La cabale mondialiste promeut un régime à base d’insectes — et de cannibalisme

Résumé

  • Le Forum économique mondial envisage un système alimentaire qui ne comprendrait pas d’aliments d’origine animale et qui ne nécessiterait pas une grande superficie de terrain. En fait, depuis plusieurs années, le FEM [Forum Économique Mondial] défend l’idée que nous devrions nous habituer à manger des insectes et à boire des eaux usées récupérées. Les deux sont en train de se déployer.
  • Dans un article paru en juillet 2022, le New York Times a porté les projections dystopiques du FEM à un tout autre niveau, en annonçant que l’heure est venue d’envisager le cannibalisme.
  • Interprétation : Le FEM et ses alliés prévoient des pénuries alimentaires qui, dans certaines régions, pourraient dégénérer en famine, et ils veulent que vous sachiez que lorsque ce moment viendra, vous pourrez manger votre voisin.
  • En plus d’une récente vague de livres et d’émissions de télévision qui glorifient le cannibalisme, il existe un « art » du steak humain cultivé en laboratoire et de la viande végétalienne conçue pour avoir le goût de la chair humaine. En 2019, un professeur suédois a également défendu le cannibalisme comme une alternative plus durable à la consommation d’insectes.
  • Une grande partie de l’« inspiration » supposée derrière la promotion des régimes alimentaires non naturels proviendrait d’un désir de sauver la planète. Bien que cela soit admirable, il est important de réaliser que le programme « vert » — tel qu’il est actuellement promu — n’est rien d’autre qu’une tactique de peur pour amener les gens à accepter des conditions de vie qui seraient autrement inacceptables, comme manger des insectes, boire de l’eau d’égout récupérée et même, apparemment, le cannibalisme…

[Ndlr : l’eau courante ou dite « du robinet » est déjà de l’eau d’égout récupérée.]

À maintes reprises, le Forum économique mondial (FEM) et ses collaborateurs mondiaux ont « prédit » l’avenir avec une précision étonnante, parfois des années à l’avance, puis, lorsque les prédictions se réalisent, ils font comme s’ils n’y étaient pour rien.

Il est bon de rappeler que le fondateur du FEM, Klaus Schwab, lors de la réunion de mai 2022 à Davos, a clairement déclaré que l’avenir n’arrive pas tout seul, il est « CONSTRUIT — par nous », se référant à lui-même et aux autres participants dans la salle. Ainsi, ne vous y trompez pas, ils croient vraiment qu’ils ont le droit de décider du destin du monde, et que vous et moi n’avons pas voix au chapitre.

Ce destin a été officiellement annoncé en juin 2020 sous la bannière de la « Grande Réinitialisation », par Schwab lui-même.1 Ce projet de « reconstruire en mieux » [« Build Back Better » ou « BBB » en anglais] implique la réorganisation et la restructuration complètes de toutes les composantes de la société, y compris la finance, l’industrie, l’éducation, les « contrats sociaux », le secteur énergétique et le système alimentaire.

En ce qui concerne le système alimentaire, le FEM envisage un système alimentaire qui n’inclurait pas d’aliments d’origine animale et ne nécessiterait pas une grande superficie de terre. En fait, depuis plusieurs années, le FEM défend l’idée que nous devrions nous habituer à manger des insectes2,3,4 et à boire des eaux usées récupérées. Pour ne citer qu’un exemple, à la mi-octobre 2018, le FEM a publié sur Twitter :5.

« Bonne bouffe : pourquoi nous pourrions bientôt manger des insectes ».

Insectes, eaux usées et cannibalisme — Les plans de la cabale pour vous

Les nombreuses prédictions du FEM se transforment maintenant rapidement en réalité, et ses programmes égoïstes sont, bien sûr, salués comme brillants et nécessaires par ses alliés médiatiques. Par exemple, en février 2021, le magazine Time6 a insisté sur le fait que nous devrions vraiment manger plus d’insectes pour sauver la planète, et en mai 2021, Bloomberg a annoncé que « L’avenir de l’eau est dans les eaux usées recyclées, et nous allons tous les boire »7.

En effet, la Californie a déjà entamé sa transition des toilettes au robinet.8 Le 23 juillet 2022, le New York Times9,10 a ensuite porté les projections dystopiques du FEM à un tout autre niveau, en annonçant que le temps d’envisager le cannibalisme est maintenant venu :

« Une image est venue à Chelsea G. Summers : un petit ami, accidentellement et volontairement renversé par une voiture, un travail rapide avec un tire-bouchon et son foie servi à la toscane, sur des toasts. C’est ce fruit de son imagination tordue qui a incité Mme Summers à écrire son roman “Une certaine faim”, qui raconte l’histoire d’une critique de restaurant ayant un penchant pour la chair humaine (masculine).

Il s’avère que le cannibalisme a un temps et un lieu. Dans les pages de certains livres récents à vous retourner l’estomac, et sur les écrans de télévision et de cinéma, Mme Summers et d’autres suggèrent que ce temps est venu… Pouvez-vous le supporter ? »

L’écrivain du NYT, Alex Beggs — qui écrit également pour le magazine culinaire Bon Appétit — poursuit en énumérant plusieurs émissions de télévision et films récents présentant le cannibalisme sous un jour romantique. Comment laver le cerveau des gens, en particulier des jeunes, pour qu’ils acceptent l’inacceptable, si ce n’est en le glorifiant par la magie de la télévision ? Et ça marche. Un forum Reddit consacré à la série « Yellowjackets » de Showtime compte 51 000 membres.

« La tension de la série réside dans le fait que vous savez que le cannibalisme va arriver, mais quand ? Et pourquoi ? » écrit Beggs. La série reflète sans doute une tension que les élitistes du monde entier souhaitent voir émerger dans la vie réelle.

« Mais de quoi parlez-vous ? », me direz-vous. Permettez-moi d’être direct et de ne pas tourner autour du pot : le FEM et ses alliés fabriquent des pénuries alimentaires qui, dans certaines régions, peuvent évoluer vers une véritable famine, et ils veulent que vous sachiez que lorsque ce moment viendra, vous pourrez manger votre voisin.

Vous sauverez la planète, et vous-même. Le cannibalisme est une « victoire » pour le monde, alors ne soyez pas dégoûté. Vous pourriez même y prendre plaisir, et il n’y a pas besoin d’être rongé par une culpabilité inutile. Vous êtes toujours une bonne personne.

Tel est le message subliminal diffusé par ces articles, livres et émissions de télévision qui normalisent le cannibalisme, et ce n’est pas un hasard. Dois-je vous rappeler que la directrice adjointe de la rédaction du NYT, Rebecca Blumenstein, est membre du FEM ?11 Elle sait ce qui l’attend.

Et puis, bien sûr, il y a les vérificateurs de faits qui insistent sur le fait que le NYT « n’a pas publié un article qui normalise le cannibalisme »12, ce qui est en fait la preuve qu’il l’a fait. Ceux d’entre nous qui l’ont lu n’ont pas mal compris son objectif non déclaré. Le New York Times a également rendu des hommages élogieux à Marina Abramovic, dont l’« art » comporte des références graphiques au cannibalisme13.

Steak humain cultivé en laboratoire

En plus des livres et des émissions de télévision qui glorifient le cannibalisme, il y a le steak humain cultivé en laboratoire et la viande végétalienne conçue pour avoir le goût de la viande humaine. Pour commencer, en décembre 2020, un steak cultivé à partir de cellules humaines a été présenté comme une œuvre d’art au Design Museum de Londres, au Royaume-Uni14.

Le créateur du « steak Ouroboros » — une référence à l’ancien symbole alchimique du serpent qui dévore sa queue et renaît de lui-même — a déclaré que l’installation était une critique de l’industrie de la viande et qu’elle résultait d’une année passée à « imaginer comment le changement climatique pourrait avoir un impact sur l’avenir de la consommation alimentaire »15.

Il aurait été contrarié par le fait que « l’attention s’est rapidement focalisée sur les accusations selon lesquelles nous encouragions le cannibalisme ». À l’époque, le New York Times rapportait :16

« “Ouroboros Steak” examine l’auto-cannibalisme, mais n’en fait pas la promotion, comme une prise satirique sur la demande croissante de produits carnés dans le monde, dont les scientifiques ont averti qu’elle contribuerait probablement aux émissions de carbone et à la réduction de la biodiversité.

Les concepteurs espéraient que le fait de choquer le public avec cette suggestion déclencherait un examen de la responsabilité environnementale et de l’industrie de la viande propre, qui s’est présentée comme produisant de la nourriture « sans tuer », bien que la plupart des entreprises dépendent fortement du sérum bovin fœtal récolté lors de l’abattage des vaches enceintes pour la culture de cellules. »

Bien que les concepteurs aient pu avoir des intentions pures, le résultat final est toujours quelque chose qui profite à l’agenda dépravé de l’élite mondiale. Il convient également de noter que le bétail – élevé de manière régénératrice et non dans des exploitations d’alimentation animale concentrées (CAFO) – a en fait un impact très positif sur le climat.

Essaient-ils de normaliser le cannibalisme ? Absolument !

Poussant l’idée du steak humain un peu plus loin, une société appelée BiteLabs prétend vendre du salami artisanal fabriqué à partir de chair de célébrité cultivée en laboratoire.17 Selon leur site web, ils ont l’intention de collecter des échantillons de biopsie de célébrités, d’isoler les cellules musculaires, puis de cultiver la viande de célébrité en utilisant un bioréacteur exclusif.

La viande cultivée en laboratoire est ensuite salée, séchée, vieillie et épicée selon la tradition italienne. On ne sait pas encore si des célébrités ont signé pour devenir des salamis, mais l’entreprise semble bien réelle. Le magazine Grub Street de New York a écrit un article sur la startup en 2014.18 IFL Science19 a suivi en janvier 2022, notant qu’« il est parfaitement possible » de créer du salami à partir de viande de célébrité clonée.

Parmi les autres exemples d’un effort continu pour normaliser le cannibalisme, citons un article de 2018 traitant des avantages du plasma sanguin des adolescents20, censé avoir des effets rajeunissants. Une commande de 2,5 litres coûterait environ 8 000 dollars à l’époque. Dans le cadre d’une programmation prédictive, le film « Soylent Green », dans lequel le protagoniste se rend compte que la nourriture distribuée par le gouvernement est fabriquée à partir d’humains, a été tourné en 2022.21 Et puis, il y a Katy Perry (ci-dessous).

Un burger végétalien au goût de chair humaine

Poursuivant le défilé des tendances à normaliser le cannibalisme, en juin 2022, un hamburger végétalien censé « avoir le goût de la viande humaine » a remporté un prix d’argent au festival annuel de la créativité de Cannes Lions.22,23 Le burger à la viande humaine, composé de soja, de champignons, de protéines de blé, de graisses végétales et d’un mélange d’épices secret, a fait ses débuts lors d’un festival d’Halloween à Stockholm, en Suède, en 2021.

La vidéo ci-dessus était la publicité pour cet événement. Bien qu’ils déclarent qu’« aucun humain n’a été blessé dans le développement de ce produit », on peut évidemment se demander comment ils ont trouvé le profil de goût de la viande humaine en premier lieu.

Peut-être qu’ils l’ont inventé et qu’en fait, il n’a pas du tout le goût de la chair humaine. Qui serait capable de faire la différence ? Quoi qu’il en soit, il s’agit d’un autre exemple où l’idée du cannibalisme est acceptée et louée.

« Cannibales contre le changement climatique »

Par coïncidence, un autre Suédois, le professeur Magnus Soderlund, a fait la une des journaux en 2019 en suggérant que « les humains devraient devenir cannibales pour lutter contre le changement climatique, car manger de la chair humaine est plus « durable » que l’industrie de la viande »24. Bien que son concept n’ait pas été adopté sur le champ, il semble que quelqu’un, quelque part, ait pris note de ses idées folles.

Si le cannibalisme a effectivement été pratiqué de temps à autre au cours de l’histoire de l’humanité, il s’agissait généralement — à quelques exceptions près — d’une mesure de dernier recours. Les gens mangeaient les membres de leur famille et leurs voisins pour survivre à la famine25.

Suggérer que la civilisation humaine la plus avancée de mémoire d’homme commence à se manger les uns les autres « pour sauver l’environnement » est déraisonnable à l’extrême. Nous disposons de méthodes d’agriculture régénératrice qui atténueraient la plupart de nos préoccupations environnementales. Il n’y a absolument aucune raison de passer de l’agriculture industrielle au cannibalisme.

L’agenda vert cherche à normaliser la baisse du niveau de vie

Une grande partie de l’« inspiration » supposée derrière la promotion des régimes alimentaires non naturels proviendrait d’un désir de sauver la planète. Bien que cela soit admirable, il est important de réaliser que l’ensemble du programme « vert » — tel qu’il est actuellement promu — n’est rien d’autre qu’une ruse, une tactique de peur, pour amener les gens à accepter des conditions de vie qui seraient autrement inacceptables, comme manger des insectes, boire de l’eau d’égout récupérée et même, apparemment, le cannibalisme.

Le programme vert est fondé sur des idées erronées sélectionnées, comme l’idée que les engrais azotés sont des polluants qu’il faut limiter en éliminant l’agriculture. Sans agriculteurs, que mangerons-nous ? La réponse de la cabale technocratique et transhumaniste : les mauvaises herbes, les insectes et, peut-être, les uns les autres.

Cela peut sembler fou, mais ils veulent vraiment se débarrasser du plus grand nombre de personnes possible, et aucune stratégie n’est éthiquement hors limite, qu’il s’agisse de la promotion de l’avortement, de l’élimination des combustibles fossiles sans avoir de solution de remplacement viable, de l’obligation d’effectuer des injections expérimentales de transfert de gènes, de régimes à base d’insectes, d’eaux usées récupérées ou de cannibalisme.

À propos, un certain nombre d’États américains ont également adopté l’hydrolyse alcaline26comme alternative à la crémation, où les cadavres sont dissous et l’eau du processus est évacuée dans les égouts. Qu’y a-t-il de mal à combiner l’évacuation de l’eau utilisée pour dissoudre les restes humains dans les égouts et la réutilisation de cette même eau en eau potable ? Même si c’est surtout symbolique, c’est aussi une forme de cannibalisme.

Pourquoi les « réponses » des élitistes sont-elles si grossières ?

Si vous êtes comme la plupart des gens, vous vous demandez probablement pourquoi tout ce que la cabale technocratique présente comme « la réponse » à nos problèmes mondiaux est si grossier et déshumanisant. La réponse simple est que nous ne sommes pas humains pour eux. Nous sommes une marchandise, comme le bétail, qui existe pour leur bénéfice et leur exploitation. Ils sont « au-dessus » du reste d’entre nous. Nous n’avons peut-être pas de système de castes, officiellement, mais il y a deux classes dans ce monde.

Avant que les agriculteurs ne se rendent compte que la vache folle était créée par l’alimentation des bovins avec des parties de bovins, cette pratique était courante. Et, franchement, les élitistes technocrates nous voient de la même façon. Pourquoi ne pas nourrir les mangeurs inutiles avec ceux qui ont encore une certaine valeur d’abeille ouvrière ? Pour eux, c’est tout simplement rationnel.

C’est efficace, et la technocratie est basée en grande partie sur l’efficacité d’un système donné. Les robots sont plus efficaces que les humains, donc les robots sont le meilleur choix. L’intelligence artificielle est plus efficace que l’intellect humain, et donc ils veulent fusionner avec elle. Que faire des humains inutiles, telle est la question. Et la réponse est de s’en débarrasser, de quelque manière que ce soit, sans soulever l’ire de trop de paysans.

Les célébrités adoptent le régime des insectes

Pour l’instant, la normalisation du cannibalisme n’en est qu’à ses débuts. Mais le fait que les insectes soient au menu – maintenant, aujourd’hui – est indéniable. Les célébrités ont bien sûr un rôle à jouer dans tout projet d’ingénierie sociale réussi, et dans la vidéo ci-dessus, l’actrice Nicole Kidman se met au service de l’équipe.

« Trois millions de personnes dans le monde mangent des insectes, et je suis l’une d’entre elles », déclare-t-elle en dévorant un certain nombre d’insectes différents, certains vivants et d’autres frits pour être croustillants. Vous pouvez parier votre dernier dollar que les insectes frits ont été frits dans des huiles de graines. Mon scepticisme quant à son authenticité mis à part, des recherches ont conclu que les célébrités peuvent effectivement « persuader les gens de manger des insectes ». Comme le rapporte PsychReg.org :27

« L’utilisation de l’appui de célébrités dans des publicités pour des aliments à base d’insectes peut accroître la volonté des gens d’inclure des insectes dans leur régime alimentaire, révèle une nouvelle recherche de la Norwegian Business School (BI), de l’université Chuo, de l’université Miyagi et de l’université d’Oxford.

Pour combattre et prévenir une crise alimentaire mondiale, nous devons explorer des sources de protéines alternatives. L’ONU a exhorté les gens à envisager la consommation d’insectes, car ils sont nutritifs, durables et facilement disponibles dans le monde entier. Cependant, beaucoup ont du mal à accepter le concept de manger des insectes…

Les résultats ont montré que la fiabilité perçue des célébrités, leur connaissance des aliments à base d’insectes et leur caractère approprié sont des facteurs cruciaux pour accroître la volonté des gens de manger des insectes.

Toutefois, les réactions sont différentes selon le sexe : pour les hommes, les publicités mettant en scène des acteurs ou des athlètes sont les plus efficaces, tandis que seuls les acteurs influencent efficacement les femmes. En revanche, les musiciens ne semblent pas avoir autant d’influence. L’utilisation de musiciens dans les publicités rendait les femmes moins disposées à consommer des aliments à base d’insectes…

Nos résultats démontrent que le soutien d’une célébrité peut être une stratégie très efficace pour accroître l’intérêt des consommateurs à manger plus d’insectes, à condition que la bonne célébrité soit ciblée sur le bon sexe. »

De toute évidence, ces recherches ne languissent pas dans un tiroir caché. Les adeptes de la Grande Réinitialisation technocratique mettent les résultats en pratique. Parmi les célébrités qui font l’éloge des insectes, on peut citer Drew Barrymore, Robert Downey Jr, le célèbre chef Gordon Ramsay, Salma Hayek et Angelina Jolie, pour n’en citer que quelques-uns28.

Autres types de cannibalisme

Si le cannibalisme est aujourd’hui abordé de manière plus frontale, les humains ingèrent et absorbent d’autres humains d’autres manières depuis de nombreuses années. Par exemple, les cellules de fœtus humains avortés sont fréquemment utilisées dans le développement de vaccins.

Et, si les cellules humaines ne sont pas présentes dans le produit final, des fragments d’ADN et des protéines cellulaires peuvent tout de même être présents. Pour en savoir plus sur ce processus, consultez cet article. En voici un court extrait :29

« En dehors de tout conflit moral que l’on pourrait avoir sur l’utilisation de fœtus avortés pour la production de vaccins, nous devons nous rappeler que l’ADN des fœtus avortés se retrouve effectivement dans les vaccins en tant que contaminant…

Des recherches indépendantes30 ont révélé que les vaccins fabriqués à partir de lignées cellulaires de fœtus humains contiennent « des niveaux inacceptables de contaminants sous forme de fragments d’ADN fœtal ».
Les vaccins provoquent une activation immunitaire systémique et des réponses inflammatoires, ce qui augmente la probabilité d’incorporation d’ADN étranger dans le génome de l’hôte. Et de fait, il a été constaté que l’ADN des cellules fœtales peut s’intégrer spontanément dans le génome de la personne vaccinée. »

D’autres produits qui utilisent des parties de fœtus avortés dans leur développement comprennent les cosmétiques, les médicaments pharmaceutiques et les exhausteurs de goût que l’on trouve dans de nombreux aliments et boissons.31 L’utilisation de cellules de fœtus avortés dans ces types de produits est-elle justifiable ?

Quand la fin justifie les moyens, de mauvaises choses arrivent

Étonnamment, selon Human Life International (HLI)32, une organisation catholique prétendument pro-vie, cela est justifiable si c’est « au service de l’humanité ». HLI estime que les vaccins sont au service de l’humanité, et que l’utilisation de cellules de fœtus avortés dans le développement de vaccins est donc acceptable. Les cosmétiques, en revanche, ne peuvent pas sauver des vies. Il faut donc s’opposer à la « pratique dégoûtante » consistant à utiliser des fœtus pour la création de cosmétiques.

« Nous avons de bonnes et solides solutions pour nos préoccupations environnementales. L’agriculture régénératrice — qui inclut et nécessite même l’élevage — est la voie à suivre si nous voulons vraiment nettoyer la planète, réduire la consommation d’eau et normaliser le climat. »

Il me semble que c’est vraiment couper les cheveux en quatre. HLI dit essentiellement que la fin justifie les moyens, même s’ils sont considérés comme odieux et potentiellement malsains (comme l’injection de fragments d’ADN d’une autre personne). Selon ce raisonnement, le cannibalisme pourrait être justifié au nom de la protection de l’environnement (comme certains l’affirment), mais je ne pense vraiment pas que nous devions aller dans ce sens.
Comme nous l’avons mentionné précédemment, nous avons de bonnes et solides solutions à nos préoccupations environnementales. L’agriculture régénératrice – qui inclut et nécessite même l’élevage – est la voie à suivre si nous voulons vraiment nettoyer la planète, réduire la consommation d’eau et normaliser le climat.

L’idée que notre seule issue est un régime alimentaire à base d’insectes et de cannibalisme est d’une ignorance stupide à l’extrême et doit être combattue à chaque instant. Ce ne sont pas du tout des solutions fondamentales. Ce sont des outils pour asservir, dénigrer et déshumaniser l’humanité, inventés par des gens qui considèrent chaque steak dans votre assiette comme quelque chose qui a été volé aux leurs.

Dr Joseph Mercola

Article original en anglais :

Food Shortages: WEF Globalists Promote Diet of Bugs — and Cannibalism

 

Version française : nouveau-monde.ca

Sources et Références



Articles Par : Dr Joseph Mercola

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