Terrorisme, crise économique, néolibéralisme et Mondialisation de la guerre
Sélection d’articles:
Le tueur d’Orlando Omar Mateen était à l’emploi de G4S, la plus grande société de sécurité privée au monde par Peter Phillips, le 25 juin 2016
Omar Mateen, le tueur en série d’Orlando, était à l’emploi de G4S, un des plus gros employeurs du secteur privé au monde dans le domaine de la sécurité. G4S compte quelque 625 000 employés répartis sur cinq continents dans plus de 120 pays. Cette entreprise de sécurité privée dessert des gouvernements et des grandes sociétés.
Brexit or not brexit. Le grand capital joue à se faire peur, par Chems Eddine Chitour, le 24 juin 2016
Un mal qui répand la terreur, un mal que l’Europe appréhende pour punir les crimes de ceux qui osent se dresser contre l’orthodoxie néolibérale. La menace du Brexit, puisqu’il faut l’appeler par son nom capable d’enrichir en un jour toujours les mêmes et ruiner toujours les plus faibles.
L’économie des USA ne parvient pas à sortir de l’ornière, par Ariel Noyola Rodríguez, le 24 juin 2016
Le marché du travail américain a rechuté. En mai dernier, le secteur non agricole a ajouté 38.000 nouveaux emplois, alors que les investisseurs de Wall Street attendaient une augmentation de plus de 160.000 postes.
ONU/Syrie: Quand l’Arabie saoudite, le Qatar, la Turquie et Israël deviennent les prétendus garants des droits humains et de la lutte contre le terrorisme…, par Bachar Al-Jaafari, le 24 juin 2016
Avec le gouvernement de la République arabe syrienne, nous ne nions pas qu’il y ait une crise humanitaire dans le pays avec des personnes déplacées et sinistrées. Nous déplorons la manière incorrecte de l’aborder depuis son tout début jusqu’aujourd’hui.
Qui a tué le dernier des Mohicans? Réflexion sur la migration et le terrorisme contemporains, par Luca V.B., le 22 juin 2016.
Ces dernières années, la question « terroriste » a régulièrement volé le devant de la scène à un problème beaucoup plus dérangeant et plus profond… celui de la migration de masse. Cependant, ces deux crises peuvent et doivent être intrinsèquement connectées.
Néolibéralisme et mondialisation de la guerre: le projet hégémonique des USA, par Michel Chossudovsky, le 22 juin 2016
Le monde se trouve à une croisée des chemins dangereuse. Les Étasuniens et leurs alliés se sont lancés dans une aventure militaire qui menace l’avenir de l’humanité. De grandes manœuvres militaires et opérations clandestines de collecte de renseignements sont en cours simultanément au Moyen‑Orient, en Europe de l’Est, en Afrique subsaharienne, en Asie centrale et en Extrême‑Orient.
L’OTAN dit qu’elle pourrait avoir maintenant des raisons d’attaquer la Russie, par Eric Zuesse, le 21 juin 2016
Mardi 14 juin, l’OTAN a annoncé que si un pays membre de l’OTAN est victime d’une cyber-attaque en provenance d’un pays non-OTAN comme la Russie ou la Chine, alors l’article V de l’OTAN, dit de «défense collective», dispose que chaque pays membre de l’OTAN doit se joindre au pays attaqué s’il décide de riposter.
La Grèce rejoint la guerre du gaz de l’OTAN contre la Russie, par William F. Engdahl, le 21 juin 2016
Il y a seulement dix-huit mois, les projets d’un important pipeline de gaz naturel dans le sud de l’Europe, depuis les champs gaziers russes de l’autre côté de la mer Noire, jusqu’en Turquie et à la frontière gréco-turque, étaient en négociation entre le président russe Poutine et le Turc Erdogan.
La dette : l’arme qui a permis à la France de s’approprier la Tunisie, par Eric Toussaint,le 19 juin 2016
L’utilisation de la dette comme instrument de domination et d’aliénation de la souveraineté d’un État est bien illustrée par le sort réservé à la Tunisie par la France dans la deuxième moitié du 19e siècle. En 1881, la France conquiert la Tunisie en la transformant en protectorat. Jusque-là, la Tunisie, connue comme Régence de Tunis était une province de l’Empire ottoman, disposant d’une importante autonomie sous l’autorité d’un Bey.
Washington va-t-il se déclarer en guerre ouverte contre Assad?, par Oscar Fortin, le 17 juin 2016
Telesurtv.net, site vénézuélien d’information, nous apprend que John Kerry prend au sérieux la pétition de 50 hauts fonctionnaires étasuniens qui demandent d’attaquer directement le gouvernement syrien. Ces derniers considèrent que la prise de contrôle de l’État syrien faciliterait la lutte contre le terrorisme.