A l’attention des trissotins de l’analyse et des godillots de la propagande occidentaliste, on confirmera que la Chine a bien contribué à rompre l’isolement de la Syrie et qu’elle a refusé avec constance toute forme d’ingérence, s’opposant à toutes les tentatives visant à « désarmer » l’Etat syrien et à renverser son gouvernement.
Ce que nous vivons actuellement en Syrie est une attaque du dollar à la manière de Daech, pendant que nous défendons la livre syrienne, l'économie, la vie des citoyens et l’éthique en priant à la manière des derviches et des soufis. La guerre n'est pas terminée et reste à son apogée.
Le retour des pays arabes vers la Syrie n'est rien d'autre que le retour de ceux qui sont convaincus que la guerre est finie.
Conviction qui ne serait pas partagée par le Qatar qui s’est déclaré hostile à la normalisation des relations avec la Syrie. Quel est le prix exigé pour que le chasseur qatari abandonne la proie syrienne qui s’est envolée, de l’aveu même de son ancien Premier ministre ?
Les médias ont qualifié le premier tremblement de terre (6 février 2023) de "plus puissant dans la région depuis au moins un siècle". C'est un euphémisme. En ce qui concerne le sud de l'Anatolie, il s'agit du plus grand tremblement de terre depuis plus de sept siècles.