L’Occident, les Musulmans et la pulsion de mort. Essai de décryptage.

 «Dieu a dit, il y aura des hommes blancs, des hommes noirs, il y aura des hommes grands, des hommes petits. Il y aura des hommes beaux, des hommes moches et tous seront égaux, mais ça ne sera pas facile.» Coluche

Le monde occidental vit un moment crucial par manque de projet et, après avoir malmené en tous sens le reste du monde, il découvre l’effet boomerang. J’ai bien conscience que cette analyse peut être partiale et sûrement partielle. En fait, quand je parle de l’Occident je ne fais pas cas des peuples véritables, variables d’ajustement de stratégies qui les dépassent et, à bien des égards, les besogneux du monde occidental subissent les mêmes violences que leurs équivalents au Sud (pour ceux qui ont un travail), la violence est double car au nom de la productivité de la libre entreprise on envoie à l’abattoir des cohortes de personnes qui basculent du jour au lendemain dans la précarité.

Mieux encore, au nom d’une fausse démocratie, d’une fausse liberté- celle du retard dans le poulailler – des purges douloureuses sont chaque jour ânonnées et pour les faire passer rien de tel que de faire diversion, d’allumer des contre-feux et si l’islamisme n’existait pas, il aurait fallu peut être l’inventer… C’est peut-être cela qui est arrivé. L’Europe nous dit-on est en guerre contre un ennemi invisible qui en veut au mode de vie à l’occidental. Mais quel est ce mode de vie occidental chanté sous tous les tons? celui du besogneux laissé pour compte qui n’en a rien à cirer d’aller sur la terrasse des cafés voire déambuler les gens, lui le travailleur en apesanteur qui se tient le ventre?

Quel est ce mode de vie imposé par une oligarchie qui, tenant toutes les rênes de la finance, aux médias dicte la politique aux politiques tétanisés par la peur de perdre leurs privilèges? Quels sont ces valeurs qui au nom d’une modernité débridée détricotent consciencieusement des équilibres sociologiques qui vont de la famille au vivre ensemble proposant à la place un laxisme débridé des moeurs?

Si au moins ce modèle n’était valable qu’intra-muros, mais non, l’Occident veut exporter sa démocratie son occidental way of life partout, de mille façons, soit d’une façon hard et pourrait-on dire aéroportée. Naturellement, les récalcitrants ont en face d’eux, la force (Otan) et la justice la CPI pour les récalcitrants et, plus grave par création ex nihilo de zombies, de monstres qui arrivent à lui échapper. Pendant ce temps, ceux qui gouvernent réellement le monde se portent bien, la mondialisation et la macdonalisation de la culture se portent comme un charme. Différents mécanismes sont mis en place pour écumer les faibles, c’est le FMI, la Banque mondiale, l’OMC… Ce qui est sûr c’est que cette façon de faire a montré ses limites.

Ce qui est paradoxal est le fait que l’Occident n’assume pas, il contribue au chaos mais s’en lave les mains. Il en est ainsi depuis la disparition de l’Union soviétique, l’Empire avait besoin d’un carburant pour continuer son expansion. Souvenons-nous d’une phrase célèbre Project for New American Century (Pnac): «(…) De plus, le processus de transformation, même s’il apporte un changement révolutionnaire, risque d’être long, en l’absence de quelque événement catastrophique et catalyseur tel qu’un nouveau Pearl Harbor. (…)» Comme martelé par les Bernard Lewis, les Samuel Huntington, pas besoin d’aller loin, l’Islam peut et doit servir de Satan de rechange. Dans une tribune hypocrite, Bruno Tartrais, expert dit-on en politique internationale, s’interroge faussement: «Comme à chaque attentat, des voix vont s’élever après la tragédie de Bruxelles pour dire que les racines du terrorisme sont à chercher dans les politiques occidentales. Nous, pays occidentaux, avons une extraordinaire capacité à nous juger coupables de tous les malheurs du monde.» ‘(1)

Naturellement, il cite Pascal Bruckner dont on connaît les positions sur la repentance à géométrie variable ad vitam aeternam quand il s’agit des massacres du IIIe Reich, à l’endroit des juifs, mais aussi des tsiganes, mais le reniement de la repentance concernant les crimes coloniaux, tel qu’il l’a martelé à Sarkozy dans un ouvrage «la tyrannie de la repentance». Pour lui: «Ya bon la colonisation» reprenant les mêmes clichés colonialistes d’un Rudyard Kipling dans «The White man burden» (Le fardeau de l’homme blanc). Bref, Bruno Tartrais s’en remet à Pascal Bruckner comme Le Sanglot de l’homme blanc, à propos de la colonisation, qui serait ainsi responsable de tous les malheurs. Il fait sans le vouloir son mea culpa: «Européens et Américains seraient largement responsables du chaos moyen-oriental, sous prétexte qu’ils ont soutenu des dictateurs qui ont fini par être renversés par leurs peuples, et qu’ils sont intervenus à tort et à travers dans la région. Ils porteraient ainsi une lourde responsabilité dans l’émergence d’al-Qaîda, puis du pseudo-État islamique, et le terrorisme serait une forme de revanche contre leurs politiques moyen-orientales. Et que dire de la Russie de Vladimir Poutine! L’Occident serait au fond coupable du revanchisme russe actuel, faute d’avoir tenu compte de la sensibilité de ce pays, du fait de l’élargissement de l’Otan et de l’Union européenne, et à force d’avoir ‘humilié » Moscou depuis la fin de la Guerre froide. Dernier avatar de cette culpabilisation occidentale: le réchauffement climatique serait la cause profonde de certaines des crises majeures des dernières années. Les sécheresses auraient suscité des déficits de ressources, des migrations internes, et un mécontentement de la population, et seraient ainsi à l’origine du conflit du Darfour, mais aussi des révoltes arabes. Cette tendance à «nous» voir responsables de tous les désordres contemporains relève peut-être du masochisme ou de la haine de soi». (1) Rien à ajouter.

Les racines du terrorisme

Tout ce qui a été dit est imputable sans rajout ni retrait à l’Occident qui a toujours deux fers au feu. Ils parlent de droits de l’homme chez eux, mais ce sont eux qui ont formé les terroristes en vendant des armes en armant des illuminés qui n’ont pas peur de mourir. Toute l’histoire de l’hégémonie occidentale anglaise et française d’abord, puis américaine ensuite est jalonnée «d’incidents» qui furent le point de départ d’une guerre de conquête pour s’approprier des territoires.

Le XXe siècle  est assurément «A Beastly Century», «un siècle bestial» terme, utilisé par Margaret Drabble, pour le décrire. Il y eut en effet, environ 231 millions de morts en 100 ans de guerres et conflits. Les Etats-Unis ont été en guerre 93% du temps de leur existence depuis leur création en 1776, c’est-à-dire 222 des 239 années de leur existence. Dans ce cadre, un véritable gouvernement mondial qui ne dit pas son nom est imposé au reste du monde. Un «gouvernement occidental du monde» qui a profondément structuré l’après-l’an 2000.

C’est ainsi que graduellement, la mondialisation s’est emparée du monde, elle lamine les économies, casse les barrières douanières au profit des produits manufacturés de l’Occident. La politique mondiale des Etats-Unis et de ses vassaux est de s’assurer avant tout des sources d’approvisionnement pérenne en énergie. Peu importe le prix que les faibles auront à payer, même s’ils se chiffrent par centaines de milliers de morts. N’est ce pas Madeleine Albright que 500.000 enfants irakiens morts des suites d’un embargo inhumain, : « Ce n’est pas cher payé , si c’est le prix à payer pour faire partir Saddam Hussein »

Semer la mort, provoquer des Etats faibles, affamer des  peuples, soutenir des dictateurs contre leurs peuples, avoir une politique de deux poids deux mesures concernant le conflit israélo-palestinien , ne peut que contribuer à une sédimentation de la haine du désespoir et du besoin d’en finir à tout prix avec cette vie terrestre et s’en remettre à l’au-delà

Le magistère dixit qui n’est plus un magistère moral

En fait aucun pays n’est épargné , au plus c’est un vassal  et on le voit avec la politique de suivisme des pays européens contre le gré de leur peuple, au pire c’est un ennemi qu’il faut réduire . Comment expliquer  l’acharnement de l’Occident à dicter sa norme à des pays arabes en déshérence au nom de la lutte contre l’islamisme sachant que c’est lui l’architecte du chaos ?. Dans le même ordre des méthodes mises en œuvre par l’Empire et ses vassaux pour garder le leadership coûte que coûte  après la Russie qui n’arrête pas d’être diabolisée , la Chine n’est pas en reste, tout est fait pour la neutraliser. Pourtant, et comme nous lisons dans la contribution, l’une des plus grandes réussites de l’humanité à la fin du XXe siècle est passée quasiment inaperçue en Europe: les Chinois mangent pratiquement tous à leur faim. Actuellement 1,2 milliard de Chinois sur 1,3 ne connaissent plus la famine, dans un pays où les terres cultivables sont très limitées et où les problèmes liés à l’eau représentent un véritable défi…Or, si cette réussite est ignorée de l’opinion publique occidentale, c’est qu’elle leur a été cachée. Comment ne pas discerner derrière l’arrogance des médias occidentaux la nostalgie d’une époque où, pour les impérialismes, la Chine n’était qu’un gâteau à découper?»  (2)

«L’Occident saura-t-il résister à l’ascension économique vertigineuse de l’Asie? L’Asie n’a nulle intention de dominer l’Occident, elle y puise simplement les solutions qui lui permettront de tourner définitivement la page de la pauvreté. l’Occident devra à son tour renoncer à sa domination, notamment sur les institutions internationales. L’Occident deviendra alors une simple ‘province du monde », selon J-C Guillebaud, avec seulement 9% de la population mondiale en 2025. Le permettra-t-il?» (2)

D’où vient cette hégémonie qui fait que l’Occident se veut le seul dépositaire de sens? Tout serait parti des grandes découvertes. Prenant la relève d’un Orient et d’une civilisation islamique sur le déclin, et au nom de la Règle des trois C – Christianisation, Commerce, Colonisation,  la vieille Europe, ancêtre de  l’empire actuel,  mit des peuples en esclavage. Elle procéda à un dépeçage des territoires au gré de ses humeurs sans tenir compte des équilibres sociologiques que les sociétés subjuguées ont mis des siècles à sédimenter. Pendant cinq siècles, au nom de ses «droits de l’homme» l’Occident dicte la norme, série, punit, récompense, met au ban des territoires qui ne rentrent pas dans la norme.

Ainsi, par le fer et par le feu, plus de 75% des richesses des Sud épuisés avec 80% des habitants de la planète furent spoliés et détenus par 20% des pays du Nord. Kishore Mahbubani, brillant diplomate singapourien dans un ouvrage remarquable : «  le défi asiatique » a analyser finement les fondements de cette condescendance européenne et occidentale.  Il écrit : «le moment est venu de restructurer l’ordre mondial», que «nous devrions le faire maintenant  l’Occident est dans l’incapacité à maintenir, à respecter et encore plus à renforcer les institutions qu’il a créées. Et l’amoralité avec laquelle il se comporte trop souvent sape davantage les structures et l’esprit de la gouvernance mondiale. Selon Mahbubani, il «est légalement vivant» mais spirituellement mort (…) C’est en définitive, un déclin du sens et du non-respect des valeurs éthiques que ce même Occident veut appliquer aux autres et non pas à soi-même.» (3)

Essai de compréhension de la genèse de la pulsion de mort

Les évènements vécus par la France et la Belgique et, anciennement le Royaume-Uni et l’Espagne ont un fondement qui, contrairement à ce qui est martelé par les médias et les gouvernements en mal de projet, n’est pas du à la religion. Quand un jeune décide un jour de mettre fin à sa vie, il y a des raisons, les pays européens mettent en avant le slogan tourné mille fois en boucle: «Ils nous envient, ils ne sont pas comme nous, c’est l’Islam qui est une religion de la haine, ce sont des bêtes immondes qu’il faut abattre. On ne convoque même sur les plateaux de télévision que ceux qui abondent dans ce sens, bref c’est la curée.

Personne n’a posé la question des causes réelles, celle de la mal-vie, des séquelles du colonialisme, du deux poids, deux mesures s’agissant du conflit israélo-palestinien. Ils oublient de dire que le mot kamikaze est un mot japonais que bien avant cela dans la Bible on parle de la forteresse de Massada. Des membres de la secte extrémiste des zélotes s’y réfugient après avoir fait régner la terreur dans le pays. Ils avaient coutume d’assassiner leurs compatriotes suspectés de collaboration Au nombre d’un millier, ces Zélotes vont résister pendant trois ans aux Romains. Quand les assiégeants pénètrent dans la forteresse, ils découvrent les cadavres de ceux-ci. Dix des assiégés auraient tué les autres avant de se suicider eux-mêmes. Bref ils mettent fin à leur vie pour une cause qu’ils pensent être noble.» On dit que  Freud a été le premier à parler de « pulsion de mort ». Pour lui tout être humain est habité par la pulsion de mort.»

« L’esprit du terrorisme ? » 

Jean Baudrillard va plus loin en analysant une nouvelle donne d’une guerre asymétrique d’un nouveau genre où le faible rend coup pour coup?  Il prend l’exemple des tours du WTC:

«La condamnation morale, l’union sacrée contre le terrorisme, écrit-il,  sont à la mesure de la jubilation prodigieuse de voir détruire cette superpuissance mondiale, mieux, de la voir en quelque sorte se détruire elle-même, se suicider en beauté. (…) A la limite, ce sont eux qui l’ont fait, mais c’est nous qui l’avons voulu. (…) Cela dépasse de loin la haine de la puissance mondiale dominante chez les déshérités et les exploités, chez ceux qui sont tombés du mauvais côté de l’ordre mondial. (..) Pas besoin d’une pulsion de mort ou de destruction, ni même d’effet pervers. C’est très logiquement, et inexorablement, que la montée en puissance de la puissance exacerbe la volonté de la détruire. Et elle est complice de sa propre destruction. Quand les deux tours se sont effondrées, on avait l’impression qu’elles répondaient au suicide des avions-suicides par leur propre suicide. (..) » (4)

D’un côté les moyens de l’un sont disproportionnés par rapport à ceux de l’autre, mais les dégâts physiques et moraux sont du même type et surtout la vie n’a pas la même épaisseur dans les pays à doctrine de « zéro mort » qui règlement leurs différents en n’exposant pas leurs boys. De l’autre il n’y a que la vie de l’individu qui est en jeu . Un individu qui passe de l’espérance de la jeunesse au désespoir du tunnel qui lui donne la conviction qu’il n’y a plus rien à faire que son destin terrestre est derrière lui et qu’il a une chance de rédemption – vers un paradis fantasmé- que lui martèle à la nausée les prêcheurs de haine qui règlent leurs problèmes en envoyant à la casse des jeunes à peine éclos à la vie.

Jean Baudrillard poursuit son plaidoyer pour cette façon de faire des « terroristes » :

« Eh bien si. L’Occident, en position de Dieu (de toute-puissance divine et de légitimité morale absolue) devient suicidaire et se déclare la guerre à lui-même. (…) Terreur contre terreur – il n’y a plus d’idéologie derrière tout cela. On est désormais loin au-delà de l’idéologie et du politique. (…) Il y a une perfusion mondiale du terrorisme, qui est comme l’ombre portée de tout système de domination, prêt partout à se réveiller comme un agent double. Il n’y a plus de ligne de démarcation qui permette de le cerner, il est au coeur même de cette culture qui le combat, et la fracture visible (et la haine) qui oppose sur le plan mondial les exploités et les sous-développés au monde occidental rejoint secrètement la fracture interne au système dominant. (…) Ce n’est donc pas un choc de civilisations ni de religions, (…) L’événement fondamental, c’est que les terroristes ont cessé de se suicider en pure perte, c’est qu’ils mettent en jeu leur propre mort de façon offensive et efficace, selon une intuition stratégique qui est tout simplement celle de l’immense fragilité de l’adversaire ‘Il n’y a pas de solution » conclut Jean Baudrillard à cette situation extrême, surtout pas la guerre, qui n’offre qu’une situation de déjà-vu. La guerre comme prolongement de l’absence de politique par d’autres moyens.» (4)

Les causes possibles du passage à l’acte ne sont pas celles que les médias main stream martèlent

S’agissant des causes les plus plausibles du passage à l’acte du kamikaze, qui , du jour au lendemain ferme la porte de son avenir terrestre, Stéphanie Plasse rapporte que 80% des attaques-suicides depuis 1968 ont eu lieu après le 11-Septembre, mais, contrairement aux idées reçues, la plupart des terroristes ne perpètrent pas ces actes par fanatisme religieux. :

« Contrairement aux idées reçues, il semblerait que la plupart des groupes perpètrent cet acte non pas par fanatisme religieux, mais pour contraindre les pays occupants à se retirer de leur territoire. Le politologue américain Robert A. Pape montre dans son étude intitulée Dying To Win: The Strategic Logic of Suicide Terrorism  ( Mourir pour gagner : la stratégie des suicides terroristes ), que la majorité des attentats-suicides commis entre 1980 et 2003 ont été commis par des non-musulmans et en particulier par les Tigres tamouls.

«On attribue souvent ce phénomène à la croyance religieuse, surtout islamique, mais tout cela ne tient pas, les attentats-suicides visent plutôt un objectif stratégique relativement réaliste, consistant à contraindre les régimes démocratiques à retirer leurs troupes d’un territoire occupé.» En effet, comme l’explique Pierre Lory: «Le droit musulman condamne formellement toute forme de suicide, sous quelque forme que ce soit. Un hadith raconte que Mahomet prédit la damnation en enfer à propos d’un combattant musulman qui, gravement blessé et ne supportant plus la douleur, se donna la mort en se jetant sur la pointe de son épée.» (5)

On le voit le problème n’est pas simple, faucher des vies  par la terreur   est inhumain. Mais peut on parler d’inhumanité devant le désespoir des vies fauchés  par milliers  lors des bombardements des famines organisées imputables à cet Occident pervers, laîc chez lui avec ses souchards ( les indigènes) , croisé  avec ses allogènes pourtant citoyens  comme les autres, démocrate chez lui , tortionnaire à l’extérieur

Cette Europe qui a  perdu ses repères moraux   avec  en principe un Etat équidistante des religions, mais qui dans les faits, crée des territoires  où les occupants sont abandonnés du fait de   la malvie,  de l’échec scolaire, du  chômage  qui sont autant de catalyseur qui contribuent au passage à l’acte. Les pays européens seraient bien inspirés d’appeler à l’apaisement et à tenter de récupérer  justement ces territoires perdus de la République par l’aide de ces jeunes à réussir dans la vie et en faire , enfin des citoyens à part entière et non pas entièrement à part.

Professeur Chems Eddine Chitour

Ecole Polytechnique enp-edu.dz

1. http://international.blogs.ouest-france.fr/archive/2016/03/23/terrorisme-tertrais-frs-tribune-occident-15880.html?ref=yfp

2.Désinformation contre la Chine: l’enquête sur Apple en Chine entâchée par un bidonnage

3.Chems Eddine Chitour    http://forumdesdemocrates.over-blog.com/article-declin-de-sens-ou-declin-de-puissance-le-dilemme-de-l-occiddent-75412225.html

http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2007/03/06/l-esprit-du-terrorisme-par-jean-baudrillard_879920_3382.html#GVJ4e9JWvzteBcjM.99

5.Stéphanie Plasse http://www.slate.fr/story/ 72053/pourquoi-attentats-suicides

 

Article de référence :

http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur_ chitour/238368-essai-de-decryptage.html

 

 



Articles Par : Chems Eddine Chitour

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