Mercx avaient la liste des médecins à neutraliser
Des documents jusque-là secrets, apparus au procès de l’affaire Vioxx en avril de cette année, révèlent que le géant du médicament Merck conservait la liste de médecins devant être neutralisés pour avoir dénoncé le Vioxx. Bien que cette histoire ait été rapportée sur Natura lNews et d’autres sites en avril, la participation de Merck à la dernière campagne vaccinale contre la grippe du cochon soulève de nouvelles questions quant à son comportement envers ses détracteurs.
Comme l’a signalé The Australian, les documents apparus à la Cour fédérale de Melbourne révèlent l’intention coupable de membres du personnel de Mercx qui ont admis avoir l’intention « d’arrêter le financement d’établissements » et « d’interférer dans les nominations à des postes universitaires. » (À propos, ces agissements sont tout à fait illégaux.)
Selon le témoignage officiel à ce procès australien, un employé de Merck a déclaré, en se référant aux médecins cités sur la liste de cibles, « Nous pouvons avoir besoin de les chercher et de les neutraliser là où ils vivent… »
Ça ressemble un peu à un chef de gang ordonnant un mauvais coup contre un voyou de rue concurrent, pas vrai ?
Selon le témoignage entendu au procès, au moins huit spécialistes en recherche clinique ont été menacés ou intimidés par Merck. Ça s’accorde bien avec les nombreux comptes-rendus, déjà publiés par Natural News et d’autres supports d’informations, sur Merck intimidant des universitaires. Émergeant de ces révélations, l’image de Mercx montre une compagnie dirigée par des assassins, qui s’occupent d’opinion en cherchant à détruire la vie et la carrière des universitaires qui osent dire la vérité sur ses dangereuses spécialités.
Une culture de criminalité
Merck est une compagnie imprégnée d’une culture de criminalité. Parmi ses nombreux agissements malhonnêtes, elle a volontairement caché les effets dangereux pour le foie de son médicament anti-cholestérol ; a intentionnellement bloqué la diffusion de données d’essais cliniques montrant le fiasco d’une autre spécialité anti-cholestérol ; a déversé des déchets de vaccins et de produits chimiques industriels dans des réserves d’eau ; a installé ses comptes bancaires à l’étranger pour éviter des milliards de dollars d’impôts aux États-Unis ; et a été prise dans une énorme magouille de supercherie scientifique, quand il a été révélé que la société utilisait sur place des scribes pour rédiger secrètement les études scientifiques « indépendantes » publiées dans des revues médicales.
On peut lire ici d’autres informations ahurissantes sur les intrigues de cette compagnie :
www.naturalnews.com/merck.html
On ne peut guère douter que Merck soit mue par une mentalité criminelle. Elle recourt à des tactiques de mystification et d’intimidation pour accomplir ce qu’elle ne peut réaliser par des moyens honnêtes : la multiplication des ventes de ses spécialités pharmaceutiques.
Alors qu’est-ce que cela a à voir avec le vaccin contre la grippe du cochon ? Juste ça : quasiment personne dans le secteur médical moderne ne s’est prononcé contre le vaccin de la grippe du cochon [ça se passe aux USA, au moins un médecin affilié à Big Pharma s’est élevé contre la vaccination sur la Cinq en France, ndt].
Seraient-ils intimidés par Merck et les autres fabriquants de vaccins pour leur faire garder le silence ?
L’intimidation des scientifiques
Beaucoup de ceux qui osent parler contre les produits de Merck voient rapidement leur crédibilité attaquée. S’ils appartiennent à un établissement universitaire, ils voient rapidement se tarir leurs ressources de recherche, et certains finissent bannis par l’industrie pharmaceutique. Ce que Merck a rendu parfaitement clair ces dernières années, c’est que, oser parler contre ses produits, équivaut à un hara-kiri de la carrière universitaire.
Dans ces conditions, quel est le degré d’honnêteté des scientifiques ou des médecins censés compétents à soulever des doutes sur les vaccins contre la grippe charcutière fabriqués par Merck et les autres compagnies ? En voyant l’actualité, ils savent déjà que mettre publiquement en question l’innocuité de ce vaccin pourrait leur coûter leur carrière.
La « science » (si l’on peut l’appeler ainsi) moderne en est-elle arrivé là ? Une bande apeurée de scientifiques intimidés craignent trop de parler et de remettre en question la sécurité des produits pharmaceutiques ? Et si c’est le cas, comment, pour commencer, peut-on appeler ça de la « science médicale » ? C’est plus de la médecine sous la contrainte des armes, dans laquelle vous racontez ce que vous êtes censé dire parce que les acteurs de la grande corporation vous braquent un fusil (métaphorique) sur la tête.
Pour parler du vaccin contre la grippe du cochon lui-même, Big Pharma est déjà en train de gonfler les grands médias avec plein d’histoires de « défenses préventives, » clamant que tout effet secondaire suite à ce vaccin se serait produite de toute façon et ne doit pas être attribué au. Notez que cette histoire est présentée avant même que le vaccin soit largement utilisé ! Typiquement, ils sont déjà en train de prédire une vague d’effets secondaires scrogneugneux, et tentent de laver le cerveau du public en écartant ce genre d’affaires comme de simples coïncidences.
C’est l’étonnante mentalité chicanière de Big Pharma : Quand un patient chope quelque calamité en absorbant ses remèdes, c’est juste une coïncidence. Mais si quelque mieux survient et que la santé s’améliore, Big Pharma prétend toujours que c’est uniquement grâce à ses panacées. C’est précisément ce genre de pensée sélective, non scientifique, qui est la raison de l’anéantissement total de la crédibilité du secteur pharmaceutique (et des apologistes de médicaments et vaccins). La science a purement et simplement disparu, remplacée par le marketing habile, l’arme financière tortueuse et l’intimidation flagrante de toute personne marchant en dehors des clous.
Le bien-fondé ne craint pas les questions honnêtes
Ne trouvez-vous pas étrange que pratiquement personne dans la communauté médicale moderne n’ait soulevé de questions quant à l’innocuité des vaccins contre la grippe du porc ? N’est-il pas étrange que des vaccins n’ayant pas du tout été testés sur le long terme, soient soudainement homologués par la FDA, tous le même jour, et sont maintenant préconisés partout par des médecins sans une seule question quant à leur innocuité ?
Maintenant vous savez pourquoi ce procès de Merck en Australie est pertinent : Sachant comment Merck exerce son sacerdoce, il n’est pas tiré par les cheveux de penser que les médecins ont été contraints au silence sur le vaccin. La remise en cause de ce vaccin équivaut à un suicide professionnel.
Les vaccins sont la partie centrale du mythe de la médecine moderne, vous savez. Remettre en cause leur innocuité ou efficacité est considéré sacrilège dans la communauté médicale. La mythologie de la médecine occidentale repose sur la croyance (bidon) en la supériorité du recours à des produits chimiques sur l’autoguérison, et le vaccin est le pivot central sur lequel s’articule cette argumentation. Si le vaccin disparaît, la façade philosophique entière derrière laquelle se cache aujourd’hui la médecine occidentale s’abattra en même temps.
Garder la rentabilité de la médecine occidentale nécessite de perpétuer le mythe vaccinal. Et, puisque ce mythe ne peut être certifié uniquement sur une base scientifique pure (car aucune science véritable ne l’avalise), il doit être entretenu par des tactiques d’intimidation et de corruption du genre mafieux. C’est pourquoi la corruption des médecins par des compagnies pharmaceutiques est désormais banale. C’est par ce moyen que se propage la « science » du produit pharmaceutique à travers les mécanismes de notre complexe médico-industriel moderne. L’argent achète ce que la vraie science ne peut étayer : L’idée que le système médical mondial doit reposer sur l’intervention chimique (qui ne profite financièrement qu’aux compagnies pharmaceutiques qui perpétuent ce mythe).
Effilochage de la fiction
Les révélations sur Merck menacent la mythologie de la médecine moderne dont dépendent tant de milliards de dollars du revenu des remèdes. Même les médecins ne veulent guère parler de Merck. Pourquoi ? Parce qu’ils réalisent que, en tant que l’une des plus grandes compagnies pharmaceutiques du monde, l’éthique de Merck reflète celle de la médecine occidentale dans son entier.
Après tout, une grande partie de la médecine occidentale repose sur les produits pharmaceutiques. Et croire qu’ils rendent sain exige de croire également que les compagnies pharmaceutiques sont intègres dans leurs méthodes et cherchent le bien-être des gens. Mais croire en cette mythologie féerique exige des compagnies pharmaceutiques qu’elles appartiennent à une corporation bienveillante et compatissante, qui n’aurait jamais recours à des tactiques contraires à l’éthique, déloyales ou illégales, pour atteindre ses objectifs.
Le panorama d’ensemble de la fiction pharmaceutique commence à se délabrer rapidement quand on commence à voir la vérité sur ce qui se passe vraiment chez Merck ; et c’est ce qui a été vu à maintes et maintes reprises, grâce à des documents jusque-là secrets qui émergent lors d’affaires judiciaires ou autrement. La culture de Merck serait qualifiée par la plupart des gens raisonnables d’« assassine » ou de « criminelle » en soi. Une compagnie qui essaye de faire du trafic de médicaments grâce à la publicité dans les grands médias, n’a pratiquement aucun rapport avec la compassion,
D’ailleurs, si les produits de Merck sont vraiment si favorables, en premier lieu, pourquoi serait-il nécessaire d’intimider et de menacer les chercheurs ? Si ses médicaments étaient vraiment aussi bénéfiques et aussi sûrs, la science ne plaiderait-elle pas en leur faveur ?
De toute évidence, l’intimidation des universitaires n’est nécessaire que lorsque la vraie science trouve des réponses qu’on ne veut pas entendre. L’intimidation est donc appelée à remplacer la science par la peur.
Oui mon vieux, c’est sur quoi notre système pharmaceutique entier repose aujourd’hui : la PEUR. Les médias ne disent pas la vérité sur les remèdes, parce qu’ils ont peur de perdre leurs revenus publicitaires. Les chercheurs ne disent pas la vérité scientifique sur les médicaments, parce qu’ils ont peur de perdre leur carrière. Les médecins ne disent pas la vérité sur les remèdes, parce qu’ils ont peur d’être rayés de l’ordre. Le système entier est tenu par la peur et l’intimidation plutôt que par la science honnête.
Un système de croyances dans lequel des questions sont supprimées et des « vérités » sont étayées par la manière forte est appelé « dogme. » Il ne peut pas, par définition, être qualifié de « scientifique. » Quiconque pensant que les médicaments ou les vaccins modernes reposent sur de la « science » rigoureuse ne comprend pas le sens de cette expression.
Gardez cela à l’esprit lorsque vous décidez de vous faire vacciner. Rappelez-vous que les chercheurs qui ont exprimé des doutes sur l’innocuité de ce vaccin pourraient avoir été déjà « neutralisés » ou « discrédités, » pour reprendre les termes exacts des propres employés de Merck.
Et il se pourrait bien que les conclusions « scientifiques » des chercheurs en pharmacie d’aujourd’hui ne soient pas plus crédibles que le témoignage d’un soldat capturé et torturé par des terroristes, quand il est sommé de parler à la caméra avec un fusil braqué sur la tête.
Original : www.naturalnews.com/027116_Merck_doctors_vaccines.html
Traduction : Pétrus Lombard