Enjeux du pass vaccinal et point synthétique sur les effets secondaires des vaccins à ARN-m
A l’heure où une véritable hystérie sanitaro-sécuritaire s’empare du pouvoir afin de renforcer la criminalisation des français de plus de 18 ans officiellement réfractaires à la « vaccination » ARN-m, il n’est pas inutile de procéder à quelques rappels. Durant la période s’étalant, du 31 mai au 11 juillet 2021, les non-vaccinés représentaient « près de 85 % des entrées hospitalières, que ce soit en hospitalisation conventionnelle ou en soins critiques », selon les documents officiels sur lesquels s’appuie la macronie. Mais ça, c’était la moyenne sur une période où la vaccination de masse était encore relativement balbutiante. Il existait alors un important biais statistique : bien davantage de non-vaccinés que de vaccinés dans la population : durant cette période, la proportion des individus doublement vaccinée s’est montée en moyenne à 27 %, contre un peu plus de 73 % à la fin de l’année 2021… 85 % des entrées hospitalières pour une proportion de 73 % de la population du 31/05 au 11/07/2021, c’est tout de suite beaucoup moins impressionnant !
Qu’en est-il donc aujourd’hui de la situation, alors qu’on nous présente en boucle des reportages sur des services de réanimation soi-disant encombrés de vilains irresponsables anti-vax ? Si l’on recherche sur le portail gouvernemental officiel, une chose saute d’abord aux yeux :
Selon cette capture d’écran prise le 03/01/2022, les données mises en avant sur la plateforme gouvernementale datent de juillet 2021 ! Eh, il faudrait peut-être un suivi plus régulier et mettre à jour vos chiffres !…
« On peut débattre de tous, sauf des chiffres », déclarait jusqu’à il y a peu sans discontinuer la propagande TV gouvernementale vomie depuis l’été 2021…
Nous voulons bien débattre, mais encore faudrait-il des chiffres récents, pour juger de l’évolution ! Et là, il faut partir à la chasse et s’armer de patience ! Aucun chiffre global, comme celui de la propagande gouvernementale élaborée en juillet 2021 ne sort immédiatement sur les moteurs de recherche… On peut trouver des données régionales partielles, sans savoir sur quels critères telle ou telle région est présente ou absente du panel (même si on s’en doute un peu…) En outre, le référentiel a été changé : on ne parle plus de proportion de vaccinés et de non-vaccinés en réanimation, mais de nombre de réanimations par million d’individus. En bref, tout est fait pour nous empêcher d’interpréter les chiffres de façon simple et comparable et donc entretenir le flou et manipuler l’opinion… Pour trouver facilement des chiffres récents, il faut passer par le filtre de la presse-tituée de masse, qui se borne d’ordinaire à recopier les dépêches prémâchées et prédigérées de l’AFP et de Reuters…
Dans un article intitulé « Covid-19 : pourquoi y a-t-il plus de vaccinés que de non-vaccinés admis à l’hôpital ? » datant de la mi-décembre 2021, nous dénichons enfin des chiffres assez récents et commençons à comprendre le pourquoi de cette difficulté d’investigation. L’article donne bien des chiffres pour les tests PCR (bidons…) et des hospitalisations, … mais RIEN sur les patients en soins critiques ni les décès ! A défaut de disposer des chiffres concernant les réanimations et les décès, on peut légitimement se demander si la raison n’est pas délibérée parce qu’ils seraient trop dissonants… Première remarque : la méthode ! On a changé de référentiel : on ne parle plus de proportion des vaccinés ou de non-vaccinés, mais d’incidence pour chaque population…
Le nombre d’hospitalisations chez les non-vaccinés se montait donc aux alentours de 75 par million à la mi-décembre. Celui des double-vaccinés à 20 par million et celui des vaccinés avec rappel à près de 5 par million. La différence peut sembler colossale au premier abord, mais 75 par million, ça ne fait jamais en théorie que 5 025 patients non vaccinés hospitalisés pour 67 millions d’habitants. Et ce ne sont pas là les patients en soin critique… Notre système de santé est-il si dégradé qu’il ne soit en mesure de gérer ce modeste afflux de cinq milliers de patients Covid ? Sur la base d’une double vaccination, la France compterait 1 675 patients hospitalisés pour 67 millions d’habitants. Sans égards à l’analyse des hospitalisations en fonction des classes d’âge, la balance bénéfice/risque serait globalement positive avec un différentiel de 3 350 patients hospitalisés à un instant donné (le haut du pic enregistré à la mi-décembre)… Mais rien de mirobolant…
Finalement, nous avons vu notre patience et nos efforts de recherche être récompensés : nous sommes ainsi parvenus à dénicher un document officiel détaillé récent présentant les données brutes tant désirées d’où sont extraits le graphe et le tableau qui va suivre…
De source officielle, au mois de novembre 2021, les patients non-vaccinés ont ainsi représenté 52 % des patients admis en soin critique et 38 % des décès ! Dans le même temps, les patients ayant reçu au moins une vaccination complète ont représenté 47 % des patients admis en soin critique et 60 % des décès !
Il y a donc certes une surreprésentation des non-vaccinés par rapport au poids démographique des individus vaccinés (et donc un facteur de risque réel), mais nous n’en avons pas moins la confirmation d’une proportion beaucoup moins flatteuse que celle fanfaronnée des mois durant par la propagande sanitaro-sécuritaire officielle pour pousser le troupeau à la vaccination !… En outre, il est essentiel de pondérer et de relativiser ce risque en fonction des classes d’âge.
Pour dédramatiser, on voit ici que le risque d’hospitalisation en soins critiques est très faible chez les moins de quarante ans par rapport aux 80 ans et plus (moins de 10 %). Le risque de décéder est pour sa part statistiquement nul. Pour cette classe d’âge, il apparaît donc évident que la balance bénéfice/risques n’est pas du tout favorable. La même conclusion vaudrait sans aucun doute pour la classe supérieure (40 à 59 ans), si seulement le recours aux traitements précoces efficaces était la règle et non l’exception !…
Outre la problématique majeure du manque de visibilité et de réalisme sur les données officielles relatives aux soins critiques et à la mortalité ̶ ce qui est pourtant l’essentiel dans ces temps où l’on prétend s’appuyer sur un consensus scientifique ! ̶ , c’est oublier un peu vite un autre problème majeur : celui des effets secondaires plus ou moins graves, induits notamment chez les classes d’âge jeunes et moyennes par les injections d’ARN-m.
Il n’est pas exagéré de dire qu’il s’agit d’un véritable tabou dont la quasi-totalité des mass-médias s’abstiennent pudiquement de parler de manière sincère et qu’on minimise par mille moyens. Ces effets secondaires se ramèneraient à ceux d’un vaccin grippal et les accidents plus graves seraient très exceptionnels. Voilà pour la théorie présentée au troupeau afin de le motiver à aller se faire piquer et repiquer : « qu’est-ce que je risque ? »…
Sauf qu’en creusant un peu, il s’avère que les risques sont en réalité un peu plus variés, fréquents et potentiellement plus graves qu’annoncé initialement, parmi lesquels des risques associés de myocardite/péricardite, de thrombose veineuse ou de fuite capillaire… Voilà ce qui ressort d’un document de pharmacovigilance publié par l’agence belge de sécurité du médicament. Et en creusant encore davantage, on s’aperçoit que ces effets secondaires, dont nos autorités font aujourd’hui semblant de s’inquiéter… tout en cherchant à étendre la vaccination obligatoire, étaient parfaitement connus du lobby pharmaceutique lui-même. Ainsi, le média alternatif Globalresearch, l’une des bêtes noires de la Maison Blanche, a-t-il récemment mis la main sur un rapport interne de pharmacovigilance accablant de chez Pfizer datant du mois d’avril 2021 :
« En février 2021, Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés, dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques. (…) Gardez à l’esprit qu’il s’agit des propres données de Pfizer. (…) Ce rapport confidentiel Pfizer publié dans le cadre d’une procédure d’accès à l’information (FOI) fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés (adverse events) par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu’à fin février 2021, soit une période très courte (environ deux mois et demi). Le vaccin Pfizer BioNTech a été lancé aux États-Unis le 14 décembre après l’octroi de l’autorisation d’utilisation d’urgence le 11 décembre 2020. Dans une ironie tordue, les données révélées dans ce « rapport confidentiel » réfutent le récit officiel du vaccin colporté par les gouvernements et l’OMS. Il confirme également l’analyse de nombreux médecins et scientifiques qui ont révélé les conséquences dévastatrices du « vaccin » à ARN-m. Le rapport « confidentiel » de Pfizer contient des preuves détaillées des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent directement de la « Bouche du Cheval » (straight from the horse’s mouth) peuvent désormais être utilisées afin d’affronter et appuyer la formulation de procédures judiciaires à l’encontre du Big Pharma, des gouvernements, de l’OMS et des médias. Devant un tribunal, les preuves contenues dans ce rapport confidentiel de Big Pharma (couplées aux données sur les décès et les événements indésirables compilées par les autorités nationales de l’UE, du Royaume-Uni et des États-Unis) sont irréfutables : car ce sont leurs données et leurs estimations et pas les nôtres ».
Ces faits sont d’une extrême gravité, car nous parlons d’un vaccin censé prévenir un risque, et non d’un médicament censé guérir une personne malade et pour lequel il est plus acceptable d’avoir des contreparties si elles sont inférieures aux gains escomptés. Comme on le voit, le rapport bénéfice/risque est bien moins favorable qu’à première vue (c-à-d que dans les publicités vaccinales officielles), d’autant que les classes jeunes ne sont pas épargnées par ces effets secondaires. Pour ces dernières la balance bénéfice/risque est clairement défavorable. « Primum non noncere » ! « D’abord ne pas nuire ! », comme l’ont si souvent souligné les médecins réalistes, depuis Didier Raoult à Christian Perronne en passant par le médecin anesthésiste-réanimateur Louis Fouché.
Selon le compte-rendu fait par la directrice de l’ANSM devant une commission du sénat daté du 01/12/21, il existe indéniablement « une sous-déclaration » des effets secondaires des vaccins à ARN-m qu’elle s’empresse néanmoins de minimiser. Elle ne serait pas si importante que cela… Eh oui, la pieuvre bureaucratique fait admirablement son boulot en France ! Selon les chiffres officiels compilé par le céphalopode gaulois, ce n’en sont pas moins 110 000 déclarations d’effets secondaires qui ont été attribuées aux seuls « vaccins » ARN-m de janvier à mi-novembre 2021, contre 45 000 pour l’ensemble des médicaments au cours d’une année « normale », et, souligne la rapporteuse de l’ANSM, en comptant 24 % d’effets secondaires jugés « graves »… Un chiffre « en dessous de la moyenne » (habituelle sur l’ensemble des médicaments) se félicite la vendue aux lobbys pharmaceutiques… Le différentiel en termes de déclarations d’effets secondaires n’en reste pas moins colossal, puisque ces effets sont attribuables à une seule cause ! Que représentent rien de moins que 24 % de 110 000 effets secondaires ? Eh bien pas moins de 26 400 personnes qui ont écopé de plus que des symptômes grippaux !… Donc d’un côté, quelques milliers de malades non-vaccinés du Covid posent un problème insurmontable de « santé publique », mais pas ces dizaines de milliers de victimes d’effets secondaires graves ?! De toute évidence, quand on voit cette vaccination forcée (alors que cela devrait rester un choix individuel libre), alors même que l’efficacité est basse comparée aux effets secondaires déclarés, on doit se dire qu’il y a vraiment quelque chose qui cloche…
A titre personnel, et même si cela ne reste qu’une observation locale dont la valeur est toute relative, nous avons dans notre entourage plus ou moins proche une personne dont une jambe a enflé plus d’une semaine durant (un événement à ce jour non déclaré comme effet secondaire potentiel de la vaccination) et une autre souffrant de myocardite, sans oublier deux autres se plaignant d’être beaucoup plus régulièrement sensibles aux infections traditionnelles de l’hiver depuis leur vaccination… Il s’agit pour tous ces cas de personnes âgées entre 40 et 60 ans. Nous devons sans doute nous estimer particulièrement « chanceux » d’être entourés d’une telle concentration d’effets secondaires sérieux… Rappelons également que les patients de moins de quarante ans avaient représenté bien moins de 1 % de la centaine de milliers de décès attribués en France à la 1ère vague d’avril 2020. Selon l’INSEE, malgré la vague d’avril 2020 (dont le variant était plus létal que le Delta et encore davantage que l’Omicron), les moins de 35 ans ont vu leur mortalité diminuer en 2020, et seuls les individus âgés de plus de 75 ans ont vu leur mortalité augmenter considérablement (au gré d’une gestion de crise calamiteuse durant laquelle les autorités ont empêché la prise en charge précoce des malades qui est à l’origine de l’essentiel de cette surmortalité), en concordance avec les observations de Didier Raoult qui remarquait qu’à l’IHU, les patients décédés étaient des sujets très âgés avec des comorbidités importantes et avaient perdu autour de 1,5 année d’espérance de vie et qu’une prise en charge précoce des malades avec un traitement adapté diminuait considérablement la charge de patients admis en soins critiques ainsi que la létalité de l’infection, en tout cas bien davantage que les produits expérimentaux qu’on veut aujourd’hui absolument nous inoculer de force ! Voilà pour la France…
Il nous apparaît enfin essentiel de ne pas demeurer enfermé dans nos frontières et de faire un point (même succinct) sur la situation à l’échelle internationale. Comme le synthétisait hier un observateur attentif et perspicace de la situation, le Général Dominique Delawarde :
« A l’échelle planétaire, aucune amélioration significative de la situation n’est encore vraiment perceptible, bien au contraire, puisqu’il y aura eu deux fois plus de décès Covid en 2021 qu’en 2020 alors même qu’il y a consensus scientifique pour admettre que le variant delta a été moins létal que ses prédécesseurs. Un vaccin est par définition un outil visant à éradiquer une épidémie ou à la faire reculer. C’est loin d’être le cas après 13 mois de campagne de vaccination de masse. Toutefois le dernier variant Omicron, très contagieux mais très peu létal pourrait bien être, en 2022, le vaccin naturel attendu si l’on en croit la forte baisse des nombres de décès enregistrés en décembre 2021. On me rétorquera que la situation serait bien pire si l’on avait adopté d’autres stratégies de lutte contre la pandémie. C’est une affirmation commode et gratuite qui est, malheureusement, démentie par les faits (« On peut débattre de tout sauf des chiffres » nous répètent inlassablement les médias, relayant le discours du gouvernement français.) Eh bien parlons chiffres ! (…) Curieusement, et c’est une autre exception française, il n’y avait, selon les déclarations officielles, que des non vaccinés dans les réanimations et dans les décès enregistrés en France (80 % selon la propagande officielle…..). Ces proportions ont été revues fortement à la baisse et la publicité « tous vaccinés, tous protégés » a été retirée. Sans doute les autorités lisent-elles mes rapports et considèrent que leurs mensonges ne sont plus tenables. Curieusement aussi, aucun des nombreux effets secondaires recensés dans d’autres pays ne semble apparaître en France et leur nombre, largement sous évalué, n’est plus porté à la connaissance du public par les médias depuis Juillet dernier. Les chiffres de mortalité Covid et l’omerta sur les effets secondaires étant ce qu’ils sont, il devient légitime de s’interroger sur l’absence d’efficacité et de miracle vaccinal. « Le vaccin ne tue-t-il pas, in fine, plus qu’il ne protège ? » En clair, le spot TV français « On peut débattre de tout sauf des chiffres » relève de la manipulation grossière dans la mesure où le chiffre annoncé (80 % de non vaccinés dans les réanimations) était faux. Et ce chiffre était faux parce qu’il était très loin d’être cohérent avec ceux qui nous venaient du monde entier en provenance de pays qui connaissaient la même situation que nous. En clair, le slogan répété inlassablement par les politiques et leurs relais médiatiques : « Tous vaccinés, tous protégés » apparaît chaque jour un peu plus mensonger et contre productif ».
C’est en Corée du Sud, dont nous avons évoqué le cas singulier il y a peu, que ce mensonge apparaît déjà au grand jour. Là-bas, les médias de masse reconnaissent déjà, études scientifiques à l’appui, que le variant Omicron se caractérise par un « échappement vaccinal considérable ». Une autre position était de toute façon intenable alors que la Corée du Sud voit aujourd’hui les questions sur la vaccination se multiplier. Le pays affronte en effet sa pire vague d’infections et de décès en deux ans, et tout cela dans un pays était vacciné (deux doses et plus) à 75 % à la fin octobre 2021 et à 83 % aujourd’hui… Là-bas, le débat sur la mortalité et les effets secondaires des vaccins ARN-m a commencé à s’inviter dans l’espace public… au gré de manifestations des familles de victimes décédées :
Ce qui se passe en Corée du Sud montre à la caste dominante ce qui l’attend : les peuples pourraient bien rapidement lui demander des comptes ! La situation est indéniablement périlleuse pour nos élites qui craignent que ça tangue fortement en 2022 : même dans les grands médias, on commence à cogiter et à s’inquiéter de la défiance populaire croissante ainsi que de ses répercussions à brève échéance.
Aux USA, la surmortalité induite par l’expérimentation de masse à l’ARN-m commence également à faire des vagues, le média alternatif Réseau International rapporte ainsi la hausse spectaculaire et « jamais vue » de la mortalité constatée par le géant américain de l’assurance OneAmerica dans un article accablant :
« Scott Davidson, PDG de la compagnie d’assurance OneAmerica, basée à Indianapolis, a déclaré la semaine dernière que le taux de mortalité dans l’Indiana avait augmenté de 40 % par rapport aux niveaux d’avant la pandémie chez les personnes en âge de travailler. L’aveu choquant de Davidson a été fait lors d’une conférence de presse en ligne organisée par la Chambre de commerce de l’Indiana, rapporte TheCenterSquare. Davidson a déclaré lors de la conférence en ligne du 30 décembre :
« Nous constatons, en ce moment, les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons vus dans l’histoire de cette entreprise – pas seulement chez OneAmerica. Les données sont cohérentes pour tous les acteurs du secteur. Ce que nous venons de voir au troisième trimestre, et nous le voyons se poursuivre au quatrième trimestre, c’est que les taux de mortalité ont augmenté de 40 % par rapport à ce qu’ils étaient avant la « pandémie ». »
Selon Davidson, l’augmentation des décès représente « des nombres énormes, énormes », et les décès ne concernent pas les personnes âgées, mais « principalement les personnes en âge de travailler de 18 à 64 ans » . (…) Le PDG a ajouté que l’augmentation n’est pas le résultat de la « pandémie » car la plupart des réclamations ne concernent pas les décès dus au COVID-19. (…) Le Dr Lindsay Weaver, médecin en chef de l’Indiana, a déclaré lors d’une conférence de presse avec le gouverneur Eric Holcomb mercredi que le nombre d’hospitalisations dans l’Indiana est maintenant plus élevé qu’avant l’introduction du vaccin COVID-19 il y a un an, et en fait, il est plus élevé qu’il ne l’a été au cours des cinq dernières années ».
Il y a peu, c’est le Dr Robert Malone, l’inventeur de la technologie à ARN-m lui-même, qui se livrait à un plaidoyer « contre la vaccination des enfants ». Dès le mois de juillet 2021, le Dr Robert Malone avait lancé un avertissement clair : « je déclare que la protéine native Spike est toxique ».
A la mi-décembre 2021, France Soir publiait le discours du Dr Robert Malone prononcé le 12 décembre à la tribune du Global Covid Summit et the Unity Project « afin d’enrayer le processus de vaccination en masse des enfants en bonne santé », précisant au passage que 15 000 médecins et scientifiques dans le monde avaient « conjointement signé une déclaration visant à marquer leur opposition à une mesure qui ne repose selon eux sur aucune donnée scientifique » :
« Je m’appelle Robert Malone. Je suis un médecin et scientifique, mais plus important encore, je suis père et grand-père. Je n’ai pas l’habitude de lire un discours préparé, mais ce sujet est si important que je voulais m’assurer que chaque mot et chaque fait scientifique soient exacts. Je m’en tiens à cette déclaration, car j’ai consacré ma carrière à la recherche et au développement de vaccins. Je suis vacciné contre le Covid et je suis généralement pro-vaccination. J’ai consacré toute ma carrière au développement de moyens sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses. Voilà mon message : Avant de faire injecter votre enfant ̶ une décision qui est irréversible ̶ je voulais vous faire connaître les faits scientifiques concernant ce vaccin génétique, qui est basé sur la technologie du vaccin ARN-m que j’ai créée. Il y a trois points essentiels que les parents doivent comprendre avant de prendre cette décision irrévocable. Le premier est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de votre enfant. Ce gène oblige l’organisme de votre enfant à fabriquer des protéines de pointe toxiques. Ces protéines provoquent souvent des dommages permanents dans les organes critiques des enfants. Ces organes comprennent leur cerveau et leur système nerveux, leur cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris des caillots sanguins, le système reproducteur. Et le plus important : ce vaccin peut déclencher des changements fondamentaux dans leur système immunitaire. Le point le plus alarmant à ce sujet est qu’une fois que ces dommages ont eu lieu, ils sont irréparables. Ils ne peuvent pas être inversés. Vous ne pouvez pas réparer les lésions à l’intérieur de leur cerveau. Vous ne pouvez pas réparer les cicatrices du tissu cardiaque. Vous ne pouvez pas réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé, et ce vaccin peut causer des dommages du système reproducteur qui pourraient affecter les générations futures de votre famille. La deuxième chose que vous devez savoir est le fait que cette nouvelle technologie n’a pas été testée de manière adéquate. Nous avons besoin d’au moins 5 ans de tests et de recherches avant que nous puissions réellement comprendre les risques associés à cette nouvelle technologie. Les effets néfastes et les risques des nouveaux médicaments sont souvent révélés des années plus tard seulement. Posez-vous s’il vous plaît, en tant que parent, cette question : voulez-vous que votre propre enfant fasse partie de l’expérience la plus radicale de l’histoire de l’humanité ? (…) L’analyse bénéfice-risque n’est absolument pas favorable à ces vaccins s’agissant des enfants. En tant que parent et grand-parent, je vous recommande vivement de résister et de vous battre pour protéger vos enfants ».
Nous conseillons à ceux intéressés par la compréhension des interactions des vaccins à ARN-m avec les mécanismes de l’immunité, de lire avec attention la série de trois excellents articles (1, 2, 3) publiés la semaine dernière sur le média alternatif France Soir par le Dr Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et docteur en biologie cellulaire et en microbiologie. Comme le soulignait le 31 décembre 2021 dernier le Dr Jean-Marc Sabatier,
« Le point important sur lequel je souhaite alerter à nouveau (notamment les autorités sanitaires), ce sont les dangers associés aux rappels vaccinaux multiples, liés à une toxicité directe de la protéine Spike (organes, tissus et système immunitaire), ainsi que les phénomènes ADE et ERD. ERD est l’abréviation de Enhanced Respiratory Diseases (facilitation des maladies respiratoires). Cette facilitation des maladies respiratoires inclut le phénomène ADE. Dans l’ERD, vous avez l’ADE et également tout ce qui facilite l’infection des cellules par le virus, mais qui ne dépend pas des anticorps. Je rappelle que l’ADE est l’abréviation de Antibody Dependent Enhancement, c’est-à-dire une facilitation de l’infection dépendante des anticorps. Mais vous pouvez également avoir une facilitation de l’infection qui ne dépend pas des anticorps. Ceci est inclus dans le phénomène ERD. On parle essentiellement d’ADE mais on devrait plus parler d’ERD parce qu’il s’agit du phénomène global. Par exemple, une substance qui va favoriser l’orage de cytokines très délétère est associée à l’ERD. Le phénomène ne repose donc pas sur l’ADE puisqu’il est indépendant des anticorps. Aussi, une molécule pro-inflammatoire qui va attirer localement de nombreuses cellules du système immunitaire qui vont produire des cytokines délétères pour la cellule doit être associée au phénomène ERD. Ainsi, le phénomène ERD répond également de l’immuno-pathologie à médiation cellulaire. Cependant, au-delà des phénomènes ERD/ADE, je voulais revenir sur le fait que tous ces rappels conduisent au dysfonctionnement de l’immunité innée (et par voie de conséquence, de l’immunité adaptative/acquise). Il existe des travaux scientifiques qui montrent que la protéine Spike, ou l’injection répétée et massive d’un vaccin, peut conduire à un dérèglement durable du système immunitaire. Ceci suggère que les cellules de l’immunité innée ne vont plus être capables d’effectuer correctement leur travail. Et cela peut avoir pour conséquence d’initier des maladies auto-immunes. Si l’on procède à des injections multiples et massives du même vaccin, il y aura un dysfonctionnement inévitable de l’immunité innée, avec l’apparition de maladies auto-immunes ou une aggravation de celles-ci, voire de cancers, de troubles neurologiques et autres pathologies ».
Nous conseillons enfin la lecture attentive de l’excellent article scientifique rédigé par le Dr Jean-François Lesgards et publié le 20 août 2021. Basée sur la compilation des études scientifiques internationales sérieuses les plus récentes (entre autres chinoises, mais pas seulement), sa conclusion est sans appel :
« Pour toutes les raisons exposées dans cet article et étayées par la littérature scientifique, on s’aperçoit que les formes graves et les décès observés, en particulier avec les vaccins de type ARN-m et ADN que l’on nomme un peu rapidement vaccins, même s’ils produisent bien des anticorps dirigés contre le virus SARS-CoV2, peuvent être expliqués par des mécanismes biologiques et biochimiques. Cette toxicité, en particulier due à la protéine spike, est connue depuis plus de dix ans. Certains des adjuvants et les nanolipides entourant l’ARN-m sont aussi préoccupants et peuvent participer aux effets secondaires graves observés, dont, en particulier, les thromboses. Nous n’avons pas suffisamment de recul sur ces technologies géniques comme les nomme l’inventeur lui-même, Robert Malone. Il serait plus sage de recommander des vaccins classiques (malgré les risques présents aussi d’ADE) ou avec une protéine spike désactivée et des adjuvants plus sûrs et connus. Cela pourrait d’ailleurs inciter de nombreux citoyens éclairés ou non à se faire vacciner. Nous assistons donc à une totale expérimentation à l’aveugle à l’échelle planétaire et c’est inacceptable, car le risque est totalement inconsidéré notamment au vu de la mortalité et de la létalité faible de cette maladie du COVID ».