Covid-19 – et 19 ans de mensonges médiatiques

Nos médias nous rappellent consciencieusement qu’il y a 19 ans se produisaient les événements traumatisants du 11-Septembre.

Ici à Bruxelles, se tient généralement tous les 11-Septembre, une cérémonie solennelle devant une grande poutre torsadée de l’un des étages supérieurs de la tour nord du World Trade Center, appelée « Mémorial du 11 septembre et de l’article 5 ». Cela rappelle non seulement les choses étranges qui sont survenues au WTC ce jour-là, mais aussi que ces événements ont amené l’Europe à se joindre à la « guerre contre le terrorisme » que George W. Bush, Dick Cheney et Donald Rumsfeld ont initiée ce jour-là. Je ne vais jamais à ce mémorial : il est situé dans la commune où je vis, mais sur le terrain confiné de l’OTAN où même les journalistes ne sont plus les bienvenus à cause de cet étrange virus du SRAS dont tout le monde parle.

Pour moi, simple médecin généraliste en Belgique, cet anniversaire représente 19 ans de mensonges médiatiques. Plus tristement pour moi, cela représente également 19 ans de silence académique complice.

La nécessité d’écrire ceci aujourd’hui me vient au retour d’une grande manifestation du milieu artistique et événementiel de Belgique, qui est contraint à l’arrêt depuis maintenant sept mois à cause de la peur de propager le nouveau virus SRAS-CoV- 2.

Les positions défendues par nos dirigeants, tels qu’Ursula von der Leyen, l’ONU et l’OMS, ont été: « Il n’y a pas de traitement contre la Covid-19 », et « Nous ne reviendrons pas à la normale tant que le virus n’aura pas disparu ou qu’il n’y aura pas de vaccin ».

Des efforts majeurs sont déployés pour contenir la propagation du nouveau virus, y compris un système de suivi qui semble être le plus beau rêve des techno-fascistes informatiques.

Le gouvernement, les médias et les universités n’arrêtent pas de dire que ces mesures sont nécessaires, car il n’y a aucun autre moyen de contrer ce nouveau virus.

Mais les gens ne croient pas ce que leur disent leur gouvernement, leurs médias et leurs universitaires.

Doit-on en être surpris ?

Tous les 11 du mois, je prends un jour de congé pour protester contre la complaisance et la complicité de nos médias, politiciens, avocats et universitaires en particulier pour ne pas avoir pris la peine de questionner ce qu’il s’est réellement passé le 11 septembre 2001.

Durant un de ces 11ième jour du mois en grève de mon travail, je me suis trouvé un mercredi 11 juin 2008 à une conférence organisée conjointement par la Croix-Rouge belge et EUropean RESources pour les victimes du TErrorisme (EURESTE). La question qui occupa la journée portait sur la manière de communiquer avec la population lors d’une catastrophe. La conclusion fut alors qu’il fallait s’assurer qu’un seul message soit donné, même si celui se révélerait plus tard être incorrecte/mensonger. 

La conclusion pour un citoyen devrait être la suivante : ne faites pas confiance à une autorité anonyme – surtout si elle parle d’une seule voix sous couvert de l’autorité d’une cellule de crise.

Alors que nous discutions des événements du 11 septembre lors de la conférence, j’ai évoqué comment le « Centre de gestion des urgences », juste avant qu’ils évacuent eux-mêmes le WTC7, a envoyé des instructions répétées de ne pas évacuer les tours jumelles, et ce même après que le deuxième avion aie frappé la tour sud.

D’une certaine façon, nous avons vécu une situation similaire en Belgique, quand lorsque nous avons commencé à avoir une augmentation des cas de Covid-19, des experts gouvernementaux anonymes ont émis la recommandation de ne pas utiliser d’hydroxychloroquine (HCQ) pour traiter nos patients vulnérables et malades. Ils ont également réussi à confisquer la majeure partie des stocks pharmaceutiques d’HCQ disponibles et à les transférer en lieu sûr, où ils ont été conservés comme réserve pour l’armée belge, et distribués parcimonieusement aux hôpitaux en respectant des règles strictes d’utilisation.

Ce n’est pas que l’hydroxychloroquine soit un médicament dangereux : elle est utilisée depuis 70 ans et a probablement été plus vendue que tout autre médicament sur ordonnance. Ce qui semblait être si dangereux avec le médicament, c’est que si effectivement c’était un moyen très bon marché et efficace de traiter les premiers cas de Covid-19 chez les patients vulnérables, alors les énormes « mesures de sécurité de Covid-19 » ne seraient plus nécessaires.

Le problème c’est qu’une fois que le gouvernement a d’un seul corps défendu sa position initiale, tout un processus de gestion de protection de sa crédibilité se met en place et les messages erronés initiaux doivent alors être maintenus.

Nous pouvons également observer ce type de schéma avec le 11-Septembre 2001 : si aujourd’hui vous faites une recherche sur Wikipédia, vous lirez un récit relatif aux événements tragiques du 11 septembre qui suit de près l’histoire qui a été écrite dans le New-York Times le 12 septembre 2001, ou peut-être même avant cela…

A la manière d’un «Super Puissante Jukebox » (‘Mighty Wurlitzer’ en anglais, une terme des outils média utilisé par Frank Wisner de la CIA), cette histoire s’est répandue et a été diffusée dans les journaux et médias du monde entier. Une fois que le scénario s’est établi, il s’est ensuite enchevêtré dans un nombre sans cesse croissant de manipulations professionnelles de sorte que pratiquement aucun média officiel ou institution universitaire n’a depuis contesté l’histoire. Pourtant, même un enfant sain d’esprit de plus de 10 ans pourrait comprendre que 3 énormes gratte-ciels ne peuvent pas être réduits en poussière – et produire des lacs de métal fondu – en étant frappés par 2 avions.

Le traumatisme collectif du crime perpétré le 11 septembre a gravement ébranlé le rapport sain que les gens entretiennent avec la réalité physique. Un grand nombre de personnes, en particulier les universitaires et les journalistes, qui sont payés pour être bien informés, n’ont pas pu affronter la douleur cognitive de devoir admettre qu’ils avaient peut-être eu tort. Je suis témoin depuis 19 ans d’une gestion de l’information dont le seul but est de protéger le récit original qui fut initié.

C’est la raison pour laquelle on ne peut pas faire confiance aujourd’hui au monde universitaire, aux principaux médias et à la plupart des politiciens.

Ces personnes sont principalement préoccupées par le contrôle des coups portés à leur propre réputation. Pour pouvoir prospérer en leur sein, vous devez prouver à quel point vous êtes aveugle, ignorant ou insouciant envers un certain nombre de points de discussion / de réalités. À l’instar des politiciens Bush, Cheney et Rumsfeld, la réalité n’est plus le lieu où il faut se trouver : le but du jeu est d’imposer une réalité comme les bâtisseurs d’un empire, à laquelle les autres doivent se conformer.

Si vous souhaitez défendre la science, la vérité et la justice dans notre société, cela pourrait avoir un grand effet thérapeutique d’également lutter contre ce cancer ancré depuis 19 ans dans notre psyché collective. Cette semaine est le moment idéal pour découvrir, à partir de certaines des meilleures sources, ce que des chercheurs indépendants ont découvert à ce jour. Une conférence « Justice Rising » [litt. la justice se lève] se tiendra du 11 au 13 septembre. Vous pouvez la suivre en streaming sur www.AE911Truth.org. La conférence est gratuite, mais nous espérons bien sûr que beaucoup souhaiteront participer et apporter leur aide de toutes les manières possibles en vue de restaurer l’intégrité du monde universitaire et de la science. AE911Truth.org lance également un appel, avec les familles des victimes du 11 septembre, pour contraindre l’ « Institut National des Normes et des Technologies » états-uniens (NIST) à examiner et corriger les nombreuses erreurs du rapport NIST 2008 qui décrit la cause de l’effondrement du WTC7 l’après-midi du 11-Septembre 2001.

Dans la même veine, la revue médicale « The Lancet » a quant à elle été surprise à publier des données erronées qui semblaient avoir été conçues pour présenter l’hydroxychloroquine sous un mauvais jour. La publication d’un tel matériel clairement falsifié a eu de graves conséquences : de nombreux médecins ont cessé de donner de l’hydroxychloroquine à leurs patients Covid-19 et certains de ces patients sont décédés.

Au fur et à mesure que vous vous enfoncez dans des décisions politiques de plus en plus mauvaises, la nécessité de maintenir le scénario original augmente, alors même qu’une vérification des faits montrera que vous avez construit votre château sur des sables mouvants.

Voilà où nous en sommes aujourd’hui : nous avons les médias, les politiciens et les universitaires que nous méritons, puisque nous leur permettons – du moins au cours de ces 19 dernières années d’ignominie – de cacher la vérité évidente à la vue de tous, afin de pouvoir maintenir leur récit en place.

Cette fois, il ne s’agit pas d’un meurtre de masse qui n’a pas été investigué, conduisant à 19 ans de guerres aussi sordides qu’inutiles. Cette fois, il s’agit de la société humaine telle que nous la connaissons, dirigée par une élite qui recherche le contrôle total de nos corps et de l’ensemble de nos transactions monétaires.

Le moment est venu de remettre les valeurs humaines et le bon sens au premier plan de nos vies quotidiennes.

Il est temps que nous soumettions nos politiciens élus et nos médias à un test décisif : ont-ils une quelconque crédibilité en ce qui concerne les questions de bon sens comme le 11 septembre 2001 et ce qui s’y est réellement passé.  Ou encore la raison pour laquelle l’Organisation mondiale de la santé ne semble pas s’intéresser aux solutions qui fonctionnent à l’encontre de la Covid-19, à moins qu’elles n’impliquent un vaccin expérimental destiné à sept milliards de personnes en bonne santé ?

Les personnes qui continuent à mentir ou qui soutiennent les solutions de Big-Pharma et des Technologies de l’information, très bien financées mais extrêmement dangereuses, ne méritent pas notre confiance.

La race humaine a MAINTENANT l’occasion de revenir au bon sens. Elle peut aussi choisir de croire avec « Dr. Tedros » et « Dr. Bill Gates » qu’il n’y a pas de retour possible à la normale – à moins que nous ne nous connections tous au piège de la monnaie numérique et que nous acceptions que notre génome puisse être mis à jour régulièrement à la manière de nos omniprésents ordinateurs Microsoft ou de nos systèmes d’exploitation Windows. 

Ces 19 dernières années de mensonges médiatiques me révulsent. 

Si vous pouviez contribuer à redonner du bon sens à nos médias, je vous promets que je retournerai au travail, même le 11 du mois !

Merci d’avance pour tous ceux qui répandent la lumière, l’amour et le bon sens. Un grand merci à www.mondialisation.ca pour ces 19 années de journalisme indépendant qui, bien mieux que le New York Times, m’ont aidé à mieux comprendre la situation dans son ensemble depuis ces points de vue indépendants. N’oubliez pas d’assister à la conférence en ligne GRATUITE de 3 jours sur www.AE911Truth.org et de faire un don là-bas ou ici, sur www.mondialisation.ca !

Pour une autre lumière sur les mesures ‘coronavirus’, lisez l’Appel Belge des Soignants, que j’ai co-signé : en PDF (et Film !) ICI :

Dr Eric Beeth



Articles Par : Dr. Eric Beeth

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