Une étude coréenne de grande envergure confirme le risque élevé de maladies cardiaques chez les jeunes

Une étude portant sur 3,4 millions de dossiers médicaux dans la base de données nationale de santé coréenne intitulée « L’impact du statut COVID-19 et du type de vaccin après la première dose sur les maladies cardiaques aiguës : une étude de cohorte rétrospective à l’échelle nationale en Corée du Sud » révèle que les personnes recevant des vaccins à ARNm présentent un risque plus élevé de maladie cardiaque. Notamment, les personnes plus jeunes ont un profil de risque encore plus élevé que les adultes plus âgés.
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L’étude a analysé les dossiers médicaux des individus pendant seulement 21 jours après leur première dose de vaccin contre la COVID-19 et/ou toute infection à la COVID-19. Dans les deux cas, il y avait un risque élevé de maladie cardiaque, notamment de lésion cardiaque aiguë, de myocardite aiguë, de péricardite aiguë, d’arrêt cardiaque et d’arythmie cardiaque. Cela confirme les conclusions de nos récents rapports :
Premièrement, « Staggering New Data From Health New Zealand and Others » a fait état de données officielles de Health New Zealand obtenues via une demande en vertu de la loi sur l’information officielle (OIA), documentant une augmentation massive des admissions aux urgences chez les personnes de moins de 40 ans, passant de 2 000 par an à plus de 20 000 par an.
Deuxièmement, « Breaking: 188% Rise in Mortality Risk Among New Zealand Teens Following Covid-19 Vaccination » a rapporté des données officielles de Health New Zealand publiées dans le cadre de l’OIA montrant que les adolescents et les personnes dans la vingtaine présentaient un risque de décès disproportionnellement élevé dans les 90 jours suivant une vaccination contre la COVID-19.
Ces résultats montrent que le risque de maladie grave persiste après la vaccination à ARNm, en particulier chez les plus jeunes. Il est important de noter que ce risque persiste pendant des mois et des années après la vaccination contre la COVID-19.
Veuillez noter qu’il s’agit de chiffres officiels du gouvernement néo-zélandais. En d’autres termes, les conclusions sont indiscutables. Le scepticisme et les accusations de désinformation sont intenables. Les chiffres montrent que Health New Zealand poursuit vigoureusement une politique de vaccination universelle à ARNm qui est connue pour nuire à la santé des jeunes à court et à long terme. Ces chiffres officiels montrent que les conséquences de cette politique sont en effet très graves.
Un article du Scottish Daily Mail sur une situation sans rapport avec l’affaire présente quelques enseignements salutaires. L’article examine le cas de Portland, dans l’Oregon, où les autorités ont dépénalisé l’usage de drogues dures en novembre 2020. En 2022, les rues du centre-ville de Portland étaient jonchées d’aiguilles abandonnées et de toxicomanes dans le coma. La criminalité grave a augmenté. Portland a changé de politique face aux preuves.
Glasgow a cependant décidé de copier l’erreur de Portland et de dépénaliser les drogues dures. La politique de la ville ne se fonde pas sur des preuves mais sur une théorie sociale connue sous le nom de mouvement de réduction des risques . Cette théorie affirme que les toxicomanes sortiront progressivement de leur dépendance lorsqu’ils ne seront plus poursuivis mais qu’ils seront plutôt aidés et conseillés, notamment en leur fournissant des aiguilles propres et des drogues pures. Dans le contexte actuel, cette théorie ne fonctionne pas, mais le gouvernement libéral écossais estime qu’elle devrait fonctionner et qu’elle le fera. Il rejette les preuves de ses propres yeux au profit de ses croyances sociales.
Ils prévoient de donner des médicaments à des personnes dont ils savent qu’ils leur causeront du tort.
Lorsque l’on croit vouloir faire du bien à la société, cela peut parfois se traduire par des préjudices. Les preuves des effets nocifs des vaccins à ARNm s’accumulant, la théorie selon laquelle ces vaccins sont sûrs et efficaces n’est plus tenable, mais les autorités sont coincées dans une situation où tout est possible. Après avoir emprunté une voie aussi loin, elles semblent incapables de revenir en arrière ou même d’envisager qu’une erreur a été commise. Elles sont psychologiquement dépendantes d’une théorie qui a été réfutée.
Il n’est jamais trop tard pour apprendre. Nous savons désormais qu’une erreur a été commise et que les politiques relatives aux vaccins à ARNm sont malavisées. Même à cette heure tardive, tout le monde ne sera soulagé que si les faits sont affrontés et que les corrections appropriées sont apportées aux politiques en fonction des données officielles
Dr Guy Hatchard