d’Info Santé selon lesquelles tout était fait pour limiter les déclarations de manifestations cliniques inhabituelles (MCI), c’est-à-dire les effets indésirables des injections. Le résultat est comme on l’a vu un taux de déclaration d’effets indésirables extrêmement bas, tellement bas (0,011 % de toutes les doses administrées, en date du 15 septembre 2023) qu’il ne peut être sérieusement considéré. Comment en être surpris quand on apprend que les données sur les effets indésirables sont “nettoyées”?

En comparant les chiffres de l’EMA de 2021 à 2023 avec ceux publiés au 1 janvier 2024, on constate que des dizaines de milliers de cas, autrefois répertoriés, ont disparu dans les dernières publications.

Ont disparu : 2 827 cas de surdité, 2 282 cas de cécité, 14 969 myocardites, 11 424 péricardites, 7 079 thromboses, 7 295 embolies, 10 566 aménorrhées, 11 541 dysménorrhées, 4 241 morts, etc.

Nous avons aussi produit un rapport (publié dès septembre 2021) qui montre l’impact des effets indésirables sur les victimes ici, au Québec. Alors que les médias n’ont rien à dire à ce sujet.

Il est également essentiel de noter que la pharmacovigilance est passive, c’est-à-dire qu’elle repose sur les déclarations de personnes qui ont eu des effets indésirables. Problème : la plupart des victimes ne savent pas qu’elles peuvent faire de déclaration… puisqu’on ne le leur dit pas. Puis, pour celles qui veulent aller de l’avant débute quasiment un parcours du combattant tant les médecins sont réticents à en produire. Au final, la sous-déclaration est gigantesque et on comprend que les données sont complètement manipulées ce qui permet toujours de donner cette illusion de sécurité. Que verrait-on si la surveillance était active, c’est à dire si les autorités contactaient les vaccinés dans les jours, les mois et les années suivant leur inoculation?

Que penser alors quand des “experts” viennent déclarer dans la presse subventionnée qu’ “Il existe des programmes rigoureux de surveillance des effets secondaires liés à la vaccination au Québec, au Canada”. Et que “l’apparition d’un problème de santé à la suite d’une vaccination est souvent une malheureuse coïncidence dans le temps et non la preuve qu’il a été causé par le vaccin”?

Parallèlement à cette “étonnante insouciance”, on apprend que partout dans le monde mortalité et surmortalité explosent de manière “inexpliquée” depuis 2021. Cependant autorités et médias ne se posent aucune question. Ici, au Québec, l’ISQ reconnait une hausse de la surmortalité de 10%… 23% chez les moins de 50 ans. Chiffres confirmés par le directeur de l’État civil, qui reconnait une hausse de la production des avis de décès de 8,2%. Cela donne lieu à la publication d’articles “loufoques”, comme celui-ci (un exemple parmi tant d’autres). On pourrait en rire si dans le même temps des jeunes en santé ne décédaient pas… alors qu’ils ne devraient pas :

 

Une autre question (mais il y en a bien d’autres) a trait aux cancers. Des médecins alertent qu’ils voient de plus en plus de cancers et que ceux-ci sont de plus en plus agressifs, au point ou certains parlent de “turbo-cancers”. Les données anglaises corroborent ces observations de terrain. D’après cette étude, les cas de cancers explosent littéralement, avec une hausse de 135% constatée dans ce pays depuis 2021, comme on peut le voir sur le graphique suivant :

Si le déni prévaut, les choses commencent à changer et certains journaux dans le reste du monde recommencent à faire un peu de journalisme, comme le Berliner Zeitung qui s’interroge sur l’innocuité des injections… et s’il n’y aurait pas un lien avec la hausse de la mortalité (de telles déclarations sont impensables au Québec à l’heure actuelle) :

 

 

Effets indésirables : des notices “gênantes”

La situation est telle que les fabricants eux-mêmes indiquent dans la notice des “vaccins” des avertissements concernant les effets indésirables. S’ils affirment qu’ils sont “rares”, les documents montrent qu’il y a de graves problèmes.

Par exemple, dans la notice fournie en Angleterre, Pfizer reconnait une myocardite ou péricardite pour 10 000 personnes.

Au Canada, la situation n’est pas plus réjouissante. On peut retrouver ces “détails” ici pour Pfizer et là pour Moderna. Précisons qu’il s’agit bien des notices des vaccins bivalents distribués depuis octobre 2023. Voici ce que l’on peut y retrouver :

  • “On ne dispose encore d’aucune donnée sur l’utilisation de COMIRNATY Omicron XBB.1.5 chez les femmes enceintes”
  • “On ne dispose encore d’aucune donnée sur l’utilisation de COMIRNATY Omicron XBB.1.5 pendant l’allaitement”
  • “Il y a “un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination par Spikevax”
  • Aucune étude sur les interactions médicamenteuses n’a été menée
  • Comme on l’a vu, aucune étude n’a été menée sur la cancérogénicité tandis que les fabricants affirment que le risque génotoxique (capacité à compromettre l’intégrité physique ou fonctionnelle du génome) “est considéré comme faible”. Donc les fabricants reconnaissent que les risques de modification du génome existent bel et bien

 

On comprend cette réticence des compagnies à vacciner les femmes enceintes quand on voit les résultats des essais (voir plus haut). Mais comment expliquer alors que les autorités incitent les femmes enceintes à se faire “vacciner”? Sur quelles données se reposent-elles pour faire les déclarations suivantes :

 

Voici la notice concernant les risques de myocardite et de péricardite :

À ce sujet, autorités et “experts” affirment que la plupart des gens se rétablissent bien. Ils oublient de préciser que des études montrent que 50% des victimes de myocardite aigües décèdent dans les 5 années suivantes

Note : Nous mettons une capture d’écran pour prouver nos dires car l’article a été modifié durant l’automne 2023 et cette mention a été retirée. Tenterait-on de cacher les choses?

Cela renforce les études qui montrent qu’il y a un lien entre les injections et les décès suite à des myocardites. Celle-ci montre par exemple que sur les 28 autopsies analysées suite à des décès de personnes vaccinées mortes de myocardites, toutes semblent liées à la vaccination (ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres). Voilà qui pourrait expliquer en partie l’explosion du nombre de décès pour “causes inconnues”. Les auteurs citent par exemple une étude de McCullough qui montre que le nombre de jeunes hommes décédés de cause inconnue a été multiplié par 10 depuis 2020.

 

Notice sur la cancérogénicité et la génotoxicité :

Bref, ces notices des fabricants montrent qu’ils sont au courant des risques qu’ils font courrir à la population. De ce fait, il se montrent extrêmement prudents. Mais ce n’est pas le cas des autorités, qui non seulement ne réagissent pas mais incitent même femmes enceintes et enfants à s’inoculer (nous traitons du scandale de l’injection des enfants ici). Pourquoi une telle attitude? Voilà qui ne lasse pas d’intriguer. Ne pourrait-on pas parler de non-assistance à personnes en danger? Voire pire?

 

Des contrats “gênants”

Longtemps, un très grand secret a entouré les contrats conclus entre les autorités et les fabricants. On ne reviendra pas sur les achats rocambolesques de doses qui ont vu l’Union Européenne en acheter 4,6 milliards (pour une population de 400 millions d’habitants) et le Canada 429 millions (soit environ 10 doses par habitant), ce qui condamne les autorités à en détruire des millions pour des montants de plusieurs milliards. On ne reviendra pas non plus sur le manque de transparence de l’octroi de ces contrats, avec par exemple la présidente de la Commission européenne, madame Van der Layen, qui avait fait sa commande directement par… texto auprès d’Albert Bourla, le PDG de Pfizer, pour un montant de plus de 40 milliards d’euros. Ou encore sur le fait que les contrats ont été signés en aout 2020,soit AVANT l’autorisation de mise sur le marché obtenue en décembre 2020, ce qui a mis Santé Canada dans l’obligation d’autoriser les produits et l’a donc mis face à un conflit d’intérêt majeur. Etc. Il y aurait pourtant encore beaucoup à dire.

On se “contentera” de noter que le contenu des contrats confirme ce que laissent supposer les notices des injections. À savoir que bien loin des déclarations triomphales, les fabricants sont totalement dans le flou et ne promettent rien.

Alors que les autorités ont tout fait pour cacher le contenu des contrats, deux d’entre eux ont finalement été révélés, soit celui conclu entre Pfizer et l’Afrique du sud et celui entre Pfizer et le Canada. Dans les deux cas, l’entente indique clairement que “le fabricant reconnait que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et que le vaccin pourrait avoir des effets indésirables qui ne sont pas actuellement connus”. Voici un extrait des deux contrats, avec les liens de vérification :

Extrait du contrat passé avec l’Afrique du sud

https://healthjusticeinitiative.org.za/wp-content/uploads/2023/09/OCRPfizer-1_Redacted.pdf
Extrait du contrat passé avec le Canada

Le fait que les contrats n’assurent pas de l’efficacité et de la sécurité des injections est gravissime. Cela signifie que les autorités n’avaient aucune garantie quant à l’efficacité et la dangerosité. Elles ont pourtant fait croire l’inverse à la population, trahissant de ce fait sa confiance.

Dans un monde normal, les autorités auraient du informer les personnes qui souhaitaient se faire injecter cette substance expérimentale dont le fabricant lui-même affirmait ne connaitre ni son efficacité ni son inocuité. C’est ce que l’on appelait le consentement libre et éclairé, aujourd’hui disparu.

Nous avons fait état de ce scandale dans cet article.

 

Une histoire de lots (bleus)

Il y a longtemps eu des rumeurs selon lesquelles la qualité des injections variait. Un site Internet nommé howismybatch montrait que les taux d’effets indésirables variaient en fonction des lots. Certains avaient des taux si faibles (quasiment aucun effet indésirable rapporté) que l’on pouvait supposer qu’un placebo avait été employé.

Une étude danoise publiée en janvier 2023 allait cependant tout changer. Les données démontraient bien que certains lots avaient une qualité “douteuse”. Leurs taux d’effets indésirables étaient tel qu’ils étaient rapidement retirés. Tandis qu’inversement, certains lots n’avaient aucun problème, ce qui donne davantage de crédit à l’hypothèse de l’emploi d’un placebo.

Cela restait cependant assez confidentiel jusqu’à ce que les chercheurs viennent présenter leurs résultats au parlement européen (devant une salle vide). Nous vous conseillons de visionner ces deux capsules :

On réalise ainsi que les fabricants distribuent bel et bien des lots de “vaccin” de qualité inégale. Le graphique suivant extrait de l’étude permet de distinguer 3 types de “batchs”. Parmi celles-ci, les “lots bleus”, ceux qui ont les taux d’effets indésirables les plus élevés, sont les plus problématiques.

 

Cela est confirmé par Barry Young, un statisticien néo-zélandais en charge des données de la “vaccination” covid dans ce pays. Celui-ci a révélé les statistiques de mortalité des pires lots de vaccins dans le pays. Si l’on en croit ses déclarations, certains lots auraient eu un taux de mortalité de plus de 20%.

Vous avez les détails dans les deux vidéos suivants :

Christian Leray, M.A.



Articles Par : Christian Leray

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