Une publicité révoltante de Pfizer présente les enfants vaccinés comme des « super-héros », et « oublie » ceux qui souffrent d’effets secondaires.

Le géant pharmaceutique multimilliardaire, dont les malversations ont défrayé la chronique dans le passé, a non seulement enregistré des profits exponentiels pendant la pandémie du fait que les contribuables ont été contraints de payer le vaccin, mais a également bénéficié de milliards de dollars des contribuables pour faire la publicité dudit vaccin. La manne de profits réalisés grâce à la vaccination des adultes a rapidement incité la firme à s’intéresser aux enfants pour pallier la diminution de sa clientèle. Bien que les enfants n’aient pratiquement aucune chance de mourir du COVID-19, la Food and Drug Administration (FDA) s’est empressée d’approuver le vaccin à ARNm de Pfizer pour les enfants âgés de 5 à 11 ans.

Après avoir dépensé des milliards de dollars en publicités financées par les contribuables pour convaincre les adultes de se faire vacciner, Pfizer a lancé cette semaine une nouvelle publicité qui cible sa nouvelle clientèle, les enfants. La société s’est surpassée en qualifiant les enfants, qui ont reçu l’injection dans le cadre de l’expérience, de « super-héros » dotés de « super-pouvoirs ».

« Il y a des super-héros de toutes les tailles.🦸🏽‍♀️🦸🏻🦸🏿‍♂️🦸🏼‍♀️ Regardez cette vidéo où de vrais enfants remercient leurs super-héros : les volontaires de l’essai clinique du vaccin #Covid19 âgés de 5 à 11 ans. Notre reconnaissance envers les participants à l’essai et leurs familles est infinie 💙 #ScienceWillWin« 

Voilà la scandaleuse vidéo en question:

Malheureusement, les enfants de la vidéo ci-dessus ne sont pas des héros. Aucun d’entre eux n’est en âge de consentir à recevoir un vaccin et ils ont tous été offerts au géant pharmaceutique comme cobayes par leurs parents.

La publicité semble s’adresser spécifiquement aux « super-héros », que seraient les enfants qui ont servi de cobayes, mais elle a, en réalité, pour objectif d’influencer tous les enfants.

« Si je me fais vacciner, je serai un super-héros ! »

Naturellement, cette publicité n’enthousiasme pas ceux dont un membre de la famille ou un ami a souffert d’effets secondaires. En conséquence, les dislikes sur la vidéo ont déjà dépassé les likes et ils s’accumulent rapidement.

Il est important de souligner que l’écrasante majorité des personnes qui se font vacciner n’ont que peu ou pas d’effets secondaires. Cependant, dire qu’il n’y a aucun risque et censurer ceux qui soulignent ces risques est, au mieux, contraire à l’éthique et, au pire, carrément malhonnête.

Comme le rapporte le TFTP (TheFreeThoughtProject), la pression en faveur de la vaccination des enfants s’intensifie en dépit du fait que le virus ne représente pas une menace pour les enfants. De plus, comme les Américains sont en train de le découvrir, le vaccin perd de son efficacité au fil du temps, ce qui entraîne un grand nombre de nouveaux cas que les Centres de contrôle des maladies (CDC) ne peuvent plus dissimuler.

En plus de ces nouveaux cas, il a été signalé aux CDC un nombre record d’effets indésirables dont souffrent aussi un grand nombre d’enfants. L’un de ces enfants – qui a participé à l’essai de Pfizer et qui est un « super-héros » selon la publicité ci-dessus – est Maddie de Garay. On lui a injecté le vaccin de Pfizer lorsqu’elle avait 12 ans. Elle est aujourd’hui en fauteuil roulant.

Comme Pfizer, la famille de Maddie a réalisé une vidéo pour raconter son expérience du vaccin. Mais contrairement à Pfizer, la vidéo de Maddie a été censurée sur YouTube et l’est toujours. De plus, Comcast a retiré la vidéo la semaine dernière, alors qu’elle devait être diffusée avant que le comité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques connexes ne se réunisse pour discuter des vaccins COVID-19 destinés aux enfants.

Un autre de ces « super-héros » qui a été censuré jusqu’à l’oubli est Ernesto Ramirez Jr. qui faisait partie des centaines d’enfants qui, comme Maddie, ont été vaccinés très tôt. Malheureusement, contrairement à Maddie, il n’a pas survécu et cinq jours après l’injection, selon son père, Ernesto est mort subitement.

« J’ai entendu toujours plus de publicités affirmer que c’était sans danger pour les adolescents, alors j’ai dit ‘OK' », a déclaré le père d’Ernesto Ramirez à Ivory Hecker, un journaliste de Fox 26 Houston, plus tôt dans l’année. « Deux ou trois semaines plus tard, le CDC a commencé à annoncer que des enfants avaient le cœur hypertrophié. »

« Le cœur d’un garçon de cet âge pèse normalement moins de 250 grammes », a déclaré le Dr Peter McCullough, un médecin de Dallas dans la vidéo de Hecker. « Dans son cas, il pesait plus de 500 grammes ».

Ramirez a essayé de collecter des fonds pour les funérailles de son fils décédé, mais parce qu’il a prétendu que l’injection a tué son fils, GoFundMe a supprimé sa collecte.

Apparemment, les multinationales de la haute technologie ont décidé que seuls ceux qui louent l’efficacité du vaccin ont droit à la parole. Si vous ou votre enfant avez souffert des effets secondaires du vaccin, vous n’avez pas le droit de le dire. Si vous vous interrogez sur le raison de cette censure, regardez la vidéo ci-dessous !

Matt Agorist

 

Article original en anglais :

Creepy Pfizer Ad Tells Kids They Are “Superheroes” for Taking Jab, Ignores Injuries of Others

Traduction : Dominique Muselet pour Mondialisation.ca

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Articles Par : Matt Agorist

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