COVID-19: le côté obscur de la science révélé

L’hydroxychloroquine ou HCQ pour les intimes. 

Nom commercial en Belgique : Plaquenil°

Big Pharma a encore financé une étude parue dans The Lancet du 22 mai pour discréditer le protocole de l’IHU Méditerranée-Infection et de Didier Raoult, à Marseilles. 

Encore une étude à charge, aussi mauvaise que toutes les autres [1,2].

Quel acharnement !

Je n’ai aucun lien d’intérêt avec l’IHU Méditerranée-Infection ni avec Didier Raoult que je ne connaissais même pas il y a encore trois mois et dans ma spécialité (anesthésie-soins intensifs) je n’ai encore jamais dû prescrire du Plaquenil°. 

Pourtant, là, je me pose des questions, pourquoi cette débauche d’efforts et d’argent pour diaboliser un traitement parmi d’autres qui est, je le rappelle :

  • Bien connu, avec des effets antiviraux bien étudiés [3] 
  • Avec des effets secondaires bien connus et faciles à contrôler en médecine générale
  • Utilisé depuis des dizaines d’années (traitement anti-paludique utilisé aussi dans des maladies rhumatologiques) sans drames sanitaires ni scandales, ni procès retentissants toutes ces années qui ont précédé le COVID-19
  • En particulier très bien connu de l’IHU Méditerranée-Infection et de Didier Raoult

À ma connaissance et pour la première fois dans un pays comme la France, les autorités politiques ont interdit aux médecins de prescrire un médicament à leurs malades ! 

Cela va très loin, encore aujourd’hui :

Coronavirus : l’hydroxychloroquine bientôt interdite dans le traitement du Covid-19

Pourtant, le professeur Didier Raoult fait le bilan de son protocole de traitement face à la maladie COVID-19 (association HCQ et Azythromycine) et rapporte des résultats positifs chez 4000 personnes traitées :

Le Pr Raoult met les points sur les « i » – 4000 patients traités VS Big Data : qui croire ?

La polémique HCQ va donc bien au-delà de la preuve ou non de son efficacité contre le COVID-19, elle démontre l’intrusion inacceptable du politique dans la liberté de prescription des médecins et le côté de plus en plus obscur de la science médicale.

Voilà pour moi le véritable drame révélé par l’affaire HCQ, médiatisée au travers de diatribes journalistiques et politiques violentes à l’encontre du professeur Raoult.

D’autant que cette science médicale est de plus en plus corrompue : Bad Science.

The Lancet = Industrie Pharmaceutique.

Ce n’est pas moi qui l’affirme mais son rédacteur en chef, le Dr Richard Horton, Volume 385 du 11 avril 2015 The Lancet :

 « Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse, affligée d’études avec des échantillons réduits, d’effets infimes, d’analyses préliminaires invalides, et de conflits d’intérêts* flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. »

Source image : https://i.pinimg.com/originals/77/48/48/774848a455d03a09676133a8b36b7a66.jpg 

(*Conflits d’intérêt : autre nom pour corruption).

Pour y faire écho, nous trouvons le même constat dans l’autre grand journal de référence en médecine, le New England Journal of Medicine (NEJM) :

NEJM = Industrie Pharmaceutique (Shocking Report from Medical Insiders, F William Engdahl, 2015).

À nouveau, ce n’est pas moi qui le dis, mais une de ses rédactrices en chef, Dr Marcia Angell :

  « Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée, de se fier au jugement des médecins de confiance, ou à des directives médicales faisant autorité. Ça ne m’amuse pas d’en arriver à pareilles conclusions, mais j’ai dû y arriver lentement et à contre cœur pendant les vingt années que j’ai travaillé comme éditrice du New England Journal of Medicine. »

Source image :  https://pbs.twimg.com/media/EXlSccrWoAE6E5b.jpg 

Marcia Angell a par ailleurs écrit en 2005 un livre excellent sur les firmes pharmaceutiques et leur pouvoir de nuisance en médecine :

La vérité sur les compagnies pharmaceutiques – Comment elles nous trompent et comment les contrecarrer, paru en français le 3 novembre 2005.

En novembre 2019, encore The Lancet publiait la tribune du docteur Patricia Garcia intitulée Corruption in global health: the open secret, PDF, dans laquelle l’auteure relevait :

« La corruption fait partie intégrante des systèmes de santé. Tout au long de ma vie de chercheuse, de spécialiste en santé publique et de ministre de la santé, j’ai pu constater que la malhonnêteté et la fraude étaient ancrées partout. Mais bien qu’elle soit l’un des principaux obstacles à la mise en place d’une couverture médicale universelle à travers le monde la corruption est rarement évoquée ouvertement. »

 Nous retrouvons un discours similaire dans une autre grande revue médicale internationale, BMJ (British Medical Journal) :

Richard Smith : Journals, fraud, science, and misaligned incentives

« La plupart des études scientifiques sont erronées, et elles le sont parce que les scientifiques s’intéressent au financement et à leurs carrières plutôt qu’à la vérité. »

Dr Richard Smith, ancien rédacteur en chef du British Medical Journal

Source image : https://blogs.bmj.com/bmj/files/2014/12/richard_smith_2014.jpg 

« La profession médicale est achetée par l’industrie pharmaceutique, non seulement en termes de pratique de la médecine, mais aussi en termes d’enseignement et de recherche. Les institutions académiques de ce pays se permettent d’être les agents rémunérés de l’industrie pharmaceutique. Je pense que c’est honteux. »

C’est affligeant. 

On le sait mais beaucoup de médecins continuent de travailler en faisant comme si de rien n’était. 

Pas qu’ils soient corrompus eux-mêmes, pas directement.

Lors de nos études de médecine, nous ne sommes pas entraînés à lire les articles scientifiques de manière critique. Beaucoup se contentent de l’abstract et de la conclusion.

Depuis des années, comme les éminents Dr Horton, Smith et Angell l’attestent, il existe un énorme problème de validité en ce qui concerne les publications médicales.

Cela vient surtout de l’instrumentalisation de la recherche par l’industrie pharmaceutique et/ou par des financeurs privés.

 Par exemple, la fondation Bill et Melinda Gates a racheté la collaboration Cochrane [4] réputée jusqu’ici pour son indépendance, justement [5]. 

Finie, cette indépendance : en tout cas, il faudra être très vigilant.

Le journal Le Monde travaille aussi pour Bill [6] : Le journal LE MONDE travaille pour Bill Gates 

Bill Gates est omniprésent et montre un intérêt pour la science médicale qui frise l’adoration.

N’oublions pas son implication majeure dans les projets de vaccination contre le COVID-19.

Source image : https://pbs.twimg.com/media/EYsOBCbXgAUkm02.jpg 

« Le NIAD et la Fondation Bill et Melinda Gates collaborent en vue de développer un vaccin COVID-19 » [7].

Cette accusation de corruption ne vise pas la plupart des médecins, mais la médecine à sa source : académies, instituts, grandes revues, universités, labos… 

Et encore, pas tout le monde, il suffit de corrompre la bonne personne au bon endroit, au bon moment et le tour est joué.

Comme peut-être, aux États-Unis dans la crise actuelle, le docteur Anthony Fauci, « personnage clé de la réponse du gouvernement étasunien au coronavirus » [8].

Ces pratiques constituent un élément très souvent occulté, la chose dont on ne parle jamais mais c’est réel et le nier est la porte ouverte aux abus.

L’industrie des statines sera un des plus grands scandales sanitaires du siècle [9].

Nous connaissons cela aussi avec le paracétamol : Le paracétamol plus dangereux qu’on le pensait ?

Et avec l’oséltamivir (TAMIFLU°), antiviral de la firme Gilead, firme pharma que nous retrouvons aux premières loges de la crise du coronavirus avec le Remdesivir.

Grippe : balance bénéfices-risques incertaine de l’oséltamivir (Tamiflu°), paru dans la Revue Prescrire, 1er Nov 2015, revue un peu plus indépendante que les autres.

Revenons à l’HCQ et à cette étude du LANCET de ce 22 mai.

Il s’agit d’une étude observationnelle sur près de 100 000 patients. 

Les opposants au Professeur Didier Raoult n’ont pas cessé de lui reprocher d’utiliser les études observationnelles plutôt que les essais randomisés en double aveugle (RCT’s) qu’eux considèrent comme la seule bonne méthode.

Donc, quand il s’agit de l’équipe de Didier Raoult, les études observationnelles sont à jeter.

Quand il s’agit d’une étude observationnelle financée par l’industrie et parue dans The Lancet, c’est tout bon.

De plus, ces RCT’s sont-elles vraiment meilleures ?

La situation d’urgence d’une épidémie/pandémie rend ces essais randomisés en double aveugle (RCT’s) éthiquement problématiques [10].

De plus ces RCT’s n’ont pas une supériorité si probante sur les études observationnelles [11].

Et quand ces RCT’s sont financés par l’industrie pharmaceutique, la validité des résultats en pâtit [12] ! 

Cette étude du Lancet à plus de 50 millions d’euros avec le but évident de discréditer Raoult et l’HCQ pose de sérieuses questions méthodologiques et éthiques et je vous renvoie à l’analyse du collectif de médecins #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire [13], qui ne relève pas moins de 13 biais (malfaçons), et surtout des conflits d’intérêt majeurs avec l’industrie pharmaceutique en première ligne de cette crise du coronavirus, c’est édifiant :

Ont participé au financement de l’étude (page 9) : 

« Abbott, Medtronic, Janssen, Mesoblast, Portola, Bayer, Baim Institute for Clinical Research, Nupulse CV, FineHeart, Leviticus, Roivant et Triple Gene« , c’est à dire des entreprises privées ayant intérêt à discréditer l’HCQ.

En effet, l’hydroxychloroquine (HCQ) est un traitement pratiquement gratuit (0,04 euro le comprimé de Plaquenil° en Belgique) et est aujourd’hui composé de molécules tombées dans le domaine public, ce qui nuit aux perspectives de business de Big Pharma.

Participent au financement de la Harvard Médical School dont est issu l’auteur principal de l’étude :

  1. La fondation Bill et Melinda Gates, la revoilà !
  2. Mark Zuckerberg (Facebook)
  3. Lakshmi N. Mittal (ArcelorMittal)
  4. La fondation Rockefeller (faut-il encore la présenter ?) [14].

Tous impliqués dans des projets de vaccination contre le Covid 19, des projets à plusieurs milliards de dollars de bénéfice et, si l’on en croit certains milieux bien informés, un prétexte pour mettre en place une série de mesures inavouables (contrôle des populations, eugénisme, hold-up financier mondial) [15]. 

L’ensemble de ces informations est accessible dans l’étude elle-même et sur les sites de la Harvard Business School ou sur les sites des fondations évoquées plus haut.

Comprenez-moi bien :

Tester un traitement préconisé (HCQ + Azythromycine) à un stade précoce de la maladie sur des patients hospitalisés en état grave avancé comme dans l’étude du Lancet n’apporte simplement aucune réponse à la question de l’efficacité du traitement tel qu’il est proposé au départ par l’équipe du professeur Raoult.

« Rappelons que l’IHU Méditerranée-Infection a toujours indiqué que le traitement qu’il préconise est utile lors des phases précoces de la maladie (lorsqu’il s’agit de réduire la charge virale) mais pas dans les phases critiques au cours de laquelle la virémie ne joue plus aucun rôle » [16].

D’accord, objectivement il n’y a pas encore à l’heure actuelle de preuve définitive (RCT’s) que l’HCQ prescrite comme le préconise l’IHU Méditerranée-Infection soit efficace contre le Covid. 

Mais des indices sérieux, si.

Affirmer l’inverse, comme essaient de le faire The Lancet, des chercheurs, des politiciens et des journalistes est tout aussi faux – et la scandaleuse étude du Lancet du 22 mai n’y change rien.

Mais la question est-elle vraiment là ? Pourquoi cette polémique sur l’HCQ ? 

Une chasse aux sorcières comme il n’y en a jamais eu sur aucun médicament, au point d’interdire les médecins de ville d’envisager cette molécule avec leurs patients s’ils l’estiment judicieux !

Se poser la question de l’efficacité de l’HCQ avec ou sans Azythromycine dans le COVID-19 est quelque chose de sain et d’important, c’est certain, mais tout faire pour démolir cette hypothèse et légitimer une violation sans précédent du droit de prescrire des médecins est indéfendable. 

C’est très grave, même !

Envisageons toute cette histoire sous un autre angle :

Pour les gouvernements qui ont interdit à leurs médecins de prescrire l’HCQ, découvrir que cette thérapeutique serait finalement utile, efficace, les exposerait à des poursuites judiciaires pour non-assistance à personne en danger et même homicide involontaire ou par négligence !

À ma connaissance, aucune jurisprudence dans l’ordre juridique et le droit à la santé ne justifie la privation du droit de prescrire comme elle a été faite aux médecins généralistes avec l’HCQ. 

Si cette attitude a résulté en morts par milliers, alors, ces ministres et directeurs de santé impliqués, responsables, risquent la Cour d’Assises.

Dans la crise du coronavirus, les poursuites sont déjà impressionnantes [17] : 63 plaintes contre des membres du gouvernement français.

Nous comprenons que dans ces conditions, il n’y a plus de place pour la recherche de vérité. 

Sauve qui peut !

Accepter en public ce que l’équipe du professeur Raoult prouve depuis des mois serait synonyme de suicide politique, voire de suicide tout court pour plusieurs personnes au pouvoir.

Enfin, et cette raison n’est pas la moindre, en acceptant l’efficacité de l’HCQ, médicament presque gratuit et sans retour financier possible pour les firmes, cela mettrait un terme définitif à tout espoir de gains faramineux pour l’industrie pharmaceutique.

Celle-ci, toutes firmes confondues lancées dans la course aux vaccins comme des croisés se jetant sur Jérusalem, veut gagner beaucoup d’argent avec les antiviraux comme le Remdesivir (Gilead [18], encore lui, après le Tamiflu déjà cité), malgré son échec cuisant dans le COVID-19 [19].

Mais plus que tout, cette industrie veut un vaccin. Et surtout vous convaincre que c’est la seule solution valable à tous nos problèmes !

Vous imaginez ?

La population mondiale comme client !

8 milliards de doses à x € ou $ = le pactole !

Oui, et c’est un point positif, cette polémique à propos de l’HCQ met en lumière ce mal qui rampait dans l’ombre de l’humanité :

  • La corruption avancée des plus grandes revues médicales de référence (NEJM, Lancet…) qui n’hésitent pas à se compromettre et ne s’en cachent même plus. Qui va encore les croire, à présent ?
  • Notre santé prise en otage par l’industrie pharmaceutique toujours plus avide et gourmande, insensible aux souffrances engendrées.
  • L’existence de riches opportunistes qui profitent de ces crises dont ils tirent peut-être les ficelles.
  • Le manque de courage de nos politiciens, à quelques exceptions notables près comme ici en Autriche [20], ou encore ici en Italie [21].

Le côté obscur de la science est de plus en plus mis en lumière.

Les secrets ne peuvent plus être cachés comme auparavant.

Grâce à tous ces chercheurs de vérités et lanceurs d’alerte.

Si c’est ça qu’on appelle « conspirationniste » : chercher la vérité sans concessions et aller au fond des choses sans détourner le regard même si on n’aime pas ce qu’on voit, alors oui, on peut m’appeler ainsi, si vous le voulez.

Dr Pascal Sacré

Image en vedette : pixabay.com

Sources :

[1] Observational Study of Hydroxychloroquine in Hospitalized Patients with Covid-19, NEJM 7 mai 2020

[2] Trial of Treatments for COVID-19 in Hospitalized Adults (DisCoVeRy)

[3] Effects of chloroquine on viral infections: an old drug against today’s diseases, Lancet Infect Dis. 2003 Nov ; 3(11) : 722–727.

[4] About Cochrane, Cochrane s’adresse à toute personne intéressée par l’application d’informations fiables aux décisions en matière de santé. Que vous soyez médecin ou infirmier, patient, soignant ou aidant, chercheur ou financeur, les données probantes Cochrane sont des outils puissants pour améliorer vos connaissances et vos prises de décisions en matière de santé.

[5] Gates Foundation Buys Cochrane Collaboration Group.

[6] This database includes grant payments made by the Bill & Melinda Gates Foundation and previous foundations of the Gates family (William H. Gates Foundation, Gates Library Foundation, and Gates Learning Foundation) from 1994 onward.

[7] Coronavirus – Aucun vaccin n’est nécessaire pour la guérison, Peter Koenig, 4 avril 2020

[8] Alors que le vaccin COVID-19 de Moderna arrive en tête, la promotion récente de « vaccins à modification génétique » par son médecin en chef est mise en lumière

[9] Des fortes doses de statines en prévention de l’infarctus et de l’AVC ? Si les géants de la pharmacie veulent continuer à gagner de l’argent avec des ventes de médicaments anticholestérol il faut alors décréter des taux sanguins acceptables de LDL-CHOL extrêmement plus bas afin de vendre des statines plus dosées ou combinées, très chères, voire des produits injectables, abominablement dispendieux. Comment s’y prend-on pour habiller tout cela d’un vernis scientifique ? Bonne lecture… sur le site de l’AIMSIB, Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante.

[10] Selecting the Right Tool for the Job, Pubmed, Am J Bioeth. 2015 ; 15 (4) : 4-10.

[11] Why All Randomised Controlled Trials Produce Biased Results, Pubmed, Ann Med 2018 ; 50 (4) : 312-322

[12] Association between industry funding and statistically significant pro-industry findings in medical and surgical randomized trials

[13] LANCET : PUBLICATION MEHRA et al. SUR L’HYDROXYCHLOROQUINE*, CHERCHER L’ERREUR ! LES ERREURS !

[14] Plan USA: contrôle militarisé de la population, la Fondation Rockefeller a présenté le “Plan d’action national pour le contrôle du Covid-19”.

[15] Le « gouvernement mondial » et la crise COVID-19… sélection d’articles sur le site Mondialisation.ca 

[16] Hydroxychloroquine : The Lancet dans de sales draps… Blog de Jean-Dominique Michel, phare de bon sens dans la nuit de la désinformation COVID-19

[17] Coronavirus : déjà 63 plaintes contre des membres du gouvernement français pour leur gestion de la crise sanitaire

[18] MARCHÉ : GILEAD GRIMPE EN BOURSE, SPÉCULATION SUR L’EFFICACITÉ DU REMDESIVIR CONTRE LE CORONAVIRUS

[19] Echec d’un essai clinique de l’antiviral remdesivir contre le Covid-19

[20] VIDÉO: L’ex-ministre de l’Intérieur autrichien dénonce la manipulation Covid19 devant le gouvernement

[21] La députée Sara Cunial accuse Bill Gates de « Crime contre l’Humanité » et demande son arrestation



Articles Par : Dr Pascal Sacré

A propos :

Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date, en soins intensifs, avec un passage de 2,5 ans dans un centre pour grands brûlés (l'hopital militaire Reine Astrid HMRA à Bruxelles) entre 2009 et 2011. Depuis 2011, il travaille dans un centre de soins intensifs médico-chirurgical à Charleroi, Belgique. Il est formé en hypnothérapie en milieu médical depuis 2014 et à ce titre, il est responsable de formations en gestion du stress pour le personnel de son hôpital. Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.

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