Publication de l’essai Pfizer sur la sécurité des injections pour les femmes enceintes : des effets indésirables inquiétants

Analyses:

Pfizer vient enfin de publier son rapport sur les effets indésirables des injections pour les femmes enceintes. Il était temps vu qu’on les vaccine depuis 2 ans. Et on comprend pourquoi quand on voit les résultats.

Ainsi, on constate au point 16 que 6% des bébés dont les mères ont été injectées ont des malformations congénitales… contre 3,6% dans le groupe placebo.

Il y a donc une hausse de près de 100% des malformations congénitales…

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Au point 19, on note que 5,1% des bébés dans le groupe vaccinés ont eu des effets secondaires graves (comme des anormalités congénitales et des retards de développement)… contre 1,3% dans le groupe placebo.

Cela représente une hausse de 292%!

 

On pourrait continuer encore assez longtemps comme ça. Bref, ces « vaccins » sont-ils surs et efficaces? Devait-on vacciner les femmes enceintes? Le tout alors qu’il s’agit des propres données du fabricant, dont on sait qu’il a manipulé le test initial (il n’y avait par exemple pas de double aveugle) et que c’est un multirécidiviste (il a été condamné à des milliards d’amendes pour manipulation, charlatanisme, etc.).

On sait aussi depuis longtemps que les femmes enceintes ne doivent prendre aucun médicament, même pas un cachet d’aspirine. Il y a notamment eu le scandale de la Thalidomide ou encore le Distilbène. C’est aussi faire fi du biais du survivant, une manipulation qui permet d’améliorer les statistiques.

Rappelons également que le placebo n’est probablement pas une solution salée mais un autre vaccin, déclaré « sur et efficace ». Par exemple, le placebo utilisé dans l’essai d’AstraZeneca était le vaccin contre la méningite… qui serait l’un de ceux qui ont le plus d’effets indésirables. Cela permet de réduire l’écart entre les deux produits et de déclarer « sur » un « vaccin » qui ne l’est peut-être pas. Ou en tout cas pas autant qu’on voudrait bien nous le dire.

Bref, avoir autorisé l’inoculation d’une substance expérimentale pour les femmes enceintes sans données était un pari pour le moins extrêmement risqué.

Le test n’a porté que sur un peu plus de 300 femmes enceintes qui sont arrivées à terme. Qu’en est-il des fausses couches et des mortinaissances? Les résultats seraient sans doute encore plus catastrophiques.

Est-il alors étonnant de constater une baisse aussi marquée des naissances?

Rappelons que les autorités n’ont eu de cesse de faire la promotion de l’injection des femmes enceintes comme en témoignent ces campagnes publicitaires.

Celle-ci date de novembre 2021:

 

Santé Canada continuait en mai 2022 :

 

Même chose en France :

 

Les autorités doivent s’expliquer.



Articles Par : Collectif REINFO

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