« Hold-On » : un an plus tard, les réponses aux questions du film « Hold-Up » ?

« Hold-Up » a fait couler beaucoup d’encre fin 2020. Un an plus tard, la suite risque d’en faire couler au moins tout autant, pour finir l’année 2021 en beauté. Il y a un mois, la bande-annonce de « Primum non nocere » était dévoilée. Aujourd’hui, c’est sous le nom symbolique de « Hold-On » (Tenez bon) que le deuxième volet fait son apparition. La promesse est la suivante :

HOLD-UP POSAIT LES QUESTIONS, HOLD-ON APPORTE LES RÉPONSES…

Une enquête menée par un collectif d’anciens journalistes de TF1, France Télévisions ou encore Canal +, qui s’ouvre avec beaucoup de recul, grâce à une intervention de Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé :

« Pourquoi est-ce que je devrais vous croire vous, plutôt que ce que me dit l’État ? C’est très honnête comme posture. Maintenant, ça fait des décennies que l’on connaît la fabrication de l’ignorance. C’est l’industrie du tabac qui a posé les premiers jalons de ce savoir-faire, mais après, l’industrie pétrolière, l’industrie alimentaire. Dès qu’il y a une vérité scientifique embarrassante qui sort, ces industries paient des scientifiques pour produire des études qui montrent l’inverse. Entre le moment où le lien a été établi entre le tabagisme et le cancer du poumon, et le moment où les sociétés médicales l’ont reconnu, il y eut plus de 40 ans qui se sont écoulés. »

Le décor est planté ; le film entend lutter contre cette fabrication de l’ignorance. Dès les premières minutes, on rencontre les parents de Maxime Beltra, un jeune de 22 ans décédé le jour même de sa vaccination, ainsi que plusieurs gendarmes, militaires, pompiers, infirmières, psychologues qui ont perdu leur travail à cause de l’obligation vaccinale. Maintenant, on sait. Mais peut-être cette introduction bouleversante biaise-t-elle notre regard, alors que commence la première partie du documentaire : les injections.

« On veut nous contraindre à participer à une expérimentation »

Il n’y avait pas de doute à ce sujet, lesdits vaccins, ici plus volontairement appelées « injections géniques », en prennent pour leur grade. « On joue le rôle des souris de laboratoires, et je suis persuadé que si les souris le savaient, elles nous remercieraient de prendre des risques à leur place. C’est monstrueux. », déplore le Dr P. Bruno, anesthésiste-réanimateur.

Très vite, le sujet des injections enclenche de nombreux débats. Ainsi, l’on entend parler de l’emergency use (utilisation d’urgence) de la Federal Drug Administration (FDA), des autorisations de mise sur le marché, des taux d’anticorps et de la charge virale des vaccinés, des injections placebo, des effets secondaires, des maladies à prions comme celle de Creutzfeldt-Jakob, des recommandations pour les femmes enceintes, du manque de données de santé officielles, des troubles menstruels chez les femmes, du magnétisme déclenché par les vaccins, des essais cliniques menés sur les enfants… Les témoignages s’enchaînent rapidement. Comme dans « Hold-Up », tantôt ce sont des professionnels de santé reconnus et expérimentés, tantôt ce sont de simples citoyens français, souvent des victimes, révoltées et tristes. La mère de Maxime raconte : « Il est allé se faire vacciner pour pouvoir partir en Grèce avec sa copine, pour fêter son anniversaire. Je me suis retenue de lui dire de ne pas y aller. Il avait juste envie de vivre. Surtout d’être libre. » De son côté, son père assure : « Je ne le pardonnerai à personne. On ira chercher la vérité. »

Au sujet de la vaccination des femmes enceintes, le Dr Alain Bellaiche, gynécologue-obstétricien, s’insurge : « J’apprends qu’on vaccine les femmes enceintes et les enfants. Quand j’ai appris ça, je vous assure qu’avec les notions que j’ai, les prescriptions que j’ai suivies pendant plus de 30 ans, j’ai pleuré. L’enjeu est tellement immense qu’on ne peut pas parier sur l’innocuité d’un vaccin chez la femme enceinte. Imaginez qu’il y ait quelque chose et qu’on s’en aperçoive après, lorsque l’enfant commence à marcher ou à parler… »

Des sommités du monde médical prennent la parole au cours du documentaire, telles que le Dr Christian Perronne, qui observe « une immense supercherie », ou encore le Pr Zelenko, qui rappelle en parlant des vaccins qu’une thérapie ne doit être utilisée qu’en cas de nécessité : « Ce n’est pas parce que vous avez un outil que vous devez vous en servir. »

Un peu plus tard, d’autres sujets sont abordés, tels que les effets délétères des mesures sanitaires, les dangers du port du masque, les incohérences des décisions politiques, les scandales des compagnies pharmaceutiques, ou encore la gestion hospitalière. Différents soignants témoignent de leur quotidien : « Normalement dans un hôpital, ça grouille, on entend des sirènes, il y a de l’activité, c’est frémissant. Nous, on ne prenait plus vraiment en charge des patients pour différentes pathologies, alors qu’à l’intérieur de l’hôpital, c’était le vide absolu. » « Normalement, une pandémie ça fait des morts. Là, personne. Juste de l’hystérie. » ; « Je ne vais pas traiter des gens sans symptôme pour qu’ils aillent au restaurant. Un test PCR ça sert à ça. Les gens sont fous. » « On ne soigne pas une biologie. On soigne des patients ! S’il est malade il a des symptômes, qu’on classifie et sur lesquels on se base pour confirmer notre diagnostic avec la biologie, ensuite. Là, on fait un diagnostic sur un bilan avec un test PCR, mais pour être malade il faut avoir des symptômes, sinon on n’est pas malade ! » « Devant le zoo de Beauval, c’étaient des étudiants qui travaillaient dix heures par jour qui testaient tous les arrivants. Ils délivraient les résultats en cinq minutes. Ce n’est pas possible. Ce n’est pas sanitaire, c’est un énorme business. »

Sur le même sujet des tests PCR, le documentaire nous donne à voir une vidéo de leur inventeur, prix Nobel de chimie en 1993, Kary Mullis. Il y explique brièvement ce à quoi servent les tests PCR et conclut ainsi : « Le PCR est un procédé utilisé pour faire beaucoup de quelque chose, avec très peu de chose. Il ne dit pas si vous êtes malade ou si ce que vous avez est dangereux. » À noter que Kary Mullis est décédé cinq mois avant le début de la pandémie, à 74 ans.

Concernant l’aspect financier de la crise, on découvre des tableaux montrant les rémunérations des professionnels de santé pour la vaccination. Les chiffres sont vertigineux, en voici un exemple issu du film :

 

Si certaines des affirmations du documentaire semblent inattaquables, d’autres, en revanche, raviront sûrement ses détracteurs. On découvre par exemple qu’une équipe de scientifiques s’est penchée sur la composition des masques chirurgicaux à l’aide de microscopes, et qu’elle y aurait relevé une foule d’organismes vivants non identifiés qui se proliféreraient dans le tissu. Une autre équipe s’est intéressée quant à elle à la composition détaillée des fioles de vaccins, et aurait aussi découvert de nombreux composants non déclarés par les laboratoires, potentiellement dangereux, tels que le graphène, le brome, l’aluminium ou le carbone. Un chercheur polonais aurait même trouvé dans certains flacons des entités bizarroïdes qu’il appelle « choses », ou des masses de cristaux. Une autre expérience cherchait à étudier les champs électromagnétiques pouvant être émis par les humains, avec et sans vaccination. Les vaccinés émettraient quelques fois des signaux Bluetooth.

Des recherches qui, bien qu’elles puissent être aussi scientifiques que méthodiques, alimenteront sans nul doute des théories farfelues que d’aucuns appelleront « complotistes » et qui dont pourront donner du grain à moudre aux détracteurs.

Beaucoup de questions, un peu de réponses

Le documentaire ne semble pas avoir réponse à tout. Une question revient souvent : qui est derrière tout ça ? Le Dr Pablo, médecin généraliste : « Ce que j’aimerais avoir en face de moi aujourd’hui, c’est une vraie personne, un être humain. Parce que depuis le début, je pense que je fais partie des médecins qui ont le plus posé de questions à leurs autorités tutélaires, et on a l’impression que ça vient toujours d’au-dessus d’eux, mais sans savoir qui est au-dessus. Une espèce d’entité… Si ces gens existent on aimerait qu’ils nous parlent et qu’ils nous rassurent. » Jean-Dominique Michel parle quant à lui de « schéma criminel d’exploitation de la pandémie. »

Éléments de réponses un peu plus tard dans le documentaire, avec Senta Depuydt, journaliste et fondatrice de Children’s Health Defense : « Il est bien clair aujourd’hui que les gouvernements n’agissent pas dans l’intérêt de la population. D’ailleurs on le voit, tous les dirigeants européens aujourd’hui font partie de la clique financière, ou sont des protégés, ou des futurs Young Leaders adoubés par le grand Klaus Schwab à Davos. […] Quand on remonte les pyramides de ‘à qui appartient telle marque’, on arrive au sommet, à voir que le monde appartient à deux ou trois groupes. Tant qu’on n’a pas compris qu’ils sont uniquement là pour mettre en faillite toute l’activité économique indépendante des pays, de toute l’autonomie financière des gens […] pour pouvoir mettre en place un nouveau système monétaire euro-digital qui va permettre un contrôle absolu de la population, non seulement économique, mais aussi politique. Tant que les gens n’ont pas compris ça. Ils continueront à penser qu’il y a un méchant virus et que le problème est vraiment sanitaire. »

Bien sûr, les gouvernements et les firmes pharmaceutiques ne sont pas les seuls à être placés au cœur des événements et des conflits d’intérêts. Pierre Jovanovic, lui, s’est attaqué aux relais d’information : « Le public se rend compte de plus en plus que les médias, les journalistes, les ont trahis ! […] BIll Gates fait des chèques entre deux et quatre millions d’euros au journal Le Monde. C’est pas beau ça ? La fondation Bill et Melinda Gates a fait une donation de 15 millions d’euros à The Guardian. The Columbia Review of Journalism, qui est la grande école de journalisme aux États-Unis, a fait un grand article en montrant que Bill Gates a corrompu la totalité de la presse européenne et américaine en déversant des millions de dollars, en amont de la pandémie. C’est pas extraordinaire ça ? »

La question des « fake news » n’est pas sans reste, et le documentaire s’évertue à montrer que lesdits vérificateurs sont eux aussi trempés dans les conflits d’intérêts. Pierre Jovanovic reprend à ce moment : « C’est simple, aujourd’hui ils disent tous la même chose parce que sinon ils n’existeraient plus. »

Logiquement, la question de la censure vient ensuite. Étonnamment, le premier à prendre la parole à ce sujet est le Dr Alain dont nous parlions plus haut : « Aujourd’hui, tout est censuré dès qu’il y a le mot covid ou vaccin. Même moi, quand j’ai parlé de la femme enceinte, alors que je ne suis rien du tout, on a barré mon visage sur mon post Facebook. L’Agence France Presse me téléphone pour me dire que je profère des affirmations mensongères. »

Comment en est-on arrivés là ?

Vers la fin du documentaire, ce sont Étienne Chouard et David Pliquet, fondateur d’E-mage in 3D, qui expliquent que si on en est là, c’est parce que nous avons laissé faire pendant des années. Après s’être insurgé contre le conseil d’administration de Walt Disney (dans lequel on retrouve de tout sauf des artistes), David Pliquet conclut sa diatribe sur la manipulation d’esprit via le contenu cinématographique : « Il faut arrêter notre angélisme. » Angélisme qu’Étienne Chouard ne vient pas sauver, assurant que « le gouvernement agit comme la mafia : d’abord il nous terrorise, ensuite il se place en sauveur et dit vouloir nous protéger, en échange de notre docilité. » Et de conclure : « Ce sont des salauds, mais ils ne le sont que parce qu’on les laisse faire ! Relisez La Boétie [Discours de la servitude volontaire, ndlr] quoi ! Ils sont grands parce qu’on est à genoux ! »

Les mots de la fin sont laissés aux artistes. Mysa, auteur et interprète de « Dystopie 19 », fait le rapprochement entre cet asservissement volontaire et la vaccination des enfants : « Si on est prêts à sacrifier nos enfants pour retrouver un peu de liberté, ou retrouver une validité dans le système, c’est qu’on leur a donné toutes les clefs. Symboliquement, je le vois comme ça. »

Francis Lalanne aussi, devenu figure de la résistance contre les mesures sanitaires, prend la parole : « Il est temps que les dominés comprennent qu’ils n’ont pas avantage à l’être. Le combat cessera faute de combattants ! Si l’oppresseur n’a plus personne à opprimer, il disparaît. Ça ne sert à rien de vouloir lui couper la tête, il suffit simplement de refuser de se mettre à genoux. »

Naturellement, ce sont des images de manifestations et de résistance qui apparaissent dans le même temps. À travers le monde, des millions de personnes qui « résistent à ce lavage de cerveau », parfois seules contre tous. Plus le temps passe et plus elles seraient nombreuses. Alors la conclusion, en attendant la deuxième partie « Mensonges et manipulations », semble limpide : Hold-On.



Articles Par : FranceSoir

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