Faut-il se faire vacciner ? À trancher sur les faits objectifs !
Faut-il se faire vacciner ? Question médicale ou bien à débattre au café du Commerce ?
« Et avec quelle quantité d’illusions ai-je dû naître pour pouvoir en perdre une chaque jour ! » Émile Cioran (cité par T. Dietrich)
Faudrait-il pour cela qu’il existe encore des cafés ! Passons ! Il me semble toujours ahurissant que des médias et des plus nobles fassent des sondages « pour ou contre le vaccin », pour ou contre le confinement etc. Ces sondages n’ont d’intérêt, me semble-t-il, que pour que les communicants puissent évaluer leur pouvoir d’intoxication du peuple.
Le consentement libre et éclairé doit être le préalable à tout acte médical.
Non, il ne faut pas être cobaye à moins d’être conscient de l’être et le vouloir ! Jouer à la roulette russe est un choix respectable si on en est averti. Mais la propagande pro-vaccinale actuelle dont Goebbels eut été jaloux ne vous permet pas ce consentement libre et éclairé.
Débattre d’un sujet aussi grave, engageant peut-être l’avenir de l’Humanité et en tous cas celui de nombreux terriens est grave et ne peut relever de la simple expression de « croyances » entre amis ou en famille, mais bien d’arguments reposant sur des faits établis.
la démocratie en santé et l’avis du citoyen
Les pseudo-enquêtes du gouvernement sur l’accord des Français pour la vaccination obligatoire des enfants rapidement après la naissance par onze vaccins (dont l’hépatite B qui ne s’attrape que par le sang ou le sexe ou la poliomyélite qui ne s’attrape que dans les pays sans eau potable, et qui ne sont pas sans risque), ou sur l’intérêt d’un passeport vaccinal sont des modèles du genre. Relisez avec attention le document de sortie du haut fonctionnaire en charge de l’enquête et dégoûté, Thomas Dietrich [1].
« S’il faut user d’une expression quelque peu triviale, j’emploierais celle de mascarade. J’en suis désormais convaincu : la démocratie en santé n’est qu’une vaste mascarade montée par les hommes et les femmes politiques pour faire croire à une certaine horizontalité de la décision publique en santé – alors qu’elle n’a jamais été aussi verticale. Et tout ceci au détriment des citoyens, dont on utilise les deniers pour mettre sur pied des instances consultatives qui, comble du cynisme, ne doivent à aucun prix remplir le rôle qui leur a été assigné par la loi. » T. D.
« La Démocratie sanitaire n’a pas pris le bon chemin, c’est une oriflamme en berne faute d’écoute et de respect des services ministériels »
« Ce fut un énième moulin contre lequel je brisais ma lance de plus en plus émoussée. Le 12 janvier 2016, la députée Sandrine Hurel remit son rapport sur la vaccination à Marisol Touraine.
De l’avis de tous, ce rapport est une somme assez sidérante de lieux communs et ne contient aucune proposition d’envergure. Certains ne sont même pas loin de penser que ce rapport n’a été commandé qu’afin de faire patienter les citoyens en espérant que ceux-ci finissent par se désintéresser de la question.
Quoi qu’il en soit, dans la foulée de la remise de ce rapport, Marisol Touraine annonça la tenue d’un débat public calqué sur le modèle que je m’étais évertué à dénoncer et donc, faussement indépendant.
Plus audacieux encore, il fut annoncé ce même 12 janvier le nom du président du comité d’orientation du débat, à savoir le professeur d’immunologie pédiatrique Alain Fischer.
Selon les dires de la ministre, il se trouvait être une personnalité « indépendante » et « incontestable ». Une petite recherche internet suffit à détricoter la toile de Pénélope. Alain Fischer a été un membre éminent du comité de [2] campagne de Martine Aubry lors des primaires socialistes de 2011. Quand on sait les liens qui lient Martine Aubry et Marisol Touraine (également un de ses soutiens pendant les primaires), on imagine le caractère éminemment politique de ce choix. D’autant que ce n’est pas une première : l’actuel DGS, Benoît Vallet doit aussi sa nomination à sa proximité avec la maire de Lille.
Résumons le tableau, qui ressemble de plus en plus à une vision de l’Enfer de Jérôme Bosch :
– un débat public piloté par une agence sous tutelle de l’État et qui mène dans le même temps des campagnes de communication pro-vaccination,
– un comité d’organisation de ce débat aux ordres de la ministre,
– un comité d’orientation dirigé par un proche de Marisol Touraine et qui n’aura de fait aucune indépendance…
N’importe quel citoyen peut ici se rendre compte que tout est mis en œuvre pour que la concertation accouche de conclusions qui aillent dans le sens de la politique que veut mener ce gouvernement ; qu’importe l’opinion d’une part non négligeable de la population.
« En fait de débat public, c’est une véritable opération de propagande qui est menée pour inciter les Français à se vacciner, en occultant totalement toute réflexion sur la question de la balance bénéfices/risques.
Machiavel en sortira sans doute grandi, mais non la démocratie en santé. L’état de santé des Français, non plus ».
Nous manipuler en nous racontant une belle histoire de démocratie… Trop facile et probablement un des chapitres les mieux enseignés à l’ENA ou dans les écoles de pub. C’est bien rodé au ministère de la Santé comme le texte de Thomas Dietrich le démontre s’il en était besoin. Et ce sont les mêmes, pleins d’objectivité et d’impartialité, qui viennent vous démontrer le caractère indispensable et sans risques du « vaccin » thérapie génique ou OGM totalement expérimental, dont on ne connaît en rien l’efficacité réelle et dont on commence à compter les victimes trop nombreuses pour une action « préventive » sur une maladie qui ne menace réellement qu’une fraction minime de la population.
La démocratie ne peut se résumer à des conversations sur des situations complexes.
Non, la démocratie n’est pas de juger de tout sur tout sans la moindre connaissance technique du problème. Si j’explique demain aux constructeurs de moteurs d’avion comment modifier leurs plans, monterez-vous dans l’avion si vous le savez ? Iriez-vous dans l’immeuble dont j’aurais modifié le modèle de l’architecte ?
La fabrique du consentement
Les médias dominants sont une extraordinaire entreprise de manipulation nous faisant croire à notre large savoir alors qu’ils appliquent une soigneuse politique de déculturation, voire d’acculturation.
Depuis toujours, les « avis » recueillis dans les émissions radio, comme les micros-trottoirs TV me semblent le modèle achevé de la célèbre mais oubliée Fabrique du consentement bien élucidée par Noam Chomsky.
Quand on interroge des mères pour savoir si elles souhaitent faire vacciner leur fille contre le cancer du col, comment peuvent-elles dire non ? Les a-t-on averties que cette vaccination, au lieu de prévenir un rare cancer du col vingt ou trente ans plus tard, favorise au contraire l’émergence précoce de cancers dans les années suivant la vaccination ? Les a-t-on informées des risques d’effets secondaires graves tels qu’en a témoigné la jeune Océane Bourguignon à travers son procès contre le fabricant ? Non ! ces mamans sincères auront été manipulées, intoxiquées par de fausses informations nichées au milieu de faits exacts, afin d’altérer leur méfiance.
Comme ici, avec l’extraordinaire saga du Covid déroulée avec maestria depuis janvier 2020 tant sur l’invention des tests PCR et de leur usage mondial et frauduleux que la contagiosité irréelle des « asymptomatiques » autrefois dits « bien-portants », de la gravité de l’épidémie équivalente aux grippes sérieuses (la grippe asiatique a fait proportionnellement plus de victimes directes) mais pas à la Peste comme nos gouvernants ont osé la comparer (la peste noire a tué 30 à 40 % de la population européenne de l’époque). La bataille des chiffres actuels sur le réel nombre de décès réellement liés au Covid-19 tant aux USA selon le CDC qu’en Angleterre [3] démontre bien que nous avons affaire à une gigantesque mascarade. Le dernier épisode est bien sûr le cirque des vaccins dont tout un chacun semble accepter l’idée et pour lesquelles les seules discussions seraient de trouver le meilleur ou le moins risqué !
Le passeport vaccinal refusé par le gouvernement fédéral des USA
Tout ça pour cela avec une létalité de 0,01 % d’âge médian 85 ans ! Comment les peuples peuvent-ils accepter ce scénario pour retrouver quelques libertés – croient-ils – sous prétexte d’un passeport sanitaire … Et pourtant s’ils regardaient de près au lieu de se noyer dans la peur, ils sauraient déjà que le gouvernement fédéral américain refuse toute idée de discrimination et de privation de liberté contraire à la Constitution américaine et donc de ce fameux passeport.
Comment les Européens peuvent-ils imaginer que l’agonisante UE qui a montré son inefficacité serait capable de nous imposer cette invraisemblable privation de liberté ?
Non, ce ne doit pas être une conversation aussi amicale que possible qui informe sur la tragédie des vaccins OGM et ARNm, mais bien des éléments concrets et vérifiables par tous dont nous rappelons ici une nouvelle fois les principaux éléments.
Les tentatives de vaccin anti-coronavirus précédentes ont toutes échoué
Dans l’essai vaccinal contre la péritonite féline, les chatons vaccinés sont morts plus rapidement que les non-vaccinés. Chez le furet, le candidat vaccin a provoqué des hépatites. Chez la souris et chez le macaque rhésus chinois, les vaccins ont provoqué des lésions pulmonaires.
Dans le cadre des essais vaccinaux contre le MERS (MERS-CoV), chez des souris, un phénomène d’anticorps facilitants a été observé. Aucun vaccin humain contre le MERS ou le SRAS n’a pu être mis au point malgré plusieurs années de recherche. Ces observations dans les essais vaccinaux contre le SRAS et le MERS sont à l’origine des inquiétudes des immunologistes vis-à-vis de la sécurité des vaccins contre la Covid-19 dont le virus est proche.
Les vaccins commercialisés à cette date (avril 2021) contre le coronavirus du Covid-19 sont tous expérimentaux
Contrairement à ce qu’ont prétendu l’AFP et de nombreux médias, aucun des vaccins actuels n’a terminé ses essais phase 3. Les premiers résultats définitifs sont prévus pour janvier 2023 ! Il s’agit donc par définition de traitements expérimentaux qui ne bénéficient d’ailleurs que d’autorisation conditionnelle délivrée pour « raison d’urgence » en attendant les résultats définitifs.
Les errements des autorisations, des suspensions intermittentes, des modifications des recommandations témoignent d’ailleurs tous les jours qu’il s’agit de médicaments très mal et très partiellement évalués. Les résultats préliminaires des essais n’ont toujours pas permis d’établir le degré de protection qu’ils procurent contre la maladie, ni sa durée, ni s’ils empêchent la transmission de la maladie
Les seuls résultats dont on dispose actuellement sont ceux des premières campagnes de vaccinations et ceux-ci sont actuellement très inquiétants et non conformes au récit idyllique des médias et dont de nombreux internautes sont crédules.
Résultats angoissants des premières campagnes de vaccination
Les médias célèbrent le succès des campagnes de vaccination à l’aune du pourcentage des vaccinés, mais ne parlent presque jamais des seules choses qui importent pour les vaccinés, les bénéfices qu’ils peuvent en attendre et les risques qu’ils prennent en se vaccinant.
La Grande-Bretagne est le premier champion de la vaccination qui a commencé le 7 décembre 2020.
Au 11 avril 2021, 39 846 781 doses de vaccin avaient été administrées, plus de la moitié des Britanniques auraient reçu au moins une dose de vaccin, et la grande majorité des personnes âgées de plus 70 ans auraient reçu leurs deux doses. D’après les courbes OMS du 13 4 2021 [4], la vaccination commencée le 4 décembre a été suivie d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.
Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 1 674 138 contaminations.
En quatre mois post-vaccination, ce chiffre est passé à 4 369 779.
Malgré le confinement, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le 4 décembre, après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 60 113 morts attribuées au Covid-19. En quatre mois post-vaccination, ce chiffre a plus que doublé passant à 127 087 (+100 %). Surtout, lors de cette recrudescence de la mortalité, d’après un rapport gouvernemental, 70 % des décès ont touché des personnes qui avaient reçu leurs deux doses de vaccin [9].
Les Émirats arabes unis représentent le champion arabe de la vaccination avec 9 037 923 doses de vaccin administrées et plus de 45 % de sa population vaccinée au 2 avril 2021.
Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, les ÉAU comptaient 195 818 contaminations. En trois mois post-vaccination, ce chiffre est passé à 489 485 (+150 %). Malgré le confinement, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le 23 décembre avant la vaccination, après neuf mois d’épidémie, les Émirats arabes unis comptaient 642 morts attribuées au Covid-19. Le 14 avril, ce chiffre a plus que doublé passant à 1 541 (+150 %). Le mois de février 2021 a établi le record mensuel de la mortalité (375), devançant celui de mars (271).
Israël représente actuellement le champion de la vaccination Pfizer.
Au 4 avril 2021, 10 096 213 doses de vaccin avaient été administrées et près de la moitié de la population vaccinée. La vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières pendant 2 mois, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.
La mortalité a suivi la courbe des contaminations. Le mois de janvier a établi le record mensuel de la mortalité (1 427) depuis le début de l’épidémie dans ce pays et celui de février le second (774).
À Gibraltar (34 000 habitants) la vaccination a commencé le 9 janvier 2021.
À cette date l’État comptait 2 789 cas et 11 morts attribués au Covid-19.
Depuis ce jour, les contaminations ont été multipliées par 2 (4 277) et les morts par 8,5 (94).
Résultats globaux
Dans tous les pays largement vaccinés, l’évolution a été marquée pendant 4 à 6 semaines post-vaccinales par une augmentation sans précédent du nombre quotidien des contaminations et des décès, avant une stabilisation proche des chiffres d’avant vaccination. Ces évolutions très angoissantes ne correspondent absolument pas aux chiffres de protection annoncés par les communiqués de victoire des firmes.
Les accidents post-vaccinaux se multiplient
Certains effets secondaires sérieux des vaccins sont particulièrement fréquents. Ainsi la vaccination des soignants français a été suivie de 20 à 40 % de malaises obligeant les soignants vaccinés à arrêter de travailler un à plusieurs jours et la Haute Autorité de santé à conseiller de ne plus vacciner tout le personnel d’une équipe le même jour.
Des accidents rares, mais très graves ont été rapportés chez des jeunes en pleine santé qui ne craignaient rien du Covid-19 : un interne de médecine est mort à Nantes et un pompier du Var s’est retrouvé en réanimation. La possibilité de ces accidents graves explique la réticence croissante des soignants à se faire vacciner.
Chez les personnes très âgées, les effets secondaires des vaccins sont fréquents et la fragilité des pensionnaires d’Ehpad explique les conséquences dramatiques qu’ils peuvent entraîner.
Après 27 morts survenus dans ces établissements, l’agence norvégienne a d’ailleurs déconseillé de les vacciner [10] « Des effets indésirables courants peuvent avoir contribué à une évolution sévère chez les personnes âgées fragiles ». En Grande-Bretagne le décès du prince Philip et en France — les décès post- vaccinaux des plusieurs centenaires doyens de leur région et les suites post-vaccinales de la ministre Roselyne Bachelot nous rappellent la sagesse de cette recommandation.
Les chiffres officiels des effets secondaires graves et des décès reconnus liés à la vaccination par l’EMA (agence européenne du médicament), sont consultables sur la base de données EUDRAVIGILANCE.
(source http://echelledejacob.blogspot.com/2021/04/effets-secondaires-en-europe-sur-les.html )
Espérons que ces chiffres officiels enrichiront les conversations d’éléments concrets.
Nicole Delépine
Notes :
[1] Démocratie en santé : les illusions perdues, Contribution au rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (réalisé par madame Huguette Mauss) sur le pilotage de la démocratie en santé au sein du ministère des Affaires sociales et de la Santé Par Thomas Dietrich, responsable du secrétariat général de la Conférence nationale de santé (CNS) de mars 2015 à février 2016
[2] http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/01/12/24483-marisol-touraine-lance-debat-public-sur-lobligation
[3] They’re lying to you – Official NHS data shows only 3.5K have died of COVID-19 – Daily Expose
[4] Consultables en tapant WHO Covid19 Dashboard