COVID-19 : L’effet d’aubaine

(Pour un projet jamais évoqué par les autorités des pays sous influence du Forum Économique Mondial)

Nous étions tous sincères, sidérés, bouleversés même par le spectacle incompréhensible d’une gestion désastreuse, de la « pandémie » pratiquée par tous les Gouvernements occidentaux ! Cette « pandémie » allait très rapidement s’avérer fausse ! (Cf., les nombreux articles publiés sur www.mondialisation.ca durant toute l’année 2020 jusqu’à ce jour et traitant du sujet Covid-19)

La Covid-19 allait être instrumentalisée dans un but qui nous était soigneusement caché. Personne ne comprenait plus ce qui se passait : les mesures contradictoires et incompatibles se succédaient. On tentait de comprendre l’incompréhensible par le « délire collectif », les effets délétères des « rumeurs »… 

Les tests PCR ou CTR n’étaient pas fiables ; ils avaient même été volontairement falsifiés. Comme cela a été démontré par un laboratoire indépendant (Cf., vidéo sur VK, COVID-VIRO, Test Rapide Antigène, Covid-19, CTR-CCV-01, 2010124, 2022-03) On pouvait parfaitement obtenir un résultat « positif » en appliquant le test au coca cola ! Pire encore : dans le doute, des soignants ont analysé des écouvillons inusités et ont trouvé tout de même un résultat « positif » au test ! Aucun virus complet du SARS COV 2, capable de se transmettre, n’a été trouvé depuis un an de tyrannie sanitaire. On avait même eu le droit au faux risque de la contagion par des gens asymptomatiques. Les litanies obscènes de morts et de malades « infectés » étaient toutes fantaisistes ! Tous les chiffres avaient été arbitrairement gonflés. On découvrait la falsification des courbes en comparaison avec les autres années : la COVID-19 n’était pas plus inquiétante que les autres grippes du passé. Les autopsies étaient rigoureusement interdites, bien entendu, sinon la falsification volontaire aurait été rapidement débusquée ! La stratégie de la peur fleurissait allègrement sur les médias collabos du système et tétanisait le grand nombre dans un comportement de sidération ayant pour effet de couper les individus de l’usage normal de leur raison pour le remplacer par celui de la croyance dans le discours bienfaiteur du Pouvoir obligatoirement innocent.

Le scandale du masque allait devenir une véritable plaie. La distanciation sociale devenait à son tour, et très vite, une mesure étrange. Quant aux confinements nous allions rapidement découvrir qu’ils ne pouvaient en rien relever d’une motivation « sanitaire » : il y avait là des données objectives qui permettaient de comprendre que leur motivation se trouvait ailleurs.

Puis est venu l’acharnement des pouvoirs contre les restaurants, les bars et cafés, les lieux de culture, salles de spectacles, salles de cinéma, théâtres, musées…etc… Là aussi l’incohérence était cinglante car dans les métros pour se rendre au travail il y avait toujours autant d’affluence…

Dès le début, on connaissait les nombreux traitements efficaces et précoces qui permettaient d’enrayer la maladie et ses effets désastreux sur des gens souffrant de comorbidité. Les politiques au pouvoir allaient étrangement et brutalement interdire l’utilisation de ces traitements, pratiquant la censure, le mensonge et la menace des sanctions, jetant le trouble sur la communauté scientifique et médicale elle-même ! Sans hésiter, le pouvoir en place irait jusqu’à nier leur existence : il n’y avait aucun traitement contre la Covid-19 mais seulement un vaccin qu’il fallait attendre comme le Messie. 

Les médecins n’avaient plus l’autorisation de prescrire, on comprend pourquoi, puisque le virus n’était pas le sujet ! Les grands scientifiques faisant autorité en France devenaient aussitôt des empêcheurs de falsifier en toute tranquillité : l’Ordre des médecins aux ordres de « l’élite » allait tenter de sanctionner des gens insanctionnables comme le Pr Didier Raoult, le Pr Perronne, Le Pr Toussaint, le Pr Fourtillan, les Dr Fouché et Delépine et le Dr Sacré en Belgique, sans oublier tous les autres experts de renom que nous avons cités au cours de ce spectacle sidérant…etc. Les sanctions allaient devenir pitoyables et l’expression d’une odieuse injustice vis-à-vis de ces médecins. 

De même le « meurtre social » organisé à l’échelle de l’Occident allait devenir à nos yeux une abomination ! Des millions de gens allaient se retrouver du jour au lendemain dans la misère pour le simple motif qu’ils devenaient les « inutiles » de la « plandémie coronacircus » quant à elle exclusivement destinée à forcer le passage vers le « Tout numérique ». Les « Terminators » allaient commencer leur massacre de tous les récalcitrants humains qui résisteraient à la mutation vers la cyborg société, celle qui est prévue au terme de ce massacre à grande échelle.

Oeuvre d’art : Artiste « Appelé isolement, les insectes sont témoins de mon agonie » : Ted Gostas

Toutes ces personnes menacées comme chaque hiver par l’existence de cette nouvelle grippe, la Covid-19, et qui étaient considérées comme « à risques », étaient également celles qui avaient été déclarées par les « élites » comme vivant plus « longtemps ». Elles avaient, certes une espérance de vie plus importante que par le passé, mais nous allions découvrir qu’elles vivaient plus mal qu’avant !

C’est aussi à ce moment-là qu’on allait se rappeler du discours des « élites » politiques sur l’allongement de l’espérance de vie et la nécessité de réformer les retraites pour faire travailler les gens jusqu’à 70 ans, voire plus tard encore ! La fausse pandémie aura au moins permis de découvrir, sous les projecteurs de la propagande, à quel point ce projet des « élites » était erroné et ce qu’aurait été l’enfer de ces pauvres gens jetés dans l’obligation de durer dans le travail, alors qu’on voit aujourd’hui la dégradation spectaculaire de la santé physique et mentale des individus dans cette classe d’âge et avec elle celle de tout le système de la santé publique, ne permettant plus d’assurer les soins dans des conditions acceptables ! Et nous ne parlons pas du chômage de masse multiplié désormais par mille… avec la maltraitance qui l’accompagne !

Dès le début de cette crise, les pouvoirs allaient sauter sur l’occasion pour imposer à l’Éducation Nationale son idéologie du « présentiel » et du « distanciel ». Tout ce qui constituait le sens et la nature réelle de l’éducation comme de la transmission du savoir, allait être anéanti par ces notions anachroniques de « distanciel » et de « présentiel ». Nous allions entrer dans un mode dégradé de l’éducation. Nous savons comment cette expérience est déjà condamnée par l’échec retentissant des étudiants à leurs examens, par la crise suicidaire de jeunes qui se sont retrouvés dans une solitude absurde face à un écran d’ordinateur comme seul interlocuteur… Le tout numérique n’est pas réaliste car il oublie le facteur humain qui n’a rien à voir avec les pures « algorithmes utilisées pour prendre des décisions. » (K. Schwab)

Ensuite, nous allions découvrir le livre de Klaus Schwab, le fondateur du Forum Économique Mondial, qui nous expliquait le « Great Reset », fusionnant le Trans humanisme avec un fascisme technocratique.

La fusion des humains avec les machines devait, selon lui, annoncer l’ère d’une vie mixant le numérique et l’analogique. Ce projet impliquait essentiellement que toute idée de démocratie soit a priori exclue. Le peuple ne pouvait en aucun cas contrôler ce projet. Les individus du peuple, pensent les « décideurs » du FEM, ne sont pas rationnels, ils sont d’abord émotionnels et donc incontrôlables, car l’émotionnel est « irrationnel » !

De ce fait, la société ne peut plus être considérée comme une « communauté de destin », mais comme une « entreprise », une « Start Up », dont la rentabilité, au seul bénéfice de « l’élite », devient l’unique objectif sérieux de l’activité humaine !

Ce genre de partenariat doit désormais remplacer la démocratie, d’ailleurs jamais advenue en Occident judéo-chrétien, la démocratie ayant largement été confondue avec un certain développement des libertés publiques et privées aujourd’hui intégralement effacées de la vie sociétale occidentale.

C’est « l’élite » financière, ne dépendant pas d’élections, qui constitue un leadership mondial de serviteurs soigneusement choisis par elle et dont le rôle sera d’imposer la règle de ce 1% des plus riches au reste du monde privé de toute possibilité de « souveraineté » ou de contrôle sur les intérêts du bien commun…

Les Gilets jaunes représentaient le peuple de ceux qui ne « sont rien », les « inutiles », les « Gaulois réfractaires », les « sans dents » disait Hollande, les « fainéants » disait encore Macron, ceux qui n’avaient pas de « Rolex avant cinquante ans », disait un ami de Sarkozy, ceux qui n’avaient pas encore de « costume parce qu’ils ne travaillaient pas assez pour s’en payer un chez Armani… ! »

Klaus Schwab avec Thierry Malleret, ont écrit un livre traduit en français : « COVID-19: La Grande Réinitialisation », septembre 2020, aux éditions Forum Publishing. Nous avons là tous les détails. Si quelqu’un était encore tenté de brandir l’argument scientifique haro sur le « complotisme », qu’il se calme tout de suite, puisque tout cela est écrit noir sur blanc et qu’on peut le vérifier, même avec la mauvaise foi en bandoulière !

« Les drones représentent un nouveau type d’employé permettant de réduire les coûts en travaillant parmi nous et en effectuant des emplois qui impliquaient autrefois des personnes réelles, l’utilisation d’algorithmes toujours plus intelligents est d’étendre rapidement la productivité des employés, par exemple, dans l’utilisation de robots de chat (discussions entre humains par internet) pour augmenter (et, de plus en plus, remplacer) “chat humain en direct” de soutien pour les interactions avec les clients par les robots ».

(Cf., Klaus Schwab avec Nicholas Davis, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World (Genève : WEF, 2018), e-book.)

Le « Great Reset » c’est en quelque sorte :

« Une révolution qui change fondamentalement notre façon de vivre, de travailler et de nous relier les uns aux autres contrairement à tout ce que l’humanité a connu avant ».

« Nous sommes au seuil d’un changement systémique radical qui exige que les êtres humains s’adaptent continuellement. Par conséquent, nous pouvons assister à un degré croissant de polarisation dans le monde, marqué par ceux qui embrassent le changement par rapport à ceux qui y résistent. »

« Les gagnants peuvent même bénéficier d’une certaine forme d’amélioration humaine générée par certains segments de la quatrième révolution industrielle [comme le génie génétique] dont les perdants seront privés. Cela risque de créer des conflits de classes et d’autres affrontements différents de tout ce que nous avons vu auparavant. »

C’est ici que la campagne pour le « vaccin génique » est déterminante, car il est indispensable de convaincre une majorité de partisans pour l’avènement de ce monde futur que les « élites » veulent imposer dès maintenant à leur profit.

Il y a donc au programme un « meurtre social » des populations résistantes au changement imposé par « l’élite », celle-là même qui a organisé la pandémie ou leurre Covid-19 . En réalité, il n’y a aucun « complotisme » là-dedans, mais seulement l’opportunisme d’une aubaine.

Dans cette perspective, les vaccins géniques, dont personne ne sait quels effets secondaires ils auront, quelle toxicité ils présentent, à court terme et à long terme, vont modifier profondément la nature humaine. Ce leurre de la Covid-19, allait donc servir d’aubaine pour promouvoir le passage en force vers le « tout numérique », en organisant la « fabrique du consentement » par une utilisation massive d’une stratégie de la peur et accélérer enfin l’avènement de la quatrième révolution technologique.

A cette occasion, une colossale dette, pulvérisant toutes les limites, allait être contractée par les autorités, en notre nom ! Nous étions déjà dans le piège monté par l’Union Européenne sur la dette souveraine impossible à stabiliser. Désormais c’est à perpétuité que nous devrons rembourser cette folie assurant ainsi l’esclavage pour des générations… Nous assistons à un « meurtre social » qui se déroule là, en ce moment, sous nos yeux écarquillés par la sidération ! 

Ce plan du FEM précise que, à cause de cette dette devenue impossible à éponger, l’État devrait devenir naturellement le seul propriétaire de tous les biens privés, en échange de quoi la dette serait annulée mais aussi qu’il subviendrait aux besoins des personnes par un revenu universel lui garantissant au passage un contrôle absolu irréversible sur le comportement des individus devenus ainsi définitivement dépendants du bon vouloir de « l’élite » au pouvoir.

C’est ici que les choix de Macron s’éclairent d’une lumière éblouissante. Déjà depuis sa campagne présidentielle en 2017, il faisait appel à des sociétés conseils chargées de gérer les problèmes de logistique complexe. L’utilisation par les gouvernants, de ce que l’on nomme désormais les « Nudge Units », n’était possible qu’à la condition d’un renoncement à toute idée démocratique. Du coup, on comprend aussi à quel point les revendications des Gilets jaunes et leur « RIC en toutes matières » étaient anachroniques, un contre-sens, une aberration qui allait entraîner contre les GJ la répression spectaculaire qu’on sait ! Il s’agissait bien d’être dans un « camp » ou dans un autre, comme disait le Préfet Lallement.

Les véritables aspirations des peuples n’étaient pas compatibles avec le plan de l’Union Européenne, avec le plan de Macron, avec tout cet engagement résolu de l’ultra libéralisme vers une société exclusivement pensée dans l’intérêt des plus riches, laissant une petite place éventuelle à tous ceux qui se feraient les serviteurs inconditionnels de cette aristocratie stato-financière définitivement au pouvoir.

Voilà pourquoi, il fallait d’urgence, amorcer pour de bon la « fabrique du consentement » afin d’obtenir la soumission de tous ceux qui constitueraient la nouvelle humanité ayant accepté le deuil définitif de toute idée démocratique.

Ainsi les « Nudge Units » allaient œuvrer en silence, se gardant bien de dire à notre conscient ce qu’ils étaient en train de faire, parce que nous risquerions d’y résister. C’est pourquoi, ces sociétés spécialisées, au service du pouvoir en place, du camp des dominants, utilisent des moyens infra-conscients pour guider nos conduites face aux changements climatiques, aux problèmes sanitaires, aux problèmes de sécurité, face aux questions de « séparatisme » et de « communautarisme ». Il s’agit d’en finir avec toute revendication du « camp » pour la démocratie. On découvrait donc que les « élites » se positionnaient déjà depuis au moins les années 70, (Accords de la Jamaïque 1976) et plus spécifiquement en Europe depuis le Traité de Maastricht, (7 février 1992) dans une volonté farouche, explicite, d’écraser toute revendication démocratique des peuples !

C’est l’incompatibilité de ces deux directions qui explique le spectacle incompréhensible auquel nous assistons tout en étant broyés par sa logique volontairement meurtrière !

Le Mc Kinsey Global Institut, payé des fortunes avec l’argent public, est là pour conseiller Macron sur la stratégie du « meurtre social » organisé sous nos yeux. Macron encourageait son ministre Olivier Véran secoué par l’épreuve de la résistance contre son action, en lui disant « courage Olivier, nous les aurons ! »

Tout ce que nous disons depuis un an, toutes les aberrations auxquelles nous assistons et que nous avons été nombreux à dénoncer, toutes les réactions collectives de groupes de médecins contre les mesures « sanitaires » prises par ces « élites », toutes les explications brillantes de grands scientifiques, tout cela ne peut rien changer à ce qui se passe car les « autorités » savent pertinemment ce qu’elles font, elles savent que le sujet n’est pas le coronavirus ni la maladie Covid-19, elles savent que la question sanitaire n’est pas en cause, elles savent que ce qui est l’objectif de la « plandémie coronacircus », c’est la fabrique du consentement pour le passage forcé au Tout Numérique impliquant un « meurtre social » nécessaire afin d’éliminer tous les « inutiles » de la société ainsi séparée par les effets de ce « benchmarking », en sympathisants d’un côté et en résistants, divergents ou rebelles de l’autre. C’est là que se positionnent déjà les raisons des affrontements futurs et des violences à venir.

CONCLUSION

Mesdames et messieurs, il est donc grand temps de tomber le masque, massivement, collectivement, car le virus n’est pas le sujet ! Il est temps de mettre fin au dressage, à cette fabrique du consentement, il est temps de prendre position et de désobéir massivement à ce pouvoir qui organise un « meurtre social » afin de nous imposer le contraire de ce que nous voulons : une société humaine, fraternelle et démocratique.

Puisque nous avons compris pourquoi le virus, les états d’urgence sanitaire, la guerre contre une menace invisible, n’étaient pas du tout le sujet, la menace de mort venant directement des mesures de répression, des interdits de soigner adressés aux médecins, les empêchant de prescrire des traitements efficaces à leur disposition depuis bien longtemps, des confinements et autres violences du « coronacircus », provoquant un massacre à grande échelle de toute l’économie et de l’existence concrète de millions de gens, il est temps de pratiquer la désobéissance civile massive et de laisser tomber ces gouvernements qui ne sont pas au service des intérêts du bien commun, mais seulement au service des intérêts de cette « élite » qui prétend être la seule rationnelle, la seule à savoir, la seule à pouvoir diriger le monde dans la bonne direction, le peuple étant ignare, émotionnel, irrationnel, incontrôlable… 

Un passage forcé vers le Tout numérique : non merci ! Pas dans les conditions et avec les motivations soigneusement cachées qui finalement sont apparues en pleine lumière, se révélant être arrogantes et méprisantes pour un peuple traité comme « inutile », ignare, sans intérêt avec ses exigences et revendications de la démocratie incompatible avec l’aubaine d’un passage en force au tout numérique pour le seul intérêt des grandes puissances financières faisant la pluie et le beau temps en ce monde !

Jean-Yves Jézéquel

 

 

Bibliographie :

  • Barbara Stiegler, « De la démocratie en pandémie » : santé, recherche, éducation, Tracts Gallimard N°23.
  • Chomsky Noam, « La fabrique du consentement », de la propagande médiatique en démocratie, éditions Agone, 2008.
  • Raoult Didier, Carnets de guerre 2021, Covid-19 : le plus grand scandale sanitaire du XXIème siècle, Michel Lafon.
  • Klaus Schwab & Thierry Malleret, « COVID-19: La Grande Réinitialisation », septembre 2020, aux éditions Forum Publishing.

Nota bene :

  • Les « nudge units », sont des structures de conseil aux gouvernements qui préconisent des manières d’utiliser les résultats de la psychologie comportementale pour « améliorer » dans un sens « orienté » l’action publique.
  • Le « benchmarking », inventé par Xérox, est un ensemble de procédures de recherches et d’analyses comparatives de la concurrence. Il permet d’améliorer les performances d’une entreprise grâce à l’élaboration d’un plan d’action rédigé grâce aux conclusions tirées de cette analyse.


Articles Par : Jean-Yves Jézéquel

A propos :

Jean-Yves Jézéquel, philosophe et psychanalyste, diplômé du troisième cycle en sciences humaines, est l’auteur d’une trentaine d’essais en philosophie, spiritualité, religion, psychologie. Il publie également depuis 2014, une série d’analyses sur les grandes questions actuelles de société.

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