Paroles de scientifiques sur la COVID-19
Première partie
En Occident néo-féodalisé depuis deux ans, la parole des scientifiques a été malmenée, dévoyée, parfois même falsifiée et la plupart du temps ignorée, voire censurée quand ce n’était pas les personnes elles-mêmes qui ont été mises à pied, jusqu’à l’enfermement en psychiatrie pour certains d’entre eux, d’autres ayant carrément disparu de la circulation après avoir osé braver la doxa convenue et révélé ce qui devait rester secret ! Je propose de faire, aujourd’hui, un tour d’horizon de la parole des scientifiques, afin d’opérer une ré-information sur ce qui est scientifique dans l’histoire de la Covid-19 et sur les discours qui ont utilisé l’image de la science pour alimenter un narratif mensonger sur ce qui a été nommé à tort « pandémie ».
1 – La place et le rôle de l’argent maître et seigneur
Le déroulé de la fausse pandémie du SARS-Cov-2 a permis à une foule de gens de penser « sincèrement » que le mutisme de la communauté scientifique dans son ensemble était une sorte d’approbation implicite de tout ce qui se disait en son nom par la voix de ses « représentants » médiatiques désignés, félicités, parfois même décorés de la Légion d’honneur pour leur complicité remarquable, et qui eux, étaient très largement frappés par les « conflits d’intérêts », comme un examen attentif de la liste du site de l’Union Européenne le démontrait si magistralement, concernant les médecins et chercheurs européens. (Cf., « eurosfordocs »)
Si la communauté scientifique dans son ensemble restait muette et semblait approuver le narratif officiel sur la Covid-19, et le « vaccinalisme » obsessionnel aux produits expérimentaux à ARNm graphénisés, c’est bien entendu parce que les menaces sur les carrières de ses membres étaient réelles, comme nous allons le voir.
Quant à ceux qui ont monopolisé la parole dans les médias spécialisés ou dans les différents supports de la vulgarisation pour grand public : télévisions, journaux, radios, réseaux sociaux inféodés au système, on se souviendra qu’ils étaient bien rémunérés par les laboratoires pharmaceutiques pour le faire, jusqu’à écrire même dans des revues prestigieuses, comme The Lancet, des articles totalement bidons, des falsifications éhontées ayant entraîné par la suite la présentation des excuses de leurs directeurs de publication, comme chacun le sait.
Mais très vite, les « responsables » politiques oubliaient allègrement les plates excuses présentées par les scientifiques, car aveuglés par les objectifs non déclarés de la doxa convenue et sourds à la voix de la raison, les gouvernants s’en tenaient farouchement aux falsifications volontaires fomentées juste pour permettre des interdictions sans autre justification que celle qu’ils se gardaient bien d’annoncer !
On se souviendra longtemps du scandale sur l’hydroxychloroquine et plus tard de celui qui allait à son tour interdire l’ivermectine dont la vente en pharmacie fut prohibée. Certains pays d’Amérique Latine, comme le Pérou, mais surtout l’Inde seront les principaux protagonistes de l’ivermectine ayant fait largement ses preuves d’efficacité contre la Covid-19. D’autres traitements ayant également fait leur preuve, surtout en Afrique, comme l’Artemisia annua, ont également été criminalisés en Europe et ces traitements peu coûteux, très efficaces, sont devenus introuvables et rigoureusement interdits à la vente ! On remarque que ni l’Inde, ni l’Afrique sont concernés aujourd’hui par une pandémie quelconque et encore moins par des campagnes mensongères promouvant des « vaccins » qui n’en sont pas !
Tout le monde devrait savoir désormais que les revues scientifiques et leurs moyens, dépendent depuis bien longtemps de l’industrie pharmaceutique qui impose son narratif officiel de pensée unique sur les médicaments et les vaccins. Leur procédé est proprement odieux et crapuleux. Nous en avons une description faite par les docteurs Gérard et Nicole Delépine. (Cf., articles dans mondialisation.ca – voir également leur bibliographie sur le sujet ; Cf., également l’étude magistrale qui a été publiée par le Professeur Debré et Even, « Savoirs et Pouvoir. Pour une nouvelle politique de la recherche et du médicament », Pr Philippe Even et Pr Bernard Debré, éditions le cherche midi, 2004)
Nous devons souligner ce que personne ne peut plus ignorer :
« … Le potentiel de la médecine fondée sur les écosystèmes pour améliorer les soins de santé des patients a été contrecarré par des biais dans le choix des hypothèses testées, la manipulation de la conception des études et une publication sélective. Les preuves de ces failles sont les plus claires dans les études financées par l’industrie. Nous pensons que l’acceptation aveugle par l’EBM des « preuves » produites par l’industrie revient à laisser les politiciens compter leurs propres votes. Étant donné que la plupart des études d’intervention sont financées par l’industrie, il s’agit d’un problème sérieux pour la base de données globale. Les décisions cliniques fondées sur ces preuves risquent d’être mal informées, les patients recevant des traitements moins efficaces, plus nocifs ou plus coûteux ».
(Cf., S Every-Palmer Comment la médecine basée sur des preuves échoue en raison d’essais biaisés et d’une publication sélective, Journal of Evaluation in Clinical Practice 2014)
Selon un rapport de l’IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) « la finalité des essais randomisés ne correspond pas forcément à l’intérêt des malades … dans 76% des cas le promoteur est un industriel ». Les professeurs Even et Debré étaient clairs : « Le thème de l’essai est trop souvent déterminé par des raisons commerciales. L’objectif est d‘étendre le marché. Presque jamais de s’attaquer à un problème de santé publique ».
Voilà qui est lumineux, mais cette parole était prononcée bien avant la fausse pandémie du SARS-Cov-2 et sa mise en scène.
Les essais thérapeutiques ne font pas avancer la science car, selon le rapport de l’IGAS, « Leurs résultats ne sont publiés que si l’intérêt du promoteur le commande. Lorsque les résultats ne correspondent pas à celui escompté, le promoteur n’a aucun intérêt à ce que ses résultats soient connus et commentés ».
Que dire de plus sur le sujet de la falsification des données scientifiques par les impératifs majeurs de l’argent ?!
Encore aujourd’hui, c’est le cas. Lorsque le Professeur Perronne a demandé désespérément aux scientifiques de venir débattre avec lui du sujet qui nous occupe, devant les caméras de télévision : personne n’a jamais répondu « présent » à son appel. Aucun scientifique ne peut venir se faire tourner en ridicule et perdre toute crédibilité en défendant l’indéfendable… Les scientifiques susceptibles de prendre la parole en public ont soit été payés pour le faire et pour transmettre la doxa convenue, en d’autres termes pour se taire, soit ils ont été menacés pour la suite de leur carrière et dans leurs moyens de subsistance…
Sur la question des « conflits d’intérêts » qui ont largement appuyé le narratif officiel, il est nécessaire d’ajouter qu’en France, sur les deux ans de crise artificielle créée par la mafia pharmaceutique avec la complicité de la caste digitalo-financière, Macron a arrosé les médias inféodés d’une manne publique de 2 milliards d’euros, pour s’assurer leurs bons et loyaux services de menteurs. (Cf., Les Echos du 5 juillet 2020)
En ajoutant les aides aux médias inféodés, venues de la sphère digitalo-financière, on dépasse les trois milliards d’euros. Cinq milliards ont été attribués à la culture et aux médias par le pouvoir macronien selon https://www.culture.gouv.fr dans un communiqué de presse du 01.07.2020. Théoriquement le gros de cet argent public devait servir notamment au soutien des artistes en difficulté du fait de la crise que l’Etat profond lui-même entretenait arbitrairement. Mais, il va de soi qu’il fallait tenir en laisse les médias inféodés et s’assurer de leur inconditionnelle soumission.
En France, il existe des « Conseils scientifiques indépendants » qui se sont constitués pour assurer une « réinformation covid ». Plusieurs centaines de scientifiques (2500 chercheurs) ont suivi l’initiative de Laurent Mucchielli, sociologue, médaille d’or du CNRS, en publiant des tribunes qui remettaient radicalement en question les positions et décisions du théorique « Conseil scientifique », réuni par Macron. Ce « Conseil de guerre » dit « scientifique », n’était là pour aucune autre raison que celle de nous servir en toute tranquillité le programme du « Great Reset » utilisant la « fenêtre d’opportunité » de la fausse pandémie. Ce programme avait été communiqué auparavant à tous les chefs d’Etats aux ordres de la classe stato-financière au pouvoir.
Des milliers de scientifiques du monde entier ont décidé de sortir de leur mutisme forcé, en prenant la précaution de leur anonymat sous couvert d’organisations associatives protégées juridiquement, (à cause des menaces sur l’avenir de leur carrière) …
Il est donc nécessaire de dire aujourd’hui, que la communauté scientifique dans son large ensemble, ne cautionne pas et n’a jamais cautionné les mesures délirantes prises par les gouvernants sous l’impulsion des « élites » de la caste digitalo-financière ayant pris le pouvoir dans toutes les Institutions clés de notre monde occidental, comme l’OMS dont on a déjà évoqué précisément, dans un article antérieur, les sources de financements.
Pour y voir clair dans la fumée épaisse de ce délire covidiste et des incohérences répétitives des gouvernants qui nous imposaient des mesures incompatibles avec le savoir scientifique, il fallait « suivre l’argent » disait le Docteur Louis Fouché, qui depuis, a été lourdement sanctionné, tout comme le Docteur Pascal Sacré en Belgique, par les adorateurs de la secte covidiste au pouvoir !
En effet, « en suivant la trace de l’argent » on découvrait et comprenait pourquoi et comment un tel délire avait pu s’emparer de ceux qui auraient dû être « responsables » en s’inquiétant des intérêts du bien commun et qui ont basculé collectivement dans la criminalité, à cause de l’argent…
Le renard était bien dans le poulailler et la porte du poulailler avait été volontairement verrouillée pour laisser le renard opérer en toute tranquillité, protégé même de l’extérieur par des complices intéressés, afin d’empêcher quiconque de déverrouiller la porte jusqu’à ce que le massacre prenne fin et que le festin puisse commencer sans plus personne pour venir le troubler !
2 – Les violences gratuites ordonnées par les gouvernants
On ne pourra jamais oublier que ce Gouvernement de criminels, s’étant emparé du pouvoir avec 28% des votes attribués à Macron en 2017, lui qui déclarait être « entré par effraction à l’Elysée », veut parvenir à interdire la pratique du Yoga, de la méditation, ainsi que l’usage des plantes naturelles même pour une saine alimentation et jusqu’à la Vitamine D qui devrait être classée comme « perturbateur endocrinien » ! Tout cela, parce que, grâce à ces moyens simples et naturels, trop de gens se maintiennent en parfaite santé sans avoir besoin de passer par la case médicale supervisée par la Sécurité Sociale et l’obligation du pass vaccinal !
Selon ces gens hautement perturbés par leurs croyances sectaires, tout ce qui peut contribuer à une bonne santé physique et mentale des personnes doit être interdit en France ! A part de placer instantanément les Français hors-la-loi et de les pousser à ressortir la guillotine, on ne voit pas très bien ce qu’ils tentent d’obtenir, sauf si l’industrie pharmaceutique habite de fait en permanence dans leur cerveau malade…
Cette volonté ordurière est allée bien trop loin et la perversion de ces individus ne peut pas fonder une politique donnant le ton à une communauté de destin…
Ceux qui ont imposé toutes ces peurs, ces violences sur les personnes, ces erreurs gravissimes sur le plan médical et scientifique, ces gestes qui ont provoqué la mort et le désespoir chez les enfants ; tous ceux qui ont cautionné et servi ce délire hystérique destructeur sur tous les plans, ayant provoqué des milliers de morts pendant toute la durée de cette crise artificielle, sont des criminels qui devront être jugés comme tels. Ces criminels prétendront certainement qu’ils se souciaient justement du bien commun ! Le problème c’est qu’il faudra alors expliquer pourquoi, tous les experts en opposition avec le narratif de la doxa convenue ont été violemment censurés, dénigrés, sanctionnés, écartés, bâillonnés, voire même éliminés physiquement ! Nous avons assisté pendant deux années à la manière féroce d’imposer au monde la censure pour tout opposant, les menaces, les sanctions sévères et tous les interdits ne laissant apparaître que la seule parole totalitaire d’une caste, celle de l’industrie pharmaceutique flanquée de ses complices du numérique régnant sans partage sur un monde prié de se soumettre à ses produits expérimentaux sans « consentement libre et éclairé » !
Un chercheur épidémiologiste de l’INSERM, Laurent Toubiana donnait le point de vue des scientifiques sur le sujet de la Covid-19 et sur les mesures adoptées par les Gouvernants, dans une interview réalisée par les « incorrectibles » du 9 janvier 2022. (Cf., également l’IRSAN/Toubiana, puis le site spécifique pour covid. https://youtube/JA2LnlOrbyA
Voir aussi : operanewsapp.com)
« Le principe de précaution s’applique aux technologies que l’on met en œuvre pour soigner ou protéger les gens dans le contexte de la santé publique », dit le chercheur.
Au début de la fausse pandémie les décideurs sont allés dans le délire du principe de précaution en décidant le confinement, et lorsqu’il fallait appliquer le principe de précaution sur la technologie qui serait utilisée (la « vaccination ») là, ils ont pris des risques considérables puisque cette technologie des « vaccins » est encore et toujours en phase de tests, et ces « vaccins » ne sont ni connus, ni vérifiés, ni assurés en termes d’efficacité !
Il est vrai que ces comportements sont difficiles à comprendre. Le conformisme est l’une des clés majeures qui permet d’analyser ce qui s’est passé dans cette crise hallucinante. C’est la peur qui est capable de pousser une personne à se conformer à une doxa convenue. Les collaborateurs du système font ensuite le reste quand ils s’affichent en vous disant qu’ils ont la compétence pour décider ce qui est votre bien et ce qui est votre mal !
Pendant la « pandémie » elle-même, en 2020, 5700 lits d’hospitalisation étaient supprimés !
Macron, en 4 ans, a supprimé 17.900 lits d’hospitalisation. Le coût de cette crise de délire s’est élevé à 424 milliards d’euros, ce qui représente pour chaque foyer fiscal français, une somme de 500 euros à payer tous les mois pendant 3 ans !
La déclaration de Macron voulant « emmerder » les Français, a ouvert les yeux de beaucoup de citoyens qui ont enfin compris qu’il était bel et bien entré par « effraction à l’Elysée ».
3 – Falsification des données et des chiffres
Le chercheur de l’INSERM, Laurent Toubiana, nous explique encore comment avec de vrais chiffres on arrive à donner de fausses informations ! Il s’agit d’une manipulation sémantique à propos de ce qu’est un « cas » détecté par « test ». Normalement, un scientifique regarde quel est le nombre de malades réels. Pour la Covid-19, on a regardé le nombre de « cas positifs », ce qui n’est pas du tout la même chose !
Voilà pourquoi, lorsqu’un chiffre ne convenait pas à la doxa gouvernementale, on changeait tout simplement les indicateurs d’analyse pour obtenir un changement sur les chiffres ! C’est tout ce qu’on veut sauf de la science…
Il est donc important de saisir que les chiffres n’ont pas été changés directement mais les indicateurs qui avaient une incidence directe sur les chiffres. Ici, on se souvient que, en France, le Dr Salomon, dans sa litanie quotidienne des morts, énumérait des chiffres cumulés. Or, ces chiffres cumulés ne pouvaient que croître et dès lors n’avaient d’utilité que celle de fomenter la peur !
La science ne fait jamais ce genre de chose, elle utilise toujours des indicateurs fiables et stables dans la durée, et ici, l’indicateur fiable était le nombre de malades vus en médecine de ville, afin d’en calculer le taux hebdomadaire pour 100.000 habitants.
En France, le réseau Sentinelle date de 40 ans : il portait un autre nom dans ses débuts. Ce réseau officiel comptabilisait en janvier 2022, 68 malades par semaine pour 100.000 habitants. Ce chiffre démontre, sans ambiguïté, que la Covid-19 est un phénomène insignifiant.
Il est bon de savoir, parole de scientifique, que la moyenne habituelle pour les épidémies de grippe (qui ont disparu), était de 500 à 600 malades par semaine pour 100.000 habitants.
Or, dans la semaine du 23 au 29 mars 2020, au moment du pic le plus élevé de la « pandémie », les données scientifiques réelles disent qu’il y avait en France 140 malades par semaine pour 100.000 habitants, sachant que ce chiffre n’a jamais été dépassé depuis lors, dit Laurent Toubiana à partir des données de la DREES et de Sentinelle –
Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques.
A partir de là, on peut donc honnêtement se poser la question : Qu’est-ce qui a piqué les autorités, pour qu’elles aient déclenché ce délire covidiste (confinement, masques, distanciation sociale, « vaccins » non obligatoires mais obligatoires quand même, commerces fermés, réunions interdites, produits interdits à la vente, contrainte des pass successifs, couvre-feux …etc) alors qu’on a toujours été objectivement très loin des chiffres d’une grippe normale ?!
Les données scientifiques de l’ATIH, (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation) à la disposition des chercheurs, disent : quand il y avait 40 malades par semaine pour 100.000 habitants, l’hôpital en prenait 13 en charge. En janvier 2022 nous sommes autour de 17 par semaine pour 100.000 habitants. Pour 100.000 habitants, il y a un parc de 580 lits d’hospitalisation. Cela veut donc dire qu’il y a 580 lits pour 17 malades ayant besoin d’une prise en charge. Finalement, on comprend pourquoi Macron a continué de supprimer des lits !
Malgré la réalité et l’objectivité des chiffres non contestables, Martin Hirsch, le Président de l’APHP, a pourtant déprogrammé massivement des interventions dans les hôpitaux sous prétexte « pandémique » ! Pour quelle raison réelle, compte tenu de la vraie situation ?
Les données scientifiques à la disposition des chercheurs de l’INSERM disent que c’est 2% de l’activité médicale hospitalière qui ont été consacrés à la Covid-19 pendant l’année 2020, selon un rapport de l’ATIH sorti en décembre 2021. Or, ce sont ces 2% de l’activité médicale consacrée à la Covid-19 qui ont justifié le confinement et toutes les autres mesures invraisemblables de la « crise sanitaire ». Pour réaliser cette folie, les autorités se sont appuyées sur le « danger de saturation de l’hôpital » !
Que chacun se demande en lui-même : pourquoi un tel mensonge ? Quel en était l’objectif ? Comment pouvait-on craindre une « saturation de l’hôpital » tout en supprimant des lits à la louche ?!
L’INSERM a examiné en détail les chiffres réels et l’Institut National Scientifique de la Recherche Médicale s’est aperçu qu’au moment le plus fort de la « crise » (lorsqu’on transportait par TGV, avions, bâteaux, bus, des malades vers les hôpitaux des régions moins « saturées », tout cela comme un spectacle pour les caméras de télévisions) l’activité médicale réelle en France représentait alors un pic maximum de 5% ! Les soignants en nombre largement insuffisant et mobilisés à outrance doivent savoir qu’on s’est moqué d’eux en long, en large et en travers…
Les autorités au pouvoir ont donc volontairement baissé l’activité médicale pendant toute cette période-là, sans aucun motif sérieux !
Des mesures avaient été prises soi-disant pour consacrer des lits aux malades potentiels de la Covid-19 qui allaient envahir les hôpitaux. Aucune évaluation n’avait été mise en place au moment des mesures prises afin de contrôler ces mesures et ainsi pouvoir éventuellement modifier leur impact négatif sur l’activité globale hospitalière. Résultat, ce fut un fiasco complet pour la France !
Les professionnels compétents comme les chercheurs de l’INSERM, prenant la parole pour dire que les analyses faites par leurs moyens scientifiques, démontraient l’inanité des mesures prises par les dirigeants, étaient aussitôt censurés, interdits de parole dans les médias. Des articles publiés par leurs soins ont été déclarés par les autorités et par les médias inféodés, « fakes news » ! Comment expliquer cela rationnellement ?
Les médias inféodés disent et répètent que 70% des hospitalisations aujourd’hui sont des « non vaccinés » ! Si l’on regarde les chiffres de la DREES nous voyons que les « non vaccinés » représentent plus ou moins 40% des hospitalisations et les « vaccinés » autour de 60% des hospitalisations.
Avant la « vaccination », il y avait en France 37% de gens hospitalisés et 8% en soins critiques. Après la « vaccination », on retrouve exactement les mêmes chiffres. Conclusion : que ce soit avant ou après, le résultat est le même ! Il faut donc admettre et dire clairement que ces « vaccins » ne servent à rien, ils sont parfaitement inutiles pour l’objectif annoncé. Ils sont probablement utiles pour un tout autre objectif, celui qui est expliqué dans le programme du « Great Reset ». La maladie de la Covid-19, quant à elle vit son bonhomme de chemin et va devenir une simple grippe comme les autres, une maladie endémique avec laquelle il nous faudra vivre. D’ailleurs c’est en substance ce qu’a déclaré précisément Pedro Sanchez le Chef du Gouvernement espagnol, indiquant en même temps que toutes les mesures de « l’état d’alerte sanitaire » seront levées dès le mois de février prochain.
Il est plus que temps d’abandonner la légende selon laquelle les injections, appelées à tort vaccins, préserveraient des formes graves de la covid-19, souligne Laurent Toubiana. Cette légende est fantaisiste, elle est totalement bidon et elle est aussi faite pour bercer les naïfs et les moutons conduits à l’abattoir par des loups.
On parle de « vagues de cas » mais pas de « vagues de malades ». C’est un artefact, on a changé la valeur des mots en parlant de « cas positifs » comme s’il s’agissait de malades !
Fergusson est un épidémiologiste qui propose des modélisations mathématiques prévisionnelles sur les maladies. Or, les modèles sont faits pour comprendre des phénomènes d’épidémies, mais en aucun cas pour prendre des décisions graves en termes de santé publique, comme confiner l’intégralité d’une population, en disant « si nous ne le faisons pas il y aura 500.000 morts supplémentaires dans le pays » ! C’est une aberration gigantesque et pourtant c’est ce que Macron a osé déclarer solennellement dans un communiqué aux français !
On aura tout vu et tout entendu dans cet épisode désastreux de la République française !
Selon Laurent Toubiana, il est impossible actuellement de publier une étude scientifique digne de ce nom sur la Covid-19. Si le discours n’est pas celui de la doxa convenue, il est aussitôt censuré, introuvable, inaccessible. Les menaces pleuvent également sur la personne qui ose publier une étude scientifique sérieuse. Toute étude bidon qui conforte la doxa convenue est autorisée… C’est un fait relevé par le collectif des chercheurs réunis à l’initiative de Laurent Mucchielli. De même, c’est également le témoignage de plusieurs chercheurs de l’INSERM qui ont refusé de se faire « vacciner » parce que c’était leur droit, mais qui ont été malgré cela sanctionnés, suspendus, évincés par Martin Hirsch et qui se retrouvent sans travail, sans salaire, dans une situation grave de précarité…
Concernant les mesures du gouvernement, il est clair que les évaluations n’ont pas été faites, puisqu’elles devaient être assurées par ceux-là même qui avaient décidé les mesures prises ! Si celui qui prend des mesures doit aussi les évaluer, il y a de fortes chances qu’il n’ira pas critiquer son initiative…
Sur le plan scientifique, les « états d’urgence sanitaire » sont des aberrations injustifiées parce qu’ils ne sont pas évalués.
4 – La peur et le néo-obscurantisme
Pourquoi les autorités se sont-elles amusées à faire peur aux gens ? Pourquoi persister dans l’irrationnel ? Où voulaient-elles en venir ?
Pourquoi un tel mensonge délirant dès le début de cette fausse pandémie car les chiffres sont là et ils sont têtus, même si la mise en scène des chinois était particulièrement efficace pour flanquer la trouille au reste du monde !?
Une personne rationnelle pense naturellement qu’on ne peut pas se baser sur un cas particulier pour imposer au monde entier des mesures disproportionnées et catastrophiques dans leurs effets destructeurs qui sont rapidement devenus pires que le mal qu’elles prétendaient combattre au point de départ.
On nous serinait alors avec un culot inouï, qu’il fallait peser l’enjeu, le fameux « Primum non nocere », d’abord ne pas nuire !
On sait aujourd’hui qu’il y a des pays comme la Suède qui n’ont absolument pas joué ce jeu pervers et qui n’ont pas eu à déplorer le désastre qui a sévi dans ceux qui se sont livrés à se délire covidiste.
La peur n’est jamais bonne conseillère dit-on, mais dans ce cas, elle a été pire qu’une mauvaise conseillère, elle a permis le désastre en règle de tout ce qui est humain pour le remplacer sans doute par ce qui est annoncé comme le transhumanisme à venir, dans le programme du FEM de Davos.
Aujourd’hui, le crime ne s’est pas limité à provoquer le désastre et la mort de bien des personnes innocentes, il est allé encore plus loin en déclarant que ceux qui ont respecté leur liberté de ne pas se faire injecter des produits expérimentaux, encore insuffisamment testés et connus, peuvent infecter et faire mourir ceux qui se sont faits injecter ces produits ! Là on est en plein irrationnel, dans un néo-obscurantisme : on s’est retrouvé dans les mêmes genres d’accusations, faites contre les Juifs, au moment de la peste qui sévissait en Europe en 1348. C’est le n’importe quoi, du moment qu’on saccage et qu’on détruit l’unité du peuple.
Ceux qui disent que les « non vaccinés » vont infecter les « vaccinés » et les mettre en danger, souligne le chercheur Laurent Toubiana, prouvent qu’ils n’ont aucune connaissance en épidémiologie et que tout cela est dramatiquement peu sérieux !
Tous ceux qui tiennent ce discours culpabilisateur et accusateur sont gravement irresponsables, d’authentiques criminels ou des inconscients dont l’inconscience prépare d’autres catastrophes prochaines à venir…
La déclaration de Macron voulant désormais consacrer sa présidence à « emmerder » les français qui refusent de se soumettre à sa tyrannie covidiste, en faisant simplement valoir leur droit à ne pas se faire injecter ces produits en phase de test jusqu’en 2023, est parfaitement sidérante et stupide. Déjà la manipulation sémantique devient insupportable lorsque cet homme, qui devrait être le président de tous les français, affirme sans scrupules que ces français récalcitrants sont des « anti vaxx ». Ceux qui refusent les injections de produits à ARNm en phase de test, ne sont pas des opposants aux vaccins, ce sont simplement des gens qui veulent donner leur « consentement libre et éclairé ». Il faut reconnaître que pour le moment un consentement n’est ni libre ni éclairé puisque les laboratoires ont refusé de fournir les études scientifiques sur le contenu des injections anti-covid, comme le rappelait le Monsieur Vaccin français successeur du Dr Salomon, dans son discours d’entrée en fonctions.
Rappelons également que les députés européens n’ont pas été autorisés à prendre connaissance, dans le détail, des contrats signés avec les laboratoires pharmaceutiques engageant pourtant des milliards d’euros d’argent public. Pourquoi donc ?
Ceux qui disent la vérité sont aussitôt menacés du Goulag. Ceux qui alimentent le mensonge de la narration covidiste au nom de « l’objectivité scientifique » sont décorés de la Légion d’Honneur !
Qu’on le sache bien : aucun scientifique n’est actuellement autorisé à publier des informations réellement scientifiques sur les questions qui gravitent autour de la Covid-19. Les Etats collaborateurs et gardiens attitrés de la précieuse « fenêtre d’opportunité », qu’est la fausse pandémie, veillent à l’extermination de tout chercheur qui oserait faire voir la vérité scientifique tournant autour de la fumisterie mondialiste sur le corona circus.
Tout cela nous indique clairement qu’on est loin des motifs sanitaires annoncés et que le véritable motif est soigneusement occulté, jusqu’à ce que le nombre des injectés soit suffisamment élevé.
Pourquoi vouloir « emmerder » ses concitoyens au motif que ceux-ci refusent de se soumettre à une injection dont on ne sait rien et, de surcroît, à une campagne mensongère, manipulatrice qui s’acharne contre un droit sacré et inaliénable, celui de la liberté vaccinale qui protège le corps des individus considérés par la loi comme inviolable. Si vous regardez de près tous les chiffres officiels du Gouvernement français, vous allez découvrir que c’est 46% des français qui ne sont pas « vaccinés », sans compter ceux qui ont refusé la troisième dose et qui sont venus grossir les rangs des non « vaccinés », ainsi que tous ceux qui ont allègrement pratiqué le faux « pass sanitaire » puis « vaccinal »…
5 – Le contenu des injections à ARNm
Nous savons aujourd’hui, grâce notamment à des chercheurs espagnols, japonais, Argentins, américains, dont on a déjà cité les noms dans des articles précédents, que des lots d’injections à ARNm ont révélé la présence d’oxyde de graphène.
Les démonstrations scientifiques ont été publiées, vérifiées et confirmées selon les règles convenues par les éditions scientifiques. On a déjà donné dans d’autres articles publiés sur mondialisation.ca les références de ces publications.
Ces confirmations ont aussitôt été niées par les autorités qui se sont contentées d’accuser comme d’habitude de « fakes news » ou de « complotisme », ces études scientifiques misérablement décrédibilisées, sans l’apport d’aucune argumentation contradictoire documentée !
Une simple évaluation sur les injections démontre qu’elles ne fonctionnent pas pour le motif imploré (anti-covid-19), puisque les produits injectés ne protègent pas des infections et ne protègent pas du risque d’infecter les autres.
Mais il y a pire encore : toutes les agences de pharmacovigilance occidentales et l’ANSM elle-même en France ont relevé un très grand nombre de manifestations d’effets secondaires gravissimes :
- Double pneumonie surtout par inhalation.
- Effondrement du système immunitaire naturel, inné et acquis.
- Goût métallique dans la bouche.
- Inflammations multiples.
- Inflammations des muqueuses.
- Milliers de mini caillots circulant dans le sang.
- Mouvements incontrôlables.
- Myocardites et péricardites possiblement irréversibles.
- Perte de l’odorat et du goût.
- Thromboses soudaines et imprévisibles pouvant entrainer :
- Aphasie,
- AVC,
- Cécité d’un œil ou des deux,
- Embolie cardiaque,
- Embolie pulmonaire,
- Paralysies,
- Surdité d’une oreille ou des deux…
Pourtant, malgré ces observations objectives, Macron veut « emmerder » ceux qui refusent de se faire injecter ces produits présentant un tel danger ! « Primum non nocere »
Il est désormais possible de se rendre compte que l’objectif recherché est bel et bien celui expliqué dans l’idéologie néo-féodaliste du « Great Reset » de Karl Schwab fondateur du Forum Economique Mondial de Davos qui vente la nouvelle ère du transhumanisme. Je renvoie le lecteur à l’analyse qui a été faite sur le contenu de la publication du « Great Reset », dans l’article de mondialisation.ca du 3 janvier 2022.
Si l’industrie pharmaceutique française a été tellement absente de cette histoire de « vaccins », c’est précisément parce qu’il ne s’agissait pas de vaccins. S’il avait été vraiment question de vaccins anti-covid-19, l’industrie pharmaceutique française avec l’Institut Pasteur, auraient tous les deux, été présents dans la bataille.
Dans cette affaire du covidisme, la communauté scientifique internationale a été maltraitée et humiliée, car elle a perdu pour longtemps sa crédibilité gravement mise à mal par une classe de responsables assoiffée d’argent et de pouvoir…
Jean-Yves Jézéquel
Lire la deuxième partie :
Paroles de scientifiques sur la COVID-19: Le choc du constat, le 4 février 2022