La feuille de route de la COVID-19 : Vers un chaos économique mondial et une destruction de la société

Si ces statistiques officielles erronées utilisées pour "mesurer" la propagation du virus sont dénuées de sens, elles ont néanmoins été utilisées pour soutenir la campagne de peur et de désinformation en cours.

Petites modifications le 16 octobre 2020

Il est maintenant confirmé que le test Réaction de Polymérisation en Chaîne en Temps Réel  (RT-PCR) utilisé pour estimer les cas positifs au COVID-19 est discutable. Il ne permet pas de détecter ou d’identifier le virus. Ce qu’il détecte, ce sont des particules ou des fragments du virus.

PCR- Positif n’implique pas que le COVID-19 soit positif. Les statistiques dérivées du test PCR ne mesurent pas correctement les « cas confirmés ». Le test PCR ne fournit pas les statistiques requises (par les décideurs politiques et les autorités sanitaires nationales) pour évaluer le nombre de personnes infectées. De plus, selon le CDC, « une infection [COVID-19] positive » pourrait être le résultat d’une « co-infection avec d’autres virus… L’agent détecté peut ne pas être la cause de la maladie ».

Si ces statistiques officielles utilisées pour « mesurer » la propagation de l’infection virale sont imparfaites, elles ont néanmoins été utilisées pour soutenir la campagne de peur et de désinformation en cours.

Le test PCR étant défaillants en tant que moyen d’identification de la propagation du virus, les décisions importantes prises par l’OMS et les gouvernements nationaux depuis fin janvier 2020 (étayées par des statistiques erronées) sont potentiellement invalides. En outre, des rapports officiels, dont celui de l’OMS, confirment que le COVID-19 n’est pas un virus mortel, mais qu’il présente des caractéristiques similaires à celles de la grippe saisonnière.

L’objectif de cet article est d’examiner comment ces décisions de grande envergure, invariablement basées sur des concepts non valables et des statistiques erronées, ont contribué à un état de chaos économique, social et politique dans le monde entier, menant au blocage et à la fermeture de 190 économies nationales des États membres des Nations unies le 11 mars 2020. Seuls trois pays, dont le Bélarus, le Nicaragua et la Suède, ont refusé de fermer leur économie nationale.

Ce qui nous frappe dans cette analyse est le fait que des décisions majeures ont été prises dès le début, le 30 janvier 2020, alors que le nombre de cas positifs enregistrés était excessivement faible.

Le verrouillage ainsi que la fermeture des économies nationales dans le monde entier le 11 mars 2020 ont été présentés comme un moyen de faire face au « virus tueur » et de « sauver des vies ». Amplement documentés, les impacts ont conduit à un chômage de masse et à la pauvreté dans le monde entier.

La feuille de route vers le chaos économique et la destruction de la société

18 octobre 2019. Exercice de simulation de pandémie 201

Le coronavirus a été initialement nommé 2019-nCoV par l’OMS, le même nom que celui adopté lors de l’exercice de simulation du 18 octobre 2019 201 sous les auspices de la John Hopkins Bloomberg School of Health, Centre for Heath Security (un événement sponsorisé par la Fondation Gates et le Forum économique mondial)(Evénement 201)

Le 7 janvier 2020 : Les autorités chinoises ont « identifié un nouveau type de virus » qui (selon les rapports officiels) a été isolé le 7 janvier 2020.

Du 20 au 24 janvier : Réunions du Forum économique mondial à Davos. Le rôle des puissants intérêts financiers

Des intérêts financiers dominants, des fondations milliardaires et des institutions financières internationales ont joué un rôle clé dans le lancement de l’urgence de santé publique de l’OMS (PHEIC). La décision n’a pas été prise par l’OMS.

Dans la semaine qui a précédé cette décision historique de l’OMS. La PHEIC a fait l’objet de « consultations » lors du Forum économique mondial (FEM), à Davos (21-24 janvier). Le directeur général de l’OMS, le Dr. Tedros, était présent à Davos. Ces consultations ont-elles contribué à influencer la décision historique de l’OMS le 30 janvier ?

Y avait-il un conflit d’intérêt tel que défini par l’OMS ? Le plus grand donateur de l’OMS est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui, avec le FEM et la CEPI [Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies], avait déjà annoncé à Davos le développement d’un vaccin COVID-19 avant le lancement historique du PHEIC le 30 janvier.

Le 28 janvier 2020 : Le Centre américain pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) a confirmé que le nouveau virus Corona avait été isolé. À ce jour, le processus d’identification du virus n’a pas été rendu public.

Le 30 janvier 2020 : L’urgence de santé publique de portée internationale de l’OMS (PHEIC)

La première étape de cette crise a été lancée par l’OMS le 30 janvier. Bien qu’elle n’ait pas été officiellement désignée comme « pandémie », elle a néanmoins contribué à mener la campagne de peur.

Dès le début, les estimations des « cas positifs confirmés » ont fait partie d’un « jeu de chiffres ».

Dans certains cas, les statistiques n’ont tout simplement pas été mentionnées et dans d’autres cas, les chiffres ont été gonflés en vue de créer la panique.

Le nombre de « cas confirmés » basés sur des estimations erronées (PCR) utilisées pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement faible.

La population mondiale hors Chine est de l’ordre de 6,4 milliards. Le 30 janvier 2020, il y en avait en dehors de la Chine :

83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine. (voir OMS, 30 janvier 2020).

Le 29 janvier 2020, la veille du lancement du PHEI (enregistré par l’OMS), il y avait 5 cas aux États-Unis, 3 au Canada, 4 en France, 4 en Allemagne.

Il n’y avait pas de « base scientifique » pour justifier le lancement d’une urgence de santé publique mondiale.

Capture d’écran de la table de l’OMS, 29 janvier 2020,

Un jour avant la décision de l’OMS de déclarer une urgence de santé publique mondiale

Ces chiffres ridiculement bas (non mentionnés par les médias) ont été utilisés pour mener une campagne de peur mondiale.

Le 31 janvier 2020 : Décision du président Trump de suspendre les voyages aériens avec la Chine

Alors que l’OMS « [n’a] recommandé aucune restriction de voyage ou de commerce », les cinq cas dits « confirmés » aux États-Unis ont suffi à « justifier » la décision du président Trump, le 31 janvier, de suspendre les voyages aériens vers la Chine tout en précipitant une campagne de haine contre les personnes d’origine chinoises dans tout le monde occidental.

Cette décision historique du 31 janvier a ouvert la voie à la perturbation du commerce international des marchandises ainsi qu’à des restrictions mondiales sur les voyages aériens.

Et ces « cas confirmés » erronés étaient pour la plupart des cas utilisant le test RT-PCR standard.

20-21 février 2020. Données mondiales de COVID-19 en dehors de la Chine : Le navire de croisière Diamond Princess

Alors que la Chine a signalé un total de 75 567 cas de COVID-19, (le 20 février) les cas confirmés en dehors de la Chine étaient terriblement bas et les statistiques basées en grande partie sur le test PCR utilisé pour confirmer la « propagation mondiale du virus » étaient pour le moins discutables. En outre, sur les 75 567 cas recensés en Chine, un pourcentage important s’est rétabli. Et les médias n’ont pas reconnu ces chiffres.

Le jour de la conférence de presse historique du Dr. Tedros (20 février 2020), le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était de 1073, dont 621 étaient des passagers et des membres d’équipage du navire de croisière Diamond Princess (échoué dans les eaux territoriales japonaises).

D’un point de vue statistique, la décision de l’OMS indiquant une possible « propagation du virus dans le monde entier » n’a pas de sens.

Le 20 février, 57,9 % des « cas confirmés » de COVID-19 dans le monde provenaient du Diamond Princess, ce qui n’est guère représentatif d’une « tendance statistique » mondiale. L’histoire officielle est la suivante :

  • Un passager basé à Hong Kong qui avait débarqué du Diamond Princess à Hong Kong le 25 janvier a développé une pneumonie et a été testé positif pour le nouveau coronavirus le 30 janvier.
  • Il aurait voyagé le 10 janvier, à Shenzhen en Chine continentale (qui borde les nouveaux territoires de Hong Kong).
  • La Diamond Princess est arrivée à Yokohama le 3 février. Une quarantaine a été imposée au croiseur. Voir l’étude du NCBI.
  • De nombreux passagers sont tombés malades à cause du confinement sur le bateau.
  • Tous les passagers et l’équipage du Diamond Princess ont passé le test PCR.
  • Le nombre de cas confirmés est passé à 691 le 23 février.

Du point de vue de l’évaluation des tendances statistiques mondiales, les données ne tiennent pas debout. Sans les données du Diamond Princess, les cas dits confirmés dans le monde hors de Chine le 2 février auraient été de l’ordre de 452, sur une population de 6,4 milliards.

Examinez le graphique de l’OMS ci-dessous. Le bleu indique les cas confirmés à bord du Diamond Princess (transport international) (qui est arrivé à Yokohama le 3 février 2020), dont beaucoup étaient malades, confinés dans leur chambre pendant plus de deux semaines (quarantaine imposée par le Japon). Tous les passagers et l’équipage ont passé le test RT-PCR (qui ne détecte ni n’identifie le Covid-19).

Il va sans dire que ces soi-disant données ont été le fer de lance de la campagne de peur et de l’effondrement des marchés financiers au cours du mois de février. (voir la section ci-dessous)

Source OMS, 28 février 2020

La crise financière de février 2020. La crise du Coronavirus de 2020

Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020.

Le 20 février 2020 : Lors d’une conférence de presse le jeudi 20 février après-midi (heure de l’Europe centrale) lors d’un briefing à Genève, le directeur général de l’OMS. Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré qu’il était

« inquiet que la possibilité de contenir l’épidémie de coronavirus se « reserre » [closing]…

« Je crois que la possibilité est toujours là, mais qu’elle est restreinte. »

Ces déclarations « de choc et d’effroi » ont contribué à renforcer la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.

Officiellement, 1073 cas dans le monde entier.

En excluant le Diamond Princess, 452 cas dits « confirmés » dans le monde en dehors de la Chine, pour une population de 6,4 milliards d’habitants, enregistrés par l’OMS le 20 février, 15 aux États-Unis, 8 au Canada, 9 au Royaume-Uni. (février 2020).

Un nombre plus important de cas hors de Chine a été enregistré en Corée du Sud (153 cas selon l’OMS) et en Italie (enregistré par les autorités nationales).

Données de l’OMS enregistrées en février 2020, au début de la crise financière dite de Covid (tableau à droite)

La déclaration du Dr Tedros (basée sur des concepts et des statistiques erronées), a préparé le terrain pour l’effondrement financier de février, déclenché par des informations privilégiées, des connaissances préalables, le commerce des produits dérivés, la vente à découvert et une multitude d’opérations de fonds spéculatifs.

Quiconque avait connaissance (information privilégiée) de la déclaration du 20 février du directeur général de l’OMS aurait récolté des gains monétaires importants.

Y avait-il un conflit d’intérêts ? L’OMS reçoit des fonds de la Fondation Gates. Et Bill Gates a « 60% de ses actifs investis dans des actions [y compris des actions et des fonds indiciels] », selon un rapport de CNBC de septembre 2019.

Le krash boursier initié le 20 février dernier, appelé « krash boursier du coronavirus 2020« , a été classé comme :

« la chute des marchés boursiers mondiaux la plus rapide de l’histoire financière, et le krash le plus dévastateur depuis celui de Wall Street en 1929 ».

La cause du krash financier était (selon les analystes), V. Le Virus. La propagation du virus en dehors de la Chine.

La campagne de peur du « virus tueur », associée aux « avertissements » opportuns du Dr Tedros sur la nécessité de mettre en place une pandémie mondiale, a servi de manière indélébile les intérêts des spéculateurs institutionnels et des fonds spéculatifs de Wall Street. Le krach financier a entraîné un changement majeur dans la distribution de la richesse monétaire. (voir l’analyse ci-dessous)

Dans la semaine qui a suivi l’annonce de l’OMS les 20 et 21 février, le Dow Jones s’est effondré de 12 % (CNBC, 28 février 2020). Selon les analystes, la chute du DJIA a été le résultat de la propagation mondiale du virus. Une déclaration absurde en contradiction avec le (petit) nombre d’estimations positives de COVID-19 de l’OMS, dont la plupart étaient basées sur le test PCR défaillants.

Le lundi 24 février, lors de la réouverture des marchés boursiers, il y a eu une chute sans précédent du Dow Jones, attribuable aux « dangers imminents » que «  la Covid se répandait dans le monde entier, créant des incertitudes sur les marchés financiers« .
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Les actions ont fortement chuté le lundi ( 24 février), le nombre de cas de coronavirus en dehors de la Chine ayant augmenté, alimentant les craintes d’un ralentissement économique mondial prolongé de la propagation du virus. Le Dow Jones Industrial Average a clôturé en baisse de 1 031,61 points, soit 3,56%, à 27 960,80. » (CNBC) (c’est nous qui soulignons)

Dow Jones Industrial Average Décembre 2019 – Mars 2020

Le 24 février également, M. Trump a demandé une aide d’urgence de 1,25 milliard de dollars.

Selon la BBC, les marchés boursiers mondiaux ont connu de fortes baisses « en raison des inquiétudes concernant l’impact économique du virus », ce qui laisse entendre que le virus était « la « main » invisible responsable du déclin des marchés financiers ».

Le COVID-19 a été identifié de justesse comme le catalyseur du krach financier.

Qui était derrière ce catalyseur ? Qui était derrière la campagne de peur qui a contribué à déclencher le chaos et l’incertitude sur les marchés financiers ?

Le 11 mars 2020 : La pandémie de COVID-19, le verrouillage et la fermeture de 190 économies nationales

Le directeur général de l’OMS avait préparé le terrain lors de sa conférence de presse du 21 février. « le monde devrait faire plus pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus ». L’OMS avait appelé les pays à être « dans une phase de préparation ».

Le 11 mars 2020: l’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale alors qu’il y avait 18 000 cas confirmés et 4291 décès sur une population mondiale hors Chine de l’ordre de 6,4 milliards de personnes. Que vous disent ces « statistiques » ?

Immédiatement après l’annonce faite par l’OMS le 11 mars, la campagne de peur est passée à la vitesse supérieure. Comme dans le cas de l’accident des 20 et 21 février, la déclaration du 11 mars du directeur général de l’OMS avait préparé le terrain. Les marchés boursiers se sont effondrés dans le monde entier. Le lendemain matin, le Dow (DJIA) a chuté de 9,99 % (une baisse de 2 352,60 pour clôturer à 21 200,62). Le jeudi noir, 12 mars 2020, a été « la pire journée du Dow » depuis 1987. Un transfert massif de richesse financière avait eu lieu en faveur des milliardaires étasuniens.

Des instructions de confinement ont été transmises à 193 États membres des Nations unies. Les politiciens sont les instruments de puissants intérêts financiers. Cette décision de grande envergure était-elle justifiée en tant que moyen de lutte contre le virus ?

Sans précédent dans l’histoire, appliquée presque simultanément dans un grand nombre de pays, des secteurs entiers de l’économie mondiale ont été déstabilisés. Des petites et moyennes entreprises ont été acculées à la faillite. Le chômage et la pauvreté sévissent.

Dans certains pays, des famines ont éclaté. Les conséquences sociales de ces mesures sont dévastatrices. Les impacts sanitaires (mortalité, morbidité) de ces mesures, y compris la déstabilisation du système de santé national (dans de nombreux pays), dépassent de loin ceux attribués à COVID-19.

Enrichissement des milliardaires. L’appropriation et la redistribution des richesses

La richesse des milliardaires a augmenté de façon spectaculaire depuis le début du mois de février. Il existe trois phases distinctes, directement liées à la crise du coronavirus, chacune étant marquée par des changements majeurs dans la distribution de la richesse mondiale.

  1. La crise financière, qui a débuté le 20 février, a entraîné une redistribution spectaculaire de la richesse monétaire et de la propriété des actifs financiers. La connaissance du marché, l’information privilégiée et le commerce spéculatif ont joué un rôle clé. Le Dr Tedros a-t-il eu connaissance de la déclaration du 20 février de l’OMS ?
  2. Le 11 mars, le verrouillage et la fermeture des économies nationales de 190 États membres de l’ONU ont déclenché la faillite d’entreprises et de PME dans le monde entier. L’événement du 11 mars a également été marqué par la chute des marchés boursiers dans le monde entier, à partir du jeudi noir du 12 mars 2020.
  3. La troisième étape de l’enrichissement des milliardaires concerne la mise en œuvre de la « deuxième vague » qui consiste à déclencher une nouvelle vague de faillites.

La redistribution des richesses en faveur de la classe milliardaire est confirmée par une étude d’IPS relative à la fermeture de l’économie mondiale.

La richesse combinée des milliardaires étasuniens a augmenté de 850 milliards de dollars depuis le 18 mars 2020, soit une augmentation de plus de 28 %. (Cette estimation ne tient pas compte de l’augmentation de la richesse au cours de la période précédant le 18 mars, qui a été marquée par une série de krachs boursiers).

Le 18 mars 2020, les milliardaires étasuniens avaient une richesse combinée de 2 947 milliards de dollars. Le 8 octobre, leur richesse a atteint 3,8 billions de dollars (3,798 milliards de dollars pour être exact).

Au niveau mondial, les milliardaires sont les grands gagnants de la pandémie COVID-19. Selon un récent rapport de l’UBS, les quelque 2 189 milliardaires du monde entier disposent désormais de 10,2 billions de dollars. Il s’agit d’une augmentation estimée à 1,5 billion de dollars pendant la pandémie si l’on considère les données de l’UBS et de Forbes concernant les milliardaires à partir de 2019.

Le tableau ci-dessous indique l’augmentation de la richesse personnelle des cinq milliardaires étasuniens les plus riches (18 mars – 17 juin 2020). (Non indiquée dans le tableau, la richesse des milliardaires étasuniens a encore augmenté de 266 milliards de dollars de juin à octobre 2020).

Réfléchissons maintenant brièvement à la deuxième vague qui est maintenant imposée à des millions de personnes.

La deuxième vague

Septembre-octobre 2020. L’établissement financier a demandé aux gouvernements de mettre en œuvre ce qui équivaut à un deuxième programme de faillite en utilisant le prétexte et la justification que le nombre de cas positifs de COVID-19 avait augmenté.

Selon toute vraisemblance, cette deuxième vague conduira à un nouveau processus d’appropriation et de concentration des richesses.

Parallèlement, on observe une tendance à des formes de gouvernement totalitaires.

Toutes les formes d’activité sociale sont touchées, y compris les réunions familiales, les mariages et les enterrements, les rassemblements publics, sans parler de la fermeture d’écoles, d’universités, de musées, de manifestations sportives et culturelles. Des mesures d’État policier sont désormais appliquées pour faire respecter la loi. Et les gens acceptent !

Au début de la deuxième vague, le processus de reporter la réouverture de l’économie mondiale contribuera de manière significative à la destruction des petites et moyennes entreprises (régionales et locales) dans le monde entier, tout en précipitant la faillite de secteurs entiers de l’économie mondiale, notamment les compagnies aériennes, les chaînes d’hôtels et l’industrie touristique. Cela entraînera à son tour l’appropriation de biens réels par de puissants intérêts financiers.

La campagne de peur est une fois de plus passée à la vitesse supérieure.

Les statistiques officielles basées sur des estimations erronées et manipulées de cas positifs COVDI-19 dits « confirmés » constituent la base même pour justifier ces mesures diaboliques.

V-virus [COVID-19] est présenté comme la menace. Mais le virus n’a pas d’impact direct sur les variables économiques clés.

Les enjeux sont sans précédent : Il s’agit d’un programme néolibéral mondial mené par des gouvernements corrompus au nom de le pouvoir financier (establishment).

Le bon sens nous dit que la fermeture de l’économie mondiale détruit la vie des gens.

Perturber la campagne de peur constitue le premier pas vers le renversement de la tendance.

Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

The Covid-19 Roadmap: Towards Global Economic Chaos and Societal Destruction, le 1er novembre 2020

Traduit par Maya pour Mondialisation

 

Pour plus de détails sur les impacts économiques. Article connexe :

Combattre le virus : Le chômage de masse n’est pas la solution, le 7 octobre 2020

 

 

Michel Chossudovsky, Professeur d’économie (biographie en anglais)

 

ANNEXE

Le test Réaction de Polymérisation en Chaîne en Temps Réel (RT-PCR)

Le test standard utilisé pour détecter/identifier le SRAS-2 dans le monde entier est le test Réaction de Polymérisation en Chaîne en Temps Réel (RT-PCR), qui est utilisé pour estimer et tabuler le nombre de cas confirmés positifs de Covid-19. (Ce n’est pas le seul test utilisé. Les observations ci-dessous concernent uniquement la PCR standard).

Selon le Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel, qui a inventé le test PCR :

« La PCR détecte un très petit segment de l’acide nucléique qui fait partie d’un virus lui-même. Le fragment spécifique détecté est déterminé par le choix quelque peu arbitraire des amorces d’ADN utilisées qui deviennent les extrémités du fragment amplifié ».

Le test PCR n’a jamais été destiné à identifier le virus.

Le test PCR standard appliqué en relation avec le Covid-19 ne détecte ni n’identifie le virus. Ce qu’il détecte, ce sont des fragments de plusieurs virus, selon le Dr B. Stadler, immunologiste suisse renommé. Selon le Dr Pascal Sacré, « ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, et non le virus entier ».

« Fragments de virus positifs » ne signifie pas « positifs pour le SRAS-2«  (ou Covid-19 positif).

Ce que les gouvernements ont fait, c’est donner au test PCR positif une étiquette unique, à savoir « Covid-19 »

Une fois que le label Covid-19 Positive est établi et accepté, il est alors soumis à de nombreuses formes de manipulation, sans parler de la falsification des certificats de décès.

Voici les critères du CDC qui reconnaît fermement qu’une « infection positive [COVID-19] » peut être le résultat d’une « co-infection avec d’autres virus… L’agent détecté ne peut pas être la cause de la maladie« .

Les critères et lignes directrices confirmés par le CDC concernant le « Panel de diagnostic du CDC 2019-Nouveau Coronavirus (2019-nCoV) » sont les suivants (à lire attentivement) :

Les résultats concernent l’identification de l’ARN du 2019-nCoV. L’ARN du 2019-nCoV est généralement détectable dans les échantillons des voies respiratoires supérieures et inférieures pendant l’infection. Des résultats positifs indiquent une infection active par le 2019-nCoV mais n’excluent pas une infection bactérienne ou une co-infection avec d’autres virus. L’agent détecté peut ne pas être la cause précise de la maladie. Les laboratoires des États-Unis et de ses territoires sont tenus de signaler tous les résultats positifs aux autorités de santé publique compétentes.

Les résultats négatifs n’excluent pas une infection par le 2019-nCoV et ne doivent pas servir de base unique pour le traitement ou d’autres décisions de prise en charge des patients. Les résultats négatifs doivent être associés aux observations cliniques, aux antécédents du patient et aux informations épidémiologiques.

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Articles Par : Prof Michel Chossudovsky

A propos :

Michel Chossudovsky is an award-winning author, Professor of Economics (emeritus) at the University of Ottawa, Founder and Director of the Centre for Research on Globalization (CRG), Montreal, Editor of Global Research.  He has taught as visiting professor in Western Europe, Southeast Asia, the Pacific and Latin America. He has served as economic adviser to governments of developing countries and has acted as a consultant for several international organizations. He is the author of eleven books including The Globalization of Poverty and The New World Order (2003), America’s “War on Terrorism” (2005), The Global Economic Crisis, The Great Depression of the Twenty-first Century (2009) (Editor), Towards a World War III Scenario: The Dangers of Nuclear War (2011), The Globalization of War, America's Long War against Humanity (2015). He is a contributor to the Encyclopaedia Britannica.  His writings have been published in more than twenty languages. In 2014, he was awarded the Gold Medal for Merit of the Republic of Serbia for his writings on NATO's war of aggression against Yugoslavia. He can be reached at [email protected] Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM) de Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

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