Racisme d’Etat, Empire-Mafia… l’aube d’un «nouveau Mexique»
Infolettre du 9 mars 2019
Sélection d’articles :
L’inculture d’un président cache mal un racisme d’Etat
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, 06 mars 2019Le sujet est trop grave pour ne le traiter que distraitement. En France, la polémique redondante autour de l’antisionisme assimilé par des responsables du gouvernement au sommet duquel le président lui-même, à une forme nouvelle d’antisémitisme, devrait pousser tout citoyen lucide et critique à mettre les points sur les « i » en rappelant le gouvernement à la raison et la retenue.
La tragédie vénézuélienne: les États-Unis projettent un nouveau coup d’État en Amérique latine
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, 06 mars 2019Washington mène une opération de grande ampleur visant à renverser le gouvernement légitime du Venezuela. Afin de promouvoir leurs intérêts dans la région, les pouvoirs étasuniens envisagent d’aller jusqu’à l’assassinat du président Maduro.
Pourquoi l’aboutissement des revendications des Gilets-Jaunes ne peut être que le Frexit?
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, 06 mars 2019Aucune des demandes ou revendications des Gilets-jaunes ne peut être acceptée par et dans l’Union européenne telle qu’elle est actuellement. Les politiques nationales sont déterminées par le cadre intérieur du Marché unique, de la monnaie unique et des règles uniques de l’UE. Les Gouvernements de chaque pays formant l’UE, sont des exécutants dociles de ses règles, au mieux, des « fondés de pouvoir satisfaits de leur impuissance », écrit Coralie Delaume.
Victoire Ingabire et le 8 mars: femmes et pauvreté au Rwanda
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, 07 marsÀ l’occasion de la Journée internationale de la femme, Victoire Ingabire Umuhoza souligne la contradiction entre les conditions de pauvreté abjecte de la grande majorité des femmes au Rwanda et le discours officiel de ce pays. Selon cette grandes combattante pour la liberté qui a passé 8 ans au prison, « l’éradication de la pauvreté passer par le femme. » Elle ajoute que « que le rapport du bureau de Statistique au Rwanda daté d’août 2018 montre que ces femmes vivent de 0,88$ par jour. »
L’Empire: Mafia des Mafias. Le crime organisé à l’œuvre au Venezuela
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, 08 mars 2019Comment ne pas faire de liens entre l’Empire, sous la gouverne de l’état profond des États-Unis, et la Mafia qui répond à l’image qu’en donne Hollywood, dans sa série le Parrain? Tous les deux se considèrent au-dessus des lois et agissent en fonction de leurs intérêts de conquête et de domination. L’argent et la menace leur permettent d’acheter juges, magistrats, chefs d’État, évêques, journalistes et bien d’autres encore, leur assurant tout à la fois l’immunité et l’image du bon samaritain, en tout et partout.
La guerre frauduleuse de l’OTAN au nom des femmes
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, 08 mars 2019Dans un récent article du Guardian intitulé « Why NATO Must Defend Women’s Rights » (Pourquoi l’OTAN doit défendre les droits des femmes), le secrétaire général de l’agence, Jens Soltenberg, et la star de cinéma Angelina Jolie affirment que « l’OTAN a la responsabilité et l’occasion d’être un défenseur de premier plan des droits des femmes ». En outre, elle « peut devenir le chef de fil militaire mondial en matière de prévention et de réponse à la violence sexuelle lors des conflits ».
Le président Bouteflika pris en otage, le Peuple algérien emprisonné
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, 09 mars 2019L’Algérie affronte aujourd’hui une scène politique tragi-comique : d’un coté : des manifestations de masse contre la candidature illégale d’un président à moitié mort, en tous cas paralysé ; de l’autre coté, un système qui ignore les revendications populaires et insiste pour l’imposer le président Bouteflika, même si cela viole la Constitution et les lois. Pour la troisième fois, le système algérien a annoncé la candidature du président Bouteflika, pour un cinquième mandat.
L’aube d’un «nouveau Mexique »
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, 09 mars 2019Le 1er juillet 2018, 70 % des Mexicains sont allés voter, le meilleur taux de participation depuis des décennies. Ils ont élu Andrés Manuel López Obrador (AMLO), l’ancien maire de Mexico (2000-05), âgé de 65 ans, un politique aguerri issu du Tabasco, qui en était à sa troisième tentative d’arracher la présidence. Face à quatre autres candidats, il a obtenu une majorité absolue (53 %). Il a su gagner la confiance d’un peuple. Même les élites qui le redoutaient comme un dangereux « gauchiste » ou « populiste » n’ont pu lui opposer la fraude comme elles l’avaient fait en 2006. Sa popularité était trop grande, sa capacité de mobilisation trop évidente.
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