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La légende du vaccin. Falsification des données et des chiffres
Par Jean-Yves Jézéquel
Mondialisation.ca, 31 mars 2023

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Cet article est le septième volet de dix articles.

10.3 – Falsification des données et des chiffres

Le chercheur de l’INSERM, Laurent Toubiana, nous explique encore comment avec de vrais chiffres on arrive à donner de fausses informations ! Il s’agit d’une manipulation sémantique à propos de ce qu’est un « cas » détecté par « test ». Normalement, un scientifique regarde quel est le nombre de malades réels. Pour la Covid-19, on a regardé le nombre de « cas positifs », ce qui n’est pas du tout la même chose !

Voilà pourquoi, lorsqu’un chiffre ne convenait pas à la doxa gouvernementale, on changeait tout simplement les indicateurs d’analyse pour obtenir un changement sur les chiffres ! C’est tout ce qu’on veut sauf de la science…

Il est donc important de saisir que les chiffres n’ont pas été changés directement mais les indicateurs qui avaient une incidence directe sur les chiffres. Ici, on se souvient que, en France, le Dr Salomon, dans sa litanie quotidienne des morts, énumérait des chiffres cumulés. Or, ces chiffres cumulés ne pouvaient que croître et dès lors n’avaient d’utilité que celle de fomenter la peur !

La science ne fait jamais ce genre de chose, elle utilise toujours des indicateurs fiables et stables dans la durée, et ici, l’indicateur fiable était le nombre de malades vus en médecine de ville, afin d’en calculer le taux hebdomadaire pour 100.000 habitants.

En France, le réseau Sentinelle date de 40 ans : il portait un autre nom dans ses débuts. Ce réseau officiel comptabilisait en janvier 2022, 68 malades par semaine pour 100.000 habitants. Ce chiffre démontre, sans ambiguïté, que la Covid-19 est un phénomène insignifiant.

Il est bon de savoir, parole de scientifique, que la moyenne habituelle pour les épidémies de grippe (qui ont disparu !), était de 500 à 600 malades par semaine pour 100.000 habitants. 

Or, dans la semaine du 23 au 29 mars 2020, au moment du pic le plus élevé de la « pandémie », les données scientifiques réelles disent qu’il y avait en France 140 malades par semaine pour 100.000 habitants, sachant que ce chiffre n’a jamais été dépassé depuis lors, dit Laurent Toubiana à partir des données de la DREES et de Sentinelle –

Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques.

A partir de là, on peut donc honnêtement se poser la question : Qu’est-ce qui a piqué les autorités, pour qu’elles aient déclenché ce délire covidiste (confinement, masques, distanciation sociale, « vaccins » non obligatoires mais obligatoires quand même, commerces fermés, réunions interdites, produits efficaces interdits à la vente, contrainte des pass successifs, couvre-feux …etc) alors qu’on a toujours été objectivement très loin des chiffres d’une grippe normale ?!

Les données scientifiques de l’ATIH, (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation) à la disposition des chercheurs, disent : quand il y avait 40 malades par semaine pour 100.000 habitants, l’hôpital en prenait 13 en charge. En janvier 2022 nous sommes autour de 17 par semaine pour 100.000 habitants. Pour 100.000 habitants, il y a un parc de 580 lits d’hospitalisation. Cela veut donc dire qu’il y a 580 lits pour 17 malades ayant besoin d’une prise en charge. Finalement, on comprend pourquoi Macron a continué de supprimer des lits !

Malgré la réalité et l’objectivité des chiffres non contestables, Martin Hirsch, le Président de l’APHP, a pourtant déprogrammé massivement des interventions dans les hôpitaux sous prétexte « pandémique » ! Pour quelle raison réelle, compte tenu de la vraie situation ?

Les données scientifiques à la disposition des chercheurs de l’INSERM disent que c’est 2% de l’activité médicale hospitalière qui ont été consacrés à la Covid-19 pendant l’année 2020, selon un rapport de l’ATIH sorti en décembre 2021. Or, ce sont ces 2% de l’activité médicale consacrée à la Covid-19 qui ont justifié le confinement et toutes les autres mesures invraisemblables de la « crise sanitaire ». Pour réaliser cette folie, les autorités se sont appuyées sur le « danger de saturation de l’hôpital » ! 

Que chacun se demande en lui-même : pourquoi un tel mensonge ? Quel en était l’objectif ? Comment pouvait-on craindre une « saturation de l’hôpital » tout en supprimant des lits à la pelle mécanique ?!

L’INSERM a examiné en détail les chiffres réels et l’Institut National Scientifique de la Recherche Médicale et s’est aperçu qu’au moment le plus fort de la « crise » (lorsqu’on transportait par TGV, avions, bâteaux, bus, des malades vers les hôpitaux des régions moins « saturées », tout cela comme un spectacle pour les caméras de télévisions) l’activité médicale réelle en France représentait alors un pic maximum de 5% ! Les soignants en nombre largement insuffisant et mobilisés à outrance doivent savoir qu’on s’est moqué d’eux en long, en large et en travers…

Les autorités au pouvoir ont donc volontairement baissé l’activité médicale pendant toute cette période-là, sans aucun motif sérieux !

Des mesures avaient été prises soi-disant pour consacrer des lits aux malades potentiels de la Covid-19 qui allaient envahir les hôpitaux. Aucune évaluation n’avait été mise en place au moment des mesures prises afin de contrôler ces mesures et ainsi pouvoir éventuellement modifier leur impact négatif sur l’activité globale hospitalière. Résultat, ce fut un fiasco complet pour la France !

Les professionnels compétents comme les chercheurs de l’INSERM, prenant la parole pour dire que les analyses faites par leurs moyens scientifiques, démontraient l’inanité des mesures prises par les dirigeants, étaient aussitôt censurés, interdits de parole dans les médias. Des articles publiés par leurs soins ont été déclarés par les autorités et par les médias inféodés, « fakes news » ! Comment expliquer cela rationnellement ?

Les médias inféodés disent et répètent que 70% des hospitalisations aujourd’hui sont des « non vaccinés » ! Si l’on regarde les chiffres de la DREES nous voyons que les « non vaccinés » représentent plus ou moins 40% des hospitalisations et les « vaccinés » autour de 60% des hospitalisations.

Avant la « vaccination », il y avait en France 37% de gens hospitalisés et 8% en soins critiques. Après la « vaccination », on retrouve exactement les mêmes chiffres. Conclusion : que ce soit avant ou après, le résultat est le même ! Il faut donc admettre et dire clairement que ces « vaccins » ne servent à rien, ils sont parfaitement inutiles pour l’objectif annoncé. Ils sont probablement utiles pour un tout autre objectif, celui du profit évident monstrueux pour Big Pharma et celui qui est expliqué dans le programme du « Great Reset ». La maladie de la Covid-19, quant à elle vit son bonhomme de chemin et va devenir une simple grippe comme les autres, une maladie endémique avec laquelle il nous faudra vivre. D’ailleurs c’est en substance ce qu’avait déclaré précisément Pedro Sanchez le Chef du Gouvernement espagnol, indiquant que toutes les mesures de « l’état d’alerte sanitaire » seraient levées dès le mois de février 2022.

Il est plus que temps d’abandonner la légende selon laquelle les injections, appelées à tort vaccins, préserveraient des formes graves de la covid-19, souligne Laurent Toubiana. Cette légende est fantaisiste, elle est totalement bidon et elle est aussi faite pour bercer les naïfs et les moutons conduits à l’abattoir par des loups.

On parle de « vagues de cas » mais pas de « vagues de malades ». C’est un artefact, on a changé la valeur des mots en parlant de « cas positifs » comme s’il s’agissait de malades !

Fergusson est un épidémiologiste qui propose des modélisations mathématiques prévisionnelles sur les maladies, comme on l’a déjà dit. Or, les modèles sont faits pour comprendre des phénomènes d’épidémies, mais en aucun cas pour prendre des décisions graves en termes de santé publique, comme confiner l’intégralité d’une population, en disant « si nous ne le faisons pas il y aura 500.000 morts supplémentaires dans le pays » ! C’est une aberration gigantesque et pourtant c’est ce que Macron a osé déclarer solennellement dans un communiqué aux français !

On aura tout vu et tout entendu dans cet épisode désastreux de la République française !

Selon Laurent Toubiana, il est impossible actuellement de publier une étude scientifique digne de ce nom sur la Covid-19. Si le discours n’est pas celui de la doxa convenue, il est aussitôt censuré, introuvable, inaccessible. Les menaces pleuvent également sur la personne qui ose publier une étude scientifique sérieuse. Toute étude bidon qui conforte la doxa convenue est autorisée… C’est un fait relevé par le collectif des chercheurs réunis à l’initiative de Laurent Mucchielli. De même, c’est également le témoignage de plusieurs chercheurs de l’INSERM qui ont refusé de se faire « vacciner » parce que c’était leur droit, mais qui ont été malgré cela sanctionnés, suspendus, évincés par Martin Hirsch et qui se retrouvent sans travail, sans salaire, dans une situation grave de précarité…

Concernant les mesures du gouvernement, il est clair que les évaluations n’ont pas été faites, puisqu’elles devaient être assurées par ceux-là même qui avaient décidé les mesures prises ! Si celui qui prend des mesures doit aussi les évaluer, il y a de fortes chances qu’il n’ira pas critiquer son initiative…

Sur le plan scientifique, les « états d’urgence sanitaire » sont des aberrations injustifiées parce qu’ils ne sont pas évalués. 

Enfin, pour achever ce chapitre, saviez-vous que les scientifiques suspendus, comme le personnel soignant suspendu, n’ont pas le droit de chercher un travail quel qu’il soit ; ils n’ont même pas le droit de se présenter aux « Resto du Cœur », sans un pass vaccinal ?! Saviez-vous que la milice du gouvernement vichyste du dictateur Macron convoque les « suspendus » afin de vérifier leurs comptes en banque pour s’assurer qu’ils n’ont effectivement aucune source de revenus leur permettant de survivre ?! Le saviez-vous ? Saviez-vous à quel point ces ordures au pouvoir ont poussé la criminalité en toute impunité ? D’où vient ce fanatisme criminel ?

10.4 – La peur et le néo-obscurantisme

Pourquoi les autorités se sont-elles amusées à faire peur aux gens ? Pourquoi persister dans l’irrationnel ? Où voulaient-elles en venir ?

Pourquoi un tel mensonge délirant dès le début de cette fausse pandémie car les chiffres sont là et ils sont têtus, même si la mise en scène des chinois était particulièrement efficace pour flanquer la trouille au reste du monde !?

Une personne rationnelle pense naturellement qu’on ne peut pas se baser sur un cas particulier pour imposer au monde entier des mesures disproportionnées et catastrophiques dans leurs effets destructeurs qui sont rapidement devenus pires que le mal qu’elles prétendaient combattre au point de départ.

On nous serinait alors avec un culot inouï, qu’il fallait peser l’enjeu, le fameux « Primum non nocere », d’abord ne pas nuire !

On sait aujourd’hui qu’il y a des pays comme la Suède qui n’ont absolument pas joué ce jeu pervers et qui n’ont pas eu à déplorer le désastre qui a sévi dans ceux qui se sont livrés à ce délire covidiste.

La peur n’est jamais bonne conseillère dit-on, mais dans ce cas, elle a été pire qu’une mauvaise conseillère, elle a permis le désastre en règle de tout ce qui est humain pour le remplacer sans doute par ce qui est annoncé comme le transhumanisme à venir, dans le programme du FEM de Davos.

Aujourd’hui, le crime ne s’est pas limité à provoquer le désastre et la mort de bien des personnes innocentes, il est allé encore plus loin en déclarant que ceux qui ont respecté leur liberté de ne pas se faire injecter des produits expérimentaux, encore insuffisamment testés et connus, peuvent infecter et faire mourir ceux qui se sont faits injecter ces produits ! Là on est en plein irrationnel, dans un néo-obscurantisme : on s’est retrouvé dans les mêmes genres d’accusations, faites contre les Juifs, au moment de la peste qui sévissait en Europe en 1348. C’est le n’importe quoi, du moment qu’on saccage et qu’on détruise l’unité du peuple. 

Ceux qui disent que les « non vaccinés » vont infecter les « vaccinés » et les mettre en danger, souligne le chercheur Laurent Toubiana, prouvent qu’ils n’ont aucune connaissance en épidémiologie et que tout cela est dramatiquement peu sérieux ! Chacun d’entre nous a entendu les hurlements de la meute des « idiots utiles » faite de médecins connus, de certains artistes, de quelques acteurs de cinéma, de chanteurs, de personnalités publiques occupant le paysage audio-visuel, de journalistes des médias inféodés… Tous ces gens-là ne peuvent que susciter notre sidération et notre pitié ou notre indifférence !

Tous ceux qui tiennent ce discours culpabilisateur et accusateur sont gravement irresponsables, d’authentiques criminels ou des inconscients dont l’inconscience prépare d’autres catastrophes prochaines à venir…

La déclaration de Macron voulant désormais consacrer sa présidence à « emmerder » les français qui refusent de se soumettre à sa tyrannie covidiste, en faisant simplement valoir leur droit à ne pas se faire injecter ces produits en phase de test jusqu’en 2023, est parfaitement sidérante et stupide. Déjà la manipulation sémantique devient insupportable lorsque cet homme, qui aurait pu être le président de tous les français s’il avait été légitime à l’Elysée, affirme sans scrupules que ces français récalcitrants sont des « anti vaxx ». Ceux qui refusent les injections de produits à ARNm en phase de test, ne sont pas forcément des opposants aux vaccins, ce sont simplement des gens qui veulent donner leur « consentement libre et éclairé ». Il faut reconnaître que pour le moment un consentement n’est ni libre ni éclairé puisque les laboratoires ont refusé de fournir les études scientifiques sur le contenu des injections anti-covid, comme le rappelait le Monsieur Vaccin français successeur du Dr Salomon, dans son discours d’entrée en fonctions.

Rappelons également que les députés européens n’ont pas été autorisés à prendre connaissance, dans le détail, des contrats signés avec les laboratoires pharmaceutiques engageant pourtant des milliards d’euros d’argent public. Pourquoi donc ?

Ceux qui disent la vérité sont aussitôt menacés du Goulag. Ceux qui alimentent le mensonge de la narration covidiste au nom de « l’objectivité scientifique » sont décorés de la Légion d’Honneur ! 

Qu’on le sache bien : aucun scientifique n’est actuellement autorisé à publier des informations réellement scientifiques sur les questions qui gravitent autour de la Covid-19. Les Etats collaborateurs et gardiens attitrés de la précieuse « fenêtre d’opportunité », qu’est la fausse pandémie, veillent à l’extermination de tout chercheur qui oserait faire voir la vérité scientifique tournant autour de la fumisterie mondialiste sur le corona-circus.

Tout cela nous indique clairement qu’on est loin des motifs sanitaires annoncés et que le véritable motif est soigneusement occulté, jusqu’à ce que le nombre des injectés soit suffisamment élevé. 

Pourquoi vouloir « emmerder » ses concitoyens au motif que ceux-ci refusent de se soumettre à une injection dont on ne sait rien et, de surcroît, à une campagne mensongère, manipulatrice qui s’acharne contre un droit sacré et inaliénable, celui de la liberté vaccinale qui protège le corps des individus considérés par la loi comme inviolable. Si vous regardez de près tous les chiffres officiels du Gouvernement français, vous allez découvrir que c’est 46% des français qui ne sont pas « vaccinés », sans compter ceux qui ont refusé la troisième dose et qui sont venus grossir les rangs des non « vaccinés », ainsi que tous ceux qui ont allègrement pratiqué le faux « pass sanitaire » puis « vaccinal »… Dans l’état actuel du programme de vaccination, c’est 90% des Français qui sont devenus « antivax » !

10.5 – Le contenu des injections à ARNm et les effets secondaires

Nous savons aujourd’hui, grâce notamment à des chercheurs espagnols, japonais, Argentins, américains, que des lots d’injections à ARNm ont révélé la présence d’oxyde de graphène. 

Les démonstrations scientifiques ont été publiées, vérifiées et confirmées selon les règles convenues par les éditions scientifiques. Nous avons donné dans des articles publiés sur mondialisation.ca les références de ces publications. 

Ces confirmations ont aussitôt été niées par les autorités qui se sont contentées d’accuser comme d’habitude de « fakes news » ou de « complotisme », ces études scientifiques misérablement décrédibilisées, sans l’apport d’aucune argumentation contradictoire documentée !

Une simple évaluation sur les injections démontre qu’elles ne fonctionnent pas pour le motif imploré (anti-covid-19), puisque les produits injectés ne protègent pas des infections et ne protègent pas du risque d’infecter les autres. 

Mais il y a pire encore : toutes les agences de pharmacovigilance occidentales et l’ANSM elle-même en France ont relevé un très grand nombre de manifestations d’effets secondaires gravissimes : 

  • Double pneumonie surtout par inhalation.
  • Effondrement du système immunitaire naturel, inné et acquis.
  • Goût métallique dans la bouche.
  • Inflammations multiples.
  • Inflammations des muqueuses.
  • Milliers de mini caillots circulant dans le sang.
  • Mouvements incontrôlables.
  • Myocardites et péricardites possiblement irréversibles.
  • Perte de l’odorat et du goût.
  • Thromboses soudaines et imprévisibles pouvant entraîner :
  • Aphasie,
  • AVC,
  • Cécité d’un œil ou des deux,
  • Embolie cardiaque,
  • Embolie pulmonaire,
  • Paralysies,
  • Surdité d’une oreille ou des deux…

https://www.lefigaro.fr/sciences/pfizergate-le-vaccin-anti-covid-du-laboratoire-americain-est-il-au-coeur-d-un-scandale-sanitaire-20211105

Pourtant, malgré ces observations objectives, Macron veut « emmerder » ceux qui refusent de se faire injecter ces produits présentant un tel danger ! « Primum non nocere » 

Il est désormais possible de se rendre compte que l’objectif recherché est bel et bien celui expliqué dans l’idéologie néo-féodaliste du « Great Reset » de Klaus Schwab fondateur du Forum Economique Mondial de Davos qui vente la nouvelle ère du transhumanisme. Je renvoie le lecteur à l’analyse qui a été faite sur le contenu de la publication du « Great Reset », dans l’article de mondialisation.ca du 3 janvier 2022.

Si l’industrie pharmaceutique française a été tellement absente de cette histoire de « vaccins », c’est précisément parce qu’il ne s’agissait même pas de vaccins. S’il avait été vraiment question de vaccins anti-covid-19, l’industrie pharmaceutique française avec l’Institut Pasteur, auraient tous les deux, été présents dans la bataille.

Dans cette affaire du covidisme, la communauté scientifique internationale a été maltraitée et humiliée, car elle a perdu pour longtemps sa crédibilité gravement mise à mal par une classe de responsables assoiffée d’argent et de pouvoir…

10.6 – Vaccins et explosion des cancers

Laurence Secchi – Santé Corps Esprit, écrivait le 9 septembre 2022 :

« Dr Ute Krueger, une médecin suédoise (1), est catastrophée, car ce qu’elle découvre depuis 2021 est vraiment très inquiétant. »

Depuis plus de 25 ans, cette anatomopathologiste (2) analyse des échantillons de tissus pour identifier des tumeurs de cancers du sein. (3)

Mais depuis plusieurs mois, elle constate des changements étranges : 

Les tumeurs concernent des personnes de plus en plus jeunes, entre 30 et 50 ans ; Elles sont plus agressives (4) ; elle évoque le cas d’un homme de 30 ans qui avait reçu 2 doses de vaccin et qui déclenche un syndrome de Guillain Barré (5) – un effet secondaire grave directement lié à la vaccination. 

Cas après cas, elle constate un nombre affolant de myocardites, de vascularites, d’hémorragies sur des personnes décédées et vaccinées. 

Pourtant, ses confrères n’avaient pas établi de lien entre le décès et la vaccination. 

Comment expliquer ce décalage ? 

Elle y voit au moins 2 raisons : 

Les dossiers des patients semblent mal remplis : pour certains, il n’est pas indiqué que le patient avait été vacciné, alors qu’il l’était !

Les autopsies sont souvent « bâclées », car superficielles : contrairement à ses collègues, elle a cherché la fameuse protéine Spike, responsable d’une inflammation, notamment au niveau du cœur. 

C’en est trop ! Elle décidait alors d’alerter ses confrères. Elle contacte la Food and drugs administration (FDA), le gendarme des produits de santé, qui ignore purement et simplement sa demande, car il s’agit d’une trahison effective, volontaire, mais ignorée par les médecins de terrain. 

Elle en parle lors d’un congrès médical en Allemagne… Mais elle reçoit peu de retours. La mort dans l’âme, se sentant bien isolée, elle ne peut que déplorer : 

« J’ai étudié la médecine parce que je voulais aider les gens. Maintenant, j’ai l’impression de regarder des gens se faire tuer et de ne rien pouvoir faire. » 

Pourtant, elle est loin d’être la seule à avoir fait ce constat inquiétant ! 

Dès le mois de juillet, dans la revue Santé Libre, la pédiatre Nicole Delépine, spécialiste des cancers, tirait, elle aussi la sonnette d’alarme en demandant : avec l’ARN messager, faut-il craindre une épidémie de cancers ? Chaque semaine, elle recevait des mails de parents affolés, comme celui-ci : 

« Docteur Delépine, mon fils de 11 ans est atteint d’ostéosarcome. En juin, il est déclaré en rémission complète, mais en septembre, il présente des métastases pulmonaires bilatérales en lâcher de ballon… puis en janvier des métastases cérébrales et on me dit qu’il est fichu… Il a été « vacciné » en juillet. Cela a-t-il un rapport ? » 

Cancérologue depuis plus de 40 ans, elle sait pertinemment qu’un cancer est toujours multifactoriel. 

Mais aussi que des récidives aussi violentes et rapides, ou des apparitions de tumeurs aussi agressives, ce n’est pas normal, surtout après une vaccination.
Minutieusement, elle enquête aussi, recoupe les témoignages et épluche les dossiers de patients. Ses 3 conclusions, publiées dans Santé Libre, sont éloquents : 

Des cancers apparaissent rapidement après l’injection (deux semaines à quelques mois) et sont très évolutifs chez des personnes jusque-là indemnes de pathologies carcinologiques connues.

Certains cancers reprennent et évoluent chez des patients en rémission complète depuis plusieurs mois ou années. Le plus souvent, ils résistent aux traitements antérieurement efficaces ; Certains cancers évoluent très rapidement, « explosent » et deviennent « incontrôlables ». Il a suffi de quelques recherches pour conforter son hypothèse : la vaccination affaiblissait le système immunitaire. On retrouve encore le même constat que celui qui avait été fait dès l’origine de l’aventure des vaccins.

Plus précisément, les vaccins anti-Covid bloqueraient une protéine déterminante dans la lutte contre les tumeurs. 

Pour faire simple, cette protéine anti-oncogène, la P53 (6), sert à éviter que des cellules endommagées ne se transforment en cellules cancéreuses. Soit elle les répare, soit les cellules se suicident (par apoptose). 

Or, la fameuse protéine Spike vaccinale, pourrait se lier à cette protéine et l’empêcher de faire correctement son travail de « suppresseur de tumeurs ». 

Ce phénomène n’est pas nouveau : la scientifique américaine Theresa Parks l’avait elle aussi déjà identifié dès août 2021, nous explique le Dr Delépine dans son article remarquable. 

Enfin, un autre anatomopathologiste (comme la Dr Krueger), le Dr Ryan Cole, avait même témoigné devant le Sénat américain en janvier 2022 et livré les mêmes tristes informations. (7)

A suivre …

Jean-Yves Jézéquel

 

Sources

1.Ancienne chef du service de pathologie à Växjö (Suède), elle exerce actuellement à l’hôpital de Kalmar. Elle est experte des cancers du sein et travaille en lien avec le département d’oncologie de l’université de Lund en Suède.

2.L’anatomopathologiste a pour rôle d’analyser les prélèvements biologiques d’un patient : cellules, tissus et organes.

3.Même le directeur de l’OMS en Europe, Dr Hans Kluge, l’avait déploré début 2022 : “La façon dont la pandémie retarde les soins aux personnes atteintes de cancer et crée des retards accumulés dans les services de santé, est une interaction mortelle.” https://unric.org/fr/la-covid-19-a-un-impact-catastrophique-sur-le-cancer/ 

4.Elle a raconté cela fin juillet 2022, à l’organisation Doctors For Covids Ethics: https://rumble.com/v1do1rb-covid-vaccination-and-turbo-cancer-pathological-evidence-with-english-subti.html (sous-titré en anglais)

5.https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/guillain-barr%C3%A9-syndrome

6. http://acces.enslyon.fr/acces/thematiques/evolution/logiciels/anagene/programmes-de-1ere-s-2011/variabilite-genetique-et-sante/perturbation-du-genome-et-cancerisation/genes-suppresseurs-de-tumeurs/le-gene-p53/le-gene-p53-un-proto-oncogene- ou-un-gene-suppresseur-de-tumeur

7.https://www.ronjohnson.senate.gov/2022/1/video-release-sen-ron-johnson-covid-19-a-second-opinion-panel-garners-over- 800-000-views-in-24-hours

 

Articles précédents :

Partie 1 :

La légende du vaccinPasteur et l’Histoire. le 28 février 2023.

Partie 2 :

La légende du vaccin: le verdict de l’histoire sur la faillite des vaccins, le 5 mars 2023

Partie 3 :

La légende du vaccin. De la tuberculose à la Covid-19. le 9 mars 2023.

Partie 4 :

La légende du Vaccin. Il n’y a pas de suivi des accidents liés aux vaccins et la vérité est soigneusement occultée. le 15 mars 2023.

Partie 5 :

La légende du vaccin. Au-delà du mythe vaccinal, l’histoire éloquente des sels d’aluminium contenus dans les vaccins, le 19 mars 2023.

Partie 6 :

La légende du vaccin. Haute trahison du ministère de la santé: il est l’otage de l’industrie pharmaceutique, le 27 mars 2023

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