Le Forum économique mondial (FEM) est le mieux placé pour savoir… – La « grande remise à zéro mondiale » post-covidienne

Le FEM a contribué à la fermeture de l'économie mondiale et maintenant ils veulent la relancer

Le Forum économique mondial (FEM) vient de faire une découverte grandiose et il a ainsi déclaré (le 21 juillet 2020), sous un titre alarmant, « C’est maintenant la plus grande menace du monde – et ce n’est pas un coronavirus ». Cette superbe découverte est répertoriée comme « L’affluence est la plus grande menace pour notre monde, selon un nouveau rapport scientifique ». (Voir ceci).

Cette « nouvelle choquante et révélatrice » est la « principale conclusion d’une équipe de scientifiques d’Australie, de Suisse et du Royaume-Uni, qui ont averti que la lutte contre la surconsommation doit devenir une priorité. Leur rapport, intitulé « Scientists’ Warning on Affluence », explique que « l’affluence est le moteur des impacts environnementaux et sociaux, et par conséquent, une véritable durabilité appelle des changements significatifs du mode de vie, plutôt que d’espérer qu’une utilisation plus efficace des ressources suffira ».

Afin de mieux comprendre le contexte de la déclaration du FEM, revenons un peu en arrière. Le 3 juin 2020, le fondateur et président exécutif du FEM, Klaus Schwab, a présenté ce que le FEM et toutes les élites et oligarques derrière lui appellent la « Grande remise à zéro » [« The Great Reset » en anglais] :

« Pour obtenir de meilleurs résultats, le monde doit agir conjointement et rapidement pour repenser tous les aspects de nos sociétés et économies, de l’éducation aux contrats sociaux en passant par les conditions de travail. Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. Pour faire simple, nous avons besoin d’une « Grande remise à zéro » du capitalisme. »

Selon l’auteur Matthew Ehret-Kump, la réunion comprenait des élites du « FMI, de la Banque mondiale, du Royaume-Uni, des États-Unis, des entreprises et du secteur bancaire » qui cherchaient toutes « à profiter de la COVID-19 pour fermer et « mettre à zéro [« réinitialiser »] l’économie mondiale dans le cadre d’un nouveau système d’exploitation intitulé le nouveau pacte vert [Green New Deal] ».

Gary Barnett écrit le 16 juillet 2020

« …C’est la période la plus dangereuse de l’histoire de l’homme. La gravité de ce complot ne peut être sous-estimée. Il n’est pas dû à une menace de guerre conventionnelle ou de décimation nucléaire, il est basé sur le fait qu’il s’agit d’une guerre psychologique menée par des psychopathes contre toute l’humanité, et qu’elle est avancée par un petit groupe de monstres qui ont pris le contrôle de l’esprit des masses par un endoctrinement à long terme et des politiques destinées à engendrer la dépendance ».

Et,

« La peur est la nouvelle arme de destruction massive, non pas parce qu’elle est légitime, mais parce que les gens ont perdu toute volonté d’être libres, ont perdu toute capacité de penser, et cherchent refuge et confort en tant que troupeau collectif uniquement capable d’exister dans une société basée sur un régime totalitaire ».

Et enfin,

« Aspirer à la liberté sans avoir le courage de la revendiquer est une entreprise vide de sens, car toute demande réelle des masses laisserait l’élite au pouvoir nue et effrayée. Tout ce qui est nécessaire pour atteindre la liberté, c’est de la vouloir, et elle seule peut vaincre la tyrannie ».

Gary Barnett cite également un extrait de « La politique de l’obéissance » d’Étienne de la Boétie :

« Celui qui vous domine ainsi n’a que deux yeux, que deux mains, qu’un seul corps, pas plus qu’il n’est possédé par le moindre homme parmi les innombrables habitants de vos villes ; il n’a en effet rien de plus que le pouvoir que vous lui conférez de vous détruire. »

Eh bien, le FEM a finalement eu raison. La richesse et tout ce qui crée la richesse et une richesse toujours plus grande, élargit le fossé entre riches et pauvres – et crée une pauvreté abjecte, la misère, la famine et la mort.

Selon le Programme alimentaire mondial (PAM), sans COVID-19, chaque année, quelque 9 millions de personnes meurent de famine ou de maladies liées à la faim. Le PAM prévoit que le nombre de personnes confrontées à l’insécurité alimentaire aiguë (IPC/CH 3 ou pire) passera à 265 millions en 2020, soit une augmentation de 130 millions par rapport aux 135 millions de 2019, en raison de l’impact économique de la COVID-19 (voir ce document). Beaucoup – trop – de ces personnes risquent de mourir.

« La faim est un crime contre l’humanité », selon Jean Ziegler, militant suisse et ancien rapporteur spécial des Nations unies sur le droit à l’alimentation.

Le FEM appelle à une Grande remise à zéro.

Oui, une réinitialisation [remise à zéro, Reset] est nécessaire, mais pas à la manière du FEM.

Une Remise à zéro à l’image des peuples est davantage ce qui peut sauver la planète et tous ses êtres vivants, y compris l’humanité. Une Remise à zéro pourrait commencer par un Jubilé de la dette (l’annulation de la dette), afin que les gens qui ne peuvent plus payer leur loyer, leur hypothèque à cause de la crise de la Covid provoquée par l’élite de l’État  profond obscur. Ces gens  ont perdu leur emploi, leur revenu, tout leur gagne-pain. L’annulation de la dette permettrait de plus en plus à des personnes de garder leur logement et, espérons-le, leur santé mentale.

Le FEM appelle à des « changements de mode de vie », mais il n’explique pas ce que cela signifie, et qui doit changer son mode de vie – les riches ou les pauvres ? Alors que le FEM prêche pour la Grande remise à zéro, plus de justice, plus de protection de l’environnement, un capitalisme pour les « parties prenantes », plutôt que pour les seuls actionnaires, RT rapporte qu’en raison de la dépression des caisses d’épargne, du chômage et de la pauvreté, rien qu’aux Etats-Unis, 28 millions de personnes sont menacées d’expulsion. Et ce n’est probablement que le début. Comparez ce chiffre aux 10 millions de la crise de 2008 / 2009, également provoquée par la faute d’individus.

Il y a actuellement environ un demi-million de personnes sans-abri aux États-Unis. L’Union européenne (UE) ne publie pas ces chiffres, mais ils pourraient être au moins aussi élevés et probablement plus élevés. Par ailleurs, il y a 1,5 million d’appartements vides aux États-Unis, soit environ trois fois plus que le nombre de sans-abri. Ajoutez à cela les 28 millions de logements qui pourraient se vider dans les mois à venir.

La crise de 2008 peut en être une indication. Il a fallu de nombreuses années aux banques pour vendre les 10 millions de logements « vacants » – et beaucoup ne sont toujours pas vendus et croupissent sur le marché libre en ruine. Dans la dépression sans précédent de ce désastre « covidien », il est encore plus improbable que les banques vendent leur butin brutalement confisqué.

 

Comment cela s’inscrit-il dans le récit de M. Schwab, du FEM ? Si le FEM était sérieux avec le grandiose « Reset for more justice » (Remise à zéro pour plus de justice), il joindrait le geste à la parole et générerait ainsi les fonds nécessaires pour aider les chômeurs à garder leur maison, les renflouer, ou demander une remise de dette et de loyer soutenue par le gouvernement.  Cela favoriserait tous les chômeurs ayant un revenu de base temporaire de, disons, 2 000 $ US / mois, ce aussi longtemps qu’il faudra pour remettre l’économie sur les rails. « Temporaire » – parce qu’un revenu de base permanent crée une dépendance, asservit et dissuade encore plus le système capitaliste de créer des emplois, et utilise à la place l’intelligence artificielle (IA). Cela coûterait une fraction de ce que la FED a déjà dépensé pour renflouer les banques et les institutions financières – selon le WaPo du 15 avril 2020 (voir ceci), plus de 6 000 milliards.

Pendant ce temps, et depuis la mi-avril, avec l’augmentation imminente des faillites d’entreprises et de banques, ce chiffre pourrait avoir doublé ou triplé. Mais qu’importe. Ce n’est que de l’argent fictif, de nouvelles dettes, qui ne seront jamais remboursées. En vertu de ce principe de « guichet »  [wicket en anglais] pour le sauvetage des riches, la FED pourrait facilement débloquer 5 000 milliards de dollars supplémentaires venir en aide aux pauvres, en finir avec leur misère, avec, par exemple, un revenu minimum mensuel de 2 000 dollars, ce pendant plusieurs années. Aujourd’hui plus que jamais, l »assouplissement quantitatif (Quantitative Easing) est tout à fait possible. Cela devrait se faire jusqu’à la reprise de l’économie. À moyen et long terme, cela se traduirait par des bénéfices multiples pour la macro-économie étasunienne. Les personnes ne vivant pas d’anxiété, ni dans la peur, seraient productifs et pourraient contribuer à remettre sur pied l’économie détruite par la crise de la COVID-19

Soit dit en passant, ce plan de sauvetage économique pour toutes et tous afin de soutenir les pauvres s’applique à tous les pays capitalistes, où les premiers à souffrir sont les plus démunis, les personnes qui dépendent de leur emploi. Ce plan pourrait également être adopté dans les pays en développement, où le secteur informel représente jusqu’à 70 % de l’économie et où les chômeurs reçoivent un salaire minimum, qu’ils aient ou non un emploi contractuel.

Mais il ne semble pas que M. Schwab, alias le FEM, ait ce genre d’esprit de justice.

L’accumulation d’une extrême richesse n’est possible que parce que l’Occident vit dans un système turbo-capitaliste, ou dans un modèle néolibéral qui se transforme peu à peu vers une forme de néo-fascisme économique avec ses inévitables conséquences politiques. Par exemple, au cours des deux mois allant de la mi-mars à la mi-mai 2020 – jusqu’à présent les mois les plus difficiles de la crise de la COVID-19, lorsque le monde était pour ainsi dire fermé, lorsque le chômage et la misère et la famine associés à cette fermeture ont atteint des proportions sans précédent dans l’histoire de l’humanité – les milliardaires des États-Unis ont ajouté 434 milliards de dollars supplémentaires à leur fortune.

De nouveau, oui, le FEM a raison de dire que cela doit changer ; le monde a besoin d’un système socio-économique mieux équilibré et on doit faire davantage pour protéger l’environnement et la planète dans son ensemble. Ce sont de belles déclarations. Mais quel est en réalité le programme du FEM derrière ces paroles ?

Une question légitime : Qu’est-ce que le FEM et qui est derrière le FEM ? – Qu’est-ce qui rend le FEM si omnipuissant ?

Le FEM a été créé en 1971 par Klaus Schwab, un ingénieur et économiste allemand. Depuis ce jour, il est à la tête de ce puissant club de riches. Depuis ce jour, le FEM est devenu une ONG. Il a été fondé en tant que Forum européen de gestion. Son siège social est à Cologny, une banlieue luxuriante de Genève, en Suisse. Son statut juridique est celui d’une fondation, une simple ONG (voir ceci). [Il est également appelé le Forum de Davos]

Le FEM n’a absolument aucun statut ou rôle international légal – comme par exemple les Nations unies – qui lui permettrait de promulguer des décrets et des règles au monde entier sur la façon dont ce dernier devrait être géré et se comporter. Cependant, il pourrait bien exercer un contrôle sur la population mondiale et décider du sort des 7,8 milliards de personnes (estimation de la population en 2020, rapport de l’ONU).

Or, c’est précisément ce que le FEM prétend faire – et ce, depuis au moins deux ou trois décennies déjà. Et la plupart des dirigeants occidentaux – et de nombreux non-occidentaux parmi les 193 membres de l’ONU – acceptent le FEM comme une autorité mondiale en matière de politique économique et de pensée politique. Ils placent l’autorité du FEM au-dessus de celle des Nations unies.

Pourquoi ? – Quelqu’un s’est-il déjà demandé comment une ONG, le FEM, s’arroge le pouvoir de se placer au-dessus des Nations unies, au-dessus de toutes les nations du monde et dicte, en tant que mandataire de ses membres du complexe militaro-financier, qui doit vivre et qui doit mourir, en imposant un système économique mondial [mondialisation de l’économie] qui n’a apporté qu’une misère abjecte à la majorité des populations ? – Et il continuera à le faire, si nous ne l’arrêtons pas…

Des déclarations similaires pourraient être faites à propos du G7 et du G20 – ce ne sont même pas des ONG, mais simplement des clubs des nations autoproclamées comme les plus riches et les plus puissantes du monde. Eux aussi, comme le FEM qui travaille main dans la main avec les grands « G », ont récupéré le rôle de l’ONU – établir une politique économique et politique mondiale. Ils prétendent prendre les décisions concernant la guerre et la paix. Dans leur intérêt capitaliste élitiste, bien sûr. Pas dans l’intérêt du peuple.

C’est totalement illégitime et extrêmement dangereux.

Maintenant, qui est derrière le FEM ? Qui sont les membres et les acteurs du FEM ?

Ils sont la crème de la crème de l’élite. Le FEM considère que ce sont les très riches qui sont le problème, ce sont ceux qu’ils prétendent devoir « ajuster » pour que le monde puisse continuer à fonctionner – de manière « durable ». – « Durable », le terme omniprésent partout, surutilisé et exploité, précisément par ceux qui condamnent le monde vivant de manière non durable. Il s’agit de magnats de la finance et des entreprises, d’anciens et d’actuels politiciens, de personnalités d’Hollywood, etc. Ils sont la vitrine de l’État profond obscur.

Ce sont eux qui tentent d’introduire le « Nouveau pacte vert », une déviation de l’économie actuelle basée sur le consumérisme, vers une économie basée sur le capitalisme « vert » ; les voitures électriques (largement basées sur l’électricité produite par les hydrocarbures), et l’agriculture biologique (sic) basée sur les OGM, l’intelligence artificielle (IA) « propre », les « villes vertes », où les travailleurs (pas encore anéantis par l’IA) ne peuvent pas se permettre de vivre – et bien d’autres choses de ce genre. Un agenda vert est une bonne propagande. Ce concept se vend facilement à la population, qui ne pose pas de questions.

Est-ce que nous le comprenons tous ? – Le FEM – une petite ONG de la banlieue de Genève, en Suisse – agit au-dessus de l’ONU – et ce depuis un certain temps. Et nous, le peuple [les citoyens du Monde], nous laissons faire. Nous protestons un peu chaque année en janvier lorsque le clan du FEM se réunit dans la luxueuse station balnéaire de Davos, en Suisse, pour nous dire ce qu’ils veulent pour l’avenir de l’humanité et pour le monde entier. Mais c’est tout.

Puis ils rentrent « chez eux » et disparaissent à nouveau derrière le rideau pendant un an, du moins c’est ce que nous pensons, et réapparaissent ensuite avec de nouvelles idées et règles et des moyens d’imposer un comportement aux 99,999 % des citoyens du monde. Et, encore une fois, cette petite et riche ONG, sans aucun statut juridique international, continue d’agir comme un dieu puissant, bien au-delà des Nations unies, qui, de leur côté, ont été créées par les nations du monde pour arbitrer les conflits et pour promouvoir la paix. Ne rien faire contre le FEM, le laisser agir et lui permettre de prendre toujours plus de pouvoir, signifie accepter l’autorité de ses successeurs – bref cela signifie approuver son statut illégitime d’autorité mondiale suprême.

Il semble que c’est ce que nous avons fait dernièrement – au détriment de l’économie mondiale, en nuisant au tissu social de notre monde multiculturel, aussi imparfait soit-il – mais il a une existence légitime. Maintenant, cette existence a été réduite en miettes – oui, en grande partie par le FEM et ses acolytes, l’OMS, l’école de santé de l’université Johns Hopkins, la Fondation Bill et Melinda Gates. Ils sont à l’origine de la catastrophe de la crise de la COVID-19. L’événement 201 est le dernier témoignage à cet effet.

 

Ils sont soutenus par une myriade d’autres acteurs de la scène mondiale, et par les filiales des oligarques et des institutions les plus riches, qui prétendent diriger le monde, le FMI, la Banque mondiale, la FED, l’industrie pharmaceutique mondiale, les institutions bancaires et financières privées, c’est-à-dire Wall Street et ses filiales internationales, sans oublier le complexe militaro-industriel mondial.

La destruction mondiale que le FEM veut maintenant réparer par une Grande remise à zéro mondiale, style FEM, a été – et est causée – par un ennemi invisible, un virus, un coronavirus, le même qui est à la base de la plupart des épidémies de grippe. Les médias occidentaux diffusent dans nos cerveaux des messages de peur de la COVID-19 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, donc on y croit. Mais ce n’est pas vrai du tout.

La pandémie de coronavirus, ce qu’on appelle maintenant COVID-19, avait été soigneusement planifiée, probablement depuis des décennies, au moins depuis le rapport Rockefeller de 2010, qui décrit la première phase de cette destruction mondiale que nous connaissons maintenant « Le scénario du verrouillage » (p. 18 du rapport Rockefeller de 2010).

L’événement 201 a été le dernier et important exercice de simulation de pandémie du coronavirus et ses conséquences – 65 millions de morts en 18 mois et un marché boursier dévasté, des faillites sans précédent. Cela a été la « répétition générale » avant l’épidémie, d’abord en Chine, et quelques semaines plus tard dans le monde entier. Cet événement a été coparrainé par le FEM, la Fondation Bill Gates et l’École de santé publique de l’Université Johns Hopkins.

Un certain nombre d’acteurs clés dans ce scénario de pandémie -également appelé « Fear Indoctrination » ( » la peur de la contagion « )- étaient également présents à l’événement 201, tels que l’OMS, l’UNICEF, le FMI, la Banque mondiale – et des représentants de diverses agences des Nations unies. L’ONU est  entièrement complice avec cette entreprise criminelle et génocidaire.

Cela montre que l’ONU n’a pas de pouvoir ; un organisme mondial créé après la Seconde Guerre mondiale, ….

« Les Nations unies sont une organisation internationale fondée en 1945 après la Seconde Guerre mondiale par 51 pays qui se sont engagés à maintenir la paix et la sécurité internationales, à développer des relations amicales entre les nations et à promouvoir le progrès social, l’amélioration du niveau de vie et les droits de l’homme » (voir ce document).

Cela montre simplement que le FEM, une petite ONG, a plus de pouvoir que l’ONU, et a en fait coopéré avec l’ONU et beaucoup de ses agences pour suivre le diktat des oligarques élitistes, ou de l’État profond obscur – qui se tiennent derrière le FEM.

Pourquoi l’autorisons-nous ?

Cette Grande remise à zéro mondiale que le FEM prévoit et planifie, est bien sûr motivée par un autre agenda que le « Bien-être du Monde ». Ces maîtres de l’univers qui se sont autoproclamés, parmi les mêmes personnes fortunées que le FEM considère comme le plus grand risque pour l’humanité, se ravisent maintenant et donnent leurs richesses afin qu’il y ait un meilleur équilibre dans la distribution des richesses de la planète (Terre Mère), plus de justice, plus de respect des droits de l’homme, moins de consommation et – une protection absolue de l’environnement et des ressources non renouvelables ? – C’est peu probable.

Au contraire, comme cela a déjà été prouvé. L’effondrement planifié de l’économie mondiale a créé une misère inimaginable par les faillites, principalement de petites et moyennes entreprises, qui seront englouties par les grandes sociétés – et par le détriment de ce qui restait des filets de sécurité sociale dans le Nord global ainsi que dans le Sud global. Un autre énorme transfert de ressources de la base vers le sommet – comme en témoignent les 434 milliards de dollars de richesses supplémentaires des milliardaires étasuniens (voir ci-dessus) – et cela n’inclut pas la somme des richesses supplémentaires des milliardaires du monde entier.

Ayant dit que la richesse est la plus grande menace pour le monde, sans entrer dans les détails, le FEM soutient que « la vraie durabilité ne sera atteinte que par des changements drastiques de style de vie » et appelle à « une grande remise à zéro du capitalisme dans le sillage de la pandémie« .

Un extrait de « In the Stranglehold of the Untruth », par Gerd Reuther, Rubikon News – (traduit de l’allemand) – peut mettre l’agenda du FEM dans une autre perspective encore :

« Une « pandémie » de résultats de tests faussement positifs écrasants, l’obligation de masquer sans augmentation du risque d’infection, les « épidémies » de Covid sans malades, les transferts d’argent gigantesques sans compensation. Corona a rendu possible ce qu’aucune contre-réforme ou contre-information n’a pu réaliser. Combien de décès par Covidose avez-vous connu personnellement ? Probablement pas beaucoup. Mais en attendant, presque tout le monde connaît quelqu’un qui est devenu fou. Les sociétés ont contourné la planète sur le chemin de l’abîme. »

Nous ne pouvons que spéculer sur ce que la Grande remise à zéro pourrait signifier pour les citoyens du monde. Essayons. C’est ce que les oligarques riches, par leur affiliation à des sociétés, à la finance, à l’industrie pharmaceutique et à l’armée, pourraient avoir l’intention d’imposer aux « grandes foules placées en dessous d’eux ».

  • Pour parvenir à la Grande remise à zéro du FEM, le numéro un est de maintenir ou d’augmenter la cadence de la propagande de la fausse peur et des mensonges en cours, comme décrit ci-dessus par Gerd Reuther dans Rubikon.News. Cela doit être un effort acharné et ne devrait pas être un problème, car tous les organes de presse et de propagande anglo-américains occidentaux et leurs affiliés dans d’autres langues sont pleinement cooptés.
  • Une autre ou plusieurs enfermements avec des masques et une distanciation sociale, le confinement, pour diminuer encore plus les contacts humains par l’isolement ; une « société masquée » perd l’estime de soi, la peur et l’anxiété affaiblissent le système immunitaire des gens, les rendant vulnérables à toutes sortes de maladies, en particulier l’obligation de porter un masque qui fait que les gens respirent leur propre CO2 hautement toxique – tout ce qui dépasse le niveau de 1 000 ppm de CO2 est au-dessus de la tolérance – le port d’un masque peut augmenter l’inhalation de CO2 à un taux de 10 000 ppm, ou plus (voir ceci).
  • Moins de consumérisme, grâce à une austérité extrême, un travail à bas salaire, un chômage gigantesque qui se poursuit, provoquant l’insécurité, l’anxiété et la peur de la survie, préparant ainsi la mentalité de la population à plus de manipulation, plus d’esclavage – et attendant désespérément LE VACCIN.
  • Remplacer le fruit du travail, à savoir le salaire d’un travail [fierté du travail], par un revenu de base universel (RBI), créant ainsi une dépendance au système et détruisant le travail humain et ce qui reste de l’estime de soi.
  • Le FEM appelle également à un « capitalisme des acteurs ». Quelqu’un sait-il ce que cela signifie ? Google le décrit comme suit : « Le capitalisme des parties prenantes est un système dans lequel les entreprises sont orientées pour servir les intérêts de toutes leurs parties prenantes. … Dans ce système, l’objectif d’une entreprise est de créer de la valeur à long terme et non de maximiser les profits et d’accroître la valeur des actionnaires au détriment des autres groupes de parties prenantes« .

En d’autres termes, ce serait un changement radical et bienvenu par rapport au capitalisme néolibéral des entreprises actionnaires, si par d' »autres groupes de parties prenantes » on entend le consommateur commun. C’est très peu probable. – Il est plus probable que les bénéfices à long terme (profits) s’accumulent de manière plus égale pour les actionnaires, puisque chaque actionnaire est également une partie prenante. Mais toutes les parties prenantes ne sont pas des actionnaires. Les consommateurs, les gens ordinaires, sont laissés pour compte.

  • Enfin, il existe une forte volonté de réduire la population mondiale ; Bill Gates en est l’un des principaux moteurs et il l’a dit ouvertement à diverses occasions. L’un de ses aveux les plus flagrants est son discours TED de 2010, « Innovating to Zero », en Californie, où il déclare nonchalamment que « si nous faisons du bon travail, nous pourrons peut-être réduire « la population mondiale de 10 à 15 % – voyez ceci. Ce programme d’eugénisme s’inscrit parfaitement dans l’agenda du FEM. Moins de personnes, moins de ressources. Celles qui restent, peuvent être partagées plus abondamment entre les belles et les puissantes.

Pour conclure cet essai sur la Grande remise à zéro mondiale du FEM, permettez-moi de répéter la citation de « La politique de l’obéissance » d’Étienne de la Boétie :

« Celui qui domine ainsi sur vous n’a que deux yeux, que deux mains, qu’un seul corps, pas plus qu’il n’est possédé par le moindre homme parmi le nombre infini d’habitants de vos villes ; il n’a en effet rien de plus que le pouvoir que vous lui conférez pour vous détruire. »

Peter Koenig

Article original en anglais :

The World Economic Forum (WEF) Knows Best – The Post-Covid “Great Global Reset”

Traduit par Maya pour Mondialisation

Source de l’image en vedette : nationandstate.com

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Peter Koenig est économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l’environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé dans le monde entier dans les domaines de l’environnement et de l’eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour Global Research, ICH, New Eastern Outlook (NEO), RT, Countercurrents, Sputnik, PressTV, The 21st Century, Greanville Post, Defend Democracy Press, The Saker Blog, et d’autres sites Internet. Il est l’auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises – une fiction basée sur des faits et sur 30 ans d’expérience de la Banque mondiale dans le monde entier. Il est également co-auteur de The World Order and Revolution ! – Essais de la Résistance. Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.



Articles Par : Peter Koenig

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