[Vidéo] 11-Septembre : Conférence de presse à Ottawa de 3 organisations pour la vérité sur le 11/9
Conférence de presse parlementaire à Ottawa (Canada) le 10 décembre 2014, retransmise sur la chaine nationale canadienne Global TV suite à la pétition sur les attentats du 11/9 présentée au parlement canadien par la députée Elizabeth May et appelant à un nouvel examen du Rapport de la Commission sur le 11-Septembre. Les trois organisations à faire chacune une déclaration publique sont : ReThink911.ca, représentée par Bill Brinnier, Architectes et Ingénieurs pour la vérité sur le 11/9 (ae911truth.org), représentée par Isabelle Beenan, et le 9/11 Consensus Panel, représenté par Graeme MacQueen.
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* * *TRANSCRIPTION DE LA VIDEO * * *
Je m’appelle David Long. Je suis un rescapé du 11-Septembre. C’est moi qui ai écrit la pétition sur le 11/9 qui a été présentée au Parlement canadien la semaine dernière. Je serai votre « Maitre de cérémonie » aujourd‘hui. Nous allons avoir trois orateurs différents qui vont chacun faire une déclaration. Tout d’abord, Bill Brinnier, architecte américain de 25 ans d’expérience. Bill parlera au nom des familles de victimes du 11/9 (ReThink911.ca). Il a aussi perdu son meilleur ami le 11 septembre 2001 au World Trade Center.
Nous aurons ensuite Isabelle Beenen. Elle s’exprimera au nom de l’organisation Architectes et Ingénieurs pour la vérité sur le 11/9 (ae911truth.org).
Enfin, le 3e orateur sera le Dr Graeme MacQueen. M. MacQueen possède un PhD de l’Université d’Harvard, et il a enseigné à l’Université McMaster pendant plus de 30 ans. Il s’exprimera au nom de l’organisation Consensus911.org. À ce propos, aujourd’hui au Sénat US, un rapport a été remis au sujet des tortures de la CIA sur des personnes suspectées dans les attentats du 11/9. Le Dr MacQueen répondra volontiers à vos questions sur ce rapport, et sur la façon dont ces aveux ont été utilisés dans l’enquête sur le 11/9. Je laisse la parole à notre 1er orateur : Bill.
Bonjour. Je m’appelle Bill Brinnier, je suis architecte diplômé, et travaille dans l’État de New York. Le 11 septembre 2001, j’ai perdu mon meilleur ami, âgé de 30 ans. Il s’appelait Franck De Martini et était responsable de la construction pour l’autorité portuaire au World Trade Center, où il travaillait depuis 1993. C’était un travail de rêve pour Franck, et cela lui donnait certains privilèges uniques. Je me rappelle qu’en 1995, lors du 50e anniversaire de la Seconde Guerre mondiale, il nous avait emmenés avec mon frère sur le toit de la Tour Nord, pour admirer le show aérien des avions de l’époque au-dessus de l’Hudson River. Nous avions le toit pour nous tout seuls cet après-midi-là. Ce fut un moment merveilleux passé ensemble. Il a eu quelques ennuis suite à cet épisode, mais ça valait la peine.
Nous ne savions pas que six ans plus tard, il arpenterait les couloirs de cette même Tour, en tentant de sauver des gens de l’horreur absolue. Il aurait pu vite s’enfuir du 88e étage avec son groupe, et sa femme à qui il a dit « au revoir » à ce moment-là, mais il a choisi de monter aux niveaux supérieurs pour aider à évacuer les gens bloqués aux étages. En tout, il a aidé à sauver 50 personnes ce jour-là, avant d’y laisser la vie. Je suis là aujourd’hui, car nous sommes nombreux parmi ceux touchés par cette tragédie à penser que le récit officiel ne tient pas debout. Et je veux la vérité.
Je pense que Franck avait raison quand il disait à la télévision : « Les Tours pourraient probablement supporter de multiples impacts d’avion de ligne, c’est comme une grille dense. Un avion n’est qu’un crayon qui percerait cette grille, parce que cette structure est comme une moustiquaire de porte, cela n’affecte pas le treillis de la moustiquaire. »
Depuis des années, nous faisons des recherches, communiquons, faisons des recommandations, mais à ce jour, aucune entité gouvernementale responsable n’a eu le courage de simplement regarder les éléments factuels du 11-Septembre.
- Pourquoi d’interminables coulées oranges de métal fondu ont-elles coulé de la Tour Sud juste avant qu’elle s’écroule ? Les feux de kérosène ne sont pas assez chauds pour faire fondre l’acier.
- Pourquoi des centaines de pompiers et de témoins ont-ils parlé d’explosions, avant et pendant les effondrements de chacune des Tours ?
- Pourquoi l’incendiaire sophistiqué « nanothermite » a-t-il été retrouvé dans tous les échantillons de poussière du World Trade Center ?
Le gouvernement canadien a maintenant la responsabilité d’étudier ces éléments factuels, car 1400 citoyens canadiens ont signé une pétition dans ce sens. Et c’est une vraie responsabilité, car quoi de plus simple que de mener un examen parlementaire ? C’est tout ce que demande cette pétition.
Quelle excuse pourrait être avancée pour ne pas mener un examen parlementaire sur des informations que tant de citoyens considèrent comme importantes ? L’excuse évidente est : « Nous savons déjà ce qui s’est passé. Il n’y a aucune raison de douter du rapport de la Commission sur le 11/9. »
Mais comment en êtes-vous sûrs, sans avoir étudié les preuves ? À ce jour, le gouvernement canadien n’a pas examiné publiquement le récit officiel du 11/9, qui a pourtant justifié sa participation à la « guerre contre la terreur ». C’est tout ce que nous demandons.
Au nom de « New York City Coalition for Accountability Now« , une organisation représentant les familles du 11/9, les secouristes et les victimes, et dont j’ai l’honneur de faire partie du Conseil d’administration, et au nom d’Architectes et Ingénieurs pour la vérité sur le 11/9, dont j’ai aussi signé la pétition en tant qu’architecte, je me joins à cet appel d’innombrables Canadiens pour demander au gouvernement d’appuyer cette pétition demandant un examen parlementaire des omissions et incohérences du Rapport de la Commission sur le 11-Septembre. Il est temps que nos élus, quelque part dans le monde, aient le courage de simplement étudier les faits. Maintenant, Canada, nous te regardons. Merci.
Je m’appelle Isabelle Beenen. Je parle aujourd’hui au nom de l’association américaine à but non lucratif « Architectes et Ingénieurs pour la vérité sur le 11/9 », qui compte plus de 2300 professionnels du bâtiment, dont plus de 100 Canadiens, qui appellent à une nouvelle enquête, indépendante et incontestable, sur la destruction des 3 tours du WTC le 11-Septembre.
L’association AE911Truth est heureuse de se joindre à ReThink911 et au 9/11 Consensus Panel, pour soutenir la pétition présentée le 3 décembre à la Chambre des Représentants par Elizabeth May, leader des Verts (Green Party).
Nous félicitons Elizabeth pour avoir eu le courage de soumettre cette pétition historique signée par de nombreux Canadiens partout dans le pays, et qui demande au gouvernement canadien de réexaminer les événements du 11/9. Aujourd’hui, plus de 13 ans après cette tragédie qui a refaçonné notre société, des millions de gens dans le monde, ainsi que des familles de victimes se posent de sérieuses questions sur la version officielle du 11-Septembre. Architectes et Ingénieurs pour la vérité sur le 11/9 se donne pour but de dénoncer les mensonges et de révéler les faits sur la destruction complète, symétrique et presque en chute libre des trois gratte-ciel du WTC le 11 septembre 2001.
Ces milliers d’architectes et ingénieurs se basent sur une profonde compréhension des principes physiques étayant les éléments factuels, vidéos et témoignages directs, qui incluent le bâtiment 7 haut de 47 étages, la 3e tour détruite le 11-Septembre après-midi, qui affiche toutes les caractéristiques d’une démolition contrôlée classique, et dont la chute en 7 secondes a été officiellement imputée aux seuls incendies de bureau. Les Tours Jumelles affichent toutes les caractéristiques d’une destruction à l’explosif, dont les détonations ont été entendues avant leur effondrement, et rapportées par des dizaines de témoins, et qui ont éjecté des tronçons de poutre d’acier de 4 tonnes à 100 km/h, les projetant à plus de 200 mètres dans toutes les directions.
Aucune des 3 Tours n’a montré les caractéristiques d’une destruction par les seuls incendies, lesquels n’ont historiquement jamais causé l’effondrement complet de gratte-ciel, avant le 11-Septembre.
Des preuves de démolition à l’aide d’explosifs et de nanothermite incendiaire, ont été documentées même par des responsables du gouvernement.
Plusieurs tonnes d’acier fondu ont été retrouvées sous les décombres, ainsi que des microsphères de fer dans tous les échantillons de poussière du WTC. Des résidus de nanothermite sophistiquée non activés ont été retrouvés, documentés, et validés par des comités scientifiques indépendants.
Notre pétition américaine a été envoyée, avec la documentation de toutes ces preuves, en 2009, et encore en 2013, à tous les sénateurs et députés, à la Maison-Blanche, et à tous les grands médias.
Malgré cela, nous n’avons toujours pas réussi à attirer l’attention de notre gouvernement, et de nos médias. Cette affaire est trop récente et trop émotionnelle. Il y a apparemment trop d’intérêts en jeu.
Avec 4500 milliards de dollars consacrés à la « guerre contre la terreur » qui se base sur cet événement catastrophique et les explications mensongères données au monde entier.
Nous implorons donc l’aide et l’intervention de nos voisins du Nord. Ils sont toujours venus en aide aux États-Unis, lesquels ont échoué dans cette affaire à redresser ce tort gravissime. Une enquête rigoureuse par le gouvernement canadien peut et doit renverser le cours de l’Histoire, et amener un avenir de paix fondé sur les piliers de la Vérité et la Justice.
Vous n’êtes pas seuls. Vous avez le soutien inconditionnel de milliers d’architectes et d’ingénieurs d’ae911truth.org, mais aussi celui de millions de personnes dans le monde qui savent la vérité sur le 11/9. Merci.
Bonjour. Je m’appelle Graeme MacQueen, et je viens ici soutenir la pétition pour un examen parlementaire. Cette pétition demande un examen au vu des anomalies du Rapport de la Commission sur le 11/9. Étant donné la remise aujourd’hui au Sénat US du rapport sur la torture, j’aimerais vous rappeler que les aveux faits sous la torture occupent une position centrale dans le Rapport de la Commission sur le 11/9. Par exemple, Khaled Sheikh Mohammed a été soumis à la simulation de noyade (« waterboarding« ) des dizaines de fois. Ses aveux n’auraient jamais été acceptés par une Cour de Justice, ils ne sont pas fiables. Ils sont pourtant au centre du Rapport de la Commission sur le 11/9. C’est l’une des raisons qui justifient un nouvel examen.
Supposons que les Parlementaires n’aient pas les idées claires, et disent ne pas avoir le temps d’évaluer toutes les affirmations contradictoires sur le 11/9. L’organisation que je représente, le 9/11 Consensus Panel, a été créée pour cela. Notre Comité est constitué de 24 experts internationaux. Son travail consiste à évaluer systématiquement les indices, pour voir si certaines critiques du récit officiel résistent à un examen rigoureux. Nous en avons à ce jour sélectionné 44, disponibles sur notre site Web, que je vous invite à aller consulter (consensus911.org). La lecture de ces 44 points de consensus nous montre que ni la Commission sur le 11/9, ni la FEMA, ni le NIST n’ont adopté des méthodes de recherches acceptables. Par exemple, ils ont ignoré plus de 150 témoignages directs d’explosions, certains d’entre eux ont même été projetés sur plusieurs mètres, le 11/9.
A ce point de l’Histoire, où le Canada risque de s’engager dans une nouvelle guerre sur le front de la Guerre contre la Terreur, j’encourage tous ceux qui veulent connaître les faits sur le 11-Septembre, à soutenir cet examen parlementaire. Merci.
Séance de Questions/Réponses avec les journalistes
- Question : Mais alors, qui l’a fait ? Est-ce la CIA ? Vous dites qu’il y avait des explosifs dans les sous-sols des Tours. Mais qui a fait ça ?
- Isabelle Beenen : Nous n’accusons personne en particulier. Nous demandons simplement une nouvelle enquête vraiment indépendante. Nous ne disons pas qui est derrière ces attentats, mais simplement que le récit officiel est faux.
- Question : (inaudible…)
- Isabelle Beenen : Je ne suis pas une experte, je ne peux avancer aucune théorie.
- Graeme MacQueen : Je voudrais insister sur ce que vient de dire Isabelle. En tant qu’individus, chacun de nous a le droit d’avoir sa propre théorie. Aucune des trois organisations représentées ici ne veut vous convaincre d’une théorie en particulier. Nous demandons juste un examen objectif et indépendant.
- Question : Vous venez ici au Canada, car vous n’avez rien obtenu de la Maison-Blanche et du Sénat US ?
- Bill Brinnier : Exact.
- Question : Envisagez-vous des pétitions dans d’autre pays ? L’Australie ? La Grande-Bretagne ?
- David Long : Nous avons diffusé des informations sur les procédures pour déposer une pétition. Il y a de telles procédures de pétitions au Royaume-Uni, et aussi en Australie, et des procédures similaires existent dans d’autres pays européens. Mais je ne connais pas de pétitions actives dans d’autres pays actuellement.
- Question : (inaudible, sans doute : “Combien avez-vous de signatures ? »)
- David Long : 1427.
- Question : Avez-vous au préalable discuté de cette pétition avec Elizabeth May ? Lui avez-vous envoyée ? L’avez-vous rencontrée à son bureau ?
- David Long : Nous n’avons pas parlé directement avec Elizabeth May. Sa position est que tout député doit soumettre des pétitions, quel que soit leur contenu. C’est tout ce que nous pouvons dire.
- Question : (Elle se bat sur le front du…) changement climatique, n’est-ce pas ?
- David Long : Nous sommes ici pour parler des éléments probants sur le 11/9, pas d’autre chose.
- Question : Tous les articles à comité de lecture, sauf un je crois, confirment la version officielle sur les événements du 11-Septembre et le Rapport de la Commission. Et la seule étude qui appuie votre théorie a été remise en cause pour son procédé. Pourquoi le Canada devrait-il s’intéresser à cela alors qu’aucune étude ne confirme vos théories ?
- David Long : Je pense que vous vous trompez. Il existe des études à comité de lecture qui appuient ce que nous disons. Bill, voulez-vous commenter ?
- Bill Brennier : À ma connaissance, aucun comité de lecture n’a validé le rapport du NIST (National Institute of Standards & Technologies). Le rapport du NIST, ce n’est pas de la science. Croire que de simples incendies de bureau peuvent faire tomber en 7 secondes une tour de 47 étages, c’est du jamais-vu. C’est impossible. Il existe des études validées par des comités de lecture expliquant de façon différence ce qui s’est passé. Mais les médias dominants n’en parlent pas. Et donc le grand public n’en a pas connaissance. C’est pour cela que nous sommes là. Et nous continuerons, aussi longtemps qu’il faudra. Tant que je pourrai parler, je me battrai pour une véritable enquête. Ce n’est pas à nous de désigner un coupable. C’est aux autorités de le faire, et tout ce que nous demandons, c’est qu’elles fassent leur boulot.
- Graeme MacQueen : Si vous allez sur le site Web du Journal of 9/11 Studies, vous y trouverez un article, ce n’est pas le dernier, mais l’un des 4 plus récents, qui liste les études à comité de lecture portant sur les effondrements de bâtiments depuis le 11-Septembre. C’est un catalogue assez complet sur combien d’études appuient la version officielle, et combien la remettent en cause. Il est inutile de faire des suppositions, ce travail d’inventaire a déjà été fait.
- Question : (Selon vous, quelle quantité d’explosifs..) a-t-il fallu pour les Tours Jumelles ?
- Bill Brennier : Je dirais, une quantité significative. Ce que nous savons,… Comment ? Non, nous n’avons pas de chiffres. Mais pour abattre ces bâtiments à structure d’acier et de béton en quelques secondes, il faut une énorme quantité d’énergie. Il y a eu d’importants travaux de rénovation des ascenseurs dans ces 3 tours, à l’époque, dans les 9 mois qui ont précédé, et cela a pu permettre à quelqu’un d’opérer à l’intérieur. Certains rapports parlent de camions arrivant au WTC entre 3h et 4h du matin, tous les jours, durant les deux mois avant le 11-Septembre. Il y avait largement la possibilité de placer des choses à l’intérieur. La sécurité était totalement contrôlée par des membres du gouvernement, et nous avons donc des soupçons sur un possible « Inside Job » (coup monté de l’intérieur), mais ce sont juste des soupçons. Personne ne peut savoir ce qui s’est réellement passé tant qu’il n’y aura pas d’investigation rigoureuse, impartiale, qui évalue toutes les preuves. Tellement de preuves ont été ignorées. Si vous lisez le Rapport de la Commission sur le 11/9, il fait 900 pages, et il ne mentionne même pas le Bâtiment 7. Pas une seule fois ! Cela n’a aucun sens.
- Question : Où trouve-t-on de la nanothermite ? C’est quoi, la nanothermite ? On connait la thermite, mais la nanothermite ?
- Graeme MacQueen : Je ne suis pas un scientifique, et je ne rentrerai donc pas dans les détails, mais on sait que c’est une substance militaire, pas si difficile à faire d’ailleurs : le chimiste Kevin Ryan, coéditeur du Journal of 9/11 Studies en a fabriqué, et a publié le procédé sur le site Web. Ce sont des particules très fines, ce qui les rend plus dangereuses comme incendiaire et comme explosif que la thermite ordinaire. Chaque particule a plus de surface exposée à l’oxygène de l’air. Nous savons que cela existe, que cela fait l’objet de recherches, et qu’on en a trouvé dans les poussières du WTC. Pour ma part, je n’ai vu aucune explication valable de sa présence dans ces poussières. Si on l’a utilisé comme incendiaire, comme explosif, ou les deux, je l’ignore, mais on l’a certainement utilisé dans un but non innocent.
- Question : Vous êtes le coéditeur du Journal of 9/11 Studies, n’est-ce pas ?
- Graeme MacQueen : Oui
- Question : Selon vos études, votre enquête, quelles sont les raisons qui ont poussé des gens, la CIA, le gouvernement, à abattre ces tours ? Était-ce pour partir chasser des groupes de terroristes potentiels ? Un peu comme pour la Seconde Guerre mondiale, certains disent que les USA voulaient entrer en guerre et ont attendu le bombardement de Pearl Harbor ? Avez-vous découvert quelque chose dans ce sens ?
- Graeme MacQueen : Le Journal of 9/11 Studies est comme les autres organisations ici. Nous n’avons pas de position sur qui l’a fait ou pourquoi. Pour ma part, j’ai été un temps le directeur du Centre d’Études pour la Paix à l’Université McMaster, et je m’intéresse aux guerres et à ce qui les provoque, je m’intéresse aux facteurs déclenchants. Et selon moi, les attentats du 11/9, et les attaques à l’anthrax qui ont suivi, et sur lesquelles je viens de publier un livre, ont été des facteurs déclenchants. Ils ont été conçus pour provoquer des guerres bien précises, dans un but bien précis, et cela a parfaitement réussi. C’est mon opinion personnelle, et non celle d’un groupe que je représenterais.
- David Long : Merci à tous.
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