Intervention occidentale au Moyen-Orient
Le seul succès de l’intervention occidentale en Libye est d’offrir l’occasion d’une nouvelle guerre.
Par Glenn Greenwald, 16 février 2016
Un des rares bénéfices du bombardement de la Libye va tomber dans la poche des habituels gagnants de cette alliance public-privé que constitue la machine du militarisme sans fin, en lui fournissant un nouveau prétexte pour un nouveau bombardement.
Par Alex Lantier, 16 février 2016
Quelques heures seulement après que le secrétaire d’Etat américain John Kerry et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov eurent dévoilé un vague plan de « cessation des hostilités » en Syrie, le 12 février, les alliés des États-Unis ont poussé à une escalade majeure de la guerre à la Conférence sur la sécurité de Munich où étaient réunis les dirigeants de nombreux grands pays.
Par Roger Jordan, 15 février 2016
Le gouvernement du Canada a annoncé lundi dernier qu’il allait tripler le nombre de soldats des forces spéciales dans le nord de l’Irak qui aident les milices kurdes au front à combattre l’État islamique. Il va aussi augmenter d’un tiers le nombre total de soldats canadiens dans la région, le portant à 830.
Par Manlio Dinucci, 16 février 2016
Les ministres de la défense Otan ont décidé de « renforcer la présence avancée dans la partie orientale de notre Alliance ». Cela sert à « nous défendre des menaces élevées provenant de la Russie », a clarifié le secrétaire étasunien à la défense, Ash Carter.
Par Bill Van Auken, 15 février 2016
L’accord annoncé le 12 février par le secrétaire d’État américain John Kerry et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov sur un « arrêt des hostilités » et une aide humanitaire intensifiée en Syrie n’a pas amené un arrêt immédiat du conflit qui dure depuis cinq ans, a coûté la vie à plus d’un quart de millions de personnes et en a fait fuir onze millions de leurs foyers.