L’invention des armes chimiques syriennes

Une journaliste de CNN, vraiment inconsciente ou franchement méprisante pour les téléspectateurs, dans le but d’attester de la véracité d’une attaque chimique à Douma,  reniflait un sac à dos rose de petite fille ramassé sur les lieux de l’attaque présumée au gaz innervant ! Cette personne n’hésitait pas à dire que ce sac sentait en effet le gaz! Chacun peut déjà se demander, comment des journalistes dignes de ce nom peuvent se moquer à ce point là des personnes en pratiquant sans vergogne une telle propagande et manipulation prenant ouvertement les gens pour des idiots, des crétins ou des abrutis de première? Nous savions déjà que la bêtise humaine était insondable, mais là nous voyons un abîme de sottise s’ouvrir sur la démesure. Cette journaliste de CNN savait-elle seulement qu’en faisant ce geste, si une telle attaque avait vraiment eu lieu, elle serait morte sur le coup devant les téléspectateurs? Heureusement pour elle qu’il n’y avait donc pas de gaz neurotoxique à Douma! Qui regarde encore CNN et la clique de ces médias de pacotille diffusant à longueur de temps de telles inepties pour demeurés? C’est la seule question valable que l’on puisse se poser devant une telle grossièreté…

Le feuilleton occidentalo-terroriste en Syrie se répète. A chaque offensive de l’Etat syrien contre les terroristes qui infestent son territoire, des camions de gaz toxique surgissent providentiellement, pendant que des Macron et autres pantins de la politique, brandissent leurs « lignes rouges » à ne pas dépasser, pendant que d’autres écrivent des résolutions pour le Conseil de Sécurité de l’ONU, prévoyant la trêve salutaire au cas où leurs pauvres terroristes de service sur le terrain se retrouveraient en difficulté.

Chaque fois que la victoire de l’armée syrienne devient trop évidente, les terroristes djihadistes de Daech, passent à l’acte pour mettre en place un scénario contre le Gouvernement syrien en vue de suggérer que ce dernier utilise des armes chimiques sur la population civile. C’est un fait avéré, prouvé, démontré. Pourquoi les Jean Yves Le Drian et Cie, continuent-ils à nous débiter leurs insanités insupportables et honteuses avec des gueules d’Hamsters effarouchés?

Le mépris de nos élites politiques va si loin, que nous assistons même en direct, sans problème, à la résurrection miraculeuse des victimes! En effet, bien des personnes présentées en tant que « victimes » dans certaines vidéos, reviennent à la vie, en parfaite santé, puisqu’on les retrouve dans d’autres vidéos successives, jouant le même rôle de « victimes ».  Le but évident est celui de la manipulation crapuleuse de l’opinion publique occidentale. Une fois le mal fait, l’objectif est atteint et le mensonge peut remettre le couvert à nouveau, sans scrupules, même si les gens finissent par s’apercevoir de la supercherie et qu’on les prend pour des idiots! Peu importe, puisque le but est de légitimer des bombardements criminels qui une fois réalisés ne sont plus réparables…

Les Casques blancs agissent toujours sous couvert d’une organisation humanitaire, mais sous les ordres directs de l’Occident. Ils sont en parfaite coordination avec les médias politisés de l’Occident pour préparer ces spectacles dans l’objectif de convaincre l’opinion publique occidentale et arabe et suggérer ainsi que le Gouvernement syrien est criminel.

Un Américain, Pearson Sharp, a visité la ville de Douma située près de la capitale Damas, à la recherche de preuves d’une attaque chimique. Le journaliste de l’OAN a interviewé des personnes au hasard pour s’assurer à 100% qu’il ne s’agissait pas d’agents « Assad » … les résidents qui « vivaient très près » (50 mètres du site présumé de l’attaque) ont tous déclaré qu’ils n’avaient jamais vu ni entendu parler d’aucune attaque chimique chez eux.

Les militaires Russes ont découvert un laboratoire chimique appartenant aux groupes terroristes, dans des tunnels et salles souterraines, creusés par les habitants employés de force dans ces travaux, à Douma.Les Syriens libérés témoignent de la mise en esclavage par les djihadistes des hommes en âge de creuser des fortifications et des tunnels ainsi que des conditions de vie atroces auxquels ils furent soumis. Les djihadistes étaient encadrés par des soldats réguliers britanniques et français. Ceux-ci n’ont pas été arrêtés, ils ont été évacués séparément dans un convoi « humanitaire » organisé pour eux par l’ONU.

Le même type de constat avait été fait à Alep, en décembre 2016.

Nous savons objectivement aujourd’hui que le but de ces informations mensongères était de protéger les terroristes encore encerclés dans la Douma et de justifier les bombardements des trois pays terroristes agresseurs de la Syrie : les USA, la Grande Bretagne et la France.

Aujourd’hui, les preuves existent objectivement, confirmant la certitude que l’armée syrienne n’a jamais utilisé de gaz sarin ou de chlore et que l’OIAC, qui a inspecté récemment les centres de recherche fabriquant soit disant des armes chimiques, a constaté qu’ils ne contenaient aucune trace ni de fabrication ni de présence d’armes chimiques. Il est certain, en revanche, que la BBC répète ce que les Casques blancs au service des djihadistes leur communiquent. Il faut souligner a contrario que des troupes syriennes ont été réellement gazées en 2013 par les terroristes djihadistes avec l’aide de l’OTAN! La Syrie avait lancé alors un appel au Conseil de sécurité de l’ONU. Qu’en pense donc le Ministre Jean Yves Le Drian qui n’en démord pas et ses nombreux complices dans le crime ? Pas un mot, pas un commentaire, pas une seule remarque, pas un seul aveu ! La honte sur la France !

L’armée arabe syrienne et l’armée de l’air russe n’ont pas besoin d’armes chimiques. Dans les faits, c’est Nikki Haley et les États-Unis qui empêchent les Russes de créer des couloirs humanitaires comme ceux qui avaient été aménagés pendant la libération d’Alep, afin de permettre aux civils de se tirer d’affaire.

S’il y avait des « preuves », de guerre chimique en Syrie, on pourrait donc logiquement les trouver sur place. C’est pourquoi, l’Organisation internationale pour l’interdiction des armes chimiques a accepté l’invitation du Gouvernement syrien à venir enquêter. Monsieur Le Drian comment expliquez-vous que le jour même de l’arrivée de ces experts, le trio occidental trouve le moyen de bombarder Damas? Inutile de faire un dessin : quand on accuse sans preuves un coupable désigné d’avance, on n’a pas besoin d’enquête.

La Russie appelée au secours par l’Etat légitime Syrien a exigé le respect des procédures internationales et l’envoi d’une mission de l’OIAC à Damas. C’est encore elle qui a amené à La Haye 17 témoins oculaires de la pseudo-attaque chimique pour attester la manipulation des Casques blancs.

Un jeune garçon Syrien nommé Moustafa, a expliqué devant le Tribunal de La Haye, qu’en règle générale, les enfants n’étaient pas autorisés par Daech à aller à l’école ni à jouer. Il a ensuite expliqué comment on l’avait convaincu de venir faire le figurant devant les caméras du mensonge…

Un autre garçon syrien, Hassan Diab, avait précédemment évoqué à la chaîne de télévision Rossiya 24 la vidéo où il était présenté comme une « victime » de la présumée attaque chimique du 7 avril à Douma. Rossiya 24 a diffusé l’interview de ce garçon de 11 ans qui a participé au tournage de la vidéo sur «l’attaque», invité, comme de nombreuses autres personnes, par les Casques blancs, à faire du cinéma de propagande.

Les 17 pays de l’alliance occidentale présents à La Haye ont refusé d’entendre les témoins et de les confronter aux Casques blancs. C’était pourtant la meilleure preuve irréfutable possible, offerte aux accusateurs occidentaux pour faire valoir leur point de vue, si celui-ci avait vraiment été honnête ! Ils ont publié un bref communiqué dénonçant le show russe… Oubliant qu’ils avaient déjà condamné et puni la Syrie en la bombardant avant toute preuve établie. Ils ont souligné que cette audition empiétait sur la responsabilité de l’enquête en cours de l’OIAC. Ils ont rappelé que le directeur de l’Organisation mondiale de la Santé avait déjà confirmé l’attaque chimique et qu’il était donc indécent de la remettre en question. Et bien sûr, ils ont appelé la Russie à respecter le Droit international qu’ils ne cessent de violer eux-mêmes.

Il se trouve que la déclaration de l’OMS contredit cette occurrence; qu’elle n’est pas exprimée par l’affirmative, mais au conditionnel ce qui est sérieusement différent; et qu’elle n’est pas fondée sur les rapports de ses fonctionnaires, mais sur le seul témoignage d’ONG partenaires rapportant les accusations des Casques blancs engagés précisément dans cette mascarade. La Russie avait donc parfaitement raison de relativiser cette déclaration et de ne pas la prendre en compte ! La malhonnêteté et le mensonge triomphent en toute impunité dans l’occident devenu le chef-d’œuvre de la perversion et de la déchéance!

Nous les citoyens de ce pays, la France, nous sommes fatigués d’assister impuissants à une telle débauche de perversion en notre nom!

Selon Sputnik, les enquêteurs, qui se sont entretenus avec le général russe Sergey Rudskoy, ont révélé qu’ils n’avaient trouvé aucune preuve d’armes chimiques dans les vestiges des installations de recherche qui étaient censées faire partie intégrante du programme d’armes chimiques de l’armée syrienne. Bien sûr, cela ne devait pas être une surprise : Après tout, si les États-Unis, la France et le Royaume-Uni avaient vraiment bombardé un bâtiment rempli d’armes chimiques, il y aurait eu des milliers – peut-être des dizaines de milliers – de corps à montrer. L’attaque de missiles étatsuniens, anglais et français n’aurait-elle pas été identique au final à une attaque directe d’armes chimiques et n’aurait-elle pas placé les États-Unis et leurs vassaux dans la même catégorie de culpabilité et d’accusation qui est dénoncée concernant Assad et Poutine?

Le 4 avril 2017, les sources d’informations liées aux terroristes ont fait état d’un bombardement chimique dans la ville de Khan Cheikhoun, au nord-ouest de la Syrie. Aussitôt, les États-Unis avec ses complices de la « coalition de Doha » ont formulé des accusations non fondées contre Damas avant la mise en œuvre d’une enquête internationale impartiale et minutieuse. Comment un Jean Yves Le Drian et Cie peuvent-ils prendre de telles agitations grotesques au sérieux ?!

Complices des terroristes, les États-Unis avaient monté toute cette histoire pour servir de prétexte à l’attaque américaine du 7 avril 2017 contre une base aérienne syrienne dans la province de Homs. Aujourd’hui nous le savons clairement, mais le mal a été fait !

La Russie et la Chine ont coupé court à cette opération de politisation d’un conflit déjà largement instrumentalisé. Face à cet échec, les Etats-Unis avec la Grande-Bretagne, la France et la Suède ont organisé une table ronde lors de laquelle le Haut commissaire des droits de l’homme de l’ONU, Zeid Ra’ad Al Hussein, a condamné la Syrie pour les « crimes de guerre » commis contre son peuple.

Pourquoi la « communauté internationale », c’est-à-dire la « coalition occidentale illégale de Doha », détourne les yeux lorsque des hélicoptères de cette coalition exfiltrent un groupe important de dirigeants de l’Etat islamique d’origine irakienne du nord-est de la Syrie vers une destination inconnue?

Dans son discours à la Conférence sur la sécurité de Munich, Herbert McMaster, le conseiller américain à la sécurité nationale, déclarait : « les images qui arrivent de Syrie montrent clairement que l’utilisation d’armes chimiques par Assad continue… il est temps que toutes les nations tiennent le régime syrien et ses sponsors pour responsables de leurs actes.»Comment peut-on qualifier cette arrogance et ce mépris du bon sens des peuples qui écoutent en silence ce genre de déclaration infâme, lorsqu’on sait la criminalité pratiquée sans complexe par ceux-là même qui osent tenir ce discours?

Dès le 10 décembre 2012, c’est-à-dire avant l’attaque au gaz sarin suggérée par les employeurs des groupes terroristes contre Khan al-Assal le 19 mars 2013, la Syrie avait prévenu l’ONU, par un courrier officiel de référence A/67/628, que les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France avaient lancé une campagne prétendant que le Gouvernement syrien allait utiliser des armes chimiques. Il était clair que ces pays allaient fournir des armes chimiques aux groupes terroristes armés par leurs soins, avec l’intention ensuite d’accuser le Gouvernement syrien de les avoir utilisées. C’est crapuleux et vraiment détestable, mais encore une fois, l’Occident est une civilisation qui a perdu ses valeurs et toute morale! La volonté de puissance et de domination ne peut pas se faire valoir sans un pacte avec le Mal, le mensonge, la perversion…

La Syrie a porté à l’attention du Conseil de sécurité, de l’OIAC [Organisation pour l’Interdiction des Armes Chimiques] et de ce qui était désigné par « Mécanisme d’enquête conjoint » 145 lettres, (la dernière en date du 1er avril 2018) que ce Conseil n’a jamais lues, et auxquelles il n’a jamais répondu, puisqu’il savait que la Syrie était réellement victime dans cette affaire! Le Conseil savait pertinemment, mais faisait la sourde oreille et restait muet, car il voulait parvenir à justifier l’agression massive de la Syrie !

Les réalisateurs de cette œuvre terroriste ont manqué de précision lorsqu’ils ont imaginé ces mensonges. En effet, à chaque épisode de la série concernant le prétendu usage d’armes chimiques par le Gouvernement syrien, il était simple de constater que ces produits n’intoxiquaient pas les éléments des groupes armés, que seuls des femmes et des enfants figurants étaient « touchés », qu’il suffisait de les décontaminer à l’eau devant les caméras, que les casques blancs eux-mêmes n’avaient nul besoin de masques de protection et que l’Armée syrienne recourait à ces produits, qu’elle ne possède pas, uniquement lorsqu’elle était victorieuse sur le terrain et donc lorsque le recours à de tels procédés en devenait totalement inutile!

Aujourd’hui, la Syrie accuse directement Washington, Paris, Londres, Riyad, Doha et Ankara d’avoir fourni à Daech, au Front al-Nosra, à Jaïch al-Islam, à Faylak al-Rahmane et à des dizaines d’autres groupes terroristes apparentés, des produits chimiques toxiques afin de les utiliser contre les civils syriens.

La Syrie accuse la coalition de Doha d’avoir commis ces massacres et fabriqué des preuves pour accuser injustement le Gouvernement syrien d’avoir utilisé des produits chimiques toxiques, afin de préparer le terrain à une agression massive contre la Syrie, de la même manière dont les États-Unis et la Grande-Bretagne ont procédé pour commettre leur crime d’agression arbitraire contre l’Irak en 2003.

Quand le Guardian se réfère à des témoins qui soutiennent la version des USA-Royaume-Uni-France, souvent des gens qui vivent sous la coupe de djihadistes violents, le journal ne les désigne pas comme des « témoins supposés » ou comme des gens intimidés. Pourquoi est-ce que, pour le Guardian, quelques-uns des témoins « ne font qu’affirmer être des témoins », alors que d’autres sont « des vrais témoins »? La réponse semble dépendre de l’accord du témoignage avec la version officielle occidentale.

S’il y a quelque chose de certain dans tout ceci, c’est que la vidéo censée représenter la preuve formelle d’une attaque chimique, s’est avérée être un montage truffé de défauts faciles à analyser pour des experts du renseignement.

Mme Haley a rappelé qu’en avril 2017, les États-Unis avaient frappé une base aérienne syrienne depuis laquelle auraient décollé des avions des forces gouvernementales pour effectuer une attaque chimique présumée contre Khan Cheikhoun.

«Le Conseil de sécurité n’a pas pu agir et les États-Unis ont effectué avec succès une frappe sur la base aérienne depuis laquelle Assad a mené son attaque chimique. Aujourd’hui, nous réitérons cette mise en garde», a déclaré la représentantes des USA.

« L’opposition syrienne » a annoncé le 4 avril 2017 qu’une attaque aux armes chimiques avait fait 80 morts et 200 blessés à Khan Cheikhoun, dans la province d’Idlib, accusant les troupes gouvernementales syriennes d’être à l’origine de la dispersion chimique. Le commandement syrien en a rejeté la responsabilité sur les djihadistes et leurs alliés. Les autorités du pays ont rappelé qu’elles n’avaient jamais utilisé d’armes chimiques contre les civils ou les terroristes et que l’arsenal chimique syrien avait été retiré du pays sous le contrôle de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC).

Dans la nuit du 6 au 7 avril, 59 missiles de croisière Tomahawk ont été tirés depuis deux navires américains positionnés en Méditerranée sur la base aérienne syrienne de Shayrat depuis laquelle auraient théoriquement décollé les avions qui auraient bombardé Khan Cheikhoun aux armes chimiques !

Concernant la Ghouta, la coalition occidentale ne disait pas autre chose que ceci : « il y a eu une attaque chimique à la Ghouta, parce que Nikki Haley avait dit à l’ONU qu’il était possible qu’une attaque chimique ait lieu à la Ghouta » ! Il est clair comme de l’eau de roche que les Russes et les Syriens allaient aussitôt sauter sur l’occasion pour organiser une attaque chimique à la Ghouta, parce que les USA avaient déclaré que cette attaque pourrait bien avoir lieu en cet endroit! Ce qui est plus qu’évident dans tout cela, c’est que les « attaques chimiques » existantes et inexistantes, comme celle de Douma, n’ont qu’un seul but : celui d’être une provocation mise en scène pour un objectif cynique et parfaitement criminel consistant à abattre arbitrairement Bachar El Assad, de la même manière que la coalition occidentale l’avait fait avec Saddam Hussein et Kadhafi…

Toute la mesure de la détestable pratique de l’Occident concernant les nations insoumises, apparaît dans ce rapport étasunien qui dit : « Nous voulons maintenir la pression sur la Russie, même si cette pression ne parvient pas à convaincre Moscou de lâcher le régime syrien comme nous l’espérions ». Sur ce plan, « nous devons continuer – ce que nous faisons déjà – à savoir, dénoncer l’horrible situation humanitaire ainsi que la complicité russe dans la campagne de bombardements de cibles innocentes civiles ». Il est choquant de voir à quel point ce mensonge est délibéré, pensé, conçu dans des officines spécialisées qui consacrent leur énergie à concevoir le Mal pour le Mal !

Monsieur Le Drian et Cie, après avoir entendu tout cela, allez-vous encore continuer à radoter que la France est en Syrie pour « combattre le terrorisme » et pour châtier le « Gouvernement syrien qui utilise les armes chimiques contre son peuple » ?

Plus personne en France ne peut vous écouter ni vous prendre au sérieux, parce que vous n’êtes pas honnêtes et les Français ont horreur qu’on les prenne pour des idiots !

Jean-Yves Jézéquel

Le 10 mai 2018



Articles Par : Jean-Yves Jézéquel

A propos :

Jean-Yves Jézéquel, philosophe et psychanalyste, diplômé du troisième cycle en sciences humaines, est l’auteur d’une trentaine d’essais en philosophie, spiritualité, religion, psychologie. Il publie également depuis 2014, une série d’analyses sur les grandes questions actuelles de société.

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