Le Hamas à la croisée des chemins de la résistance

Le 20 janvier dernier un escadron de la mort israélien assassinait Mahmoud al-Mabhouh, un haut dirigeant du Hamas dans un hôtel de Dubaï. « Mahmoud al-Mabhouh, est considéré par Israël comme un maillon essentiel de la contrebande d’armes en provenance d’Iran et à destination de la bande de Gaza contrôlée par le mouvement islamiste Hamas. » annone le chœur des agences de presse occidentales. Retenez cette information, elle s’avère importante pour comprendre la suite de cette saga policière.

Cet assassinat ciblé – extrajudiciaire – organisé de main de maître du début à la fin aurait dérapé au moment de son exécution prétend le journal Haaretz (1). Pas moins de vingt six (26) nervis et agents des services secrets israéliens (Mossad) auraient pris part à l’opération approuvé par le Premier ministre israélien : « Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a rencontré les membres du commando, au quartier-général du Mossad à Tel-Aviv, avant qu’ils ne se rendent à Dubaï pour tuer un haut responsable du Hamas, rapporte le Sunday Times dimanche » (2). Bévue incompréhensible, tous ces agents aguerris auraient « oubliés » que le sultanat de Dubaï est truffé de micros et de caméras vidéos, si bien que quelques heures après l’exécution, tous les agents de l’escadron terroriste et leurs complices ayant eu le temps de se « planquer », la police de Dubaï diffusait consciencieusement 25 minutes d’une vidéo amateur fort compromettante.

Cette vidéo montrait Mahmoud al-Mabhouh impassible arrivant à l’aéroport de Dubaï ses assassins à ses trousses. On y voit ce combattant clandestin expérimenté, sans garde du corps, réservant calmement sa chambre d’hôtel pas du tout interloqué par la traque dont il était l’objet. On y voit ensuite les agents du Mossad prendre position, exécutés proprement leur victime en moins de vingt minutes, puis se dispersés chacun prenant l’avion sans être inquiété le moins du monde. La plupart des assassins n’ayant pas pris de précautions pour se déguiser ou se dissimuler la vidéo-spectacle de la police de Dubaï permet de les reconnaître et permettra éventuellement de les identifiés lors d’un improbable procès pour activité terroriste internationale.

Uri Avnery affirme que « Les israéliens ont reconnu dès le premier instant qu’il s’agissait du travail du Mossad. Quelles capacités ! Quel talent ! Comment ont-ils su longtemps à l’avance quand l’homme irait à Dubaï (oui en effet comment ont-ils appris ? NDLR) quel vol il prendrait, dans quel hôtel il séjournerait ! Quelle planification remarquable ! À l’écran, les « correspondants militaires » et « les correspondants sur les affaires arabes » étaient radieux. Leurs visages disaient : ah….si le sujet n’était pas sous embargo … Si seulement je pouvais vous dire ce que je sais … je peux seulement vous dire que le Mossad a prouvé à nouveau qu’il avait le bras long et pouvait agir n’importe où ! Ah ! Que vivent dans la peur les ennemis d’Israël ! » (3). Retenez cette menace elle servira à expliquer le rôle de cet assassinat dans la stratégie israélienne.

La compréhension d’une telle opération « secrète » bien montée, bien exécutée, rapidement et largement diffusée défie l’entendement. Il est hors de question que tous ces agents aient « oubliés » les caméras indiscrètes. La diffusion de la vidéo et la publication des vrais-faux passeports usurpés font parti de l’opération. La police de Dubaï s’acquitte présentement de cette tâche de diffusion avec zèle et minutie. Le journal Haaretz réclame la démission du chef du Mossad pour incompétence. Il est possible que le chef du Mossad soit sacrifié afin d’accréditer ce « cover up » mais ce sera bien injuste pour lui puisqu’il a mené l’ensemble de l’opération à terme avec succès.

Uri Avnery pour sa part propose l’explication du canon hors contrôle. Il écrit : « Le problème, avec le Mossad, c’est qu’il agit comme un fief indépendant qui ignore les intérêts vitaux politiques et stratégiques à long terme d’Israël, tout en bénéficiant du soutien automatique d’un Premier ministre irresponsable. Il s’agit, comme le disent les anglais d’un « canon désarrimé » le canon d’un navire d’antan qui a rompu ses fixations et roule sur le pont, écrasant tout malheureux marin placé sur son chemin. » (3).

James Petras et Gilad Atzmon proposent une explication encore plus simple, la « tchutzpah ». Ce concept de « tchutzpah » résume l’arrogante suffisance de l’État sioniste, son orgueilleuse vanité réactionnaire qui le pousse à imposer sa volonté à tous et à soumettre ses ennemis comme ses alliés à ses diktats (4). L’effronterie criminelle des sionistes est un fait avéré mais elle n’offre pas une explication valable pour ce complot.

Il en a coûté extrêmement cher à l’État hébreu pour organiser ce meurtre. Cher en argent mais surtout en agents. La police de Dubaï a suggéré qu’une taupe s’était infiltrée au sein de l’organisation de résistance et elle recommande au « Hamas de faire le ménage dans ses rangs » au risque de brûler cette taupe ou alors d’y déclencher une guerre intestine. Retenez bien cette proposition de la police de Dubaï, elle est importante pour comprendre les tenants et les aboutissants de ce complot.

Il en a coûté cher à l’État hébreu en prestige international également. De nombreux citoyens israéliens ont vu leur identité violée pour un usage criminel. Ces citoyens risquent de connaître des difficultés lors de leurs futurs voyages internationaux. Trois taupes palestiniennes infiltrées dans les services de sécurité du Fatah à Gaza ont également été exposées et brûlées à jamais comme on dit dans le métier. À ce jour, la police de Dubaï, qui prend décidément son rôle à cœur dans cette affaire, a publié le signalement et les photos de vingt-six agents israéliens et de leurs complices ayant usurpés l’identité et les passeports de plusieurs citoyens de pays amis des sionistes.

Douze détenteurs de passeports britanniques, six détenteurs de passeports irlandais et quatre français, trois australiens et un détenteur de passeport allemand ont vu leur identité violées par les services secrets hébraïques. « Deux autres individus porteurs de passeports étrangers » pourraient s’ajouter à la liste, a indiqué une source à la police de Dubaï, citée par le quotidien gouvernemental Al-Ittihad. La police de Dubaï, disposant de gros moyens de surveillance électronique, a publié les photographies des 26 suspects, telles que figurant sur ce qu’elle a présenté comme des vrais-faux passeports (5).

Tous ces gouvernements amis des intégristes au pouvoir à Tel-Aviv sont bien embêtés par cette situation. Une source anonyme au sein du Mossad a suggérée que le Foreign Office britannique était informé de ce vol d’identité et de cet usage frauduleux de passeports britanniques de quoi doublement embarrasser le gouvernement travailliste de Gordon Brown. Après cet aveu de complicité les autres gouvernements compromis dans l’affaire ont tempéré leurs hypocrites « protestations indignées » et ils ont repris leur rang de subordonné. Après tout, il faut que ces gens sachent qui dirige au sein de la Sainte alliance américano-israélienne (6).

Si donc l’opération s’est déroulée comme entendue et si sa diffusion s’est faite comme prévue, quelle était donc l’objectif d’un tel acte de terrorisme international ? Le 5 février 2010 Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne et Président du Conseil exécutif de l’OLP a accordé une entrevue au journal The Guardian de Londres. Mahmoud Abbas y a tenu des propos troublants. Il a affirmé que le HAMAS qui parle beaucoup de résistance, dans les faits ne résiste pas du tout : « Il n’y aura pas de retour à la lutte armée », a dit Abbas. « Ceci détruirait notre territoire et notre pays ». Hamas lui-même, a-t-il argumenté, « ne résiste pas » — une référence au cessez-le-feu effectif de l’organisation depuis janvier de l’an dernier — « et maintenant il parle de paix et de trêve avec Israël » ceci après que Mahmoud Abbas ait déploré du bout des lèvres l’assassinat du cadre du Hamas responsable de l’approvisionnement en armes iraniennes (7). Voilà l’explication que nous cherchions.

Après avoir bombardé la population de Gaza pour la punir de soutenir le Hamas et pour la terroriser, le gouvernement israélien poursuit son opération « Assurons la réélection de nos amis à la tête de l’Autorité palestinienne ». Dans cette stratégie, l’Autorité palestinienne a pour mandat de terroriser et d’emprisonner les sympathisants du Hamas en Cisjordanie. Le gouvernement égyptien a pour mission de couper l’approvisionnement en armes par les tunnels sous la frontière avec Gaza (8) et les services secrets israéliens ont pour mission :

1) de défier l’Iran et la Syrie qui soutiennent cette organisation de la résistance en tuant leur contact privilégié ;

2) de terroriser les cadres du Hamas encore vivant. Une liste de douze noms de dirigeants de la résistance sérieusement menacés d’attentats a été publiée récemment (9) ;

3) en exposant leur taupe au sein de l’organisation d’envenimer la lutte interne au sein du Hamas entre la faction favorable aux « négociations » et la faction favorable à la résistance ;

4) d’empêcher la signature d’une entente inter-factions palestiniennes en compromettant certaines des taupes sionistes au sein du Fatah;

5) d’humilier et de provoquer le Hamas et démontrer à la population palestinienne que le Hamas est infiltré ; qu’il ne protège pas ses cadres ; qu’il ne les venge pas et ne résiste pas et que finalement la résistance est une voie sans issue qu’il devrait abandonner.

C’est l’importance des enjeux qui explique toute cette mise en scène et le coût élevé qui a été consentie par l’État intégriste hébreu pour cette opération de terrorisme international. C’est ce que Mahmoud Abbas souhaitait expliciter aux Palestiniens qui n’auraient pas compris le message.

Abou Mazen discrédité et fatigué ne sera pas sur les rangs lors de la prochaine élection à la présidence de l’Autorité et ne dirigera pas la coalition palestinienne qui a effectuée un coup d’État contre le Hamas en 2007, mais la route de son successeur présumé est toute tracée. Si l’opération « Élection dirigée » se déroule comme prévue la table sera mise pour entamer les « négociations » sous tutelle américaine pour la création du bantoustan palestinien sur le reste des 18% de terres palestiniennes pas encore complètement colonisée par l’entité sioniste.

Il demeure toutefois quelques facteurs impondérables dans cette affaire : A) Quelle sera l’issue de la lutte interne au sein du Hamas ? B) Le Hamas résistera-t-il et vengera-t-il cet assassinat au risque d’entraîner un autre massacre de l’État sioniste contre la population civile de Gaza ? C) Les collaborateurs-négociateurs gagneront-ils les prochaines élections palestiniennes comme l’espèrent les sionistes (10) ?

Nous pensons qu’encore une fois le peuple Palestinien saura déjouer ces manœuvres d’encerclement et qu’encore une fois il fera mentir les mauvais augures sionistes. 

Semaine contre l’apartheid israélien sur  http://boycottisraelinternational.com

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Notes

(1)  FRS0233 40461 /AFP-TC48.  JERUSALEM, 16 février 2010 (AFP) – La presse israélienne suggère mardi que l’assassinat à Dubaï d’un cadre du Hamas a bien été perpétré par le service secret israélien, le Mossad, après les images diffusées la veille par la police de l’émirat.  « Une méthode du Mossad », titre le quotidien Haaretz, qui tout en évitant de se prononcer sur l’appartenance du commando à tel ou tel service secret relève que les « préparatifs minutieux rappellent les actions du Mossad dans le passé ». « Font ils partie du Mossad? » s’interroge, sans y répondre, le quotidien à grand tirage Yediot Aharonot qui au vu des photos de passeports des suspects, publiés par l’émirat, relève leurs ressemblances avec un « monsieur tout le monde israélien ».

(2)  LONDRES, 21 février 2010 (AFP)  « Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a rencontré les membres d’un commando, au quartier-général du Mossad à Tel Aviv, avant qu’ils ne se rendent à Dubaï pour tuer un haut responsable du Hamas, Mahmoud Al-Mabhouh, rapporte le Sunday Times dimanche. M. Netanyahu a été accueilli début janvier par le chef des services secrets israéliens, Meir Dagan, et informé des projets d’assassinat du responsable du Hamas, indique l’hebdomadaire britannique se référant à des sources proches du Mossad non identifiées. Le Premier ministre israélien a alors donné son feu vert à la mission, « qui n’était pas considérée comme trop compliquée ou risquée », poursuit le journal. »

(3) Uri Avnery   http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article13048#forum10918

(4)  James Petras.  22/02/2010.  Mossad : Israël peut donc tout se permettre.  http://www.michelcollon.info:80/index.php?view=article&catid=6&id=2575&option=com_content&Itemid=11   Gilad Atzmon  http://www.gilad.co.uk/writings/the-tide-has-changed-gilad-atzmon.html

(5)  FRS0726 40658 /AFP-JJ55.   DUBAI, 25 fév 2010 (AFP) – La longue liste de suspects porteurs de passeports de cinq pays occidentaux dans le meurtre à Dubaï d’un cadre du Hamas témoigne de la complexité de l’enquête en cours, alors que la pression internationale sur Israël et ses services secrets augmente.  Mahmoud al-Mabhouh, considéré par Israël comme un maillon essentiel de la contrebande d’armes à destination de la bande de Gaza contrôlée par le mouvement palestinien Hamas, a été retrouvé mort le 20 janvier dans un hôtel de Dubaï.  La police de la ville-Emirat a mis en cause le Mossad israélien, mais les responsables israéliens affirment que rien ne prouve l’implication de leur service secret même si les médias de l’Etat hébreu laissent clairement entendre qu’il est bien responsable de ce crime (…)
(6) DUBAI, 25 fév 2010 (AFP).  La police de Dubaï interroge un troisième palestinien, soupçonné d’implication dans le meurtre d’un cadre du Hamas en janvier dans l’émirat, a rapporté jeudi le quotidien émirati Al-Ittihad.  « Les Palestiniens interrogés en tant que suspects dans le meurtre de (Mahmoud) al-Mabhouh sont désormais au nombre de trois« , a rapporté le journal, organe du gouvernement d’Abou Dhabi, la capitale de la fédération des Emirats arabes unis.  « Il a été prouvé que l’un des Palestiniens était impliqué dans le meurtre de Mabhouh », un des fondateurs du bras armé du mouvement palestinien Hamas, retrouvé mort le 20 janvier dans un hôtel de Dubaï, a ajouté le journal citant « une source de haut niveau » à la police de Dubaï.

(7)  2-7 Abbas (AFP) : « Je soutiens le mur égyptien ». Le Président palestinien fait allusion à des pourparlers avec médiateurs pour redémarrer le processus de paix moribond.   Mahmoud Abbas a insisté qu’il ne permettrait aucun retour à une résistance palestinienne armée et a appelé Israël à geler la construction des colonies pendant trois mois pour permettre le retour à des discussions de paix.  La poursuite de la colonisation de la Cisjordanie par Israël conduit à une « solution à un État », a dit le président palestinien Mahmoud Abbas au Guardian, tout en indiquant qu’il a l’assurance d’accepter cette semaine une proposition étasunienne de« discussions locales » avec Israël via des médiateurs étasuniens.

Lors d’une interview exclusive, le président de l’Autorité Palestinienne a aussi insisté sur le fait qu’il ne permettrait aucun retour à une résistance armée ; a proposé des négociations directes avec Israël en échange d’un gel complet de trois mois de la colonisation ; a déclaré qu’il avait été proche d’un accord global avec l’ancien leader Ehoud Olmert, qui allait plus loin que tout ce qu’avait négocié Yasser Arafat sous la présidence de Bill Clinton ; et a défendu la construction par l’Égypte d’un mur souterrain pour empêcher la contrebande dans la bande de Gaza contrôlée par Hamas.  « Il n’y aura pas de retour à la lutte armée », a dit Abbas. « Ceci détruirait notre territoire et notre pays ». Hamas lui-même, a-t-il argumenté, « ne résiste pas » — une référence au cessez-le-feu effectif de l’organisation depuis janvier de l’an dernier — « et maintenant il parle de paix et de trêve avec Israël ».  Le leader de l’AP a défendu les mesures énergiques de ses services de sécurité sur les militants de Hamas en Cisjordanie, en insistant sur : « nous ne voulons emprisonner aucun membre politique de Hamas, mais seulement les gens qui provoquent la situation sécuritaire, même ceux du Fatah ». L’AP était prête à tenir de nouvelles élections dans les territoires palestiniens, gagnées par Hamas en 2006, si l’organisation islamiste signe l’accord de réconciliation élaboré par le gouvernement égyptien, a dit Abbas. Il a blâmé « quelqu’un d’extérieur » — nom de code pour l’Iran — pour le refus par Hamas de le faire.  Le président palestinien a aussi défendu la décision de l’Égypte de construire un mur souterrain pour empêcher les tunnels de contrebande sous la frontière sud de la bande de Gaza soumise au blocus. « Je soutiens le mur [égyptien] », a dit Abbas. « C’est le droit souverain des Égyptiens dans leur propre pays. Les fournitures légitimes devraient être amenées par les points de passage légaux ».  Seumas Milne  The Guardian  5 février 2010.   31 janvier 2010 – The Guardian – Vous pouvez consulter cet article à :   http://www.guardian.co.uk/world/201…   Traduction de l’anglais : JP. Bouché

http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=8124

(8) L’Égypte en rajoute une couche dans l’enfermement et la 
surveillance de Gaza! http://www.egalite68.fr/Qui-vive/26-02-10.pdf

( 9) 2010/2/8  (AFP)  Après la mort d’Al-Mabhouh : Une liste de liquidation de 12 chefs militaires palestiniens.   La direction du Hamas aurait adressé, lundi 1er février 2010, un avertissement des plus forts aux dix de ses chefs militaires et de deux du Djihad Islamique, estiment des sources israéliennes  L’avertissement dirait que le Hamas a reçu des renseignements confirmant que les différents services israéliens de sécurité sont en train de préparer une série d’assassinats, après l’assassinat le 19 janvier 2010 de Mahmoud Al-Mabhouh, l’homme du Hamas du contact avec l’Iran.  Les sources se montrent étonnées de voir une organisation militaire exposer les noms de douze chefs importants  La liste contient le nom de Mohammed Daïf, le chef militaire supérieur du Hamas, bien qu’il soit infirme, blessé gravement dans une tentative israélienne d’assassinat. Il y a aussi Ahmed Al-Jaabari, le chef des états généraux des brigades d’Al-Qassam. Abou Khaled. Marwan Issa. Abou Khaled Hojazi. Mohammed Kharroub, chef du Djihad Islamique. Abou Al-Montassir. Abou Qossaï. Nader Jaabir. Khaled Mansour, responsable du Djihad Islamique à Gaza. Mohammed Sanwar. Mohammed Abou Shimala. Ahmed Ghandour.               

(10) Mahmoud Abbas sur la glace :  http://www.palestine-diplo.com/spip.php?article256



Articles Par : Robert Bibeau

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