Le covidisme, le vaccinalisme et le pape
1 – LE COVIDISME PAPAL
Dans un entretien télévisé, le Pape François avait déclaré solennellement avoir lui-même « pris rendez-vous » pour se faire « vacciner » contre la Covid-19, le mercredi 13 janvier 2021, qualifiant l’opposition au vaccin de « négationnisme suicidaire » et affirmant qu’il s’agissait d’un « choix éthique » fondamental pour protéger la vie des autres ! Le Pape adhérait corps et âme au pan-médicalisme actuel reléguant les valeurs chrétiennes en seconde zone. Pourtant, Dieu n’avait pas dit aux Apôtres, « occupez-vous de votre santé comme je m’occupe de la mienne », faisait remarquer récemment le philosophe André Comte Sponville !
Rappelons que le médecin personnel du Pape, depuis cinq ans, Fabrizio Soccorsi, est décédé à 78 ans à la suite « de complications dues au Covid-19 » alors qu’il était « hospitalisé pour une pathologie cancéreuse », dont il est mort tout simplement. Mais, comme nous le savons depuis un certain temps, preuves à l’appui, (Cf., le dossier Coronavirus de mondialisation.ca), les déclarations de « mort par le coronavirus » ont été volontairement gonflées dans le but de faire croire à une « pandémie » et afin de pouvoir la justifier. Il fallait bien trouver le nombre de morts en relation avec une « pandémie » et entretenir la peur par le relais des médias qui allaient jouer ce jeu détestable sans scrupules… On a donc puisé sans complexe dans les pathologies responsables des décès annuels, partout dans le monde, en disant « mort par coronavirus » ou « mort avec coronavirus » lorsqu’il était impossible d’éviter une évidence qui allait contre l’idéologie covidiste. Puis le pan-médicalisme a triomphé partout dans le monde, balayant au passage les valeurs civilisationnelles et plaçant ainsi l’humanité dans une erreur gravissime qui la conduira fatalement à l’extinction.
Le Pape François est évidemment considéré comme une personne à risque : il avait 84 ans au moment où il s’est fait injecter le produit expérimental de Pfizer en phase 3, (aux nanoparticules de graphène), avec AMM provisoire. Il a d’ailleurs été un des premiers à se faire administrer une dose du vaccin Pfizer,
À l’âge de 21 ans, en 1957, Jorge Mario Bergoglio avait souffert d’une pleurésie aiguë et les chirurgiens avaient procédé à l’époque, à l’ablation partielle de son poumon droit, ce qui le prédisposait maintenant à être une cible idéale de la Covid-19…
Le Pape, qui devrait théoriquement être « bien informé », déclarait que les « vaccins » pouvaient mettre fin à la « pandémie », à condition que chacun apportât « sa pierre à l’édifice ». Jamais personne n’a confondu le travail du chimiste avec celui du physicien, mais qu’à cela ne tienne, le Pape allait comme tous les chefs d’États occidentaux, pratiquer allègrement l’amalgame idéologique d’un covidisme assumé.
« Grâce à Dieu et au travail de beaucoup, nous avons maintenant des vaccins pour nous protéger du coronavirus » ! (Déclaration du Pape François dans un message vidéo réalisé pour deux organisations américaines : l’ONG « The Ad Council », et « COVID Collaborative », un regroupement d’experts en santé publique et d’anciens responsables politiques américains.) Tout est déjà dit, rien qu’avec ces références ! Comment peut-on faire preuve d’une telle naïveté lorsqu’on est Chef d’État, même s’il s’agit du Vatican et de l’Église catholique ?!
Se faire vacciner contre la Covid-19 est « un acte d’amour », disait le Pape François en appelant tous les croyants à « se faire immuniser ».
On se demande où, par qui, et à partir de quoi, le Pape a-t-il été informé pour s’adonner avec cette bonhomie déconcertante au psittacisme narratif mondial de la propagande idéologique du covidisme, manquant de sérieux face aux expertises et aux statistiques officielles elles-mêmes sur les effets catastrophiques des injections expérimentales et que l’on peut retrouver dans les nombreux articles publiés sur mondialisation.ca… On a le sentiment d’une naïveté béate chez ce vieillard qui ne semble plus avoir les moyens de rester lucide.
Non content de se faire « vacciner » lui-même, il a rendu obligatoire la « vaccination » dans tout l’État du Vatican. Toute personne employée qui refuserait de se faire injecter ce produit expérimental à ARNm en phase 3 et avec AMM provisoire, sans la garantie ni la responsabilité des laboratoires en cas de problèmes, sans la responsabilité du Vatican ni celle des médecins exécuteurs, sans pouvoir adhérer à cet acte par « consentement libre et éclairé », sans rien savoir du contenu réel de ces injections expérimentales, serait licenciée de son poste de travail ! Quel genre de personne peut décemment accepter une chose pareille à part un naïf innocent ou un inconscient radicalisé dans son inconscience ?
Ce décret a fait évidemment réagir ses 5.000 résidents et travailleurs, un grand nombre dénonçant un flicage et un manque de respect dans la liberté de choisir. Le Saint Siège s’est défendu de vouloir instaurer une forme de répression. Il estimait simplement que refuser le « vaccin », c’était mettre en danger la santé des autres !!! Avant même la campagne de « vaccination » de la mi-janvier, le Pape François avait accusé les opposants au « vaccin » de « négationnisme suicidaire ». Il n’y a pas à dire, le Pape est le champion des amalgames et un menteur par omission. Si je ne suis pas malade ou même si je suis malade, comment puis-je infecter quelqu’un qui a été vacciné contre cette maladie ? Il y a un gros problème dans la tête du Pape et de ses semblables covidistes qui ont la détestable habitude de prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages !
« Essayons donc, face à l’hystérie qui embrume notre jugement, de poser quelques principes clairs et de bon sens. D’abord, il n’y a nul besoin de pass sanitaire ou de vaccination obligatoire. La vaccination protège celui qui décide de se faire vacciner des formes graves du virus : le non-vacciné n’est donc une menace que pour lui-même. La vaccination est donc un choix purement individuel qui doit relever de la seule décision rationnelle de chaque citoyen. Les personnes vaccinées sont protégées, les autres choisissent en leur âme et conscience de prendre un risque pour eux-mêmes. Ensuite la citoyenneté ne se divise pas. » Voilà ce que disait Mathieu Slama, dans son article publié sur un média qui tient tout à fait le discours collaborationniste des covidistes: Le Figaro, en cliquant ici.
Même pour un covidiste persuadé qu’il existe des vaccins contre la covid-19, le Pape doit sortir de « l’hystérie qui embrume son jugement » et savoir que les non-vaccinés ne peuvent en aucun cas être un danger pour les vaccinés !
Le Pape faisant toujours preuve d’une invraisemblable errance intellectuelle allait dire encore dans un entretien :
« Je crois que d’un point de vue éthique, tout le monde doit se faire vacciner, c’est un choix éthique, parce qu’on met à risque sa santé, sa vie, mais aussi la vie des autres ».
C’est proprement invraisemblable et particulièrement consternant, car c’est justement le contraire qui est vrai et qui est déjà très largement prouvé, compte tenu des chiffres incontestables de la pharmacovigilance mondiale et des retours d’expérience de la part des pays qui ont le plus « vacciné ». (Cf., la démonstration d’un chercheur du CNRS, Laurent Mucchielli, publiée en plusieurs articles par mondialisation.ca)
Le Pape poursuit dans cet entretien :
« Quand j’étais enfant, je me souviens qu’il y a eu l’épidémie de poliomyélite, à cause de laquelle beaucoup d’enfants sont restés paralysés et on attendait désespérément un vaccin […] Quand le vaccin est sorti on le donnait avec du sucre … Puis nous avons grandi à l’ombre des vaccins, contre la rougeole, contre ceci, contre cela, des vaccins qu’on faisait aux enfants ».
Qui pourrait donc faire entendre à ce brave homme qu’il ne s’agit pas de vaccins mais d’une expérience nouvelle ?
Il y a quatre types de produits actuellement en phase d’expérimentation: les injections à ARNm de Pfizer et Moderna ; les virus recombinants, adénovirus d’AstraZeneca, J&J et du russe Spoutnik, virus vaccinal de la rougeole atténué de l’Institut Pasteur ; les virus inactivés comme les vaccins chinois Sinopharm et Sinovac déjà utilisés en Chine, au Maroc et aux Emirats Arabes Unis ; et enfin, le vaccin aux protéines recombinantes comme celui de Sanofi – Pasteur associé à GSK.
On se demande comment le Pape peut être aussi mal informé ? Ce qui reste le plus choquant c’est de constater qu’il ne sait pas de quoi il parle : il répète le discours de la propagande sans la moindre lueur critique dans ses propos, sans la moindre interrogation, sans la moindre précaution, sans le moindre bon sens …
Mais le covidisme papal ne va pas s’arrêter là, hélas !
2 – ZOOM INDICATEUR SUR LE VATICAN
Quelques semaines à peine avant la déclaration par l’OMS sur la « fausse pandémie », comme l’a qualifiée le Ministère de l’Intérieur allemand, le Pape François recevait au Vatican les membres éminents du « Conseil pour le capitalisme inclusif ». Il avait annoncé que le Vatican conclurait une « alliance mondiale » avec les grandes banques mondiales, les entreprises internationales et les fondations mondialistes pour créer un conseil économique visant à redistribuer la richesse à travers le monde ! Bien, formidable le projet !
Cette initiative mondialiste, appelée « Le Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican » (The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican), s’est présentée comme une organisation pro-capitaliste qui visait à créer « des économies et des sociétés plus fortes, plus justes et plus collaboratives ». Le groupe d’élite, qui s’appelle lui-même « Les Gardiens » (The Guardians), se qualifie de « collaboration historique de PDG et de dirigeants mondiaux travaillant avec la direction morale du pape François pour exploiter le pouvoir des affaires pour de bon », dit texto leur site Internet.
Selon le communiqué de presse du Conseil, le partenariat avec le Vatican signifiait « l’urgence d’unir les impératifs moraux et commerciaux pour réformer le capitalisme en une force puissante pour le bien de l’humanité. » Madame Lynn Forester de Rothschild déclarait dans une vidéo : « Nous répondons au défi du pape François de créer des économies plus inclusives qui répartissent plus équitablement les bénéfices du capitalisme et permettent aux individus de réaliser leur plein potentiel ».
Ces fameux anges « Gardiens », épris d’humanisme et d’altruisme soucieux de justice et de liberté pour tous, sont pourtant la même bande mégalomaniaque habituelle de mondialistes faite d’entreprises et d’organisations multi nationales qui se partagent la mission de « mobiliser le secteur privé pour créer un système économique plus inclusif, durable et fiable », dixit son site internet. Dans cette liste des « Gardiens », on trouve aux côtés du Pape François les PDG de Visa, Mastercard, Bank of America …etc, Johnson & Johnson et BP, ainsi que le secrétaire général de l’OCDE, le président de la Fondation Ford Darren Walker, le président de la Fondation Rockefeller Rajiv Shah et l’envoyé spécial des Nations Unies pour le climat, Mark Carney. Ce projet s’inscrit curieusement dans celui du Forum Économique Mondial de Davos, qui avec les Nations Unies et d’autres institutions ont appelé à se saisir de cette « fenêtre d’opportunité » de la « pandémie » pour déclencher un « Great Reset », afin de réorganiser le système capitaliste mondial en un ordre mondial transhumaniste socialiste qui éliminerait la propriété privée et la monnaie.
C’est aussi ce qui est récapitulé précisément dans l’ouvrage « Great Reset » publié par le créateur du FEM, Klaus Schwab.
Le Pape fait donc aujourd’hui partie de cette bande de mondialistes fermement décidée, par cette mise en scène invraisemblable, d’installer pour de bon le Nouvel Ordre Mondial. Visa, Mastercard, British Petroleum, Johnson & Johnson, la Banque Rothschild…et d’autres milliardaires avec eux, sont évidemment d’authentiques bienfaiteurs de l’humanité, toutes ces organisations n’ont jamais rien fait d’autre que de se soucier du bien des hommes et en particulier des plus pauvres, se faisant même les collaborateurs effacés et dévoués posthumes de Mère Teresa !
Tous ces gens-là disent vouloir créer « un système économique plus inclusif » et contribuer à atteindre les objectifs de développement durable incluant une nouvelle amélioration des mesures environnementales et sociales ? Le transhumanisme est une chance, une évolution bienfaitrice pour l’humanité qui pourra enfin atteindre l’idéal de ce « capitalisme inclusif », fait de justice et d’égalité, éliminant naturellement les « inutiles » ou les « substituables » ! « Le Vatican est avec nous », « Dieu avec nous » (Gott Mit Uns), on y revient !
Pourtant, l’injection Johnson & Johnson, ainsi que les autres injections, dites anti-Covid, sont dangereuses comme l’analysait et le soulignait si bien Axel Kahn dans « L’Usine Nouvelle » et avec lui tant d’autres experts dont nous avons découvert les analyses tout au long de cette année et demie passée, sur mondialisation.ca. (le généticien Axel Kahn, L’Usine Nouvelle, 27-11-2020).
N’est-ce pas exemplaire, touchant, émouvant même : « Le capitalisme a créé une énorme prospérité à l’échelle mondiale, mais il a aussi laissé trop de gens pour compte, a entraîné la dégradation de notre planète et n’inspire pas largement confiance dans la société », déclarait Lynn Forester de Rothschild, fondatrice du Conseil et associée directrice d’Inclusive Capital Partners.
Les Rothschild sont les principaux actionnaires du système mondial de banque centrale. Il y a déjà longtemps, le souci de la « Société fabienne » vis-à-vis de l’organisation internationale fut articulé dès le début dans les documents Fabiens (voir Fabian Committee) comme le « Gouvernement International » qui fut à l’origine de la création, trois ans plus tard, de la Société des Nations, qui fut remplacée en 1945 par l’Organisation des Nations unies reprenant un certain nombre de ses agences et organismes.
Or, il faut absolument savoir que le concept de « l’Agenda 21 » est profondément ancré dans la pensée et la stratégie fabienne. En effet, la Base fabienne de 1887 — que tous les membres devaient signer et respecter — stipule ceci :
« La Société fabienne est composée de socialistes. Elle vise donc à réorganiser la société par l’émancipation de la terre et du capital industriel de la propriété individuelle et à leur attribution en communauté pour le bénéfice général. De cette manière, seuls les avantages naturels et acquis du pays peuvent être équitablement partagés par l’ensemble du peuple. La Société travaille donc à l’extinction de la propriété privée et en conséquence de l’appropriation individuelle, sous la forme d’un loyer, un prix à payer pour l’autorisation d’utiliser la terre, ainsi que des avantages des sols et des territoires. »
Cette pensée fait partie du programme « Great Reset », en effet. C’est pourquoi, les États actuels du monde occidental, ont sous le coude le projet de nationalisation des biens privés, comme en Espagne où il est dit que cette décision sera prise au « nom de la défense nationale », afin d’assurer au pays les moyens financiers de sa dette… Dans cette radicalisation des idées de la Société Fabienne, il y a quelque chose d’erroné, car les oiseaux ont leur nid, les animaux sauvages ont leur tanière, les insectes ont aussi leur abri. Chaque espèce a un lieu de repos inviolable où il peut défendre sa vie, la protéger des prédateurs. Il est naturel d’avoir un toit pour se protéger.
Si bien des humains n’ont pas trouvé ce droit, cela ne permet pas d’en conclure qu’il faut abolir la propriété privée ! Si des humains n’ont pas leur toit et un endroit où se reposer en toute sécurité, c’est parce que la répartition des richesses est injuste. L’immense masse des richesses se trouvent injustement entre les mains de quelques uns. C’est là qu’est l’erreur et non pas dans le fait d’avoir sa maison, un abri pour se protéger… Un avenir communaliste n’est pas un avenir communiste. Il y a donc derrière tout cela la volonté évidente d’un contrôle acharné sur les personnes individuelles et sur les groupes : en d’autres mots, une abolition de toute liberté. Cela ne se peut, même pas avec la menace d’une pandémie nouvelle. La liberté est l’une des principales valeurs de l’homme.
Mais, au-delà de cette idéologie utopiste, depuis sa création, la Société fabienne entretenait des objectifs obscurs. Beatrice Potter Webb admirait le fondateur de l’eugénisme, Francis Galton. L’un des quatre fondateurs principaux de la Société fabienne, George Bernard Shaw, admirait le chef du parti national-socialiste, Adolf Hitler, et son programme génocidaire.
Nous constatons qu’aujourd’hui, l’Agenda 21/2030, respecte en tous points les objectifs eugéniques et totalitaires de la Société fabienne. Le Dr Igor Shepherd écrit : « La grande réinitialisation (Great Reset) est un gouvernement mondial planifié de style régime communiste, actuellement en cours (par la force) via la pandémie Covid-19 pré-planifiée et canularisée. C’est un programme mondial totalitaire qui est devenu populaire en 1987 grâce aux Nations Unies. Il s’intitulait ‘Agenda 21’, car l’objectif était de réinitialiser complètement tous les gouvernements et économies du monde d’ici 2021. » Voilà qui devient très clair pour ceux qui font travailler leur cervelle et s’abstiennent de hurler au « complotisme » parce qu’ils n’ont aucun argument valable à proposer face à l’évidence de ce projet écrit noir sur blanc !
Le « Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican » (The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican) a été fondé par Lynn Forester de Rothschild, une femme d’affaires américano-britannique qui est la directrice générale d’E. L. Rothschild, une société holding qu’elle possède avec son troisième mari, Sir Evelyn Robert de Rothschild, membre de la famille Rothschild. Elle siège actuellement au conseil d’administration d’Estée Lauder Companies, de The Economist Group, de Bronfman-Rothschild, de E. L. Rothschild LP et de Christies International. (Cf., Wikipedia.org)
Elle est membre du Council on Foreign Relations (États-Unis), de Chatham House (Royaume-Uni), de l’Institute for Strategic Studies (Royaume-Uni), de l’International Advisory Council of Asia House (Royaume-Uni) et de la Foreign Policy Association (États-Unis).
3 – LE PAPE A DECOUVERT
Après ce zoom d’investigation sur ce qui se passe au Vatican, on comprend mieux le covidisme papal et sa participation active à la « canularisation » de la « pandémie » comme au vaccinalisme qui en est issu!
À l’ouverture d’une conférence TEDx le 16 décembre 2010, David Mayer de Rothschild disait : « Je suis un grand fan de Google, alors j’ai pensé, voyons quel est le message général sur la nature et je ne suis pas surpris. Lorsque vous cherchez ce qu’est la nature, la première chose qui se présente est : «la nature est L’église de Satan ». (…) J’aime le fait que c’est comme si la nature était une île gastronomique tropicale. Mais c’est comme si la nature était l’église de Satan. Donc je veux profiter de cette opportunité pour dire que si c’est l’église de Satan, je suis un adorateur du diable. Je vais le dire maintenant : j’aime Satan. » (sur Youtube, à partir de 1:38 minutes). Sous le couvert d’une plaisanterie, David de Rothschild, le plus jeune héritier de la fortune bancaire de sa famille, proclamait qu’il était en fait au service de la « Bête » à laquelle son employé Macron faisait allusion le 22 mai 2020.
La question qui nous intéresse est donc la suivante : Comment le Pape François a-t-il pu entrer dans une telle « alliance mondiale » et cautionner la mise en scène de la « pandémie » en parlant ex cathedra des « vaccins » et de la « vaccination » comme étant éthique et quasi le devoir moral de tout catholique ?!
Le 13 février 2020, le Pape disait pourtant :
« … Relativiser les choses et entrer en « négociation » avec les dieux de l’argent, de la vanité et de l’orgueil…c’est une chute avec anesthésie, tu ne t’en aperçois pas, mais lentement on glisse, on relativise les choses et l’on perd la fidélité à Dieu… »
Personnellement, j’ai la forte impression que le Pape a été sérieusement « anesthésié », en effet, pour déclarer de tels mensonges comme étant la vérité, issus de la manipulation, hors de toute vérification soigneusement documentée, allant jusqu’à rendre obligatoire au Vatican la « vaccination » qui n’en est pas une et qui, entre 6 mois et 5 ans, aura probablement tué ceux qui auront accepté cette injection sans « consentement éclairé », dont les laboratoires se défaussent en cas de problèmes, aux effets secondaires déjà désastreux et aux morts déjà innombrables… (Cf., conférence du Dr Shawn Brooks MD ; VID_20210820_140130_660.mp4)
Mais plus rien ne semble étonnant ! Souvenons-nous que l’opération « Ratisbonne », organisée en collaboration entre l’État français, propriétaire et assureur de la Cathédrale Notre Dame et le Vatican, devait provoquer une catastrophe suffisamment choquante pour éveiller la générosité des milliardaires et l’arrivée « providentielle » de dons capables de lancer enfin les restaurations nécessaires de cet édifice prestigieux de la mémoire chrétienne et de la France.
En effet, la cathédrale était dans un état lamentable et, en pleine crise économique ayant déclenché la révolte des Gilets jaunes, l’État responsable du patrimoine n’avait pas les sommes astronomiques d’argent pour assurer une restauration d’une telle importance. L’État français s’était donc tourné vers des donateurs américains, mais l’appel eut des effets insuffisants. Il fut contraint de s’adresser au Vatican qui avait un intérêt particulier à ce que la cathédrale soit restaurée. Mais lui aussi, bien qu’immensément riche, se trouvait dans une crise financière sans précédent. De concert, ils organisèrent donc ce qui leur sembla être la seule solution : créer un choc redoutable et risqué pour éveiller l’émotion populaire ainsi que la réaction des donateurs milliardaires. L’opération « Ratisbonne » fut donc organisée et elle fut un succès, puisque les dons arrivèrent aussitôt dans la poche de l’État qui pouvait ainsi assurer la reprise des travaux sur Notre Dame.
(Pour les détails de l’opération, voir Patrick Jaulent, « Notre Dame brûle », 2è édition étendue, auto-publication d’un spécialiste du renseignement)
Une rumeur circule actuellement disant que le Pape François aurait été « opéré d’une inflammation des diverticules » ! Ce récit est, de toute manière, celui que la secrétairerie d’État du Vatican et les médecins ont mis au point pour les besoins de la communication. Rien ne sera jamais révélé sur ce qui se passe réellement pour le Pape François piqué au Pfizer à nanoparticules de graphène, comme jamais d’autopsie n’a été faite ou du moins déclarée, pour déterminer les causes de la mort du Pape Jean-Paul 1er. Le secret est la règle dans ce monde qui affirme que « l’Église n’est pas une démocratie et ne saurait l’être », dixit Jean-Paul II. Comme par hasard, son schéma totalitaire avec le modèle de sa « pensée unique », (de son dogme), semble être celui qui s’impose actuellement à tous les pays d’Occident…
Nous sommes priés de nous soumettre, de cautionner, d’adhérer à une croyance dans l’État qui décide ce qui est le bien du peuple. Il s’agit d’une croyance, la croyance en un État théocratique, sachant le bien et le mal du peuple. Il est demandé aux citoyens d’obéir les yeux fermés, d’exécuter les ordres et commandements de l’État souverain, représentant non pas le peuple, mais Dieu qui commande au peuple, le contraire de la démocratie qui veut que le peuple commande et que l’État obéisse. Les dirigeants ont reçu la révélation suprême de ce qui est vrai, juste et bon pour le peuple. Le peuple a donc l’obligation d’obéir, de se soumettre à la loi théocratique incarnée en France par Macron le dieu des dieux, Jupiter.
Voilà pourquoi, les récalcitrants, désobéissants, opposants, réfractaires, résistants à la loi théocratique, devaient être punis. Pour cela il ne serait plus possible de vivre librement. Il ne serait plus possible de « choisir en donnant un consentement éclairé ». Tout serait obligatoire, contraint, sanctionné, censuré, maltraité, pour la pire des soumissions : celle qui consiste à laisser un pouvoir faire ce qu’il veut sur nos corps livrés à son bon plaisir !
Jean-Yves Jézéquel
Pour aller plus loin :
François : «Le pape de Washington» ? Le cardinal Jorge Mario Bergoglio et «la guerre sale» d’Argentine
Par Michel Chossudovsky
Qui est le pape Francisco 1er?
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SOURCES :
Vatican : « Discours du Père François aux membres du Conseil pour un capitalisme inclusif ». Libreria Editrice Vaticana, 11 novembre 2019.
Robin Gomes : Pope: economics without ethics leads to “throw-away” culture. Vatican News, December 08, 2020.
Communiqué de presse — Cision – PR Newswire : The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican, A New Alliance Of Global Business Leaders, Launches Today. Council for Inclusive Capitalism, New York, December 08, 2020. [Version française]
Hannah Brockhaus : Council for Inclusive Capitalism launches partnership with Vatican. Catholic News Agency, December 9, 2020.
Jack Kelly : Pope Francis Partners With Corporate Titans To Make Capitalism More Inclusive And Fair: Is This For Real Or Just Corporate Virtue Signaling?. Forbes, December 9, 2020.
Jamie White : « Vatican Enters “Global Alliance” with Rothschilds, Rockefeller Foundation & Big Banks To Create Great Reset ». InfoWars, December 9th 2020.
Leonard Woolf : « International government. Together with a project by Fabian Committee for a Supernational Authority that will prevent War ». Introduction by Bernard Shaw. Fabian Research Department, Brentano’s, New York 1916.
George Bernard Shaw : « Basis of the Fabian Society », in: The Fabian Society : its early history. Fabian Society, tract n ° 41, 2nd ed., London, p. 31.
Guy Boulianne : « La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19 ». Publié le 10 décembre 2020.
Mgr Luigi Marinelli, « Via col vento in Vaticano”, collectif I Millenari, éditions Kaos, 1999.
Patrick Jaulent, Notre Dame brûle, 2è édition étendue, auto-publication d’un spécialiste du renseignement.
Jean-Yves Jézéquel, philosophe et psychanalyste, diplômé du troisième cycle en sciences humaines, est l’auteur d’une trentaine d’essais en philosophie, spiritualité, religion, psychologie. Il publie également depuis 2014, une série d’analyses sur les grandes questions actuelles de société.