La complexité de l’être humain

Nous connaissons tous le « Garde-à-vous ! Fixe ! » des armées. Il est temps de développer le « Garde à soi ! Fixe ! » des individus. Cette injonction incite à être présent à soi, à son être tout entier pendant un instant durable afin de s’ancrer pleinement en soi et se connecter à ses diverses dimensions.
Etre au garde-à-soi, c’est aussi être pleinement conscient de l’engagement pris non seulement sur une incitation, sur un coup de tête ou sur une envie focalisée mais aussi avec des motivations et des intentions profondes.
Lorsqu’on se laisse inoculer un produit, est-ce parce que nous désirons que ce produit pénètre dans notre circulation sanguine avec ses conséquences systémiques ou pour obtenir le droit de partir en voyage ou de participer à des rencontres ? Comme le dit si bien cet auteur dans son «Appel à témoins» : Certains abandonnent leur corps à la science après leur mort. Depuis un an la mode est de le faire de son vivant. Le statut de cobaye est même érigé en nouvelle normalité : tout citoyen digne de ce nom se doit de participer à l’ETGPT (Essai de Thérapie Génique Pour Tous)
Etre au garde-à-soi implique aussi d’être vigilant à tout ce qui nous entoure, autant avec les conséquences immédiates que celles à long terme, sur différents plans et dans différentes dimensions. Ainsi, il s’agit de connaître tous les paramètres de la Loi Covid qui pourraient aussi pénaliser les vaccinés? Seriez-vous prêt à vous faire injecter le vaccin tous les quatre à six mois? Pour le restant de vos jours? Accepteriez-vous de perdre votre emploi, votre liberté de mouvement ou l’accès à vos comptes bancaires si vous refusiez, un jour, votre énième booster? À quelques jours de la votation (du 18.11 en Suisse), la question mérite d’être posée.
Il vaut la peine de connaître les capacités de notre sens de la vision, concrète et subtile. Elle est un instrument fondamental que nous portons en nous. L’usage que chacun en fait dépend de son aptitude à focaliser le regard là où on l’attire ou alors à balayer large en gardant le désir de rester fermement en lui. Ainsi, en utilisant le bagage des expériences accumulées dans leur existence, divers corps de métier refusent la «vaccination» imposée. Leur conviction a finie par être reconnue, par exemple en Guadeloupe : Le gouvernement a annoncé ce mardi qu’il allait fournir des vaccins sans ARN messager aux Outre-mer… Par cette décision, le gouvernement reconnaît implicitement, et publiquement, que ce sont bien les injections expérimentales anti-covid et leur nocivité de plus en plus visible, leur manque de recul quant à leur dangerosité, qui sont rejetées par les soignants, les pompiers, tant en Guadeloupe qu’en France.
La complexité de l’être humain correspond au micro-univers qu’il incarne. Je ne me lasse pas d’évoquer ce fondement tant il peut nous guider pour percevoir ce qu’est la santé, équilibre entre les différentes zones de cet ensemble et cohérence entre toutes les parties avec des circuits tant liquides qu’électriques pour l’animer. De ce fait, maintenir ou rétablir la santé nécessite une vision globale en s’appuyant sur les signaux que nous apporte le corps tant au niveau fonctionnel qu’au niveau sensible. Alors comment la médecine a-t-elle évolué à travers le temps? A toutes les époques, il y a eu des moyens de corriger certains symptômes ou alors de considérer le malade dans son entièreté. Ainsi, les démarches thérapeutiques relèvent de l’art médical, de la médecine intégrale, ou alors de techniques précises qui ont abouti à la technoscience actuelle, laquelle vise à définir les diagnostics de façon très précise. Par cette option, on délaisse l’écoute et l’observation globale des êtres humains dont c’est pourtant l’organisme qui a laissé les pathologies s’exprimer de façon aiguë dans un premier temps – lesquelles peuvent ne se percevoir qu’au niveau énergétique – pouvant aboutir à la chronicité par le fait que différents systèmes s’épuisent au fil du temps et ne peuvent plus assumer leurs fonctions. Un tel processus thérapeutique correspond à la médecine de terrain.
Nous en vivons un exemple d’envergure avec la présence du virus couronné qui a suscité des réactions tant scientifiques que politiques et économiques, dont l’amplification apparaît comme extensible. Ainsi en faisons-nous le constat avec l’introduction d’une 3e dose de «vaccin» et même d’une 4e en Israël.Avant de proposer voire d’imposer une telle décision, il serait bon de prendre du recul et de faire le bilan de l’expérience de cette inoculation génique.
Il serait judicieux aussi de mettre en évidence tout ce qui concerne la complexité des réactions de l’organisme au vu de la nouvelle saison que nous avons entamée , par exemple de considérer la concordance vaccination antigrippale et recrudescence COVID-19 et de tenir compte que : Les scientifiques sont confrontés en médecine à des difficultés parfois presque insurmontables ; mais qu’il faut quand même « surmonter », un peu comme les alpinistes ; et c’est pourquoi les sciences médicales sont la Reine de toutes les sciences. Il ne suffit pas de considérer les statistiques du nombre de vaccinés et des testés positifs pour prendre des décisions sans tenir compte de la complexité de la vie familiale, sociale et professionnelle!
La complexité de l’être humain se retrouve aussi dans la complexité de ses souffrances : Depuis près de deux ans, la population a souffert dans sa chair, physiquement et psychologiquement. Elle a subi des contraintes et des privations de liberté. Pendant le confinement des parents, des amis sont morts sans que l’on puisse leur rendre un dernier hommage. Les enfants doivent encore obligatoirement porter un masque pour aller à l’école, et depuis l’éducation nationale et les responsables de cette situation, ne se posent toujours pas la question de sa nocivité à long terme. Il en va de même pour les réactions aux injections géniques et à leurs effets à long terme.
La complexité de l’intelligence du coeur est dévoilée dans les convictions émises dans cette vidéo : La voix dans mon cœur : J’en souligne des paroles très fortes : Mon cœur s’éloigne de la vision unilatérale et simpliste qu’on veut nous imposer.
Le psychisme est un «réservoir» de complexité ! Il s’illustre dans les différentes communautés de la population comme pour le cas de la vaccination obligatoire. Le courageux shérif du comté de Los Angeles dit la vérité sur les mandats de vaccination de Covid : En réalité, les dictateurs et les oligarques ne peuvent pas arriver au pouvoir sans le soutien avide d’un certain sous-ensemble de la population qui VEUT et AIME la tyrannie. En d’autres termes, les autoritaires au pouvoir font appel à ce qu’il y a de plus pourri dans l’humanité – les sociopathes, les narcissiques, les psychopathes, les obsédés du contrôle et les micro-managers. Ils travaillent main dans la main avec les aberrants et les peureux, les fourbes et les grotesques, et ils s’alignent sur ces personnes pour faire croire que l’autoritarisme est un désir écrasant de la majorité alors qu’il s’agit en fait de la soif déviante d’une minorité agressive. Ils ont alors besoin de boucs émissaires pour justifier les limitations et les échecs de leur politique sanitaire qui n’empêche pas une recrudescence des grippes comme chaque année en automne.
Les complexités humaines se rassemblent en communautés, en collectifs, en régions, en nations et la gouvernance relève alors de la démocratie. Toutefois actuellement la Covid-19 a rendu les démocraties plus autoritaires : Un nouveau rapport indique que de nombreuses démocraties ont pris des mesures « disproportionnées, inutiles ou illégales » pour freiner la circulation du covid.
En outre, elles ont basé la lutte contre la pandémie sur le test PCR, plutôt que sur l’accueil et l’observation des malades, en en faisant un mythe et en entretenant la peur.
Dans le domaine technique encore, on découvre qu’un robot répond à tout sur le Covid long: Les Hôpitaux universitaires de Genève lancent une plateforme interactive d’informations sur les symptômes persistants après une infection au virus SARS-CoV-2. Que devient le développement de l’intuition du médecin face à la complexité d’un patient et tout ce qui conduit son état de santé au moment vécu, sachant que les instants qui se suivent peuvent modifier les dynamiques en jeu ?
Ce modus mécanique et numérique qui guident les médecins se perçoit aussi dans les services hospitaliers. Pour Fred, « la baisse de l’espérance de vie on l’a déjà ! On a une mauvaise prise en charge dans les hôpitaux, car ce n’est pas possible de gérer tous les patients avec les moyens qu’on a », dénonce-t-il : Notre santé mentale et physique est notre plus grande ressource. Avant qu’elle ne soit vendue au plus offrant, prenons-en soin en gardant notre autonomie sous différents aspects :
– Mental (restez focus sur vos objectifs) ;
– Physique (gardez la forme) ;
– Financière
– Communautaire (seul on est vulnérable) ;
– Énergétique (avoir des amis maraîchers, chasseurs est un plus non négligeable).
A quoi j’ajoute l’aspect psychoaffectif.
La complexité humaine obéit aux lois cosmiques alors que la complexité gouvernementale conduit à la complication sociale. Une illustration pertinente nous en est donnée dans ce récit de panique au village : La médiathèque de mon village est conforme au règlement préfectoral : les bénévoles qui la tiennent doivent posséder un pass et porter un masque. Le public aussi. Le masque est pour les plus de 11 ans. Non-vaccinés et chiens restent dehors (voir affichette). Tout était parfaitement clair. La surface de la bibliothèque est de 100 m², surface minimale pour les communes de moins de 1 430 habitants. Tout était indiqué sur la porte d’entrée, à commencer par « Pour votre sécurité pas plus de 7 personnes simultanément dans la bibliothèque ». Taux d’incidence, visite d’une autorité, que sais-je… le « 7 » a été rayé au stylo bleu et remplacé par « 4 ». Comme on n’est jamais trop prudent, le « 4 » a été ensuite remplacé par un « 2 » au feutre rouge. Toutes les précautions étaient prises en fonction de la check-list : gel à disposition et un bon conseil : « Provisoirement vous ne pouvez plus lire ou raconter des histoires sur place ». Une bénévole, médecin à la retraite, vaccinée et revaccinée, etc. s’est faite tester. Elle avait pensé aux autres vaccinées de la médiathèque, les six bénévoles, évidemment contaminées. Que d’efforts et d’énergies humaines mal investies et qui vont à l’inverse de la santé !
La complexité humaine offre les moyens de maintenir la santé de l’être humain corps-âme-esprit. La complexité numérique mène certains à la fortune financière ou à l’illusion du pouvoir. Laquelle désirons-nous vraiment ?
Marie-France de Meuron
Image en vedette : Le dimanche 28 novembre 2021, les Suisses doivent se prononcer pour ou contre la loi Covid lors du référendum. Capture d’écran. Source : 24heures.ch