Un nouveau couple historique semble surgir entre Emmanuel et Ursula, ex-ministre allemande et présidente de la Commission, qui en matière d’usurpation de pouvoirs en prend à son aise : elle a décidé de gérer les données personnelles des Européens et les confie sans mandat aux officines américaines, elle attise et arme la guerre de l’Europe contre la Russie, au service de l’Amérique...
Alors que les pourparlers semblent progresser et que s’esquissent les premiers contours d’une solution possible en Ukraine, on commence à mieux cerner les tenants et aboutissants du conflit. Cela posé, il ne faut pas s’attendre à un cessez-le-feu rapide : les Américains et les Ukrainiens n’ont pas encore assez perdu, et les Russes pas encore assez gagné, pour que les hostilités s’arrêtent.
Cela n’en finit pas. La "guerre pour mettre fin à la guerre" de 1914-1918 a conduit à la guerre de 1939-1945, connue sous le nom de Seconde Guerre mondiale. Et celle-ci ne s’est jamais terminée non plus, principalement parce que pour Washington, c’était la bonne guerre, celle qui a fait le siècle américain : pourquoi pas le millénaire américain ?
Le contrat de gouvernement, stipulé en mai dernier par le M5Stelle et par la Lega, confirme que l’Italie considère les États-Unis comme son “allié privilégié”. (...) On ignore de ce fait, au gouvernement comme dans l’opposition, la stratégie USA de diabolisation de la Russie, visant à créer l’image de l’ennemi menaçant contre qui nous devons nous préparer à combattre.