Il n’y a jamais eu un « nouveau coronavirus », il n’y a jamais eu de pandémie

Publié pour la première fois en anglais le 27 novembre 2023.

Entrevue vidéo ajoutée.

Message de l’auteur aux lecteurs 

Cet article consacré au prétendu nouveau coronavirus fait partie des articles les plus importants que j’ai écrits. 

Il y a une part de simplicité et de bon sens dans le texte. Mon objectif est que l’article soit largement lu et débattu à la base de la société , et pas seulement par des scientifiques et des médecins. La complexité de cette crise est accablante. Il ne s’agit pas uniquement d’une « crise de la santé publique ».

Les implications sont énormes car l’article réfute et invalide « tout » ce qui concerne la pandémie Covid-19. Il s’agit notamment des politiques liées au confinement (Lockdown) et au   « vaccin » contre le Covid-19 , sans parler du Traité sur la pandémie et de la « Grande réinitialisation » du Forum économique mondial. 

Le « récit officiel du coronavirus » repose sur un « mensonge » soutenu par des politiciens corrompus.

Ce « consensus officiel » est extrêmement fragile. Notre intention est de précipiter son effondrement « comme un château de cartes ». 

Ce qui nous importe c’est la valeur de la vie humaine et l’avenir de l’humanité .

Notre objectif est de sauver des vies, notamment  celles des nouveau-nés victimes du « Vaccin » Covid-19.

À ce stade de notre histoire, la priorité est de « désactiver la campagne de peur » et « d’annuler le vaccin » y compris l’abrogation du soi-disant  « Traité sur la pandémie » .

Espérons que cela ouvrira la voie au développement d’un mouvement mondial de solidarité , qui remettra en question la légitimité des puissantes élites financières du « Big Money » qui sont derrière ce projet. 

Chers lecteurs, veuillez diffuser cet article et la vidéo partout.

Michel Chossudovsky , Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montreal, le 5 décembre 2023

« Descendez de ce train fou. Je sais, ça fait peur, ça peut faire mal. Reprenez votre autonomie physique et intellectuelle et protégez vos enfants ». Dr Pascal Sacré, auteur et médecin belge, novembre 2021.

« L’enfer est vide et les diables sont tous là » . William Shakespeare , « La Tempête », 1623

Ma réponse à Shakespeare : « Renvoyez les diables là où ils appartiennent »

« Quand le mensonge devient la vérité, il n’y a pas de retour en arrière »

 

Introduction

La déstabilisation de la structure sociale, politique et économique de 190 pays souverains ne constitue pas  une « solution » afin de lutter contre le  nouveau coronavirus   qui est mystérieusement apparu à Wuhan, dans la province du Hubei (RPC) fin décembre 2019. C’était  la « solution » imposée – mise en œuvre dans plusieurs pays. étapes dès le début –, menant au confinement de mars 2020 (Lockdown) et au déploiement d’un soi-disant « vaccin » Covid 19 en décembre 2020 , qui depuis sa création a entraîné une tendance à la hausse de la surmortalité.

C’est la destruction de vies humaines dans le monde entier. C’est la déstabilisation de la société civile.

La fausse science soutenait ce programme dévastateur. Ces mensonges ont été entretenus par une campagne massive de désinformation médiatique. 24h/24 et 7j/7, des « alertes Covid » incessantes et répétitives  depuis plus de trois ans.

Le confinement historique du 11 mars 2020 a déclenché un chaos économique et social dans le monde entier. Il s’agissait d’un acte de « guerre économique » : une guerre contre l’humanité. 

Le nouveau virus : 2019-nCoV

L’histoire officielle est qu’un NOUVEAU VIRUS dangereux a été détecté à Wuhan, dans la province du Hubei, en Chine, en décembre 2019. Il s’intitulait 2019-nCoV , qui signifie « 2019 Nouveau (n) Corona (Co) Virus (V) ».

Le 1er janvier 2020, « les autorités de la Santé chinoises ont fermé le marché de gros des fruits de mer de Huanan à Wuhan suite à des informations de médias occidentaux affirmant que les animaux sauvages qui y étaient vendus pourraient être à l’origine du virus.

Début janvier 2020, elle a fait l’objet d’une large couverture médiatique et d’une campagne de peur mondiale. La désinformation médiatique est enclenchée.

« Les autorités chinoises auraient (prétendument) « identifié un nouveau type de virus » en date du 7 janvier 2020, grâce au test RT-PCR. Aucun détail spécifique n’a été fourni concernant le processus d’isolement du virus.

Échec dans le processus d’identification du nouveau coronavirus

Fin janvier 2020, l’OMS a confirmé qu’elle ne possédait pas d’isolat de 2019-nCoV provenant d’un échantillon purifié provenant d’un patient infecté, ce qui signifiait que l’OMS n’était pas en mesure de confirmer l’identité du nouveau coronavirus.

11 février 2020. Le nom du prétendu « nouveau coronavirus » est changé 

Début février. En 2020, suite à l’échec dans le processus d’identification du nouveau coronavirus, il fut décidé de changer son nom à:

« Corona virus du syndrome respiratoire aigu sévère » : SRAS-CoV-2 qui (selon l’OMS) est « similaire » à un virus vieux de 20 ans intitulé : 2003-SRAS-CoV.

Un coronavirus de 2003 vieux de vingt ans est catégorisé en février 2020 comme « nouveau virus » ? 

Confirmé par l’ OMS et le New England Journal of Medicine, mai 2003 (NEJM) :

« Un nouveau coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère » 

qui a éclaté dans la province chinoise du Guangdong (sud) en 2002, fut identifié et catégorisé comme un « nouveau virus » en date du 15 mai 2003 . ( Il y a plus de 20 ans ). 

Voir capture d’écran de l’article du NEJM du 15 mai 2003 ci-dessous : 

 

Il ne s’agit pas seulement d’un processus de changement de nom : le virus SRAS-CoV de 2003, vieux de 20 ans, constitue le « point de référence » (proxy) pour tout ce qui concerne la prétendue pandémie de Covid-19, y compris le Confinement (Lockdown) et le vaccin Covid-19

(Défiler vers le bas pour l’analyse et les détails relatifs à l’identification et au changement de nom du 2019-nCoV)

Vidéo : Le « nouveau coronavirus » Est-ce qu’il existe?

Michel Chossudovsky, Entretien avec Caroline Mailloux, Lux Media

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« Big Money » et « Big Pharma » se rencontrent à Davos

Le prétendu nouveau virus (2019-nCoV) a été l’objet de débat et d’échange lors du Forum économique mondial (FEM), réuni à Davos en Suisse (22 janvier 2020).

Proposé par la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), une entité financée par la Fondation Bill et Melinda Gates, un programme de vaccination contre le 2019-nCoV a été mis en avant. Annoncé à Davos, Moderna, basée à Seattle (avec le soutien du CEPI), allait fabriquer un vaccin à ARNm pour renforcer l’immunité contre le 2019-nCoV.

Les déclarations de Davos suggèrent que le projet de vaccin contre le 2019-nCoV était déjà en cours au début 2019. Et le CEPI avait connaissance préalable (plusieurs mois à l’avance) de l’annonce du 2019-nCoV en décembre 2019. (Michel Chossudovsky, Chapitre VIII ).

 

Le développement d’ un vaccin nCoV 2019 a été annoncé à Davos, 2 semaines après l’annonce du 7 janvier 2020, et à peine une semaine avant le lancement officiel de l’urgence de santé publique mondiale de l’OMS le 30 janvier (FEM-Gates-CEPI). L’annonce du vaccin précède l’urgence de santé publique de l’OMS (PHEIC)

Mensonge et désinformation

Tout ceci s’est déroulé (à Davos) à un moment où le prétendu  nouveau coronavirus nommé 2019-nC0V n’avait pas été isolé, son identité n’avait pas été confirmée et le nombre de cas signalés en Chine était extrêmement faible :  « Au 3 janvier 2020, il y avait 44 cas. Parmi les cas signalés, 11 sont gravement malades, tandis que les 33 patients restants sont dans un état stable ( rapport de l’OMS).

Il n’y avait aucune preuve d’une épidémie en Chine, aucune preuve d’une fuite de laboratoire .  La déclaration du CEPI à Davos concernant « la propagation mondiale rapide du nouveau coronavirus » est un mensonge. (Voir l’image ci-dessus)

Et puis, le 30 janvier 2020, le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros, a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) sans aucune preuve d’une épidémie.

En date du 30 janvier, 2020, il y avait  83 cas PCR positifs au niveau mondial en dehors de la Chine  pour une population de 6,4 milliards de personnes. Voir tableau ci-dessous : 5 cas positifs aux États-Unis, 3 au Canada, 4 en France et 4 en Allemagne.

Est-ce-que cela constitue une urgence mondiale ?

Et ces cas (cumulatifs) étaient basés sur le test RT-PCR qui  ne détecte pas l’identité du virus. (Voir l’annexe).

 

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Capture d’écran de l’OMS, 29 janvier 2020.

Nombre de cas positifs confirmés aux États-Unis, au Canada, en France et en Allemagne

page29image1161272480Trois semaines plus tard, lors d’une conférence de presse le 20 février 2020, le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a laissé entendre que la pandémie était imminente :

« [Je suis] préoccupé par le fait que les chances de contenir l’épidémie de coronavirus se « réduisent »

« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. »

Quelles furent les preuves avancées par le Dr Tedros pour étayer sa déclaration ?

En date du 20 février 2020, il n’y avait que 1 076 cas confirmés hors de Chine (y compris ceux du navire de croisière Diamond Princess échoué dans les eaux territoriales japonaises).

Ce même jour, l’OMS a fourni les données des cas confirmés « par pays, territoires ou zones hors de Chine »15 aux États-Unis, 8 au Canada, 16 en Allemagne, 12 en France, 9 au Royaume-Uni.

11 mars 2020 : « Lockdown ». Confinement historique lié à la pandémie de COVID-19, « fermeture » d’environ 190 économies nationales

Le Directeur général de l’OMS avait déjà préparé le terrain lors de sa conférence de presse du 21 février.

« Le monde devrait faire davantage pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus. »

L’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où il y avait 44 279 cas (cumulatifs) RT-PCR Covid-19 positifs en dehors de la Chine pour une population de 6,4 milliards d’habitants. (Pour plus de détails et d’analyse, voir Michel Chossudovsky, Chapitre II )

Confirmé par l’OMS, aux États-Unis , enregistré le 9 mars 2020, il y avait 3 457 « cas confirmés »  (RT-PCR positifs) sur une population de 329,5 millions d’habitants ( Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS

Au Canada , le 9 mars 2020 , il y avait 125 « cas confirmés » sur une population de 38,5 millions de personnes.

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMSDonnées pour le Canada

En Allemagne, le 9 mars 2020, il y avait 2948 « cas confirmés » sur une population de 83,2 millions d’habitants.

Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, 19 mars 2022 )

 

La simulation « Événement 201 » d’octobre 2019 d’un « virus dangereux »  intitulé nCoV-2019

L’événement 201 était une simulation sur table (table top simulation) d’une épidémie de coronavirus, parrainée par John Hopkins et la Fondation Gates.

L’ OMS a initialement adopté exactement le même acronyme (pour désigner le nouveau coronavirus) que celui de l’exercice simulé de l’événement pandémique 201 de Johns Hopkins.

Le nom du nouveau coronavirus était (à l’exception du placement de 2019) identique à celui de la simulation Event 201.

En présence de personnalités de premier plan, L’évènement 201 s’est tenue le 18 octobre 2019, moins de trois mois avant l’annonce début janvier 2020 d’un nouveau coronavirus.

Parmi les participants se trouvaient des représentants (c’est-à-dire des décideurs) de l’OMS, du renseignement américain, de la Fondation Gates, de l’Alliance mondiale pour les vaccins et l’immunisation (GAVI) (financée par la Fondation Gates), de la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI). ), le Forum économique mondial (FEM), les Nations Unies, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, le Center for Disease Control and Prevention (CDC) de Chine, (directeur Dr. George Fu Gao), Big Pharma, la Banque mondiale , entre autres.

Ces différentes organisations ont joué un rôle clé lorsque la soi-disant pandémie s’est déclarée début 2020 . De nombreux éléments de « l’exercice de simulation » 201 correspondaient en fait à ce qui s’est réellement produit lorsque le Directeur général de l’OMS a lancé une urgence de santé publique mondiale (PHEIC) le 30 janvier 2020.
.

De plus, les sponsors de l’événement 201 — dont le WEF et la Fondation Gates — ainsi que les participants furent impliqués de manière active dès le début dans la coordination (et le financement) des politiques liées au COVID-19, y compris le test RT-PCR, le confinement (Lockdown) ainsi que le vaccin à ARNm, lancé en décembre 2020

Le directeur du CDC chinois, le Dr George Fu Gao  – qui avait participé à la simulation 201 – a joué un rôle central dans la supervision de la présumée épidémie de COVID-19 à Wuhan début 2020, agissant en étroite liaison avec son mentor, le Dr Anthony Fauci , ainsi qu’avec le Fondation Gates, CEPI, et al.

Le Dr Gao Fu est diplômé d’Oxford et a des liens avec le « Big Pharma ». Il fut également pendant plusieurs années membre du Wellcome Trust. (RÉF)

La mystérieuse « identité du nouveau coronavirus »

Le nom du virus a été identifié pour la première fois en :

  • Octobre 2020 : 201 Scénario de simulation Octobre 2020: nCoV-2019,
  • Et ensuite en:
  • Décembre 2019: Wuhan: 2019-nCoV  

Et puis mystérieusement, un autre changement de nom du virus a eu lieu le 11 février 2020.

de  2019-nCoV à SARS-CoV-2, qui signifie: 

 « Syndrome respiratoire aigu sévère » : SRAS – Corona (Co) Virus(V)-2″.  

Il n’y avait plus de  préfixe « n » (indiquant qu’il s’agissait d’un NOUVEAU VIRUS) . Le préfixe « n » a été remplacé par un suffixe « 2 »

Quelle est la signification du SRAS-CoV-2 . Plus précisément, quelle est la signification du mystérieux suffixe « 2 » ? Il s’agit d’un virus vieux de 20 ans intitulé :

2003 -SARS-CoV, qui ne peut en aucun cas être catégorisé comme un NOUVEAU VIRUS

« Nouveau virus » versus « ancien virus » : le « syndrome respiratoire aigu sévère » (SRAS) de 2002-2003

Le SRAS-CoV-2   – qui est devenu depuis le 11 février 2020 le nom officiel du nouveau virus corona de 2019 – n’est en aucun cas UN NOUVEAU VIRUS.  

Flash Back sur la Chine, province du Guangdong 2002-2003. Confirmé par l’OMS et des rapports examinés par des pairs :

« Un nouveau coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère » a éclaté dans la province du Guangdong, en RPC, en 2002. 

NEJM, mai 2003

Le SRAS a été catégorisé comme nouveau coronavirus en 2003 .. Le 2003-SRAS fut détecté et isolé il y a 20 ans au début de 2003.

Il ne s’agit pas pour autant, c’est l’évidence même, d’un nouveau coronavirus détecté en décembre 2019. Au cours des vingt dernières années, cela a dû donner naissance à de multiples variants du coronavirus original du SRAS de 2003 .

Les caractéristiques essentielles du virus 2003-SARS-CoV

Confirmé par  l’OMS

« Le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) est une maladie respiratoire virale causée par un coronavirus associé au SRAS. Il a été identifié pour la première fois fin février 2003 [il y a plus de 20 ans] lors d’une épidémie apparue en Chine et s’est propagée à 4 autres pays. … 

Une épidémie mondiale de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) a été associée à des expositions provenant d’un seul agent de santé malade de la province du Guangdong, en Chine. Nous avons mené des études pour identifier l’agent étiologique de cette épidémie.

…  un nouveau coronavirus a été isolé chez des patients répondant à la définition de cas de SRAS.  … Des amorces consensus sur les coronavirus conçues pour amplifier un fragment du gène de la polymérase par transcription inverse – réaction en chaîne par polymérase (RT-PCR) ont été utilisées pour obtenir une séquence qui identifiait clairement l’isolat comme un coronavirus unique seulement lointainement lié aux coronavirus précédemment séquencés .

Ce qui est significatif dans ce rapport, c’est que l’OMS a confirmé que le  nouveau coronavirus de 2003,  intitulé 2003 SARS-CoV, avait été isolé à partir d’échantillons de patients, identifié et désigné « syndrome respiratoire aigu sévère »  en mars 2003.

Absence d’isolat du « nouveau virus 2019 (2019-nCoV) » 

Alors que le SRAS-CoV de 2003 a été dûment isolé, l’OMS a reconnu qu’en janvier 2020 elle ne disposait pas d’ un échantillon isolé et purifié du nouveau coronavirus de 2019 provenant d’un patient infecté.

Et par conséquent, elle n’a pas pu confirmer l’identité du nouveau coronavirus 2019 intitulé 2019-nCoV.

C’est la raison invoquée. Cela semble absurde. 

Quelle fut la solution: Suite aux conseils de la Fondation Gates, l’OMS était en liaison avec l’ Institut de virologie de Berlin à l’hôpital de la Charité .

Sous la direction scientifique du  Dr Christian Drosten , l’étude de l’institut Berlin de virologie fut intitulée :

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L’étude de l’Institut de virologie de Berlin  a fermement reconnu que :

« [Alors que]… plusieurs séquences du génome viral avaient été publiées,… les isolats ou échantillons de virus [de 2019-nCoV] provenant de patients infectés n’étaient pas disponibles … »

Ce que l’équipe de Berlin a recommandé à l’OMS, c’est qu’en l’absence d’isolat du virus 2019-nCoV, qu’un virus semblable (similaire) à savoir le SRAS-CoV de 2003 soit utilisé comme un point de référence « proxy » dans le processus de détection du nouveau coronavirus: 2019-nCoV:

« Les séquences du génome suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’une espèce virale appelée CoV lié au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) , une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS chez l’homme en 2002/03 [3,4 ].

Nous rendons compte de l’établissement et de la validation d’un flux de travail de diagnostic pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par la parenté génétique étroite avec le SRAS-CoV de 2003, et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. ( Eurosurveillance , 23 janvier 2020, italiques ajoutés).

Ce que cette déclaration ambiguë suggère, c’est que l’identité du 2019-nCoV n’était pas requise et que les « cas confirmés de COVID-19 » (c’est-à-dire l’infection résultant du nouveau coronavirus de 2019) seraient validés par « la parenté génétique étroite avec le SRAS-CoV de 2003 ».

Comment le nouveau virus pourrait-il être catégorisé de semblable ou similaire sans avoir été identifié, c’est-à-dire sans « isolat » ? Par ailleurs, sachez que si le test PCR ne détecte pas le virus, il détecte des fragments génétiques (de nombreux virus) .

Pistolet fumant. « Smoking Gun »

Cela signifie qu’un coronavirus détecté il y a 20 ans dans la province du Guangdong ( SRAS-CoV 2003 ) a été utilisé pour « valider » l’identité d’un soi-disant « nouveau coronavirus » détecté pour la première fois dans le Hubei en Chine, en décembre 2019.

Les recommandations de l’étude Drosten (financée par une subvention de $249.550 de la Fondation Gates) ont ensuite été transmises à l’OMS.

Elles ont ensuite été approuvées par le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus .

L’OMS ne disposait pas de « l’isolat viral » nécessaire à l’identification du nouveau virus.

« Pas grave ». Il fut décidé qu’un isolat du nouveau coronavirus n’était pas nécessaire.

Il va de soi que si le test PCR utilise le virus SRAS-CoV de 2003 comme proxy ou « point de référence » , il ne peut y avoir aucun cas « confirmé » concernant le nouveau coronavirus 2019-nCoV.

Le nouveau coronavirus 2019 nCoV  a été rebaptisé SARS-CoV-2 le 11 février 2020 par le Comité international de taxonomie des virus . Cela explique le suffixe 2.

Le nouveau coronavirus 2019 serait « similaire » au  SRAS-CoV 2003, qui a ensuite été rebaptisé SARS-CoV-1 ( pour le distinguer du SRAS-CoV-2).

Le NOUVEAU Virus (2019-nCoV) est « inexistant » en ce que concerne sa détection par le test RT-PCR.

Abondamment documenté, le test RT-PCR détecte des fragments génétiques de nombreux virus sans pouvoir identifier le virus.  A ce sujet, voir mon article sur RT-PCR.

L’importance et l’ambiguïté de la décision de l’OMS – suite aux conseils de l’Institut de virologie de Berlin – à savoir la question de « l’isolement » du nouveau coronavirus constitue une négligence flagrante. No Questions asked: « Aucune question posée »

Les médias britanniques ont rapporté le 6 février 2020 le changement de nom du virus :

« [Le] coronavirus mortel aura ENFIN un nom : les scientifiques prévoient d’étiqueter officiellement la maladie « d’ici quelques jours » – mais elle ne portera pas le nom d’un lieu ou d’un animal. Le Comité international de taxonomie des virus a soumis un nom. …

« Big Money », « Big Pharma ». La propriété intellectuelle. Droits de brevet

Gardons à l’esprit que la crise du Covid qui se poursuit est une  opération financière mondiale à grande échelle , avec de nombreux produits des grandes sociétés pharmaceutiques, allant de l’ utilisation abusive mondiale du test RT-PCR au projet de vaccin multimilliardaire des grandes sociétés pharmaceutiques, largement dominé par Pfizer. 

Le changement du nom du virus en SARS-CoV-2 était-il une question de « redevances » et de droits de propriété intellectuelle ? Les droits de brevet américains relatifs au SRAS-CoV de 2003 ont été déposés en avril 2004 et cédés en mai 2007 au Ministère américain de la Santé et des Services sociaux :

Numéro de brevet : US 7 220 852 B1 Date du brevet : 22 mai 2007. (Ceci devrait faire l’objet d’une enquête plus approfondie.)

« Le grand mensonge » et le « nouveau virus inexistant ». Quelles sont les conséquences?

Comme documenté ci-dessus (confirmé par l’OMS), le nouveau virus corona 2019 n’a jamais été identifié.

L’utilisation d’un virus vieux de 20 ans appelé 2003 SARS-CoV  comme proxy du prétendu nouveau virus confirme qu’il n’y a eu  AUCUNE PANDÉMIE résultant d’un NOUVEAU CORONAVIRUS en janvier-mars 2020.

IL N’Y AVAIT PAS DE « NOUVEAU VIRUS » .

Cela signifie que les politiques draconiennes de confinement imposées à 190 pays (11 mars 2020) ainsi que le  déploiement mondial du vaccin Covid-19 (mi-décembre 2020) sont frauduleux. Ils s’appuient sur un « grand mensonge »   qui a contribué pendant près de quatre ans à littéralement à détruire et à déstabiliser la société civile. 

« Le grand mensonge » précipite le confinement

La vérité tacite est que le nouveau coronavirus a fourni un prétexte et une justification à de puissants intérêts financiers et à des politiciens corrompus pour précipiter le monde entier dans une spirale de chômage de masse, de faillite, d’extrême pauvreté et de désespoir.

Le confinement a été un acte de guerre économique et sociale. La main-d’œuvre a été confinée, le lieu de travail est gelé, ce qui a conduit à un effondrement économique mondial.

Cette crise n’est en aucun cas terminée . Le monde entier est actuellement étranglé par la crise de la dette la plus grave de l’histoire. Toutes catégories d’endettement (privé et public).

Pour reprendre les mots des milliardaires du WEF à ceux qui perdent leur maison ou qui ne peuvent pas payer leur loyer mensuel : leur devise  est :

« Ne possédez rien, soyez heureux ».

Le « vaccin » à ARNm destiné à protéger les peuples contre un « nouveau virus inexistant »

Le « vaccin » à ARNm, largement documenté, destiné à protéger les personnes contre ce nouveau coronavirus inexistant rebaptisé SARS-nCoV-2, a entraîné une tendance à la hausse de la surmortalité.

Le rapport confidentiel de Pfizer publié dans le cadre de la liberté d’information confirme, sur la base de ses propres données, que le vaccin est une substance toxique.   Pour accéder au rapport Pfizer complet, cliquez ici

Les preuves sont accablantes : il existe de nombreuses études sur la mortalité excédentaire liée aux vaccins. Vous trouverez ci-dessous un résumé d’une étude incisive  sur  la mortalité excédentaire liée au cancer en Angleterre et au Pays de Galles  résultant du vaccin à ARNm menée par l’équipe d’ Edward Dowd.

La méthode de Dowd consistait à analyser le nombre de décès attribués au cancer en Angleterre et au Pays de Galles entre 2010 et 2022 (sur la base des données de l’Office britannique des statistiques nationales).

Le tableau ci-dessous concerne les décès excédentaires liés à  une tumeur maligne (tumeur cancéreuse) en Angleterre et au Pays de Galles, enregistrés sur trois années consécutives : 2020, 2021 et 2022 par rapport à une tendance sur 10 ans (2010-2019).

Les données de surmortalité en 2020 (l’année précédant le vaccin) sont négatives à l’exception des « tumeurs malignes sans précision de localisation ».

Le vaccin contre la COVID-19 a été déployé en plusieurs phases en Angleterre et au Pays de Galles, à partir du 8 décembre 2020  et jusqu’en mars-avril 2021.

Le mouvement ascendant de la surmortalité (%) commence en 2021. L’augmentation de la surmortalité liée aux tumeurs malignes est comptabilisée pour les deux premières années du vaccin. 

Vous trouverez ci-dessous un tableau similaire concernant la surmortalité en Allemagne , qui indique l’écart de la mortalité observée par rapport à la mortalité attendue (par groupe d’âge) en 2020, 2021 et 2022.

Notez l’évolution à la hausse de la surmortalité en 2021 et 2022 suite au déploiement du vaccin Covid en décembre 2020.

Allemagne : Surmortalité par tranche d’âge (%)

Surmortalité en rouge par tranche d’âge, surmortalité totale en gris 

Désinformation médiatique et mensonges 

Il existe de nombreuses études sur la surmortalité résultant du vaccin, qui sont ignorées par les médias.

Invariablement, les articles de presse affirment avec autorité que c’est  le virus qui est « dangereux » ou « mortel » , alors qu’en réalité c’est le « vaccin » qui a déclenché une tendance à la hausse de la mortalité.

Le Daily Mail (6 février 2020) évoque un « coronavirus mortel » laissant entendre qu’il se propage dans le monde entier.

La désignation  « virus dangereux » est mensongère: Confirmé par l’OMS, le CDC et des rapports évalués par des pairs, le nCoV-19 2019  n’est pas dangereux. Voir l’annexe ci-dessous.

« Quand le mensonge devient vérité, il n’y a pas de retour en arrière possible »

***

Notre analyse ci-dessus confirme: 

  • que le prétendu NOUVEAU CORONAVIRUS intitulé 2019 nCoV n’a jamais été isolé,
  • le nouveau coronavirus dont le nom fut changé à SARS-CoV-2 n’est PAS UN NOUVEAU VIRUS. Il est similaire à un ANCIEN VIRUS intitulé  2003-SARS-CoV.

Il existe de nombreux autres éléments qui invalident le « récit officiel ».

Voir ci-dessous notre analyze du test RT-PCR

The WHO Confirms that the Covid-19 PCR Test is Flawed: Estimates of “Positive Cases” are Meaningless. The Lockdown Has No Scientific Basis

By Prof Michel Chossudovsky, December 10, 2023

Voir en français :

Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 »

Par Prof Michel Chossudovsky, 18 janvier 2022

Fraude de l’OMS. Il n’y a jamais eu de pandémie ! Le 20 février 2020, le Dr Tedros a annoncé une « épidémie mondiale en expansion»

Par Prof Michel Chossudovsky, 04 janvier 2023

 

Voir les sections 1, 2, 3 et 4 de l’annexe (version en anglais)

 

***

Lien vers l’article original: 

There Never Was a “New Virus”, There Never was a Pandemic,29 novembre 2023

 Traduit par Maya pour Mondialisation.ca
Voir le livre de Michel Chossudovsky ci-dessous dont la publication en français est prévue. 

The Worldwide Corona Crisis, Global Coup d’Etat Against Humanity

Free of Charge for ALL our Readers. Click here to Download 

The Worldwide Corona Crisis, Global Coup d’Etat Against Humanity

by Michel Chossudovsky

Michel Chossudovsky reviews in detail how this insidious project “destroys people’s lives”. He provides a comprehensive analysis of everything you need to know about the “pandemic” — from the medical dimensions to the economic and social repercussions, political underpinnings, and mental and psychological impacts.

“My objective as an author is to inform people worldwide and refute the official narrative which has been used as a justification to destabilize the economic and social fabric of entire countries, followed by the imposition of the “deadly” COVID-19 “vaccine”. This crisis affects humanity in its entirety: almost 8 billion people. We stand in solidarity with our fellow human beings and our children worldwide. Truth is a powerful instrument.”

Reviews

This is an in-depth resource of great interest if it is the wider perspective you are motivated to understand a little better, the author is very knowledgeable about geopolitics and this comes out in the way Covid is contextualized. —Dr. Mike Yeadon

In this war against humanity in which we find ourselves, in this singular, irregular and massive assault against liberty and the goodness of people, Chossudovsky’s book is a rock upon which to sustain our fight. –Dr. Emanuel Garcia

In fifteen concise science-based chapters, Michel traces the false covid pandemic, explaining how a PCR test, producing up to 97% proven false positives, combined with a relentless 24/7 fear campaign, was able to create a worldwide panic-laden “plandemic”; that this plandemic would never have been possible without the infamous DNA-modifying Polymerase Chain Reaction test – which to this day is being pushed on a majority of innocent people who have no clue. His conclusions are evidenced by renown scientists. —Peter Koenig 

Professor Chossudovsky exposes the truth that “there is no causal relationship between the virus and economic variables.” In other words, it was not COVID-19 but, rather, the deliberate implementation of the illogical, scientifically baseless lockdowns that caused the shutdown of the global economy. –David Skripac

A reading of  Chossudovsky’s book provides a comprehensive lesson in how there is a global coup d’état under way called “The Great Reset” that if not resisted and defeated by freedom loving people everywhere will result in a dystopian future not yet imagined. Pass on this free gift from Professor Chossudovsky before it’s too late.  You will not find so much valuable information and analysis in one place. –Edward Curtin

ISBN: 978-0-9879389-3-0,  Year: 2022,  PDF Ebook,  Pages: 164, 15 Chapters

Price: $11.50 FREE COPY! Click here (docsend) and download.

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Articles Par : Prof Michel Chossudovsky

A propos :

Michel Chossudovsky is an award-winning author, Professor of Economics (emeritus) at the University of Ottawa, Founder and Director of the Centre for Research on Globalization (CRG), Montreal, Editor of Global Research.  He has taught as visiting professor in Western Europe, Southeast Asia, the Pacific and Latin America. He has served as economic adviser to governments of developing countries and has acted as a consultant for several international organizations. He is the author of eleven books including The Globalization of Poverty and The New World Order (2003), America’s “War on Terrorism” (2005), The Global Economic Crisis, The Great Depression of the Twenty-first Century (2009) (Editor), Towards a World War III Scenario: The Dangers of Nuclear War (2011), The Globalization of War, America's Long War against Humanity (2015). He is a contributor to the Encyclopaedia Britannica.  His writings have been published in more than twenty languages. In 2014, he was awarded the Gold Medal for Merit of the Republic of Serbia for his writings on NATO's war of aggression against Yugoslavia. He can be reached at [email protected] Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM) de Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

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