Pas d’autre choix que le confinement?

D’autres choix existent ! Le confinement n’était pas la seule solution !

Analyses:

Le 17 mars 2020, la Première Ministre Sophie Wilmès annonce le confinement total de la Belgique [1]. Le gouvernement fédéral belge avait déjà pris des mesures de confinement partiel le 12 mars 2020.

C’est également le 17 mars à midi que la France d’Emmanuel Macron est placée sous cloche sanitaire [2].

C’est le cas de beaucoup d’autres pays de par le monde, sur tous les continents [3].

Beaucoup de gens, dont des médecins encouragent le confinement. C’est vrai en Belgique comme ailleurs, dans le monde, mais pas tous les médecins.

En fait, il y a même beaucoup de scientifiques, médecins, professeurs, universitaires de tous horizons et de tous pays qui critiquent ce confinement planétaire :

Un pneumologue dénonce le confinement obligatoire dans des résidences pour aînés, à Saguenay au Québec. 

Lisez cet article, c’est plein de bon sens.

« Beaucoup se demandent si les mesures de prévention contre le coronavirus imposées par le gouvernement du Québec vont trop loin. Le pneumologue de Saguenay, Christian Allard, est d’avis que oui, particulièrement celles qui touchent les personnes en résidences privées pour aînés. »

Un épidémiologiste américain dit que le coronavirus pourrait être stoppé en allégeant le confinement, à New-York aux États-Unis.

« Knut Wittkowski, précédemment directeur du Département de biostatistiques et d’épidémiologie à l’Université Rockefeller à New-York a dit lors d’une interview, que le coronavirus pourrait être exterminé si nous permettions à plus de gens de mener une vie normale et si nous protégions principalement les plus vulnérables jusqu’à ce que le danger soit passé. »

Selon le professeur allemand Gérard Krause, épidémiologiste, le confinement provoque une augmentation de la mortalité

« Gerard Krause est professeur en épidémiologie et chef du département au Helmholtz Centre for Infection Research. Il alerte sur le fait que les mesures de confinement pourraient provoquer plus de décès que le virus lui-même. Nous devons maintenir ces mesures aussi courtes et aussi légères que possible, car elles pourraient éventuellement causer plus de maladies et de décès que le coronavirus lui-même. »

Le docteur Sucharit Bhakdi, microbiologiste, un des chercheurs les plus cités de l’histoire en Allemagne :

« Les mesures anti-COVID 19 (confinement) sont grotesques, absurdes et très dangereuses…On est en train de réduire l’espérance de vie de millions de personnes. Tout cela aura un impact profond sur l’ensemble de la société.«  

Vidéo de son interview, en allemand, sous-titres en français : COVID-19, s’est-on trompé ? (Pr Bhakdi)

Le Dr Sucharit Bhakdi est professeur émérite de microbiologie médicale à l’université Johannes Gutenberg de Mayence. Le 26 mars 2020, il écrit une lettre ouverte à la chancelière allemande, Angela Merkel, l’équivalent allemand de notre Sophie Wilmès en Belgique.

Allemagne : Pour une réévaluation urgente de la réaction à la Covid-19

Le professeur Bhakdi demande une réévaluation urgente de la réaction à la Covid-19 et pose cinq questions cruciales à la chancelière.

De la même façon, un collectif citoyen belge composé de 6 personnes dont trois médecins (Flandre, Wallonie, Bruxelles) a interpellé Sophie Wilmès et le gouvernement belge :

Questions au gouvernement belge sur le coronavirus, le confinement et les futurs vaccins

La lettre a été envoyé le 13 avril à la Première Ministre et jusqu’à présent, elle n’a toujours reçu aucune réponse. Beaucoup de citoyens belges, dont des médecins, soutiennent pourtant cette démarche citoyenne.

Et cela continue.

Pour ma part, j’ai recensé les témoignages de pas moins de 30 experts dans le domaine de la santé, connus mondialement pour certains, qui critiquent les mesures gouvernementales de confinement qui ont été décidées dans les pays comme la Belgique ou la France [4,5,6]. Et cette liste n’est pas exhaustive.

Beaucoup de gens, de scientifiques et de médecins, sans parler des journalistes, ne font que répéter les consignes gouvernementales, tels des perroquets, sans investiguer plus avant.

On voit bien qu’on trouve des épidémiologistes éminents aussi bien dans le camp pour le confinement aveugle et total, que dans le camp anti-confinement. Toutefois, comme souvent, une telle vision est un peu manichéenne.

Ce qui est certain, et je partage cet avis, c’est que la solution du confinement aveugle, total et prolongé n’aurait pas dû être prise à la légère. Elle aurait dû être confrontée à ses problèmes spécifiques, dont certains prédisent qu’ils entraîneront une mortalité et une morbidité bien supérieure au COVID-19 !

Je suis assez furieux sur les médias « officiels » en Belgique ou en France (bien que leur attitude suiviste ne m’étonne plus), de ne pas répercuter ces informations afin que les gens aient une vision plus réelle, plus vraie de la situation.

C’est d’ailleurs pour cela, à tort ou à raison, que nombre de citoyens qui ne sont pas des journalistes professionnels font eux-mêmes leur propre travail d’investigation.

Car la réalité est qu’aujourd’hui, contrairement à ce qui est sous-entendu dans les médias officiels, relais des officines gouvernementales qui disposent pourtant déjà de porte-paroles, il n’existe pas de consensus médical ou scientifique sur le confinement.

Il y a bien des scientifiques qui ne croient qu’au confinement prolongé et généralisé, c’est vrai, mais il y a aussi des scientifiques dignes de foi, qui critiquent ce point de vue.

Entre les deux camps, il y a tous les gens, tous les médecins non épidémiologistes, non virologues, non infectiologues ou tout simplement les scientifiques conformistes par nature qui ne font répéter ce qu’on leur dit.

Puis, minoritaires, il y a quelques médecins comme moi, qui ne détiennent pas la vérité, mais qui réfléchissent, cherchent par eux-mêmes et investiguent. C’est ainsi que personnellement, j’ai découvert des prises de position alternatives et pourtant très fiables et argumentées.

La vision épidémiologique de la crise du coronavirus

J’aime assez la définition du Dr Michel de Lorgeril, médecin, épidémiologiste, chercheur au CNRS [7] (Centre national de la recherche Scientifique en France). 

Ce médecin a conduit et publié de nombreuses études épidémiologiques. Après 40 années passées en compagnie des meilleurs épidémiologistes de la planète, il affirme [8] :

« L’épidémiologie est une discipline scientifique faible qui ne permet jamais de répondre fermement à des questions compliquées. »

« L’épidémiologie permet certes de soulever des questions importantes mais pas d’y répondre. »

Évidemment, il sera facile de trouver un autre épidémiologiste de renom pour désavouer cette affirmation.

Toutefois, pour moi, dans les pays adeptes du confinement généralisé, il existe aujourd’hui une vision exclusivement épidémiologique avec modèles mathématiques.

Il existe une autre vision de la médecine, humaine.

Ces deux visions ne possèdent pas la même grille de lecture des événements.

En médecine de terrain, et ma spécialité, les soins intensifs, en fait partie, lorsqu’un remède apporte plus de mortalité/morbidité que le problème qu’il est censé traiter/soigner, alors on laisse tomber ce remède. On le met de côté. Tant pis.

Ce n’est pas une vision épidémiologique des choses, c’est une vision médicale pragmatique, de terrain.

En Belgique aujourd’hui, les médias, relais sans filtres des instituts scientifiques gouvernementaux, nous abreuvent de données épidémiologiques, de bilans, de décomptes, mais je n’entends jamais, dans ces voix « officielles », dans les ces médias mainstream de discours de fond, avec des projections à moyen et long terme sur la portée humaine du confinement.

Des projections en termes de décès et de maladies non pas immédiates, dues à ce virus (ou pas d’ailleurs, voyez la fin de l’article), mais causées à terme par l’angoisse, le stress, la solitude, le désespoir, et toutes les maladies chroniques (obésité, diabète, maladies cardiovasculaires qui sont la première cause de décès dans le monde, 17,79 millions en 2017 [9]) favorisées par ce confinement. Car la prise en charge de toutes ces maladies est aujourd’hui délaissée.

Voilà une partie du problème dans ce confinement généralisé décidé par certains gouvernements : au-delà de corruptions, compromissions avérées ou non, c’est d’avoir choisi la seule lentille de l’épidémiologie et de la virologie pour prendre des décisions.

Lors de mes recherches sur la composition des différents conseils scientifiques belges sur le coronavirus, cela m’a frappé aussitôt. Il n’y figure que des épidémiologistes, virologues, des médecins qui gèrent davantage des microscopes et des tableaux, des chiffres, des statistiques, plutôt que des êtres humains, des vrais patients en chair et en os [10].

Évidemment, de tels spécialistes sont indispensables à de tels comités et conseils. 

La question est : ne manque-t-il pas des représentant de la médecine de terrain, de la science humaine ?

Si.  Et c’est une grave lacune.

Tous les pays n’ont pas confiné leur peuple de la même façon.

Voilà une autre information non relayée par nos médias « officiels », ou très peu.

Un autre angle d’attaque est d’aller voir du côté de ces pays qui ont rejeté le confinement à la belge ou à la française, sans pour autant rencontrer de désastre sanitaire.

Voici au moins deux exemples, un européen, un asiatique :

La SuèdeConfinement – « Ce n’est pas la Suède qui mène une expérience de masse. Ce sont tous les autres pays »

Première phrase : « Pas de confinement, s’il vous plaît, nous sommes suédois. C’est une question de liberté, pas d’épidémiologie. »

J’adore cette vision, d’entrée de jeu, l’épidémiologie, vue par la Belgique ou la France comme la seule grille de lecture, n’est pas la seule grille de lecture des événements !

C’est grave de ne pas répercuter ces informations à un peuple, afin qu’il puisse choisir en toute liberté, comme dans une vraie démocratie ! 

En Belgique, en France, au Canada, au Québec, on fait peur, on infantilise, on culpabilise et on confine.

On emprisonne !

Le JaponRester libre dans un monde en crise : l’exemple du Japon

Le Japon a réussi ce tour de force sans imiter la Corée du Sud et sans jouer à la police avec sa population ! 

Le Japon et la Suède donnent une leçon de démocratie à des pays comme la Belgique, la France ou le Canada !

Décès dus au Covid-19 et tests

L’un des principes, en plus de la peur, utilisés pour justifier le confinement est le nombre de décès imputés à la maladie Covid-19.

Pourtant, les statistiques d’infection et de décès sont surestimées.

Je connais le témoignage d’un directeur de maison de repos (hébergement pour personne âgée, EHPAD en France), qui veut garder l’anonymat. 

Selon cet homme, il arrive qu’une seule et même personne âgée, symptomatique d’une infection respiratoire, soit encodée 3 fois pour le COVID-19 !

Dès la suspicion d’infection COVID-19, alors que la symptomatologie n’est pas spécifique et que la grippe par exemple n’a pas disparu depuis l’arrivée du coronavirus, le patient est quand même encodé dans le registre national comme COVID-19.

Lors de son passage aux urgences pour réaliser un test diagnostique par PCR, il est réencodé à nouveau dans le registre national comme COVID-19.

Et lorsqu’il revient à la maison de repos, la direction doit encore le réencoder COVID-19, une troisième fois donc. 

Multipliez cela par le nombre de personnes âgées qui toussent ou ont de la fièvre dans les maisons de repos de Belgique !

Dans quel pays sommes-nous (Belgique) pour que ce directeur de maison de repos, pourtant outré par de telles procédures auxquelles il est forcé, n’ose pas révéler son nom ni cette supercherie. 

Toutefois, je le comprends. 

Moi-même qui écris sous mon véritable nom, j’ai parfois peur pour ma famille, pour moi-même.

Quelle fraude statistique !

Aujourd’hui, toute personne décédée avec un tableau clinique suspect de COVID-19, même s’il n’est pas confirmé de façon formelle, est encodé « décès COVID-19 ».

C’est le cas dans d’autres pays, comme ici, aux USA :

Des certificats de décès COVID-19 manipulés

La Dr Annie Bukacek est médecin agréée en médecine interne. Elle pratique la médecine depuis plus de 30 ans, principalement au Montana, aux USA.

« Le CDC (Center for Disease Control and Prevention [11]) compte à la fois les vrais cas de COVID19 et les suppositions spéculatives de COVID19.

Ils surestiment automatiquement le nombre réel de décès de leur propre aveu. »

Les tests sont également source d’erreurs.

Nous utilisons un type de test appelé RT-PCR (rapid test-polymerase chain reaction) [12].

Ce test recherche des gènes du virus caché dans les cellules prélevées sur le patient, par un écouvillonnage nasopharyngé ou buccopharyngé (dans le fond de la gorge). Une technique d’amplification permet de détecter de très petites quantités de séquences génétiques propres au virus du COVID-19 (SRAS-CoV-2).

De source sûre :

« …Il faut savoir que la sensibilité du test n’est que de 60%, ce qui veut dire que dans 40% un test négatif est un faux négatif potentiel, n’identifiant pas un réel porteur et ce chez des personnes pourtant symptomatiques. »

Cela a été mon cas personnel.

J’ai été symptomatique au mois de mars : fièvre légère, encombrement nasal léger mais surtout fatigue extrême et céphalées continues et violentes-ce que je n’avais jamais eu jusque-là, pendant 5 jours de suite. Pourtant, mon test s’est révélé « négatif ». 

Étant soignant, en première ligne, je me suis mis en quarantaine moi-même et j’ai repris le travail après 7 jours.

« Dans une population de personnes asymptomatiques, s’il est plus difficile de déterminer la fiabilité de ce test, elle est encore plus basse » ! »

Sensibilité < 60% !

Sensibilité encore inférieure chez les asymptomatiques.

Pour revenir à cette notion de symptômes du COVID-19, pour être clair, il faut savoir, comme avec le SRAS-CoV-1 de 2003, que le virus peut infecter une personne sans provoquer de symptômes. Celle-ci est déclarée asymptomatique.

Dans un deuxième groupe de porteurs, le virus engendre des symptômes légers à modérés (comme pour moi), avec un syndrome aspécifique.

Ce syndrome peut aussi bien être retrouvé dans des infections à rhinovirus (rhumes) qu’à influenza virus (grippe avec fièvre et douleurs musculaires). 

Cela peut déboucher sur un syndrome respiratoire avec toux, éternuements, crachats, difficultés respiratoires modérées. 

Alors qu’un tel tableau peut être causé par tout un tas de virus, aujourd’hui, on attribue et on gère ce tableau clinique exclusivement comme étant dû au COVID-19 !

Il faut savoir que dans un troisième groupe de personnes, majoritairement les personnes âges, immunodéprimées ou porteuses d’une maladie chronique ou plus (diabète, obésité, hypertension artérielle, maladie respiratoire…), mais pas seulement, le virus entraîne un syndrome respiratoire aigu particulièrement redoutable, potentiellement mortel, qui mène aux soins intensifs.

Probablement que toutes les mesures de prévention possible, comportant notamment l’apport de Zinc, de vitamines, de médicaments comme l’hydroxychloroquine ou l’azithromycine, ont de l’intérêt avant l’orage immunitaire qui entraîne l’emballement de la maladie respiratoire conduisant aux soins intensifs, voire au décès.

Pour revenir aux tests PCR, cette fiabilité très relative des tests pose question.

Il est décrit également, mais cela reste à confirmer, que ce virus mute particulièrement vite.

14 questions-réponses pour trier le vrai du faux sur le coronavirus

6 – Le COVID-19 peut-il muter ?
Oui. Le COVID-19 a déjà muté 2 fois (4). Il existe donc 3 variants du virus : A, B et C. La souche originale (A) a muté pour donner le variant C, et le variant C a donné le variant B.

Ce site va même plus loin :

Covid-19 : le virus mute tous les 15 jours !

« Le Sars-CoV-2 aurait muté plusieurs fois, selon les dires du Pr Jean-François Delfraissy [13], Président du Conseil Scientifique Covid-19. C’est par sa mutation que le coronavirus a pu contaminer la planète entière. »

Vaccin

Cela me laisse d’ailleurs pantois, éberlué, choqué quant aux déclarations de diverses autorités mondiales [14], européennes [15] ou nationales [16], sur la nécessité d’un vaccin pour lever ce confinement mortifère, ou sur la possibilité d’avoir rapidement un tel vaccin efficace et surtout, sans dangers !

Quel mensonge !

Coronavirus : les dangers d’un vaccin élaboré à la hâte

« Face à l’urgence, les scientifiques appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux. Une stratégie louable mais qui pourrait s’avérer, au mieux, contre-productive, au pire causer des morts. »

Coronavirus : court-circuiter les étapes vers un vaccin ?

« En temps normal, le développement d’un vaccin peut prendre de 15 à 20 ans…

À quel moment le fait de court-circuiter les étapes dans le développement d’un vaccin contre le nouveau coronavirus devient-il dangereux ? Déjà, certains chercheurs sont en train de passer outre à l’étape des tests sur des animaux. »

Mais cela mériterait un nouvel article.

Dr Pascal Sacré

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Sources :

[1] Le 17 mars la Belgique se préparait à entrer en confinement, par Grégoire Ryckmans et Aurélie Fogli, rtbf.be

[2] Coronavirus : retour sur un mois de confinement en France, europe1.fr

[3] Coronavirus : quels sont les pays confinés ? Alors que l’Europe est désormais l’épicentre de la pandémie du nouveau coronavirus, des pays du monde entier, sur les traces de la Chine, décident d’un confinement total. Tour du monde des pays confinés.

[4] 12 Experts Questioning the Coronavirus Panic, 12 experts s’interrogent sur la panique du coronavirus

[5] 10 MORE Experts Criticising the Coronavirus Panic, 10 autres experts critiquent la panique du coronavirus

[6] 8 MORE Experts Questioning the Coronavirus Panic, 8 experts de plus s’interrogent sur la panique du coronavirus

[7] Le CNRS dépasse les frontières de la connaissance

[8] Analyse scientifique de la toxicité des vaccins, Dr Michel de Lorgeril, éditions Chariot d’Or, 2019, page 21.

[9] Causes of Death in the World

[10] Depuis le début de cette pandémie, les autorités politiques ont pris des décisions basées sur les recommandations des experts sanitaires en la matière.

[11] CDC Organization

[12] RT-PCR quantitative – qRT-PCR

[13] Jean-François Delfraissy. L’homme de la situation

[14] Coronavirus: seul un vaccin pourrait permettre une « normalité », selon le chef de l’ONU

[15] « Sans vaccin, il faut limiter autant que possible les contacts des seniors », explique sa présidente, Ursula von der Leyen. Présidente de l’Union Européenne, Coronavirus : l’UE veut confiner les personnes âgées au moins jusqu’à la fin de l’année (2020).

[16] Coronavirus: le confinement doit durer jusqu’à l’arrivée d’un vaccin, «pendant 18 mois ou plus», selon des chercheurs anglais



Articles Par : Dr Pascal Sacré

A propos :

Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995, à l'Université de Liège. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il a travaillé en milieu hospitalier, en soins intensifs principalement, pendant 18 ans sans que rien ne lui soit jamais reproché. Dans son service, il a travaillé à l'élaboration d'un protocole de gestion de la douleur, de la sédation médicamenteuse et des complications neurologiques de type delirium, protocole retenu par de nombreux pairs d'autres hôpitaux. Licencié en 2020 de l'hôpital où il travaillait depuis 9 années, en raison de prises de position contraires à la politique de santé officielle et d'un conflit avec la direction à propos de la crise COVID-19, il a continué à défendre son point de vue malgré l'adversité (licenciement sans indemnités, convocation au poste de police, diffamation dans la presse, mise sur liste noire dans tous les services de soins intensifs belges malgré la reconnaissance de sa compétence et de son professionnalisme, invisibilisation). Il a retrouvé en 2021 un poste d'anesthésiste-intensiviste au centre des grands brûlés, à l'hôpital militaire, en Belgique. Ce centre dépend du ministère de la défense et non directement du ministère de la santé. Le docteur Sacré s'est formé à l'Université de Liège (professeur M-E Faymonville) en hypnothérapie en milieu médical. Intéressé par tout ce qui peut aider son patient à aller mieux, le docteur Sacré considère que rien ne peut être à priori rejeté, comme l'ajout de médecines naturelles aux pratiques chimiques reconnues en milieux hospitaliers, ou à l'inverse, à priori considéré comme un dogme intouchable comme la vaccination. Tout mérite ouverture d'esprit, tolérance, curiosité et recherche honnête, avec humilité et bonne foi. Son mantra : "pensez par vous-même". Le docteur Sacré, afin d'aider chaque personne à reprendre en main sa santé sans attendre que des milieux intéressés le fassent, donne des formations à la gestion du mental, des émotions, du stress au moyen des outils qu'il a lui-même appris (cohérence cardiaque, respiration, langage, autohypnose) et organise des ateliers sur des thèmes de santé comme la digestion, les glandes endocrines (thyroïde, surrénales...), les nerfs vagues, dans un langage simple et accessible à tous. Son site internet : www.pascal-sacre.be et le mail associé : [email protected] Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.

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