La vérité contre l’ordre

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Je suis à nouveau convoqué par l’ordre des médecins, en Belgique, à Mons, ce 11 janvier 2023, audition à 19h30.

Médecin engagé pour l’utilisation et la diffusion des traitements précoces efficaces du COVID, pour la liberté d’expression, pour le débat scientifique public et équilibré, pour le véritable consentement éclairé des patients, pour un moratoire sur les injections expérimentales faussement appelées vaccins dont la morbi-mortalité actuelle est alarmante, et pour la défense du serment d’Hippocrate rappelé page 14 du livre « La déontologie du médecin » du vice-président national belge Philippe Boxho et notamment ces points :

« Au moment où je deviens membre de la profession médicale, je prends l’engagement solennel d’œuvrer toujours de mon mieux pour une médecine de qualité, au service des personnes et de la société.

Je considérerai la santé et le bien-être de mon patient comme ma priorité.

J’informerai correctement les personnes qui font appel à mes soins. (…) J’exercerai ma profession avec conscience et dignité

J’actualiserai et partagerai mes connaissances médicales au bénéfice du patient

Je fais ces promesses sur mon honneur… »

Je comparais devant l’ordre des médecins provincial du Hainaut en Belgique pour, selon lui, avoir outrepassé les limites de la liberté d’expression en répandant largement, notamment sur les réseaux sociaux, des allégations qui relèvent davantage de convictions personnelles que de données factuelles et validées par la science.

En quoi un ordre des médecins est-il garant des données factuelles et validées par la science ?

La science, les connaissances évoluent sans cesse.

Comment peuvent-ils ignorer toutes les données factuelles et convaincantes sous-tendant tous mes propos, ainsi que ceux d’illustres confrères de par le monde et ce depuis 2020 ?

Sont-ils les seuls à définir ce que sont les données factuelles et validées par la science ?

En quoi un Ordre des médecins, en principe compétent en matière de déontologie et de rapports entre les médecins et leurs patients, serait-il garant des données factuelles et validées par la science ?

Les rencontrer ne me fait pas peur et j’irai là sans me dédire, sans renier mes propos, en exploitant au contraire cette opportunité pour susciter un débat que les autorités nous ont interdit jusqu’ici.

Comment respecter mon serment d’Hippocrate, prioritaire sur tout le reste ? Comment informer correctement les personnes qui font appel à mes soins, dans un espace où tout débat a été empêché, nié, refusé, repoussé, ridiculisé ?

Je leur poserai la question.

Je suis fier de ce que j’ai fait. Je le referais.

Je suis fier, dès 2020, d’avoir correctement informé mes patients, ces gens dont nous médecins avons la charge de l’information vraie et du soin correct. 

Ma priorité de médecin, mon premier devoir n’était ni de plaire à l’Ordre, ni de suivre des directives politiques ou médiatiques, mais de soigner et d’informer correctement mon patient. Tel est le devoir le plus important d’un médecin.

Ce l’était et ça le sera toujours.

Soyez nombreux à soutenir les médecins inquiétés de par le monde. Soyez des milliers autour de ces médecins courageux.

C’est cela votre force ! Montrer qu’un tel symbole, la recherche et la défense de la vérité, peut encore mobiliser des milliers de citoyens honnêtes et désireux que la démocratie ne soit pas un mot vide. C’est cela notre force : le nombre ! La puissance d’une assemblée citoyenne de personnes éclairées qui reprennent le pouvoir sur leurs vies et leurs santés.

Au travers des institutions officielles comme l’Ordre des médecins, le système veut faire de nous, Alain Colignon, Laurence Kayser, Frédéric Goaréguer, Gaëtane Beeckaert, Éric Beeth, Cécile Andri, moi et d’autres en Belgique, des exemples pour faire peur à l’ensemble des thérapeutes qui ne vont pas dans leur sens unique.

Vous, citoyens, faites de nous des exemples, oui, des symboles d’intégrité, de courage et de vérité. Des modèles, des exemples à suivre.

Ne le faites pas pour nous en tant que personne ou en tant qu’individu, faites-le pour les valeurs que nous défendons pour vous.

J’irai là-bas sans haine, sans colère, sans reproches.

Ce n’est pas une guerre de science, de vérité, ni de justice car tous ces domaines sont largement corrompus. Ce n’est pas une guerre du tout.  

C’est une occasion. Une chance. Un espoir fou de faire évoluer l’humanité.

De petits foyers de courage et d’opiniâtreté s’allument partout dans le monde, en ce moment.

J’irai seul avec la paix qui règne dans mon cœur, avec la volonté de les aider à voir ce qu’ils ne veulent pas voir, avec l’empathie que m’ont enseigné toutes ces épreuves.

Si chacun invite deux personnes, et que chacune d’entre elles invite à son tour deux personnes, imaginez le nombre de voix et de mains, de quoi enfin renverser le rapport de forces et faire que la peur change de camp.

Venez de toute la Belgique ou d’ailleurs, louez des cars, des bus. Faites-cela partout où la vérité, où la bienveillance sont attaquées.

Faites silence quand ils font du bruit de matraque. Faites du bruit quand ils imposent l’omerta.

Soyez unis dans le calme puissant et la solidarité qu’aucun de leurs canons, qu’aucune de leurs agressions ne peuvent briser.

Dr Pascal Sacré



Articles Par : Dr Pascal Sacré

A propos :

Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995, à l'Université de Liège. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il a travaillé en milieu hospitalier, en soins intensifs principalement, pendant 18 ans sans que rien ne lui soit jamais reproché. Dans son service, il a travaillé à l'élaboration d'un protocole de gestion de la douleur, de la sédation médicamenteuse et des complications neurologiques de type delirium, protocole retenu par de nombreux pairs d'autres hôpitaux. Licencié en 2020 de l'hôpital où il travaillait depuis 9 années, en raison de prises de position contraires à la politique de santé officielle et d'un conflit avec la direction à propos de la crise COVID-19, il a continué à défendre son point de vue malgré l'adversité (licenciement sans indemnités, convocation au poste de police, diffamation dans la presse, mise sur liste noire dans tous les services de soins intensifs belges malgré la reconnaissance de sa compétence et de son professionnalisme, invisibilisation). Il a retrouvé en 2021 un poste d'anesthésiste-intensiviste au centre des grands brûlés, à l'hôpital militaire, en Belgique. Ce centre dépend du ministère de la défense et non directement du ministère de la santé. Le docteur Sacré s'est formé à l'Université de Liège (professeur M-E Faymonville) en hypnothérapie en milieu médical. Intéressé par tout ce qui peut aider son patient à aller mieux, le docteur Sacré considère que rien ne peut être à priori rejeté, comme l'ajout de médecines naturelles aux pratiques chimiques reconnues en milieux hospitaliers, ou à l'inverse, à priori considéré comme un dogme intouchable comme la vaccination. Tout mérite ouverture d'esprit, tolérance, curiosité et recherche honnête, avec humilité et bonne foi. Son mantra : "pensez par vous-même". Le docteur Sacré, afin d'aider chaque personne à reprendre en main sa santé sans attendre que des milieux intéressés le fassent, donne des formations à la gestion du mental, des émotions, du stress au moyen des outils qu'il a lui-même appris (cohérence cardiaque, respiration, langage, autohypnose) et organise des ateliers sur des thèmes de santé comme la digestion, les glandes endocrines (thyroïde, surrénales...), les nerfs vagues, dans un langage simple et accessible à tous. Son site internet : www.pascal-sacre.be et le mail associé : [email protected] Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.

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