Quelles valeurs révèlent les sondages?
Les sondages donnent l’impression d’être des valeurs sûres. Offrent-ils réellement des points d’appui ou ressemblent-ils plutôt à des sables mouvants dissimulant les forces qui animent les êtres humains soumis aux lois de la nature ?
En fait, les sondages sont issus d’un mode mathématique de procéder qui dépend de ceux qui les mettent en mouvement, choisissent des données bien codifiées et sont animés de leurs intentions et de leurs motivations bien définies.
Que représente le sondage effectué à la fin du mois de septembre, décrétant que deux tiers des Suisses soutiennent l’extension du certificat Covid? Il y est expliqué : Notre sondage montre une large adhésion à l’élargissement du pass sanitaire, ainsi qu’à la fin de la gratuité des tests. On peut lire aussi : 57% des sondés ont répondu «oui» et 10% «plutôt oui. … Il a été réalisé du 24 au 26 septembre auprès de 12’743 personnes de toute la Suisse, dont 3576 Romands. La marge d’erreur est de +/- 1,5%.
Des êtres humains qui traversent une période imposée dans ses grandes lignes par le gouvernement depuis plus de 18 mois sont ainsi réduits à des «sondés» sur des concepts très précis. Ils jouent le jeu sans tenir compte de la portée de tout ce que véhiculent les brèves questions focalisées sur des notions déconnectées de leurs contextes.
Le seul élément qui définit ces «sondés» est leur situation géographique de part et d’autre du rösti-graben.
Ainsi, la rencontre avec des entités humaines se limite à un acquiescement en positif ou négatif sur les questions posées. Ces personnes acceptent de n’être considérées que par leurs brefs avis et de plus sans conscience de ce qui sera élaboré avec.
Aller à la rencontre du peuple, c’est aller à la rencontre d’un ensemble d’individualités, en tenant compte de la richesse de chacun, véritable micro-univers, par conséquent multidimensionnel. De même, la santé s’appuie sur de multiples facteurs. Or actuellement, alors que le coronavirus révèle beaucoup de facettes des habitants, le service de santé publique se limite à viser la vaccination pour tous, sans tenir compte que les organismes tant physiques que mentaux réagissent de façon très personnelle à l’injection génique. De plus, la politique veut contracter sa démarche dans l’établissement d’un certificat covid, ou un passeport covid, imposant des obligations qui dépassent les dimensions de la «vaccination».
Par ce sondage, on pourrait questionner sur les raisons qui incitent à entrer dans le processus dit vaccinal : est-ce vraiment pour se préserver d’une infection ou pour voyager, continuer son travail ou fréquenter des lieux publics ? De telles raisons éloignent clairement l’individu de la responsabilité de sa santé physique. Il serait fort intéressant d’amener chaque interpellé à répondre quant à sa perception du produit génique utilisé, injecté en forçant avec une aiguille la barrière naturelle de la peau, produit dont la composition est celle de divers excipients et adjuvants. Quant à tous ceux qui donnent leur avis, se sont-ils instruits sur les effets de ces produits dans les différents organes de leur corps, d’autant plus que certaines de leurs vulnérabilités leur sont inconnues ? Sont-ils conscients que l’état de santé globale est un équilibre entre de multiples facteurs et non pas dépendant de l’immunité face à un seul microorganisme ?
Sur un autre plan, sont-ils conscients à quel point ils se soumettent aux décisions du gouvernement dont l’Office Fédéral de la Santé Publique est le porte-parole, représenté par son bulletin hebdomadaire? Il est intéressant de constater que depuis des mois, ce sont toujours 3 pages entières, avec couleurs, qui rappellent les mesures sanitaires qui, pour une part non négligeable, sont décriées pour différentes raisons. De plus, en focalisant notre attention sur la notion de «comment nous protéger» elles évacuent tous les moyens de renforcer notre système immunitaire nécessaire pour nous dresser face à diverses agressions de l’existence. Dans le dernier numéro, après 3 pages consacrées aux déclarations des maladies infectieuses bien connues et retrouvées comme chaque semaine, nous lisons les informations concernant les rappels de la «vaccination covid», basées sur des chiffres donnés par Israël, sans tenir compte de toutes les implications sanitaires sur cette population-là. Le reste du bulletin comprend encore 4 pages de rapport de la commission fédérale pour l’analyse génétique humaine 2020 et une autre page avec un paragraphe concernant 2 vols d’ordonnance. Un sondage de la population pourrait investiguer si la population attend une prise en main plus élargie de la santé publique. Je précise que plusieurs numéros sont encore moins fournis que le no 39/2021.
Un sondage pourrait s’intéresser aussi à nos connaissances du système immunitaire. Quelles études avons-nous déjà lues? Que savons-nous de la valeur de l’immunité naturelle versus l’immunité vaccinale. L’article cité est long ; il démontre ainsi la complexité du système immunitaire dont il vaudrait la peine de tenir compte avant de tout restreindre à des quotas de chiffres à atteindre.
Autre question judicieuse: pensez-vous qu’il est opportun de miser autant sur la vaccination tant par l’ingénierie sociale que par les sommes investies alors que maints facteurs, de la conception de ce vaccin encore à l’essai à la connaissance de l’évolution de ce coronavirus, sont loin d’être connus ?
Peut-on vraiment affirmer que son utilité est incontestée alors que plusieurs paramètres sont en jeu au niveau des patients et du micro-organisme ?
Que percevez vous face à l‘investissement maximal de cette offensive (qui) se montera à 150 millions de francs. Pensez-vous qu’il est justifier de le comparer aux 50 millions de francs dépensés chaque semaine pour les tests plutôt que de remettre en question l’usage et la valeur de ces tests qui, du reste, sont contestés par différents scientifiques de terrain comme l’explique un physicien et philosophe des sciences : supercherie des tests PCR ?
Quels investissements en personnes et en temps estimeriez-vous plus appropriés pour des projets autres que cette campagne de vaccination organisée pour la durée d’une semaine ? Les communes et les organisations sportives ou religieuses y participeront aussi. Une hotline est également prévue. Pour toucher les citoyens, 170 bus de vaccination supplémentaires prendront la route durant plusieurs semaines et s’arrêteront sur la place du village, sur le terrain de foot, devant les écoles ou les discos…..et des conseillers directement auprès des personnes non vaccinées. Ces 1700 travailleurs seront joignables également par téléphone et sur les médias sociaux.
Pensez-vous que l’avenir de la santé publique soit dans la Troisième dose de Pfizer ( on pense déjà à la quatrième) validée pour les plus de 18 ans en Europe
Etes-vous aussi partagés que les professionnels sur la vaccination contre la Covid des moins de douze ans ?
Quelle(s) expérience(s) personnelle(s) ou de vos proches avez-vous sur les effets secondaires et la mortalité des «vaccins» ? Il y a bien à dire puisque le rapport cité couvre 52 pages…
Que pensez-vous de la place de la Suisse dans l’agenda mondialiste du Great Reset ? Estimez-vous correct de dire que Le choix des personnes qui refusent de se faire piquer sera respecté, précise le Conseil fédéral alors qu’il impose tant de limitations des libertés au niveau professionnel et social ? Ne s’agit-il pas là d’un tour de passe-pass?
Que distinguez-vous dans les méandres cérébraux du Pape François qui donne la priorité à la vaccination plutôt qu’à la ferveur et la fidélité de ses gardes suisses ? Il est intéressant de mentionner que ce nouvel article de «foi covidiste» s’exporte jusque dans les diocèses américains.
Quelle valeur donnez-vous aux médicaments – à base de molécules issus de la technoscience médicale – versus aux remèdes – mélanges de différents composants naturels- connus de longue date?
Partagez-vous le constat que l’État demeure trop présent dans le milieu de la santé, ce secteur est sous le contrôle de hauts fonctionnaires suivant une logique bureaucratique ?
Avez-vous songé qu’une autre stratégie eût été possible ? Justifie-t-elle d’avoir conduit aux pénuries ? Des pénuries qui se multiplient: l’économie suisse est en état de manque.
Quelle valeur donnez-vous aux aînés ? Quelles connaissances avez-vous des 3e et 4e âges ? Estimez-vous que les mesures sanitaires les ont respectés dans leurs besoins fondamentaux ?
Comment percevez-vous l’équilibre entre l’éviction des soignants non vaccinés et la privation de forces vives et constantes dans divers centres de soins ?
Estimez-vous que les médias officiels relatent la réalité globale en vue de couvrir tant la dynamique politique que celle du peuple ?
Le Briefing du Temps le 6 octobre informe : Dans les écoles de la Péninsule, le masque est obligatoire dès 6 ans et le passeport vaccinal exigé de tout le corps enseignant – de la crèche à l’université. Résultat: 93% des employés de ce secteur sont aujourd’hui vaccinés. Et le sujet ne fait plus débat. Comment peut-on décréter depuis la Suisse que le sujet ne fait plus débat`? Quand les manifestations grossièrement visibles ne se voient plus, c’est que le sujet mature dans d’autres dimensions : Les Italiens ont compris qu’ils sont confrontés à un choix : sauvegarder leur vie sociale ou sauver leur vie. Ils ont aussi compris que tout n’est pas publié : Et chez les gens rationnels, ce choix est vite fait car le nombre de thromboses explose et beaucoup subissent des effets secondaires qui vont de la paralysie aux AVC, aux myalgies, aux arthralgies aux accouchements prématurés ou au dysfonctionnement des règles menstruelles.De plus, ils doivent aussi créer de nouveaux modes de réaction quand ils découvrent La folie covidienne en action sur les plages romaines : Big Brother is watching you
Comment considérez-vous la censure de médias par You tube ? YouTube ferme définitivement la chaîne de vidéos de Médias Presse Info
Et le plus fondamental : quelle valeur donnez-vous à la santé qui se manifeste à travers votre corps, votre âme et votre esprit?
Marie-France de Meuron
Marie-France de Meuron : Diplôme Fédéral de Médecine obtenu en 1973, Grand-mère de deux petites-filles majeures, Retirée dans le Canton de Neuchâtel en Suisse.