Lettre au Président LULA et aux citoyens brésiliens pour les alerter sur des dangers de l’injection Covid-19 pour l’enfant
Monsieur le Président,
Nous avons appris avec stupeur et grande tristesse que vous comptiez imposer l’injection expérimentale contre le Covid aux enfants âgés d’un à cinq ans à partir de 2024.
Il semble donc hautement probable que vous ayez été désinformé, car quelles que soient vos convictions politiques, vous ne pouvez pas faire injecter les enfants pour rien (le Covid les expose à moins de complications que la grippe) et leur faire ainsi courir les risques de pathologies cardiaques, cancéreuses ou autres ou même de décès.
Nous nous permettons donc de vous adresser quelques précisions qui vous ont probablement été cachées et qui nous l’espérons vous permettront d’annuler cette funeste décision.
1) L’infection Covid 19 n’est pas dangereuse pour l’enfant. Cela a été régulièrement démontré dans tous les articles médicaux publiés dans des revues à comité de lecture, rappelé par la presse internationale et l’OMS et illustré par ce graphique de Santé Publique France :
Un enfant ne peut donc espérer aucun bénéfice personnel de cette injection anti-Covid.
2) Les injections anti-covid sont inefficaces : elles ne protègent ni de la maladie et ni des transmissions ni de la mort.
Au niveau mondial, les données de l’OMS sont à cet égard démonstratives puisque la généralisation des pseudo vaccins a été suivie par une multiplication par 6 du rythme mensuel des contaminations.
Au Brésil l’échec des vaccins contre les contaminations est évidente si on compare l’évolution de l’épidémie au Brésil à celles de l’Algérie, de Madagascar et de l’Afrique qui ont utilisé les traitements précoces par antipaludéns et infiniment peu les injections.
La politique du « tout vaccin » et l’incapacité de ceux-ci à protéger des formes graves a propulsé le Brésil au 12ème rang des mortalités par million les plus fortes du monde (3260/M au 13/12/2023), au même niveau que l’Italie (3267/M) ou le Royaume-Uni (3438/M) et 20 à 100 fois plus élevée que celles observées en Algérie (153/M), Cote d’Ivoire (29/M) ou Madagascar (48/M) très peu vaccinés.
Les pseudo vaccins covid se sont révélés dramatiquement inefficaces contre la transmission du covid et sa mortalité. Injecter les enfants ne peut donc ni diminuer les contaminations dans la population ni protéger les personnes fragiles.
3) L’injection expérimentale est nocive pour de nombreux enfants qui ne risquaient rien du covid
Dès 2021 le VAERS avait signalé qu’entre le 3 novembre et le 19 décembre 4249 rapports d’évènements indésirables post vaccin Pfizer avaient été signalés chez des enfants âgés de 5 à 11 ans.
Au 24 juin 2022, alors que les injections n’étaient pas autorisées au moins de 5 ans, le VAERS recensait déjà près de 60000 effets secondaires des injections Pfizer chez les moins de 17 ans dont plus de 1500 réactions allergiques sévères, près de 4000 hospitalisations, 1335 myocardites et 125 décès :
Le 6 mai 2021, devant le Sénat du Texas le Dr Angelina Farella, a déclaré sous serment :
« Nous n’avons jamais vu un tel niveau d’effets secondaires pour un vaccin sans que la FDA ne prenne des mesures »… « Le vaccin contre le rotavirus a été retiré pour 15 cas d’effets secondaires non létaux et le vaccin contre la grippe porcine a été retiré pour 25 décès.
Mais maintenant, selon les propres données du CDC, nous constatons une augmentation de 12 000 % des décès avec ces vaccins et ils parlent toujours de le donner à nos enfants…Il faut stopper immédiatement son administration pour sauver nos enfants ».
Le 28 novembre 2023, lors d’un débat sur l’approvisionnement en médicaments au sein de la Première Commission du Sénat, le nouveau ministre colombien de la santé et de la Protection sociale, Guillermo Alfonso Jaramillo a déclaré
« Tous les Colombiens vaccinés [contre le covid-19] ont servi à la plus grande expérience jamais réalisée dans toute l’histoire de l’humanité. « Nous ne pouvons pas continuer à expérimenter avec la communauté colombienne.»
Au Brésil, après la généralisation des vaccins anti-Covid est apparue une surmortalité toutes causes confondues, importante et chronologiquement liée aux rappels vaccinaux suspectée de traduire leur toxicité retardée.
Avec un risque quasiment nul que les enfants meurent du COVID-19 et une augmentation importante des décès après ces vaccins et, il n’y a aucune justification pour de telles injections chez l’enfant et encore moins de leur imposer.
Nous restons à votre disposition, Mr le Président et chers citoyens brésiliens pour tout complément d’information qui s’avèrerait nécessaire.
Dre Nicole Delépine, cancérologue
Dr Gérard Delépine, cancérologue