Les cardiologues néo-zélandais reconnaissent la vérité : la protéine Spike produite par les vaccins mRNA COVID est une CARDIOTOXINE.
Lors d’une récente réunion de cardiologie à Auckland, en Nouvelle-Zélande, un aveu frappant a été fait : la protéine de pointe générée par les vaccins à ARNm COVID-19 est désormais reconnue comme une cardiotoxine – une substance capable de causer des dommages directs au cœur. Selon le cardiologue qui a fait cet aveu, protéine toxique est à l’origine de l’augmentation alarmante des maladies cardiaques observée chez les patients jeunes et âgés depuis le lancement du vaccin. Alors que les salles d’attente et les services de cardiologie se remplissent – en particulier de jeunes patients souffrant de maladies auparavant rares – de nombreux professionnels de la santé commencent à dénoncer une crise de santé publique croissante que le gouvernement et les autorités sanitaires semblent déterminés à ignorer.
Les cardiologues n’ont jamais vu de telles lésions cardiaques chez les jeunes.
Les preuves des lésions cardiaques liées aux vaccins sont accablantes, selon divers rapports émanant des hôpitaux néo-zélandais. Les chirurgiens cardiaques conseillent discrètement aux patients qui ont subi des interventions telles qu’un pontage coronarien de « refuser les futurs rappels de vaccins », car leur risque de complications cardiaques pourrait être exacerbé.
Un cardiologue a noté que l’augmentation du nombre de cas de maladies cardiaques – en particulier chez les jeunes, auparavant en bonne santé – correspond directement à l’introduction des vaccins à ARNm. L’augmentation est décrite comme « sans précédent », les salles d’attente des hôpitaux néo-zélandais étant de plus en plus remplies de « jeunes patients » souffrant d’affections telles que la myocardite, la péricardite et d’autres problèmes cardiaques qui n’étaient pas courants auparavant dans ce groupe démographique. À mesure que cette réalité est mieux comprise, de nombreux médecins s’inquiètent de plus en plus des conséquences futures sur la santé des personnes vaccinées.
Par ailleurs, des experts en cancérologie tels que James Royle, oncologue basé au Royaume-Uni, ont souligné l’augmentation de l’incidence des « cancers agressifs de stade 4 » – également connus sous le nom de « turbo-cancers » – en particulier chez les jeunes. Ces cancers présentent des « caractéristiques biologiques nouvelles » qui ne sont pas observées dans la majorité de la population. M. Royle suggère un « lien de causalité » entre les vaccins à ARNm et cette tendance inquiétante, citant des preuves de 13 mécanismes biomoléculaires par lesquels les vaccins pourraient déclencher la croissance du cancer.
L’establishment médical néo-zélandais refuse de publier des données sur les lésions cardiaques et l’incidence du cancer chez les personnes vaccinées
Le discours officiel défendu par Health New Zealand affirme depuis longtemps que les vaccins sont « sûrs et efficaces », mais les médecins de première ligne sont de plus en plus conscients que les preuves ne corroborent pas ces affirmations. Malgré les inquiétudes croissantes, les autorités ont retardé la publication de données sanitaires essentielles sur le sujet, en invoquant la « confidentialité des patients ».
Bien sûr, il n’y a pas si longtemps, les informations sur la santé ou les décisions médicales de chacun n’étaient ni confidentielles ni privées. Les patients étaient régulièrement contraints de prendre le vaccin COVID-19 sous la contrainte de mandats illégaux et sous la menace de restrictions de voyage et de ségrégation des carrières et des fonctions sociales.
Une demande récente déposée en vertu de la loi sur l’information officielle (OIA) visait à obtenir des données sur l’augmentation des douleurs thoraciques dans les services d’accident et d’urgence, mais la demande a été bloquée. Le Dr Guy Hatchard, ancien directeur de la New Zealand Natural Health Society, fustige le refus de l’establishment médical actuel d’affronter les preuves croissantes de la nocivité des vaccins, qualifiant leurs actions de « folie criminelle ». M. Hatchard affirme que « le fait de retarder la publication des données sanitaires » – en particulier les données relatives à l’augmentation alarmante des maladies cardiaques et autres maladies chroniques – est non seulement injuste, mais aussi préjudiciable au bien-être de la population néo-zélandaise.
La culture de la peur créée par le Conseil médical néo-zélandais, qui poursuit activement les médecins qui dénoncent la sécurité des vaccins COVID-19, doit cesser. L’intimidation des professionnels de la santé n’a servi qu’à étouffer le dialogue ouvert et à retarder la réponse nécessaire à cette crise croissante.
Lance D. Johnson
Article original en anglais : New Zealand cardiologists concede the simple truth: Spike protein generated by mRNA COVID vaccines is a CARDIOTOXIN, Natural News, le 15 novembre 2024.
Traduction : Mondialisation.ca
Sources :